Cinéma de quartier 1

Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Cinéma de quartier 1
Marion, déambule dans les rues piétonnières de la station balnéaire, ou elle est en vacances avec son mari Justin. Soudain le temps se gâte, un terrible orage d'été éclate. Elle a juste le temps de se refugier dans un petit cinéma, pour ce mettre à l'abri. Machinalement, elle prend un billet, sans savoir quel film y est projeté, elle entre dans la salle. Une drôle d'odeur pénètre ses narines, elle fait une moue en allons s'assoir dans un fauteuil. La salle n'est éclairée que par les lueurs du film, et quelques veilleuses dans les rangées. Malgré la faible clarté, les yeux de Marion, font le tour de la salle. Elle reste figée, en voyant une femme penchée sur son voisin, et qui pratique sur lui une fellation, elle doit être féroce car l'homme geint fortement. Un peu plus loin une femme chevauche son partenaire, elle est accrochée à son cou et s'agite comme une forcenée.
Soudain des gémissements, la font sursauter, sur l'écran un couple en plein action se donne beaucoup de plaisir. La femme prise en levrette, gémit fortement en se cramponnant au canapé. Marion se cabre, lorsqu'un second acteur entre en scène, et offre à la femme sa bite gorgée de sang. la femme suce et tète en grognant, la verge raide de son partenaire.
Un peu honteuse, Marion s'enfonce dans son fauteuil. Un homme se place juste à côté d'elle, les deux échangent un sourire. Au bout d'un instant, l'homme extirpe de son pantalon sa bite tendue, sans se soucier de Marion, il l'agite fermement.
Marion, ne sait plus ou regarder, elle ravale sa salive et fixe l'écran, en donnant de temps en temps un coup d'œil vers son voisin, qui s'acharne sur sa queue en grimaçant.
les scènes sur l'écran défilent, les positions varient. La femme est prise en double, par les deux hommes qui semblent ne pas la ménager. La chatte de Marion commence à fuir, sa culotte s'humidifie, elle serre les cuisses pour retenir le jus qui s'échappe de sa chatte en feu. Dans la salle, un cri se fait entendre. La femme qui chevauchait son partenaire vient de jouir, elle se cramponne à son amant en geignant terriblement. Une autre voix resonne :
-Avale, salope avale !
La fellatrice, reçoit dans sa bouche un flot de sperme, que son partenaire lui envoie. la femme avale la semence. Les yeux de Marion sont braqués sur la verge de l'homme, qui dit :
-Suce encore salope, tu n'arrêteras que lorsque je te le dirais, oh putain ce que tu es bonne, continue, continue.
les yeux de Marion ne savent ou se poser, l'écran semble ne plus l'intéresser. Non loin d'elle la femme reprend du poil de la bête, elle se désaccouple de l'homme, se met sur la pointe des pieds et en saisissant sa bite gluante, la dirige vers son anus. Elle se laisse tomber de tout son poids, en poussant un long gémissement. Empalée jusqu'aux couilles, la femme fait l'ascenseur sur la bite de son enculeur.
Marion mouille comme une fontaine, timidement, elle pose sa main sur sa cuisse et lentement la glisse sous sa jupe légère. Elle ouvre doucement les jambes, sa main avance lentement vers son volcan en fusion. Avec deux doigts, elle appuie sur la fente. Le fin tissu s'enfonce entre les grandes lèvres, en les moulant parfaitement. Ses doigts montent et descendent dans le sillon de chair, en la faisant mouiller atrocement. Elle se pince les lèvres, en serrant les dents pour ne pas gémir.
Soudain, son voisin lui saisit la main et la pose sur sa verge dure comme du bois. Marion a un geste de recule, mais l'homme replace sa main sur sa queue et en la tenant fermement, il commence un doux branlage. Marion se met à trembler, l'homme lâche sa main. Inconsciemment, Marion continue de branler la chose dressée comme un mat. Elle sent dans sa main, le sang battre dans les grosses veines apparentes de la hampe épaisse. Sans savoir pourquoi, elle presse de temps en temps la verge large. l'homme lui murmure :
-C'est bien continue, c'est bon oui continue, continue !
