Charles un homme parfait 2 - histoire érotique

Bras dessus, bras dessous, Charles et Louna quittent la place. Les deux ne désirent pas se quitter si vite. Un dernier verre est proposé. Loubna invite Charles à entrer, à peine à l'intérieur de la maison, il l'enlace et la serre très fort contre son corps musclé. Le bougre cherche ses lèvres, Louna ne peut résister. Les langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler, les salive s'échangent, Louna déglutie sans rechigner, Charles aussi. Le baiser dure un long moment, les mains habiles caressent les formes généreuses de Louna. Audacieusement Charles pétri les fesses charnues de Louna qui soupire profondément. Enfin, l'ébat lingual se termine.


Charles regarde amoureusement Louna qui rosit légèrement en croisant son regard. Il lui relève le menton avec deux doigts et lui dit :

-Avec toi, je suis le plus heureux des hommes, je t'aine sincèrement ma chérie !

Louna fond, ses yeux se remplissent de larmes, cet homme ne la laisse pas indifférente, elle se blottit contre lui en ronronnant. Ils échangent un second baiser encore plus fougueux que le premier. Charles, avec doigté, dégrafe le chemisier, de Louna et le fait tomber sur le sol, il continue l'effeuillage, la jupe suit le corsage. Louna a un geste de défense, elle pose une main sur sa poitrine et l'autre sur son entrejambe. Ce geste fait sourire Charles qui la plaque contre lui et, habilement, fait sauter l'agrafe du soutien-gorge. Il entend Louna déglutir fortement. Il s'ecarte d'elle, là regarde un long moment, il admire les seins, qui pendent sur le torse de Louna qui semble très gênée de se retrouver à demi nue devant cet homme. Il se retient pour ne pas lui sauter dessus, tellement il a envie d'elle. Il s'agenouille devant elle. S'agrippe à la culotte et la fait descendre doucement sur les hanches larges de la femme qu'il desir comme un fou.

Au fur et à mesure que le tissu descend, il donne des baisers bruyants sur les parties qu'il dévoilent. Louna frissonne, elle commence à trembler. Elle se demande pourquoi, qu'elle ne peut résister à cet homme très entreprenant. Au passage, Charles hume avec force les effluves enivrantes qui s'échappent de la vulve. Enfin la culotte est sur le sol, il se redresse. Louna le regarde maladroitement, elle commence à lui retirer ses vêtements. Ses mains tremblent en descendant le pantalon, une énorme bosse déforme le slip de Charles, elle ne la quitte pas des yeux. Avec une maladresse inouïe, elle baisse lentement le slip. Soudain, elle sursaute. La verge jaillit du carcan de tissu qui l'emprisonné. Elle oscille un moment avant de se stabiliser sur le bas ventre. Charles avait pris soin de bien se raser. Louna reste un moment béate devant l'engin qu'elle qualifie de redoutable. Il est plus impressionnant que ceux qu'elle a déjà connue.

Les deux créatures de Dieux sont nues, ils s'observent un moment. Charles prend les devants, il prend Louna à bras-le-corps et la dépose sur le canapé. Il lui ouvre les jambes délicatement, et avance sa main vers le temple de l'amour. Ses doigts s'enfoncent dans la toison soyeuse, le triture un instant avant de glisser sur la fente qui s'humidifie doucement. Deux intrus s'insèrent entre les grandes lèvres, et passent de nombreuses fois dans le sillon qui suinte de plus en plus. Charles caresse avec tendresse la protubérance de chair qui surplombe les grandes lèvres. Avec tact, il triture doucement le clitoris qui commence à prendre du volume. Louna geint les attouchements précis de Charles, Soudainement, elle sursaute. Charles entreprend un délicat branlage de son clito. Le corps de Louna est pris de frissonnements qu'elle ne peut contrôler. Elle gémit comme une bête blessée, se cambre en agitant doucement son bassin. Charles obtient ce qu'il cherchait, Louna jouit en grinçant des dents. Il enfonce trois doigts dans le vagin gorgé de cyprine et le fouille profondément. Le résultat escompté ne se fait pas attendre. Louna jouit une seconde fois en gémissant, son corps tremble. Charles passe à l'étape suivante, il pose sa bouche sur le cratère en pleine éruption, aspire le jus qui s'y échappe, et gobe la perle magique. Louna se cabre comme un cheval qui rue, elle grogne fortement en appuyant sur la tête de son amant, ses gémissements sont terribles. Elle remplit de son jus suave la bouche de son amant qui, satisfait de lui, se redresse. Sa verge est raide comme un bout de bois, il l'excibe fièrement sous le nez de la jouisseuse. Qui, sans savoir pourquoi, la saisit et la branle énergiquement. À chaque descente de son poignet, elle décalotte le gland marbré. Charles serre les dents, il grogne. Soudain, il hurle :

-Suce-la, suce-la ma chérie !

Louna sans chercher à comprendre ouvre la bouche et gobe le gland, elle s'applique du mieux qu'elle peut pour ne pas décevoir l'homme qui lui donne tant de jouissances. La langue rapeuse tourne sur le gland, titille le frein et lape les perles de rosée qui s'échappent du méat. Charles la repousse brutalement, il se place entre ses cuisses et enfonce sa verge dans le puits débordant de cyprine. Louna s'accroche à son amant, elle agite son bassin en gémissant de plaisir. Le va-et-vient qu'impose Charles et rapide et soutenu. Le mandrin puissant entre et ressort du ventre de Mouna en la faisant geindre fortement. Louna, bien que dilatée par la verge fortement veinée gorgée de sang, geint de plaisir à chaque enfoncement du pieu en elle. Soudain, elle se tend comme un arc et jouit comme une folle en couinant comme une bête. Charles continue de la pilonner avant de répandre en elle sa semence épaisse. Charles se retire du ventre si accueillant de son amante, il ne veut pas brusquer les choses, il y a tant de choses à faire avec le corps de Louna, qui se réserve le droit de revenir l'exploiter avec l'accord de la femme radieuse qui ne cesse de sourire à son amant.


Une suite peut-être ?