Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. On l’appelle : Papy Christophe. 7
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. On l’appelle : Papy Christophe. 7
Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno.
On l’appelle : Papy Christophe.
Je prends maintenant sa tête à pleines mains pour pouvoir mieux appuyer sa fouille buccale, libérant d’importants bruits de succion qui rendent la scène encore plus perverse et torride. Je lâche un premier râle de plaisir, aidant sa fouille en appuyant fermement son visage contre ma vulve.
- Oh oui Papy, oui… suce-moi… ouiiii…
Soudain, je me laisse jouir comme une vraie trainée, saisissant de nouveau les deux verges dressées à portée de main en abreuvant Papy d’une cyprine abondante, comme si je ne voulais pas tomber de plaisir, impudique et perverse.
Suite :
Les regardant à tour de rôle dans les yeux, je laisse la vague de plaisir me démolir les reins, le ventre, les seins et le visage, leur faisant presque croire que la jouissance est douleur ou vice versa. Je branle mes cousins mais Jules ne met que deux minutes avant de me graisser la main, Bruno tient quelques minutes de plus et des jets de foutre plus fournis crépissent mon visage de flocons blanchâtres. Deux claques sur mes fesses me ramènent à la réalité. Je rechigne à bouger mais doit suivre le mouvement. J’ai la chatte en feu et le manège des doigts de Papy ne fait rien pour y remédier.
Après avoir fait un tour de manège complet, ça y est, c’est fini, Papy nous repousse et se lève du canapé. Bien que nous ayons toutes les quatre essayées de le faire jouir pendant une quarantaine de minutes, aucune n’y est parvenu et son épée est toujours tendue, son jonc est toujours aussi vigoureux. Il nous ordonne de nous serrer l’une contre l’autre, à genoux devant lui.
-Je vous laisse la main, ou plutôt la bouche pour me faire jouir, garder les bras dans le dos ou ailleurs, top départ…
C’est à celle qui trouve la meilleure place, la meilleure bouchée. Pendant que l’une goûte ses quetsches, deux autres glissent les lèvres entrouvertes le long de son épi interminable pendant que moi, petite chanceuse, je suis au bon moment au bon endroit en train de gober son gland cramoisi et quelques centimètres de sa verge quand il nous annonce :
-Petites salopes, ça y est, je viens, reprenez votre position de départ, vite ! Aaahhh !
Il prend son chibre de la main droite et le branle quelques secondes avant que sa lance ouvre les vannes. Les quarante minutes de retenu ont chargé le canon au maximum de poudre. Des filaments épais comme une ficelle se suivent les uns après les autres, s’écrasant sur nos visages ou se perdant dans nos bouches ouvertes et gourmandes. La dose est phénoménale, surtout pour un homme plus près de soixante-dix ans que de soixante sous le regard de nos cousins toujours présents, la queue entre les jambes, les yeux ébahis par la prouesse de Papy Christophe. Quel mâle !!! Il débande enfin mais la verge demi-molle est encore largement plus grosse que celle de Bruno, et pour Jules, n’en parlons même-pas…
-Bien les filles, fin de la leçon pour aujourd’hui, révisez bien et entrainez-vous avec Jules et Bruno, car la prochaine fois je passe à la vitesse supérieure. Et là, il sera trop tard pour revenir en arrière, Si vous êtes présentes, ça voudra dire que tout me sera permis, capito ? Et n’oubliez-pas de prendre la pilule...
La parole est à Élisa.
Papy nous a fait languir toute une semaine.
Nous sommes tous autour de la piscine, caleçon pour les garçons, string et topless pour les filles. Papy s’approche nonchalamment, retire son short et s’assoie sur la margelle de la piscine, je remarque un anneau de caoutchouc passé derrière ses bourses et lui demande ce que c’est.
-C’est ce qu’on appelle un cockring, Élisa, je ne suis plus de toute première jeunesse et ça va m’aider à bander plus longtemps et plus fort, j’ai même pris un Viagra car autrement, je n’arriverai pas à vous contenter toutes. Eh les garçons ! A poil et venez me rejoindre sur la margelle pour que les filles aient des glaces à sucer !