Marion agite la bite sans la quitter des yeux, à chaque descente de son poignet, elle décalotte le gland marbré, qui semble redoutable. l'homme gémit, il marmonne :
-Oh putain ce que c'est bon , suce-moi, suce-moi, maintenant !
Marion cesse d'agiter le membre, elle le regarde longuement, puis se penche, avance sa bouche vers le mat, et donne quelques coups de langue bien ajustées sur le gland. Elle prend une grand easpiration, et le gobe. l'homme sursaute, Marion suce et tète sans se poser de question. L'inconnu lui dit :
-Oh la vache, tu es la meilleur, de toutes les salopes qui m'ont sucées, ouah tu es bonne, triture-moi les couilles en même temps, tu vas être récompensée ma salope, oh comme c'est bon !
Soudain, une main vient de se glisser sous sa jupe et se plaque contre sa chatte en ébullition. Marion délaisse un instant la bite de l'homme et se tourne pour voir, qui la caresse. C'est une femme qui c'est assise à côté d'elle, et sans faire de chichi lui caresse la chatte. L'homme saisit les cheveux de Marion et lui demande de continuer ce qu'elle a commencée. Marion reprend en bouche le gland et le dévore. Les doigts de la femme sont agiles, ils glissent sur sa fente au travers de la culotte. La femme n'est pas satisfaite du resultat. De son autre main, elle écarte le tissu, pour offrir à ses autres doigts la perle magique, qui ne cesse de gonflée.
Marion tout en suçant le gland, triture les bourses velues de l'homme. Elle les presse fortement de temps en temps. l'homme pousse des gémissements en grimaçant, il répète :
-Putain ce que tu es bonne, oh la vache je vais décharger !
Une décharge puissante remplit la bouche de Marion, l'homme lui dit en se cabrant :
-Avale, avale, soit une bonne salope !
Marion repousse l'éjaculateur, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. la femme lui saisit le clito lui dit :
-Il t'a dit d'avaler, avale, avale, c'est délicieux le sperme, je sens que tu es une sacrée salope, et que tu vas te régaler allez, allez avale !
les yeux embués, Marion déglutie peu à peu, la fabuleuse décharge de sperme, jusqu'à la dernière goutte. la femme souriante lui dit :
-Tu vois, j'avais raison, tu es une grosse salope, maintenant je vais te faire jouir comme une dingue, avance plus sur le bord du fauteuil. Comme un automate Marion glisse sur le bord du fauteuil, la femme lui arrache brutalement la culotte et la lui passe sous le nez et dit :
-Hume comme tu sens l'amour, suce t'a mouille salope, goutte comme elle est bonne!
Peu à peu la femme lui enfonce la culotte dans la bouche. Marion suce le tissu détrempé, sans rechigner. Enfin la femme jette sur le sol la culotte et ouvre les jambes de Marion, qui se cambre lorsque l'inconnue, lui saisit le clito et l'agite furieusement. L'homme reste la verge hors du pantalon, il regarde les quelques perles qui s'échappent du gland. Il presse la hampe, pour la vider de la substance visqueuse qu'elle cache encore. Marion se tend comme un arc, la femme en lui branlant le clito, en profite pour l'écraser plusieurs fois de suite. Marion grimace à chaque pression sur sa perle très gonflée. l'homme agit, lui dégrafe le corsage et baisse le soutien gorge, pour libérer les seins du carcan de tissu. Il joue avec ses mamelons, les agace pour les faire grossir au maximum.
Marion semble délirer, elle rejette sa tête en arrière et en soufflant comme un bœuf dit :
-Vous êtes des démons, mon Dieu, je vais jouir !
