Charles un homme parfait 4
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2023 dans la catégorie Plus on est
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Charles un homme parfait 4
Roger malaxe les seins de Louna, elle semble ne se rendre compte de rien, ses yeux sont braqués sur le sexe de Juliette qui se fouille à s'en faire gémir. Les mamelons deviennent dur comme du béton, Roger s'évertue de les faire gonfler le plus possible. Soudain, un son rauque sort de la gorge de Juliette, qui vient de jouir. La coquine continue de se faire plaisir, ses doigts s'accrochent à son clito et le maltraitent avec brutalité, tout cela sous les yeux écarquillés de Louna.
Charles ne reste pas inactif, il se lève, retire ses vêtements, et s'approche de Juliette, il lui offre en souriant son gland à sucer. Bonne amante, la femme ouvre la bouche et gobe le champignon. Elle s'evertue comme une pro à faire une fellation que Charles n'oubliera pas de si tôt. Elle est si douée que Charles ne tarde pas à remplir la bouche de la suceuse de sa semence visqueuse. Juliette sans rechigner avale la mixture épaisse, elle recrache la verge et s'essuie les lèvres d'un geste rapide.
Roger délaisse les seins gonflés de Louna et se place devant elle, il s'agenouille et poses ses mains sur les cuisses tremblantes de la soumise qui ne réagit toujours pas, trop occupée de regarder Juliette qui insatiable se fouille profondément les entrailles. Les mains de Roger glissent sous sa jupe et lentement atteignent les aines, elles montent sur les hanches larges de Louna, s'accroche à la culotte et la descend avec lenteur. Elle passe les genoux, descend sur les chevilles et finit sur le sol.
Roger ouvre en insistant les cuisses récalcitrantes de Louna. Il sourit en voyant la chatte trempée de la femme fébrile. Il avance sa main, caresse un instant la fente dégoulinante de cyprine et cherche la perle de tous les plaisirs. Du bout des doigts, il l'agace un moment avant de faire un signe à sa femme. Juliette s'approche, prend la place de son mari et avec douceur plaque sa bouche sur le fruit gorgé de jus. Juliette aspire tout ce qu'elle peut, elle gobe le clito qui rapidement devient méconnaissable. Le corps de Louna se met à trembler, elle gemit en agitant doucement son bassin. Juliette lui dévore la perle avec avidité, elle tire sur les hanches de la soumise pour qu'elle ne se derobe pas. Soudain, Louna se cabre en poussant un cri. Elle vient de jouir, ses yeux se remplissent de larmes, elle realisse ce qu'elle fait. Charles l'encourage :
-Jouis ma chérie, jouis, prends du plaisir, suce Roger, il n'en peut plus !
Roger retire ses frusques. C'est en tremblant qu'elle attrape la verge tendue de Roger, elle ouvre la bouche et avec maladresse suce le gland. Les succions sont bruyantes, Louna s'en hardi de sa main libre, elle saisit les couilles de son amant et les triture jusqu'à le faire grimacer. Sa bouche se fait plus efficace. Roger geint comme une bête blessée. Soudain, il envoie une puissante décharge suivit d'une moins forte dans la bouche de Louna qui repousse brusquement Roger, elle manque d'étouffer tellement le sperme est abondant. Charles lui suggère :
-Avale ma chérie, avale !
C'est en déglutissant fortement que Louna avale la totalité des décharges. Charles la félicite pour sa performance. Avec l'aide de Roger, ils l'allongent sur le sol. Il prend place entre les cuisses de sa bien-aimée et l'embroche jusqu'à la garde. Il la rudoie de coups de reins violents qui la font couiner comme un animal blessé. Juliette se penche sur le couple en action et aspire les mamelons de Louna, elle suce avec rage les bouts dressés au centre des taches brunes. Les râles de la soumise sont de plus en plus rauques. Ses mamelons deviennent douloureux, Juliette ne les ménage pas, elle les dévore comme une affamée. Charles la défonce comme un soudard, il profite que Louna est presque en transe pour la violenter fortement. Elle jouit en grognant en s'accrochant à Charles, elle est en sueur, elle halete comme un sprinteur en fin de course. Charles, avec la complicité de Juliette, la bascule sur lui. Il la plaque contre son torse. Il invite Roger à la prendre par le cul. Roger refuse, il dit :
C'est à toi que revient ce privilège Charles, changeons de place !
