Clara veuve trop tôt 1 - histoire érotique

Clara, veuve trop tôt, a aujourd'hui cinquante-deux ans. Pour compléter ses fins de mois difficiles, elle loue une chambre d'hôte. Dans le mas qu'elle possède, il y a une petite piscine, ce qui est apprécié par les locataires. Cet été, un jeune couple lui loue la chambre pour les vacances. La cuisine est bonne, le cadre agréable et la maison bien tenue. Elle ne reçoit que des compliments, et cela l'encourage. Enfin, le jeune couple se prénomme Lionel et Aude, enfin ils arrivent. Une fois la chambre attribuée et les bagages posés, ils font le tour du propriétaire. Le verre de bienvenue est apprécié par le couple qui rapidement sympathise avec Clara.

Le premier jour, les deux prennent leurs marques, et visitent les alentours. Le jour suivant, après une balade, ils prennent place au bord de la piscine et se font bronzer. Ils s'embrassent souvent, se caressent en oubliant Clara, qui s'affaire à la cuisine et au ménage. Pour travailler, elle porte une blouse légère dont les boutons du bas ne sont pas fermés. À chacun de ses pas, les pans s'ouvrent, et découvrent une partie non négligeable de ses cuisses. La blouse ajustée moule à la perfection les formes de Clara. L'heure du déjeuner approche, Clara dresse la table sous un olivier. Elle jette un regard vers le couple qui ne cesse de se faire des câlins de plus en plus osés.


Elle cesse de dresser la table et regarde avec intérêt le couple d'amoureux. Lionel a dégrafé le soutien-gorge de sa compagne et lui malaxe délicatement les seins, qui ne sont pas très gros, ils ressemblent à des œufs sur le plat. Il les pétrit, joue avec les mamelons en faisant geindre sa femme de plaisir. Se croyant à l'abri des regards, Aude baisse le maillot de son mari, la verge se détend comme un ressort. Elle la saisit et l'agite, enserrant les dents. Elle ne cesse de regarder la manche qu'elle branle avec énergie, sa bouche est entrouverte, elle passe plusieurs fois sa langue sur ses lèvres. Clara l'entend dire :

— Je vais te bouffer la queue, mon chéri, et boire ton jus !

Aude cesse d'agiter l'engin, le décalotte et le gobe voracement. Des bruits très appuyés de succions se font entendre. Lionel gémit de plaisir, sa femme, bien qu'elle soit jeune, se sert de sa bouche avec art. Clara ravale sa salive, sa vulve se met à suinter, elle serre les cuisses pour tenter d'arrêter vainement le liquide que sa fente rejette.

Dans un gémissement de bête, Lionel se raidit et explose, il remplit la bouche de sa femme avec son sperme épais. Aude le repousse, le regarde un instant puis avale la crème onctueuse. Elle ouvre la bouche et montre à son mari qu'elle a bien tout avalé. Elle l'enlace et l'embrasse fougueusement. Le coquin, a sa main dans la culotte de sa femme qui agite doucement son bassin, son abricot trop mûr, ne peut retenir son jus. Il dessoude ses lèvres de celles de sa femme et dit en souriant :

— Tu es une fontaine, ma chérie, j'adore te voir dans cet état !

 Involontairement, Clara fait du bruit, les deux amants se redressent et rapidement se rajustent. Ils se lèvent et approchent de la table. Aude est rouge pivoine, Lionel fait mine de rien. les deux femmes se regardent longuement avant que Clara ne dise :

-je vais servir l'apéro le repas est prêt !