Elle se cambre fortement, et en gémissant, explose. la femme en profite pour lui massacrer le clito, l'effet est immédiat, une seconde jouissance fait cabrer Marion, qui se mord la main pour ne pas hurler. Elle repousse la femme et le peloteur, qui lui sourient. l'homme lui dit :
-Tu viens souvent ici te faire exploser ?
Marion en béguant, répond :
-Non, non, c'est la première fois, je me suis réfugiée ici à cause de l'orage, mais c'est un lieu de débauche ce cinéma !
la femme en souriant lui répond :
-Eh oui, ici c'est le cul qui prime, et non le film, si tu veux avoir une autre jouissance, Chevauche Paul, regarde comme sa queue est belle, et bien grosse, dis que tu l'as veux dans le ventre !
Marion est comme sonnée, elle ravale sa salive, et regarde le manche dressé, sans répondre. les deux complices se connaissent, la femme dit en souriant :
-Oui, Paul est mon mari, ici nous rencontrons toutes sortes de dérives sexuelles, nous on est friands de ce genre de délires. vas-y empale-toi sur sa bonne queue, fais toi plaisir, ne fais pas tant de chichi, tu meurs d'envie, de te faire forer la chatte, avoue-le salope !
La femme insiste tellement que Marion sans cesser, de regarder la bite tendue, pousse un gros soupir, puis enjambe l'inconnu, et s'accroche à son cou. C'est la femme qui dirige la bite de son mari vers le nid douillé. Marion descend lentement son corps, le gland appuie sur ses grandes lèvres en les ouvrant, lentement la verge puissante s'engage dans son conduit brulant, elle grimace. Une fois empalée jusqu'aux couilles, elle commence à s'agiter. La femme l'encourage :
-Monte et descend sur sa queue, ma chérie, descend à fond empale-toi jusqu'aux couilles à chaque descente !
La femme lui caresse les fesses, ses doigts glissent dans le large sillon charnu, taquinent la pastille brune. Un doigt tourne sur l'anus un moment, avant de disparaitre entièrement dans le rectum. Marion pousse un gémissement lors de la pénétration digitale. Elle agite son bassin, en faisant l'ascenseur sur la verge dressée. La coquine en faisant se mouvement, se sodomise elle même avec le doigts de la femme, qui planté dans son rectum. La femme sourit et marmonne :
-Paul, nous avons trouvés la perle rare, elle aime le sexe la cochonne !
la vitesse augmente, Marion geint comme un animal, elle serre les dents sa jouissance n'est pas loin. Elle reçoit dans son ventre un flot tiède de sperme, qui lui offre l'homme en grognant comme un fauve.
Marion veut jouir, elle s'agite comme une forcenée sur le pieu qui va la fait exploser. Elle pousse un cri, et jouit comme une damnée, elle se laisse retomber sur le torse de son amant inconnu, en haletant. La femme retire son doigts et en souriant dit :
-Paul, cette femme mérite mieux, proposons lui de venir à la maison !
Paul invite Marion, elle se redresse en disant :
-Mais je suis mariée, et mon mari m'attend surement !
La femme lui demande :
-Tu vas lui dire, que tu t'es fait trinquée dans un cinéma, par un inconnu et doigtée le cul par sa femme !
Marion sursaute et répond avec des trémolos dans la voix :
-Oh non surement pas, je n'oserai jamais lui avouer se dérapage. Il me prendrait pour une pute !
La femme dit :
-Mais ce que tu viens de faire, est digne d'une pute, aller viens chez nous t'éclater !
Marion en se rajustant et en enfilant sa culotte, répond :
-Non merci, j'ai assez fait de conneries aujourd'hui !