Bruno et Jules se regardent puis obéissent à Papy ce qui nous fait donc trois bites pour cinq bouches affamées, déchargeant ainsi Papy qui n’est plus le seul centre d’intérêt. Nous nous mettons donc à l’œuvre, passant de l’un à l’autre régulièrement. Le hasard, ou le vice de mes cousines me fait commencer par Jules. J’ai tôt fait de le faire bander, enfournant la totalité de sa queue dans ma bouche, faisant tourner ma langue sans difficulté autour de son gland, enfonçant mon nez dans les quelques poils pubiens qu’il lui reste puis je passe ensuite à Bruno à la dague déjà dressée. Avant de connaître le chibre de Papy, c’était le plus gros paf qui ait franchi la frontière de mes mâchoires. Il en rendrait plus d’une heureuse, la taille idéale qui répond aux fantasmes des filles. Je m’escrime sur la bête, me biffe les joues avec, l’enfourne jusqu’au fond de ma gorge, variant lenteur et rapidité pour l’amener au bord du précipice sans jamais franchir les derniers centimètres. Eva me pousse, je lâche donc son vit et demande à Léa de me céder la place entre les cuisses de Papy Christophe.
Mes yeux sortent presque de leurs orbites en voyant son mandrin, encore plus gros, plus massif, et quand je le prends en main, d’une dureté ferrugineuse. Le cockring malgré son diamètre qui flotterait sur la verge de Bruno est presque incrusté dans la chair de son braquemard comme un cercle de fer pris dans le tronc d’un arbre qui a continué de croitre. Le sang pulsé par le désir de Papy y reste prisonnier et a pour effet de dilater sa pine aux limites maximum de ce que les corps caverneux peuvent supporter, les veines sont saillantes, grosses comme un stylo et sculptent des routes sinueuses tout au long de la hampe pour engorger aussi le gland qui a pris presque une couleur violette et a quasiment le tiers de la longueur du vit de Jules, c’est dément… Mes deux mains serrées à la base de ce tronc noueux ne sont pas de trop. Malgré mon envie, je ne peux en goûter que la gueule et quelques centimètres, mes deux mains sur la hampe ayant largement la place pour pouvoir le branler.
Je ne sais pas pourquoi mais je fais une drôle de comparaison vu la taille de ces trois chibres, et le pire, c’est que ça correspond presque… Pour Jules et sa biroute, je le compare à une moto de 125 cm3, pour celle de Bruno une 250 cm3 et pour Papy Christophe, une 500 cm3. Avec un peu d’arithmétique, surface d’un cercle, rayon au carré X Py multipliée par la longueur de la verge, j’obtiens la cylindrée que telle Brigitte BARDOT, je vais chevaucher cheveux au vent.
Quand papy nous dit que nous continuerons à l’intérieur, Jules et Bruno ont déjà craché une fois leur gourme avec l’une ou l’autre de mes cousines et ont baissé pavillon, ce qui n’est pas le cas de notre grand-père, étendard toujours au vent.