 Pendant le repas, Aude honteuse, ne cesse de regarder Clara, qui lui répond par des sourires. Au fil des minutes la tension tombe, et les langues se délient. le tutoiement surclasse le vouvoiement. Aude et Lionel pose beaucoup de questions intimes à Clara, qui bien que quelques fois ses souvenirs sont tristes, répond honnêtement. Après le repas, le couple aide à débarrasser. Comme la chaleur est étouffante, Clara sert le café au salon. Aude regarde la démarche féline de Clara, qui évolue dans la pièce, en balançant naturellement son bassin comme une danseuse orientale. Ses fesses emprisonnées dans la blouse très ajustée, met sa croupe en valeur. Aude qui a abusée du rosée, dérape :

-Ton mari ne devait pas s'ennuyer avec un cul pareil Clara, il devait te faire grimper aux rideaux avoue !

Clara surprise par les propos d'Aude répond :

-C'était un amant merveilleux, mais je préfère ne pas en parler !


Après le café, le couple se dirige vers la piscine et reprend ce qu'il avait cessé de faire. De la fenêtre entrouverte de la cuisine, Clara les voit faire se caresser, s'embrasser. Le couple devient plus audacieux, Aude extirpe du maillot de son mari sa verge, l'agite énergiquement. Ses yeux pétillent comme du champagne, puis lestement, elle enjambe son mari et écarte d'une main sa culotte et s'empale brutalement sur sa queue épaisse, en pleine érection. Elle s'agite férocement en marmonnant :

– Comme j'aime ta queue, mon chéri, je la sens bien en moi, vas-y, donne-moi ta semence, je la veux toute dans ma chatte !

De son poste d'observation, Clara voit nettement la verge entrer et ressortir du ventre de la demandeuse. Sa chatte se met en ébullition, sa culotte s'humidifie vitesse grand V. Un hurlement la fait sursauter, Aude vient de jouir, elle s'accroche à son mari en continuant d'agiter son bassin. Elle se cabre davantage lorsque Lionel lui remplit le ventre de sperme :

– Oh, c'est trop bon, mon chéri, donne, donne, ton jus !

Clara pousse de gros soupirs, Aude tourne la tête et l'aperçoit à la fenêtre, cela la fait sourire, mais elle ne dit rien. Au contraire, cela semble l'exciter davantage, elle continue de faire l'ascenseur avec son corps, en ne quittant pas des yeux Clara. Son visage est déformé par un rictus affreux, elle grogne de plaisir, une nouvelle jouissance la fait hurler, elle se plaque contre le torse de son mari en haletant fortement.


Elle jette un dernier coup d'œil vers Clara, qui, honteusement, déglutit bruyamment. Aude se désaccouple, Lionel, pour se calmer, pique une tête dans la piscine. Pendant qu'Aude se dirige vers la cuisine, elle regarde en souriant Clara et lui dit :

— Alors, petite coquine, en fait, la voyeuse ?

Clara, très gênée, répondit en balbutiant :

– C'est, c'est, que j'ai regardé par la fenêtre, machinalement, et que je vous aie vu ?

En souriant et en s'approchant de Clara, Aude vicieusement lui demande :

— Je suis certaine que tu as mouillé comme une grosse salope !

En se raclant la gorge bruyamment, Clara ne peut nier l'évidence. En l'enlaçant, Aude la regarde dans les yeux et lui demande vulgairement :


— Cela fait combien de temps, que tu n'as pas baisé et eu une bonne queue bien épaisse dans le ventre. Il est sûr que chaque nuit, tu te branles, te godes en imaginant des scènes toriques, hein, dis-le !

Clara rougit, il est exact que de temps en temps le besoin de jouir se fait ressentir et elle doit se masturber pour combler ce manque d'homme, elle l'avoue en baissant honteusement la tête. Aude en souriant ajoute.

 -Ce soir, je laisserai la porte de ma chambre ouverte, tu pourras nous épier et te branler en nous regardant nous défoncer !

Clara, outrée, sursaute et répond :

— Mais tu es folle, jamais je ne me permettrais de venir vous épier, là j'étais devant la fenêtre, c'était une pure coïncidence !

En déposant un baiser bruyant sur les lèvres de Clara, Aude réplique :

— Réfléchis à ce que je te propose, cela m'exciterait de savoir que tu nous épies ?