Elle sort du cinéma en marmonnant. Elle rejoint son mari au mas, Le restant de la journée, elle est nerveuse. Elle passe un nuit très agitée, son réveil laisse des traces sur son visage, traits tirés, yeux cernés. Elle prend place à table devant le petit déjeuner que son mari a préparer avec amour. Elle repousse son bol et dit :
-Mon chéri, je ne peux plus me taire, il faut que je t'avoue, que j'ai fait l'amour avec un couple dans un cinéma. Je ne sais pas ce qui c'est passé dans ma tête, mais je m'en veux, oh comme je regrette ce moment d'égarement !
Justin, son mari se cabre et répond :
-Tu m'as fait cocu, je n'ose le croire, tu me fais marcher là !
les yeux de Marion, s'emplissent de larmes, elle répond :
-C'est sérieux Justin, je t'ai trompé !
Justin reste un moment sans voix, puis réagit :
-J'espère que tu as pris ton pied, salope, et qu'il t'a bien remplit le ventre de sperme ce salaud, et sa vieille t'a bien branlée je suppose !
Marion est comme tétanisée, elle dit en bafouillant :
-Oui, oui, j'ai joui comme une dingue, je l'avoue, je suis damnée, je te demande pardon mon chéri !
Les yeux de Justin s'écarquillent, il se pince les lèvres et dit :
-Si je te le demande, tu serai prête à recommencer ?
Marion, semble ne pas comprendre, elle fronce les sourcils et demande :
-Tu veux que je retrouve ses personnes pour me donner à eux encore une fois ?
Justin en ravalant sa salive réplique :
-Oui, c'est ce que je demande, que tu baises encore avec eux !
Marion est complétement déstabilisée, elle dit en béguant :
-Si je comprends bien c'est ta vengeance !
Justin en souriant réplique :
-Eh bien j'avoue que oui, tu ne peux pas savoir comment cette idée m'excite, regarde je commence à bander, je me sens une âme de voyeur !
Marion s'essuie les yeux d'un revers de la main, et répond en reniflant fortement :
-Si c'est le seul moyen pour que tu me pardonnes, j'accepte mon chérie !
Justin en souriant, baisse son short et exhibe sa queue tendue, il dit en souriant :
-Viens faire une petite gâterie à ton mari chéri, petite salope, ne le laisse pas dans cet état !
Marion se lève, et s'approche de son mari. Elle s'agenouille face à lui et lui saisit la verge. la coquine est soulagée d'avoir tout racontée à son mari, et qu'il le prenne pas trop mal. Elle commence à branler énergiquement le membre raide. Le jugeant assez dur, elle le décalotte et l'observe un instant, avant de donner quelques coups de langue dessus. Justin est aux anges, il reconnait l'efficacité de la langue de sa femme, et surtout sa bouche lorsqu'elle gobe l'engin et qu'elle le suce jusqu'à ce qu'il explose dans sa bouche. Après avoir avalée la semence, Marion se dirige vers la salle de bain. Après le déjeuner, son mari lui demande retirer ses sous-vêtements, et de retourner, en sa compagnie au cinéma louche.
Une fois à l'intérieur, les yeux de Marion cherchent ses amants. Coup de chance, il sont assis côte à côte, faute de candidats. Sa femme lui suce la bite voracement, lui ne quitte pas des yeux le film porno qui défile sur l'écran. Justin parle à l'oreille de Marion, elle s'approche du couple, repousse la tête de la femme et monte à califourchon sur Paul, elle saisit sa bite et s'empale dessus en poussant un gémissement. Paul est émerveillé de revoir Marion et surtout, il la baise encore une fois. La femme en souriant dit :
-Tiens tu es revenue la bite de mon mari te manquait tant que cela, salope !
Justin prend place près de la femme, les deux se regardent longuement. La femme pose sa main sur la bosse qui déforme le pantalon. Habilement elle extirpe la bite du pantalon et commence à la branler.
Marion s'agite comme une forcenée, la coquine cherche à jouir. Soudain, elle pousse un gémissement plus fort que les autres et explose. Elle s'accroche au cou de son amant en haletant. Paul donne des coups de reins violents, comme pour lui déchirer les entrailles. Il se raidit est envoie la sauce dans le ventre de Marion, qui en recevant la crème dans son ventre, pousse un long râle.