Rapidement, l'échange se fait, Louna reçoit le pieu de Roger au plus profond de son ventre, elle s'accroche à lui en soufflant comme un dragon, elle craint la suite. Charles crache sur l'anus de son amour, le badigeonne abondamment avant de place son gland contre la petite porte qui n'a jamais était pénétré par une verge. Louna serre les dents, Charles pousse doucement, Louna croit mourir, la bite puissante s'enfonce lentement dans la gaine qu'elle dilate en progression en elle. Louna serre les dents, elle grimace. Une fois bien plantée en elle, Charles ne fait plus aucun mouvements. Il attend avec patience que la douleur s'estampe peu à peu.
Il faut un bon bout de temps pour que son corps de Louna s'habitue au monstre qui lui remplit le rectum. Enfin, Charles commence un va-et-vient très lent. Roger s'y met aussi, Louna a l'impression que les deux verges sont dans le même orifice tellement la paroi qui les sépare est fine. Elle s'accroche au cou de Roger en gémissant de plus en plus. Enfin, les deux hommes lâchent les chevaux. Les deux prennent Louna comme une bête, ils la défoncent comme des sauvages. Le rythme est très soutenu, les coups de pilons sont dévastateurs. Louna couine en jouissant, son corps est pris de tremblements incontrôlables. Les assauts répétés des deux pourfendeurs la font jouir encore plusieurs fois. Charles repend sa semence le premier dans l'intestin de son amour. Roger ne tarde pas à lui remplir le ventre de son sperme épais. Les deux avant de la libérer, la besogne encore pour qu'elle atteigne une nouvelle jouissance.
Les deux se retirent du corps en ébullition de Louna et l'offre à Juliette qui se jette dessus comme un rapace sur sa proie. Elle lui aspire tout ce qui sort des trous restés ouverts. Elle les fouille pour en récolter tout le jus possible dont elle raffole. Louna est devenue une machine à jouir, elle défaille, délire sous les coups de langue précis de Juliette.
Charles ne reste pas inactif, il se lève, retire ses vêtements, et s'approche de Juliette, il lui offre en souriant son gland à sucer. Bonne amante, la femme ouvre la bouche et gobe le champignon. Elle s'evertue comme une pro à faire une fellation que Charles n'oubliera pas de si tôt. Elle est si douée que Charles ne tarde pas à remplir la bouche de la suceuse de sa semence visqueuse. Juliette sans rechigner avale la mixture épaisse, elle recrache la verge et s'essuie les lèvres d'un geste rapide.
Roger délaisse les seins gonflés de Louna et se place devant elle, il s'agenouille et poses ses mains sur les cuisses tremblantes de la soumise qui ne réagit toujours pas, trop occupée de regarder Juliette qui insatiable se fouille profondément les entrailles. Les mains de Roger glissent sous sa jupe et lentement atteignent les aines, elles montent sur les hanches larges de Louna, s'accroche à la culotte et la descend avec lenteur. Elle passe les genoux, descend sur les chevilles et finit sur le sol.
Roger ouvre en insistant les cuisses récalcitrantes de Louna. Il sourit en voyant la chatte trempée de la femme fébrile. Il avance sa main, caresse un instant la fente dégoulinante de cyprine et cherche la perle de tous les plaisirs. Du bout des doigts, il l'agace un moment avant de faire un signe à sa femme. Juliette s'approche, prend la place de son mari et avec douceur plaque sa bouche sur le fruit gorgé de jus. Juliette aspire tout ce qu'elle peut, elle gobe le clito qui rapidement devient méconnaissable. Le corps de Louna se met à trembler, elle gemit en agitant doucement son bassin. Juliette lui dévore la perle avec avidité, elle tire sur les hanches de la soumise pour qu'elle ne se derobe pas. Soudain, Louna se cabre en poussant un cri. Elle vient de jouir, ses yeux se remplissent de larmes, elle realisse ce qu'elle fait. Charles l'encourage :
-Jouis ma chérie, jouis, prends du plaisir, suce Roger, il n'en peut plus !