Après nous avoir fait tirer à la courte-paille l’ordre de passage, il s’étend sur le divan, les jambes et le bassin dans le vide et demande à mes cousins de faire de même. Nous ravivons leur ardeur pour avoir trois mats dressés. J’ai le numéro trois et doit attendre le coup de sifflet que papy tient entre ses lèvres pour enfourcher Jules. Bien que nous soyons assez ouverts, aucun et aucune d’entre nous ne s’est permis d’aller si loin à par le tour de sodomie de Virginie avec mes cousins. La queue fine de Jules glisse sans problème dans ma chatte pendant qu’il m’ausculte, me touche, me tripote les seins, le ventre, les fesses, ses doigts sortent, entrent, me fouillent, me pénètrent l’anus. Mais le pauvre malgré sa première jouissance ne peut plus se retenir après le passage de deux de mes cousines et moi et me graisse le conduit. Je ne sais pas si mes deux cousines restantes arriveront à en tirer encore quelque chose. Coup de sifflet, je m’empresse d’enjamber les cuisses de Bruno, de prendre en main son chibre et de le faire disparaître dans ma foufoune lubrifiée par ma mouille abondante et le sperme de Jules. C’est la plénitude car la cheville de Bruno correspond exactement à ma mortaise, je suis pleine, pleine de son engin. J’ai déjà eu quelques petits copains mais je dois reconnaître qu’il est le mieux monté de tous. Je contracte mes muscles intimes pour lui broyer la pine mais je le soupçonne vu son peu d’empressement et son manque de réaction de tout faire pour penser à autre chose que « La Chose ».
Nouveau coup de sifflet. Après avoir gravi le Puy de Dôme et les Alpes, je suis maintenant au pied de l’Everest. Il va falloir que j’évite l’embolie gazeuse avant d’atteindre le sommet.
Heureusement que je me suis entrainée avec des sommets moins hauts… J’enjambe ses cuisses, papy me fixe du regard. Je prends son mandrin d’une main, je le promène plusieurs fois sur mes grandes lèvres, mes petites lèvres, fait semblant d’introduire son gland dans ma chatte. Putain qu’il est gros !!! Mais quand il faut y aller, il faut y aller… Je me dresse sur mes jambes et doucement, tout doucement plie les genoux. Je m'ouvre à lui, je veux que cet énorme sexe qui entre tout juste dans ma chatte, me transperce et puisse aller encore plus loin au fond de mon utérus. Une fois le gland passé l’ouverture de ma grotte, chaque centimètre de ma matrice doit s’adapter à ce calibre hors-norme. Heureusement que pour la première fois, il nous laisse la main, si je puis dire, nous permettant suivant nos possibilités d’absorber en nous la totalité ou seulement une section plus ou moins importante de ce véritable manche de pioche.
A suivre :
Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.
On l’appelle : Papy Christophe.
Je prends maintenant sa tête à pleines mains pour pouvoir mieux appuyer sa fouille buccale, libérant d’importants bruits de succion qui rendent la scène encore plus perverse et torride. Je lâche un premier râle de plaisir, aidant sa fouille en appuyant fermement son visage contre ma vulve.
- Oh oui Papy, oui… suce-moi… ouiiii…
Soudain, je me laisse jouir comme une vraie trainée, saisissant de nouveau les deux verges dressées à portée de main en abreuvant Papy d’une cyprine abondante, comme si je ne voulais pas tomber de plaisir, impudique et perverse.
Suite :
Les regardant à tour de rôle dans les yeux, je laisse la vague de plaisir me démolir les reins, le ventre, les seins et le visage, leur faisant presque croire que la jouissance est douleur ou vice versa. Je branle mes cousins mais Jules ne met que deux minutes avant de me graisser la main, Bruno tient quelques minutes de plus et des jets de foutre plus fournis crépissent mon visage de flocons blanchâtres. Deux claques sur mes fesses me ramènent à la réalité. Je rechigne à bouger mais doit suivre le mouvement. J’ai la chatte en feu et le manège des doigts de Papy ne fait rien pour y remédier.
Après avoir fait un tour de manège complet, ça y est, c’est fini, Papy nous repousse et se lève du canapé. Bien que nous ayons toutes les quatre essayées de le faire jouir pendant une quarantaine de minutes, aucune n’y est parvenu et son épée est toujours tendue, son jonc est toujours aussi vigoureux. Il nous ordonne de nous serrer l’une contre l’autre, à genoux devant lui.