La femme vorace, suce et tète la bite de Justin, avec acharnement, jusqu'à ce qu'il lui remplisse la bouche de son sperme. Une fois qu'elle à tout avalée, elle dit :
-Allons chez-nous, c'est plus confortable, mes chéris !
Justin regarde Marion, il lui fait un signe de tête s'approbation.
Soudain des gémissements, la font sursauter, sur l'écran un couple en plein action se donne beaucoup de plaisir. La femme prise en levrette, gémit fortement en se cramponnant au canapé. Marion se cabre, lorsqu'un second acteur entre en scène, et offre à la femme sa bite gorgée de sang. la femme suce et tète en grognant, la verge raide de son partenaire.
Un peu honteuse, Marion s'enfonce dans son fauteuil. Un homme se place juste à côté d'elle, les deux échangent un sourire. Au bout d'un instant, l'homme extirpe de son pantalon sa bite tendue, sans se soucier de Marion, il l'agite fermement.
Marion, ne sait plus ou regarder, elle ravale sa salive et fixe l'écran, en donnant de temps en temps un coup d'œil vers son voisin, qui s'acharne sur sa queue en grimaçant.
les scènes sur l'écran défilent, les positions varient. La femme est prise en double, par les deux hommes qui semblent ne pas la ménager. La chatte de Marion commence à fuir, sa culotte s'humidifie, elle serre les cuisses pour retenir le jus qui s'échappe de sa chatte en feu. Dans la salle, un cri se fait entendre. La femme qui chevauchait son partenaire vient de jouir, elle se cramponne à son amant en geignant terriblement. Une autre voix resonne :
-Avale, salope avale !
La fellatrice, reçoit dans sa bouche un flot de sperme, que son partenaire lui envoie. la femme avale la semence. Les yeux de Marion sont braqués sur la verge de l'homme, qui dit :
-Suce encore salope, tu n'arrêteras que lorsque je te le dirais, oh putain ce que tu es bonne, continue, continue.
les yeux de Marion ne savent ou se poser, l'écran semble ne plus l'intéresser. Non loin d'elle la femme reprend du poil de la bête, elle se désaccouple de l'homme, se met sur la pointe des pieds et en saisissant sa bite gluante, la dirige vers son anus. Elle se laisse tomber de tout son poids, en poussant un long gémissement. Empalée jusqu'aux couilles, la femme fait l'ascenseur sur la bite de son enculeur.
Marion mouille comme une fontaine, timidement, elle pose sa main sur sa cuisse et lentement la glisse sous sa jupe légère. Elle ouvre doucement les jambes, sa main avance lentement vers son volcan en fusion. Avec deux doigts, elle appuie sur la fente. Le fin tissu s'enfonce entre les grandes lèvres, en les moulant parfaitement. Ses doigts montent et descendent dans le sillon de chair, en la faisant mouiller atrocement. Elle se pince les lèvres, en serrant les dents pour ne pas gémir.
Soudain, son voisin lui saisit la main et la pose sur sa verge dure comme du bois. Marion a un geste de recule, mais l'homme replace sa main sur sa queue et en la tenant fermement, il commence un doux branlage. Marion se met à trembler, l'homme lâche sa main. Inconsciemment, Marion continue de branler la chose dressée comme un mat. Elle sent dans sa main, le sang battre dans les grosses veines apparentes de la hampe épaisse. Sans savoir pourquoi, elle presse de temps en temps la verge large. l'homme lui murmure :
-C'est bien continue, c'est bon oui continue, continue !
Marion agite la bite sans la quitter des yeux, à chaque descente de son poignet, elle décalotte le gland marbré, qui semble redoutable. l'homme gémit, il marmonne :
-Oh putain ce que c'est bon , suce-moi, suce-moi, maintenant !