Roger retire ses frusques. C'est en tremblant qu'elle attrape la verge tendue de Roger, elle ouvre la bouche et avec maladresse suce le gland. Les succions sont bruyantes, Louna s'en hardi de sa main libre, elle saisit les couilles de son amant et les triture jusqu'à le faire grimacer. Sa bouche se fait plus efficace. Roger geint comme une bête blessée. Soudain, il envoie une puissante décharge suivit d'une moins forte dans la bouche de Louna qui repousse brusquement Roger, elle manque d'étouffer tellement le sperme est abondant. Charles lui suggère :
-Avale ma chérie, avale !
C'est en déglutissant fortement que Louna avale la totalité des décharges. Charles la félicite pour sa performance. Avec l'aide de Roger, ils l'allongent sur le sol. Il prend place entre les cuisses de sa bien-aimée et l'embroche jusqu'à la garde. Il la rudoie de coups de reins violents qui la font couiner comme un animal blessé. Juliette se penche sur le couple en action et aspire les mamelons de Louna, elle suce avec rage les bouts dressés au centre des taches brunes. Les râles de la soumise sont de plus en plus rauques. Ses mamelons deviennent douloureux, Juliette ne les ménage pas, elle les dévore comme une affamée. Charles la défonce comme un soudard, il profite que Louna est presque en transe pour la violenter fortement. Elle jouit en grognant en s'accrochant à Charles, elle est en sueur, elle halete comme un sprinteur en fin de course. Charles, avec la complicité de Juliette, la bascule sur lui. Il la plaque contre son torse. Il invite Roger à la prendre par le cul. Roger refuse, il dit :
C'est à toi que revient ce privilège Charles, changeons de place !
Rapidement, l'échange se fait, Louna reçoit le pieu de Roger au plus profond de son ventre, elle s'accroche à lui en soufflant comme un dragon, elle craint la suite. Charles crache sur l'anus de son amour, le badigeonne abondamment avant de place son gland contre la petite porte qui n'a jamais était pénétré par une verge. Louna serre les dents, Charles pousse doucement, Louna croit mourir, la bite puissante s'enfonce lentement dans la gaine qu'elle dilate en progression en elle. Louna serre les dents, elle grimace. Une fois bien plantée en elle, Charles ne fait plus aucun mouvements. Il attend avec patience que la douleur s'estampe peu à peu.
Il faut un bon bout de temps pour que son corps de Louna s'habitue au monstre qui lui remplit le rectum. Enfin, Charles commence un va-et-vient très lent. Roger s'y met aussi, Louna a l'impression que les deux verges sont dans le même orifice tellement la paroi qui les sépare est fine. Elle s'accroche au cou de Roger en gémissant de plus en plus. Enfin, les deux hommes lâchent les chevaux. Les deux prennent Louna comme une bête, ils la défoncent comme des sauvages. Le rythme est très soutenu, les coups de pilons sont dévastateurs. Louna couine en jouissant, son corps est pris de tremblements incontrôlables. Les assauts répétés des deux pourfendeurs la font jouir encore plusieurs fois. Charles repend sa semence le premier dans l'intestin de son amour. Roger ne tarde pas à lui remplir le ventre de son sperme épais. Les deux avant de la libérer, la besogne encore pour qu'elle atteigne une nouvelle jouissance.
Les deux se retirent du corps en ébullition de Louna et l'offre à Juliette qui se jette dessus comme un rapace sur sa proie. Elle lui aspire tout ce qui sort des trous restés ouverts. Elle les fouille pour en récolter tout le jus possible dont elle raffole. Louna est devenue une machine à jouir, elle défaille, délire sous les coups de langue précis de Juliette.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
A quand une histoire ou c'est une femme qui gère, et dirige, la libido de monsieur ? Qui se sert de monsieur pour son plaisir à elle ? Qui assouvi ses propres fantasmes et non ceux de monsieur ?
Bonsoir Linsee
A quand la suite ?
A quand la suite ?
A quand la suite !!!
Ce récit je l’apprécie. Tout ce qui concerne l'inceste non.
J’attends avec impatience la suite de celui ci.
J’attends avec impatience la suite de celui ci.