Lestement elle lui caresse la croupe quelques secondes avant de disparaitre. Clara hausse les épaules et met ça sur le compte du rosé. Au dîner, Aude ne cesse de regarder Clara, elle lui envoie des œillades à outrance, suivies de sourire malicieux, qui mettent Clara dans l'embarras. C'est mal à l'aise qu'elle sert le repas. Lionel détourne l'attention :

— Clara, et si demain soir, nous allons tous les trois à la fête du village, tu en penses quoi !

Clara répond :

-Cela serait une bonne idée, je suis partante !

Aude applaudit, puis sans cesser de regarder, Clara pose sa main sur le bas-ventre de son mari et lui presse plusieurs fois la verge. Lionel serre les dents et en soupirant dit :

-Clame-toi, ma chérie, nous ne sommes pas seuls, soit patiente !

En regardant Clara, il dit en hochant la tête :

-Elle est insatiable, elle ne pense qu'à ça !

Clara rougit, elle se dit intérieurement qu'elle aimerait être à la place d'Aude pour assouvir son manque de sexe. Après la douche, le couple monte se coucher. Lionel se jette nu sur le lit, il est suivi de sa femme qui discrètement laisse la porte entrouverte dans l'espoir que Clara va oser les épier. Enfin, Clara, après sa douche et avoir enfilé sa nuisette, rejoint sa chambre. Elle se jette brutalement sur son lit et tend l'oreille. Elle entend les gémissements des deux amants. Ses sens se mettent à bouillonner. Elle imagine Aude recevoir la queue puissante de son mari dans le ventre, et cela la fait mouiller. N'y tenant plus, elle se lève et s'approche doucement de la chambre voisine. Effectivement, Aude a laissé la porte entrouverte. Elle la poisse doucement et ce qu'elle voit là fait grincer des dents

Aude pratique sur son mari une fellation affreuse, le bougre agite son bas-ventre en marmonnant :

-Oh putain ce que tu fais bien, ma chérie, laisse-moi te bouffer la chatte, j'en ai trop envie !

Aude se met rapidement sur le dos et écarte largement les cuisses. Elle regarde vers la porte et aperçoit Clara, cela m'excite encore plus. Lionel lui lèche les grandes lèvres avant de lui enfoncer sa langue profondément dans le vagin. Aude se cabre, sa chatte est en ébullition, elle agite son bassin en grognant de plaisir, sous les coups de langue de son mari vorace.


Lorsqu'il lui aspire le clito, elle se tend comme un arc et explose de puissance. La voyeuse Clara passe sa main sous sa nuisette et se maltraite le clitoris, sans quitter des yeux le couple en action. Lionel se redresse et enfonce sa verge dure comme du béton dans le ventre de sa femme qui rugit comme un fauve. Les coups de reins sont fougueux et profonds, chaque coup de bélier, ses couilles frappent la chatte en feu d'Aude qui gémit comme une bête malade. Lionel marmonne :

-Tiens, tiens, prends ça, salope, tu aimes que je te détruise la chatte, hein, ma chérie !

En grognant, Aude répond :

-Oui, oui, ne parle pas tant, défonce-moi comme j'aime, tape fort, tape, tape, mon chéri, oh, c'est trop bon !

Elle reçoit une giclée puissante de sperme dans le ventre avant de jouir à son tour.

Le clitoris de Clara est devenu monstrueux, une violente jouissance la fait cabrer, pour étouffer son gémissement, elle se mord la main jusqu'au sang. Elle rebrousse chemin discrètement sans faire de bruit. Elle se laisse tomber sur son lit.




Elle entend encore les amants gémir, c'est trop fort pour elle. Elle repousse sa nuisette et enfonce trois doigts dans sa chatte détrempée. Elle se fouille en gémissant comme un animal agonisant. Une violente jouissance la fait cabrer. C'est après plusieurs masturbations et jouissances successives qu'elle s'endort, épuisée. Le lendemain matin, pendant qu'elle prépare le petit déjeuner, Aude se glisse derrière elle, l'enlace et lui murmure à l'oreille :

-Je t'ai vu hier soir, avoue que tu t'es branlé comme une grosse salope, moi, je l'avoue, que te sachant là, j'ai joui comme une dingue !

