Charles un homme parfait. - histoire érotique

Bonjour,
je me prénomme Linsee, je suis une femme de 26 ans. C'est mon premier récit sur ce site, donc je demande un peu d'indulgence, merci à tous.

Dans un petit village de campagne, chaque année, en été, un bal y est donné. Louna, la cinquantaine, femme divorcée depuis quelques années, habite depuis peu ce lieu de retraite qu'elle a choisi. Mais, certaine personne du village n'acceptent pas cette nouvelle venue, ils ne répondent même pas à ses bonjours. Chaque jour, elle va à la ferme voisine pour y faire quelques achats. Elle fait la connaissance de Charles, un paysan vraiment du terroir, qui vante ses produits avec persuasion, surtout avec un sourire ravageur. À chaque fois, Louna se laisse avoir, elle repart avec plus de produits dans son cabas que nécessaires. Au fil des jours, les deux sympathisent, ils s'apprécient, et ils finissent par se tutoyer. Charles lui propose de l'accompagner au bal du village le samedi qui vient. Il est vrai que Linsee est une belle femme, qui ne le laisse pas indifférent. Charles, quant à lui, est massif, taillé à la hache comme on dit, mais bel homme, célibataire, endurci, il est un peu plus âgé que Linsee.

Linsee hésite, elle craint les quolibets des habitants du village. Mais, Charles, beau parleur, réussit à la convaincre. Le jour dit, Linsee le passe dans la salle de bain ou devant sa coiffeuse sans savoir que mettre. Enfin, elle opte pour une jupe très légère, avec un chemisier dont elle laisse les premiers boutons ouverts. Charles arrive, elle lui ouvre la porte, le coquin siffle d'admiration devant la beauté naturelle de Linsee, ses yeux brillent de mille feux. Rapidement, ils prennent un petit verre, puis bras dessus bras dessous, ils se rendent au bal qui se trouve sur la place du village. À chaque fois qu'ils croisent des personnes sur leur chemin, celles-ci se retournent en marmonnant.


Charles trouve une table, il commande une bouteille de champagne pour épater Linsee. Les deux se regardent avec tendresse, les sourires qu'ils échangent sont chauds. La piste préfabriquée est envahie par des danseurs. La musique bat son plein, l'ambiance est bonne. La piste est bien éclairée, les tables autour beaucoup moins. Une fois leur verre vide. Charles invite Linsee pour un slow, elle se lève, il lui prend la main et l'entraine sur la piste. Il l'enlace, la serre très fort contre lui. Les corps ondulent au son lent de la musique, les bassins se frottent l'un contre l'autre sous les regards envieux de certaines personnes. La danse se termine, les deux regagnent leur table, Charles remplit les verres. Ils parles de tout et de rien, souvent, il lui prend la main et l'embrasse en complimentant la beauté de Linsee. Elle rougit, en baissant les yeux, le bougre lui presse doucement la main en la regardant tendrement. Il l'invite pour un nouveau slow. Le coquin s'enhardit, il pose sa joue contre la sienne, en la serrant contre lui. Linsee sent le souffle chaud de Charles sur son cou, le coquin audacieux, ose déposer un baiser sur la joue de Linsee qui frémit. Plus la soirée s'avance, plus la bouteille se vide. Charles en commande une seconde. Linsee lui dit en souriant :

-Oh Charles, tu veux m'enivrer coquin !

Il ne repond pas, il sourit seulement, et l'invite encore pour danser. Il frotte contre elle son bas-ventre, au rythme de la musique. Mais le bougre commence à avoir un début d'érection, il serre encore plus Linsee dans ses bras, en appuyant son bassin contre le sien. Linsee sent contre son ventre la verge qui se tend, elle tente de s'écarter doucement, mais Charles la maintien contre lui. Il lui dit en murmurant :

-Tu vois dans quel état tu me mets Linsee, tu es si désirable que je ne peux résister !

Le gredin lui mordille le lobe de l'oreille, elle soupire profondément, elle tente de le repousser en vain. Il cherche ses lèvres, qu'elle détourent en dit faiblement :

-Charles, il faut être sage, tout le monde nous regarde, je t'en prie, cesses, tu me mets mal à l'aise !


Charles doit se retenir, il lui dit :


-Je te veux, je suis fou de toi, depuis le premier jour où je t'ai vu !


Linsee le regarde tendrement, ses yeux s'emplissent de larmes, elle répond :


-Charles, ne fais pas l'enfant, ne me torture pas !


Leurs lèvres se frôlent, ils sont seuls au monde, ne voient plus qu'ils sont épiés. Le cœur de Linsee bat la chamade, elle se sent fébrile. Les lèvres se joignent enfin, les langues se cherchent, se nouent, le baiser dure un long moment. Linsee tremble de tous ses membres, elle demande de rejoindre la table. Charles est souriant, il la dévore des yeux. Il lève son verre et dit :

-À nous ma chérie !

Linsee répond :

-À nous !

La lumière tamisée qui éclaire faiblement les tables, encourage Charles. Il pose sa main sur la cuisse de Linsee, la caresse, il la sent frissonner, il tente de la glisser sous la jupe. Elle pose sa main sur la sienne et la presse fortement pour dissuader l'agresseuse.
Les regards qu'il echangent sont sans équivoques. Linsee fond de bonheur, elle se sent surveillée par les envieux ou envieuses. Le bal touche à sa fin, l'organisateur annonce la dernière danse. Beaucoup de monde se rue sur la piste. Charles appuie son bas ventre contre celui de la femme qui le fait vibrer, son érection a décuplé. Linsee ondule du bassin contre le pieu qui frotte contre son ventre, elle soupire, relève la tête et offre à Charles ses lèvres, le bougre ne se fait pas prier. Il l'embrasse si fougueusement, que Linsee en a le souffle coupé. Le coquin tire sur les hanches de sa bienaimée, pour qu'elle sente bien dans l'état d'excitation qu'il est.

Enfin, ils quittent la place bras dessus, bras dessous, blottis l'un contre l'autre. Ils arrivent devant la maison de Linsee. Elle ne peut lui refuser un dernier verre.


Une suite si demande.