Marion cesse d'agiter le membre, elle le regarde longuement, puis se penche, avance sa bouche vers le mat, et donne quelques coups de langue bien ajustées sur le gland. Elle prend une grand easpiration, et le gobe. l'homme sursaute, Marion suce et tète sans se poser de question. L'inconnu lui dit :
-Oh la vache, tu es la meilleur, de toutes les salopes qui m'ont sucées, ouah tu es bonne, triture-moi les couilles en même temps, tu vas être récompensée ma salope, oh comme c'est bon !
Soudain, une main vient de se glisser sous sa jupe et se plaque contre sa chatte en ébullition. Marion délaisse un instant la bite de l'homme et se tourne pour voir, qui la caresse. C'est une femme qui c'est assise à côté d'elle, et sans faire de chichi lui caresse la chatte. L'homme saisit les cheveux de Marion et lui demande de continuer ce qu'elle a commencée. Marion reprend en bouche le gland et le dévore. Les doigts de la femme sont agiles, ils glissent sur sa fente au travers de la culotte. La femme n'est pas satisfaite du resultat. De son autre main, elle écarte le tissu, pour offrir à ses autres doigts la perle magique, qui ne cesse de gonflée.
Marion tout en suçant le gland, triture les bourses velues de l'homme. Elle les presse fortement de temps en temps. l'homme pousse des gémissements en grimaçant, il répète :
-Putain ce que tu es bonne, oh la vache je vais décharger !
Une décharge puissante remplit la bouche de Marion, l'homme lui dit en se cabrant :
-Avale, avale, soit une bonne salope !
Marion repousse l'éjaculateur, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. la femme lui saisit le clito lui dit :
-Il t'a dit d'avaler, avale, avale, c'est délicieux le sperme, je sens que tu es une sacrée salope, et que tu vas te régaler allez, allez avale !
les yeux embués, Marion déglutie peu à peu, la fabuleuse décharge de sperme, jusqu'à la dernière goutte. la femme souriante lui dit :
-Tu vois, j'avais raison, tu es une grosse salope, maintenant je vais te faire jouir comme une dingue, avance plus sur le bord du fauteuil. Comme un automate Marion glisse sur le bord du fauteuil, la femme lui arrache brutalement la culotte et la lui passe sous le nez et dit :
-Hume comme tu sens l'amour, suce t'a mouille salope, goutte comme elle est bonne!
Peu à peu la femme lui enfonce la culotte dans la bouche. Marion suce le tissu détrempé, sans rechigner. Enfin la femme jette sur le sol la culotte et ouvre les jambes de Marion, qui se cambre lorsque l'inconnue, lui saisit le clito et l'agite furieusement. L'homme reste la verge hors du pantalon, il regarde les quelques perles qui s'échappent du gland. Il presse la hampe, pour la vider de la substance visqueuse qu'elle cache encore. Marion se tend comme un arc, la femme en lui branlant le clito, en profite pour l'écraser plusieurs fois de suite. Marion grimace à chaque pression sur sa perle très gonflée. l'homme agit, lui dégrafe le corsage et baisse le soutien gorge, pour libérer les seins du carcan de tissu. Il joue avec ses mamelons, les agace pour les faire grossir au maximum.
Marion semble délirer, elle rejette sa tête en arrière et en soufflant comme un bœuf dit :
-Vous êtes des démons, mon Dieu, je vais jouir !
Elle se cambre fortement, et en gémissant, explose. la femme en profite pour lui massacrer le clito, l'effet est immédiat, une seconde jouissance fait cabrer Marion, qui se mord la main pour ne pas hurler. Elle repousse la femme et le peloteur, qui lui sourient. l'homme lui dit :
-Tu viens souvent ici te faire exploser ?