-Je vous laisse la main, ou plutôt la bouche pour me faire jouir, garder les bras dans le dos ou ailleurs, top départ…
C’est à celle qui trouve la meilleure place, la meilleure bouchée. Pendant que l’une goûte ses quetsches, deux autres glissent les lèvres entrouvertes le long de son épi interminable pendant que moi, petite chanceuse, je suis au bon moment au bon endroit en train de gober son gland cramoisi et quelques centimètres de sa verge quand il nous annonce :
-Petites salopes, ça y est, je viens, reprenez votre position de départ, vite ! Aaahhh !
Il prend son chibre de la main droite et le branle quelques secondes avant que sa lance ouvre les vannes. Les quarante minutes de retenu ont chargé le canon au maximum de poudre. Des filaments épais comme une ficelle se suivent les uns après les autres, s’écrasant sur nos visages ou se perdant dans nos bouches ouvertes et gourmandes. La dose est phénoménale, surtout pour un homme plus près de soixante-dix ans que de soixante sous le regard de nos cousins toujours présents, la queue entre les jambes, les yeux ébahis par la prouesse de Papy Christophe. Quel mâle !!! Il débande enfin mais la verge demi-molle est encore largement plus grosse que celle de Bruno, et pour Jules, n’en parlons même-pas…
-Bien les filles, fin de la leçon pour aujourd’hui, révisez bien et entrainez-vous avec Jules et Bruno, car la prochaine fois je passe à la vitesse supérieure. Et là, il sera trop tard pour revenir en arrière, Si vous êtes présentes, ça voudra dire que tout me sera permis, capito ? Et n’oubliez-pas de prendre la pilule...
La parole est à Élisa.
Papy nous a fait languir toute une semaine.
Nous sommes tous autour de la piscine, caleçon pour les garçons, string et topless pour les filles. Papy s’approche nonchalamment, retire son short et s’assoie sur la margelle de la piscine, je remarque un anneau de caoutchouc passé derrière ses bourses et lui demande ce que c’est.
-C’est ce qu’on appelle un cockring, Élisa, je ne suis plus de toute première jeunesse et ça va m’aider à bander plus longtemps et plus fort, j’ai même pris un Viagra car autrement, je n’arriverai pas à vous contenter toutes. Eh les garçons ! A poil et venez me rejoindre sur la margelle pour que les filles aient des glaces à sucer !
Bruno et Jules se regardent puis obéissent à Papy ce qui nous fait donc trois bites pour cinq bouches affamées, déchargeant ainsi Papy qui n’est plus le seul centre d’intérêt. Nous nous mettons donc à l’œuvre, passant de l’un à l’autre régulièrement. Le hasard, ou le vice de mes cousines me fait commencer par Jules. J’ai tôt fait de le faire bander, enfournant la totalité de sa queue dans ma bouche, faisant tourner ma langue sans difficulté autour de son gland, enfonçant mon nez dans les quelques poils pubiens qu’il lui reste puis je passe ensuite à Bruno à la dague déjà dressée. Avant de connaître le chibre de Papy, c’était le plus gros paf qui ait franchi la frontière de mes mâchoires. Il en rendrait plus d’une heureuse, la taille idéale qui répond aux fantasmes des filles. Je m’escrime sur la bête, me biffe les joues avec, l’enfourne jusqu’au fond de ma gorge, variant lenteur et rapidité pour l’amener au bord du précipice sans jamais franchir les derniers centimètres. Eva me pousse, je lâche donc son vit et demande à Léa de me céder la place entre les cuisses de Papy Christophe.
Mes yeux sortent presque de leurs orbites en voyant son mandrin, encore plus gros, plus massif, et quand je le prends en main, d’une dureté ferrugineuse. Le cockring malgré son diamètre qui flotterait sur la verge de Bruno est presque incrusté dans la chair de son braquemard comme un cercle de fer pris dans le tronc d’un arbre qui a continué de croitre. Le sang pulsé par le désir de Papy y reste prisonnier et a pour effet de dilater sa pine aux limites maximum de ce que les corps caverneux peuvent supporter, les veines sont saillantes, grosses comme un stylo et sculptent des routes sinueuses tout au long de la hampe pour engorger aussi le gland qui a pris presque une couleur violette et a quasiment le tiers de la longueur du vit de Jules, c’est dément… Mes deux mains serrées à la base de ce tronc noueux ne sont pas de trop. Malgré mon envie, je ne peux en goûter que la gueule et quelques centimètres, mes deux mains sur la hampe ayant largement la place pour pouvoir le branler.