Clara en baissant la tête dit :

-Je n'ai pu m'en empêcher, j'ai honte de moi !


Aude la serre très fort et lui donne plein de baiser sur la nuque et sur le cou avant de prendre place à table. Clara est rouge de honte, Aude la rassure :

-Ma chérie, c'est la nature, il faut jouir pour être bien dans son corps, je crois que tu es en manque, trouve-toi un amant ou une amante !

 Clara relève la tête et demande :

-Une amante ?

En haussant les épaules, Aude réplique :

-Ben oui, une femme, c'est plus doux qu'un homme, et surtout, plus attentive à ce que l'on recherche !

Clara, en fronçant les sourcils, demande :

-Toi tu l'as déjà fait avec une femme ?

En souriant, Aude répond :

-Oui, avant de connaitre Lionel, j'étais en couple avec une femme et je dois dire que par moment, je ressens encore sur mon corps ses caresses. Et toi, ça te tenterait de faire l'amour avec une femme ?

Clara reste muette, et verse le café. Les deux femmes parlent de longues minutes. Clara est stupéfaite des révélations d'Aude, qui lui donne des détails sur sa relation lesbienne. Elle n'en revient pas et reste bouche bée. Lionel a enfin fait son apparition. Aude dit en le regardant :

-Je crois que j'ai sonné Clara, je viens de lui apprendre que j'ai déjà fait l'amour avec une femme !

En souriant, Lionel répond :

-C'est une pratique que certaines femmes adorent, Aude en sait quelque chose. Bon, trêve de plaisanterie, j'ai faim !


Clara sert Lionel et reprend ses occupations. Elle monte sur une chaise pour prendre quelque chose sur un haut buffet. Elle tend les bras, se met sur la pointe des pieds. Ce mouvement fait remonter sa blouse très haut, elle découvre une partie de ses lobes fessiers que la culotte enfoncée entre les lobes charnus ne peut cacher. Aude et Lionel sont émerveillés par les longues jambes dotées de superbes cuisses de Clara. Lorsqu'elle descend de son perchoir, sa blouse s'entrouvre et laisse voir la culotte que porte Clara. Lionel reste sans voix, Aude écarquille mes yeux. Clara se rajuste et commence à éplucher les légumes pour le déjeuner. Les deux ne la quittent pas des yeux, Lionel regarde sa femme en se pinçant les lèvres, elle fait un signe de tête pour dire que Clara est très bien charpentée. Lionel demande :

-Clara, comment se fait-il qu'une femme aussi belle comme toi soit encore seule ?

Elle se redresse et dit en souriant :

-Je n'ai pas encore eu la chance de rencontrer l'oiseau rare !

Aude éclate de rire et réplique :

-Je crois que tu restes terrée dans ton mas, tu sais, ce n'est pas la solution, profite de la vie pendant que tu es désirable et que tu le peux encore !

Clara pousse un gros soupir, elle sait qu'Aude dit vrai. Lionel surenchérit :

— Ce soir à la fête, tu vas trouver l'amour, j'en suis sûr, Clara !

Clara lui répond par un sourire. La journée se passe comme d'habitude pour le couple : balade, visite et piscine. Pour Clara, elle s'affaire aux fourneaux. Très bonne cuisinière, elle taquine les papilles de ses hôtes. Enfin, il est temps de se préparer pour la soirée. Après une douche, Clara passe sur son torse un corsage échancré et une jupe qui lui arrive à mi-cuisses. Comme lui dit Aude :

— Tu es bandante, tu vas faire un malheur ce soir !