Marion en béguant, répond :
-Non, non, c'est la première fois, je me suis réfugiée ici à cause de l'orage, mais c'est un lieu de débauche ce cinéma !
la femme en souriant lui répond :
-Eh oui, ici c'est le cul qui prime, et non le film, si tu veux avoir une autre jouissance, Chevauche Paul, regarde comme sa queue est belle, et bien grosse, dis que tu l'as veux dans le ventre !
Marion est comme sonnée, elle ravale sa salive, et regarde le manche dressé, sans répondre. les deux complices se connaissent, la femme dit en souriant :
-Oui, Paul est mon mari, ici nous rencontrons toutes sortes de dérives sexuelles, nous on est friands de ce genre de délires. vas-y empale-toi sur sa bonne queue, fais toi plaisir, ne fais pas tant de chichi, tu meurs d'envie, de te faire forer la chatte, avoue-le salope !
La femme insiste tellement que Marion sans cesser, de regarder la bite tendue, pousse un gros soupir, puis enjambe l'inconnu, et s'accroche à son cou. C'est la femme qui dirige la bite de son mari vers le nid douillé. Marion descend lentement son corps, le gland appuie sur ses grandes lèvres en les ouvrant, lentement la verge puissante s'engage dans son conduit brulant, elle grimace. Une fois empalée jusqu'aux couilles, elle commence à s'agiter. La femme l'encourage :
-Monte et descend sur sa queue, ma chérie, descend à fond empale-toi jusqu'aux couilles à chaque descente !
La femme lui caresse les fesses, ses doigts glissent dans le large sillon charnu, taquinent la pastille brune. Un doigt tourne sur l'anus un moment, avant de disparaitre entièrement dans le rectum. Marion pousse un gémissement lors de la pénétration digitale. Elle agite son bassin, en faisant l'ascenseur sur la verge dressée. La coquine en faisant se mouvement, se sodomise elle même avec le doigts de la femme, qui planté dans son rectum. La femme sourit et marmonne :
-Paul, nous avons trouvés la perle rare, elle aime le sexe la cochonne !
la vitesse augmente, Marion geint comme un animal, elle serre les dents sa jouissance n'est pas loin. Elle reçoit dans son ventre un flot tiède de sperme, qui lui offre l'homme en grognant comme un fauve.
Marion veut jouir, elle s'agite comme une forcenée sur le pieu qui va la fait exploser. Elle pousse un cri, et jouit comme une damnée, elle se laisse retomber sur le torse de son amant inconnu, en haletant. La femme retire son doigts et en souriant dit :
-Paul, cette femme mérite mieux, proposons lui de venir à la maison !
Paul invite Marion, elle se redresse en disant :
-Mais je suis mariée, et mon mari m'attend surement !
La femme lui demande :
-Tu vas lui dire, que tu t'es fait trinquée dans un cinéma, par un inconnu et doigtée le cul par sa femme !
Marion sursaute et répond avec des trémolos dans la voix :
-Oh non surement pas, je n'oserai jamais lui avouer se dérapage. Il me prendrait pour une pute !
La femme dit :
-Mais ce que tu viens de faire, est digne d'une pute, aller viens chez nous t'éclater !
Marion en se rajustant et en enfilant sa culotte, répond :
-Non merci, j'ai assez fait de conneries aujourd'hui !
Elle sort du cinéma en marmonnant. Elle rejoint son mari au mas, Le restant de la journée, elle est nerveuse. Elle passe un nuit très agitée, son réveil laisse des traces sur son visage, traits tirés, yeux cernés. Elle prend place à table devant le petit déjeuner que son mari a préparer avec amour. Elle repousse son bol et dit :
-Mon chéri, je ne peux plus me taire, il faut que je t'avoue, que j'ai fait l'amour avec un couple dans un cinéma. Je ne sais pas ce qui c'est passé dans ma tête, mais je m'en veux, oh comme je regrette ce moment d'égarement !
Justin, son mari se cabre et répond :
-Tu m'as fait cocu, je n'ose le croire, tu me fais marcher là !
les yeux de Marion, s'emplissent de larmes, elle répond :
-C'est sérieux Justin, je t'ai trompé !