Je ne sais pas pourquoi mais je fais une drôle de comparaison vu la taille de ces trois chibres, et le pire, c’est que ça correspond presque… Pour Jules et sa biroute, je le compare à une moto de 125 cm3, pour celle de Bruno une 250 cm3 et pour Papy Christophe, une 500 cm3. Avec un peu d’arithmétique, surface d’un cercle, rayon au carré X Py multipliée par la longueur de la verge, j’obtiens la cylindrée que telle Brigitte BARDOT, je vais chevaucher cheveux au vent.
Quand papy nous dit que nous continuerons à l’intérieur, Jules et Bruno ont déjà craché une fois leur gourme avec l’une ou l’autre de mes cousines et ont baissé pavillon, ce qui n’est pas le cas de notre grand-père, étendard toujours au vent.
Après nous avoir fait tirer à la courte-paille l’ordre de passage, il s’étend sur le divan, les jambes et le bassin dans le vide et demande à mes cousins de faire de même. Nous ravivons leur ardeur pour avoir trois mats dressés. J’ai le numéro trois et doit attendre le coup de sifflet que papy tient entre ses lèvres pour enfourcher Jules. Bien que nous soyons assez ouverts, aucun et aucune d’entre nous ne s’est permis d’aller si loin à par le tour de sodomie de Virginie avec mes cousins. La queue fine de Jules glisse sans problème dans ma chatte pendant qu’il m’ausculte, me touche, me tripote les seins, le ventre, les fesses, ses doigts sortent, entrent, me fouillent, me pénètrent l’anus. Mais le pauvre malgré sa première jouissance ne peut plus se retenir après le passage de deux de mes cousines et moi et me graisse le conduit. Je ne sais pas si mes deux cousines restantes arriveront à en tirer encore quelque chose. Coup de sifflet, je m’empresse d’enjamber les cuisses de Bruno, de prendre en main son chibre et de le faire disparaître dans ma foufoune lubrifiée par ma mouille abondante et le sperme de Jules. C’est la plénitude car la cheville de Bruno correspond exactement à ma mortaise, je suis pleine, pleine de son engin. J’ai déjà eu quelques petits copains mais je dois reconnaître qu’il est le mieux monté de tous. Je contracte mes muscles intimes pour lui broyer la pine mais je le soupçonne vu son peu d’empressement et son manque de réaction de tout faire pour penser à autre chose que « La Chose ».
Nouveau coup de sifflet. Après avoir gravi le Puy de Dôme et les Alpes, je suis maintenant au pied de l’Everest. Il va falloir que j’évite l’embolie gazeuse avant d’atteindre le sommet.
Heureusement que je me suis entrainée avec des sommets moins hauts… J’enjambe ses cuisses, papy me fixe du regard. Je prends son mandrin d’une main, je le promène plusieurs fois sur mes grandes lèvres, mes petites lèvres, fait semblant d’introduire son gland dans ma chatte. Putain qu’il est gros !!! Mais quand il faut y aller, il faut y aller… Je me dresse sur mes jambes et doucement, tout doucement plie les genoux. Je m'ouvre à lui, je veux que cet énorme sexe qui entre tout juste dans ma chatte, me transperce et puisse aller encore plus loin au fond de mon utérus. Une fois le gland passé l’ouverture de ma grotte, chaque centimètre de ma matrice doit s’adapter à ce calibre hors-norme. Heureusement que pour la première fois, il nous laisse la main, si je puis dire, nous permettant suivant nos possibilités d’absorber en nous la totalité ou seulement une section plus ou moins importante de ce véritable manche de pioche.
A suivre :
Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.
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Belle saga
Je bande
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