Lionel lui siffle d'admiration, en ajoutant :

— Ouah, le morceau, il va y avoir de la bousculade pour t'inviter, tu es magnifique !

Aude, elle aussi, est très sexy, avec sa jupe très courte et son top qui lui emprisonne les seins. Lionel, lui, porte un pantalon serré et une chemise ouverte. Le trio arrive sur la place sur laquelle est dressée une piste de danse. Tout autour sont dressées des tables, sur une estrade, un orchestre donne le tempo. Les couples se forment, immédiatement un homme invite Clara, qui regarde Aude comme pour lui demander la permission. En souriant, elle lui fait un clin d'œil. Les danses se suivent, Clara est très sollicitée. Aude et son mari se frottent sur la piste, en épiant du coin de l'œil Clara. Lionel dit dans le creux de l'oreille de sa femme :

C'est quand même un sacré canon, Clara, tu ne trouves pas, ma chérie ?

En ravalant sa salive, Aude répond :

— Ah, elle donne envie, la coquine, tu as vu ce cul et ses nichons ? Oh la vache, elle me fait envie, pas à toi, mon chéri ?

Lionel répond en poussant un gros soupir :

— Tu parles que je me la mettrai sur le gland, elle est magnifique et d'une gentillesse incroyable, oui, je me la ferai bien !



La danse suivante, c'est Aude qui invite Clara. Elle l'enlace, la serre dans ses bras et l'entraine dans le slow sulfureux. Les corps ondulent au rythme lent de la musique. Les joues sont l'une contre l'autre, les souffles se mêlent. Les bassins se frottent langoureusement. D'une main, Aude caresse doucement la hanche de Clara, et profitant de la lumière tamisée, elle ose lui caresser les fesses. Quelques regards indiscrets se posent sur eux. Clara se raidit en frémissant, Aude devient encore plus audacieuse, elle gobe les lobes de l'oreille de Clara et les suçote lentement. De grands frissons parcoururent le corps de Clara qui déglutit bruyamment. La langue agile glisse très tendrement sur le pavillon de l'oreille avant de faire une rapide incursion dans le conduit. Clara défaille, sa respiration s'accélère, son corps tremble. La danse cesse, en tenant la main de Clara, Aude la reconduit à la table. Clara est rouge comme un coquelicot, ses yeux brillent, ses gestes sont maladroits.



Aude ne cesse de lui sourire, elle s'assoit à côté d'elle, pose sa main sur sa cuisse et la caresse doucement. Lentement, la main passe sous la jupe et lentement atteint l'entrejambe. Comme hypnotisée, Clara se laisse faire, les doigts d'Aude glissent sur la fente qui n'est protégée que par le fin tissu de la culotte. Étrangement, la culotte est humide. Aude se penche sur elle et lui murmure :

— Tu mouilles, ma chérie, j'adore ça !

Clara dit des phrases inaudibles, elle semble hors sol. Les doigts passent de nombreuses fois sur la chatte ruisselante. Profitant de la lumière tamisée, Aude tente d'écarter la culotte de Clara, qui a un geste de défonce, elle repousse la main agressive. Lionel, en tant que voyeur, ne peut contenir une érection qui déforme son pantalon. Clara avale son verre d'un trait, que Lionel remplit immédiatement. Tellement émue, Clara n'a pas la force de parler. Aude lui tient la main, Clara inconsciemment la presse.

 Aude prend ça pour un signal, elle pose sur sa cuisse la main de Clara et avec douceur l'entraine sous sa jupe. Comme un robot, Clara avance sa main, ses doigts entrent en contact avec l'entrejambe d'Aude qui ouvre les cuisses.