Justin reste un moment sans voix, puis réagit :
-J'espère que tu as pris ton pied, salope, et qu'il t'a bien remplit le ventre de sperme ce salaud, et sa vieille t'a bien branlée je suppose !
Marion est comme tétanisée, elle dit en bafouillant :
-Oui, oui, j'ai joui comme une dingue, je l'avoue, je suis damnée, je te demande pardon mon chéri !
Les yeux de Justin s'écarquillent, il se pince les lèvres et dit :
-Si je te le demande, tu serai prête à recommencer ?
Marion, semble ne pas comprendre, elle fronce les sourcils et demande :
-Tu veux que je retrouve ses personnes pour me donner à eux encore une fois ?
Justin en ravalant sa salive réplique :
-Oui, c'est ce que je demande, que tu baises encore avec eux !
Marion est complétement déstabilisée, elle dit en béguant :
-Si je comprends bien c'est ta vengeance !
Justin en souriant réplique :
-Eh bien j'avoue que oui, tu ne peux pas savoir comment cette idée m'excite, regarde je commence à bander, je me sens une âme de voyeur !
Marion s'essuie les yeux d'un revers de la main, et répond en reniflant fortement :
-Si c'est le seul moyen pour que tu me pardonnes, j'accepte mon chérie !
Justin en souriant, baisse son short et exhibe sa queue tendue, il dit en souriant :
-Viens faire une petite gâterie à ton mari chéri, petite salope, ne le laisse pas dans cet état !
Marion se lève, et s'approche de son mari. Elle s'agenouille face à lui et lui saisit la verge. la coquine est soulagée d'avoir tout racontée à son mari, et qu'il le prenne pas trop mal. Elle commence à branler énergiquement le membre raide. Le jugeant assez dur, elle le décalotte et l'observe un instant, avant de donner quelques coups de langue dessus. Justin est aux anges, il reconnait l'efficacité de la langue de sa femme, et surtout sa bouche lorsqu'elle gobe l'engin et qu'elle le suce jusqu'à ce qu'il explose dans sa bouche. Après avoir avalée la semence, Marion se dirige vers la salle de bain. Après le déjeuner, son mari lui demande retirer ses sous-vêtements, et de retourner, en sa compagnie au cinéma louche.
Une fois à l'intérieur, les yeux de Marion cherchent ses amants. Coup de chance, il sont assis côte à côte, faute de candidats. Sa femme lui suce la bite voracement, lui ne quitte pas des yeux le film porno qui défile sur l'écran. Justin parle à l'oreille de Marion, elle s'approche du couple, repousse la tête de la femme et monte à califourchon sur Paul, elle saisit sa bite et s'empale dessus en poussant un gémissement. Paul est émerveillé de revoir Marion et surtout, il la baise encore une fois. La femme en souriant dit :
-Tiens tu es revenue la bite de mon mari te manquait tant que cela, salope !
Justin prend place près de la femme, les deux se regardent longuement. La femme pose sa main sur la bosse qui déforme le pantalon. Habilement elle extirpe la bite du pantalon et commence à la branler.
Marion s'agite comme une forcenée, la coquine cherche à jouir. Soudain, elle pousse un gémissement plus fort que les autres et explose. Elle s'accroche au cou de son amant en haletant. Paul donne des coups de reins violents, comme pour lui déchirer les entrailles. Il se raidit est envoie la sauce dans le ventre de Marion, qui en recevant la crème dans son ventre, pousse un long râle.
La femme vorace, suce et tète la bite de Justin, avec acharnement, jusqu'à ce qu'il lui remplisse la bouche de son sperme. Une fois qu'elle à tout avalée, elle dit :
-Allons chez-nous, c'est plus confortable, mes chéris !
Justin regarde Marion, il lui fait un signe de tête s'approbation.
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