Elle aussi a la culotte humide. Les doigts maladroits glissent fébrilement sur la culotte. Aude appuie sur la main de Clara, la plaque sur sa chatte et lui fait faire des mouvements de bas en haut. Machinalement, sans trop savoir ce qu'elle fait, Clara continue d'elle-même le mouvement. Elle retrousse sa jupe sur le haut de ses cuisses pour que Clara puisse œuvrer aisément. Lionel n'en croit pas ses yeux, il assiste au branlage de la chatte de sa femme, sans intervenir. Clara, inconsciemment ou pas, saisit à travers la culotte le clitoris et l'agite doucement sans précipitation. Aude agite lentement son bassin. Soudain, la lumière devient plus vive. Clara, prise de panique, retire sa main et saisit son verre et l'avale. Aude, un peu déçue, rabat sa jupe. Les deux femmes se regardent, Clara honteuse baisse les yeux. Après une série de danses endiablées, la lumière se réduit, cela annonce un slow. Mais rapide comme l'éclair, Lionel invite Clara.

Il l'entraine sur la piste et la serre très fort dans ses bras. Il passe une jambe entre celle de Clara et progressivement la monte, jusqu'à ce que son genou vienne en contact avec la vulve de sa proie.



Clara sursaute, plusieurs fois, Lionel appuie son genou sur la chatte détrempée de Clara. Les deux corps serrés l'un contre l'autre ondulent au rythme de la musique. Lionel bande comme un cerf, Clara ne peut ignorer le manche dur qui lui laboure le ventre. Elle pousse d'innombrables soupirs, elle défaille, elle ne sait plus où elle en est. Plusieurs fois, Lionel cherche ses lèvres, mais habilement, elle esquive le contact. Les mains de l'excité saisissent ses hanches. Le gredin simule un accouplement en donnant de nombreux petits coups de reins. Clara sent le membre épais frapper son bas-ventre, elle se met à trembler comme une feuille. Le manque de sexe la fait soupirer bruyamment, elle déglutit et se surprend à donner, elle aussi, de petits coups de reins. Lionel lui donne plusieurs baisers sur la joue et sur le cou. Soudain, il tire sur les fesses de Clara en se cambrant fortement.

Clara a l'impression que la verge même emprisonnée dans le pantalon de Lionel veut la transpercer. Elle serre les dents sans ne savoir que faire. Heureusement, la lumière devient plus vive, la danse est finie.


Clara boit son verre en tremblant, elle n'ose croiser le regard de Lionel et d'Aude. Après une autre série de danses plus explosives, le slow revient. C'est Aude qui la première invite Clara. La coquine, chauffée à blanc, décide de passer à l'étape supérieure. Elle enlace sa proie, lui donne plusieurs baisers sur le visage, sans omettre les lèvres, que la coquine lèche à plusieurs reprises.

 En frottant outrageusement son bas-ventre contre celui de Clara. Aude pose ses lèvres sur les siennes. Sans savoir pourquoi, Clara accepte le baiser. Les deux restent immobiles sur la piste, les langues se nouent, le baiser, interminable, il ne se termine que lorsqu'un flot de salive est échangé. Clara pose sa tête sur l'épaule d'Aude, elle ne se reconnait plus, elle vient d'embrasser une femme sur la bouche, et cela la rend moite et fébrile. Aude pétille de bonheur, elle ronronne comme une chatte. Elle sait maintenant que Clara ne pourra plus lui résister.

Avant la fin de la danse, un autre baiser langoureux est échangé. Une fois à table, les deux femmes ne cessent de se regarder en échangeant de nombreux sourires. Aude embrasse les mains de Clara qui ne peuvent retenir ses tremblements, les visages se rapprochent. L'autocuiseur va exploser. C'est Lionel qui fait office de soupape, il propose de rentrer. Sur le chemin du retour, Clara, encadrée par ses deux cavaliers, bras dessus, bras dessous, s'approche du mas. Les mains se font baladeuses, de petits rires se font entendre. Aude profite de passer sa main sous la jupe de Clara et de lui caresser les fesses, avant de lui taquiner la chatte. Elle lui murmure en souriant :

— Ma chérie, tu es trempée autant que moi, c'est bon signe, oh comme j'ai envie de toi !

Enfin, ils arrivent au mas.