Clara veuve trop tôt 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 478 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de linsee ont reçu un total de 2 574 288 visites.
Cette histoire de sexe a été affichée 2 706 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Clara veuve trop tôt 2
Une fois à l'intérieur du mas, Aude se rue sur Clara qui, complétement déstabilisée, se raidit. Aude la fait tomber sur le canapé et cherche les lèvres que Clara ne lui refuse pas. Lionel écarquille les yeux, il se dit qu'il va assister à un spectacle inoubliable. Les deux femmes finissent par rouler sur le sol. Sans cesser de s'embrasser, Clara semble se lâcher. Elle caresse la poitrine d'Aude, bien que ses gestes soient maladroits, elle palpe à travers le top les seins qui se raffermissent de plus en plus.
Aude ouvre brusquement le corsage de Clara, malheureusement, le tissu se déchire. Elle s'acharne en faisant des lambeaux. D'un geste rapide, elle dégrafe le soutien-gorge en libérant de leur carcan les seins généreux de Clara, qui giclent comme deux obus. Elle ferme les yeux, lorsque Aude lui malaxe les lobes, en enfonçant ses longs doigts dans les chairs. Elle grimace, mais trouve cela agréable. Depuis le temps que des mains ne lui ont pas pétri les seins, elle se sent revivre. Même que ce soit une femme qui le fasse, cela ne semble pas la traumatiser plus que cela.
Les doigts agiles roulent les mamelons, les écrasent pour les stimuler au maximum, puis les étirent fortement en faisant gémir Clara.
La bouche vorace d'Aude s'acharne sur les mamelons en les faisant épaissir le plus possible. Pendant qu'elle agace les mamelons, d'une main, elle tire sur le zip de la jupe et la fait descendre comme elle peut sur le corps de Clara, qui ne cesse de s'agiter. Au passage, elle accroche la culotte et lui fait suivre le même chemin. En un tour de main, Clara se retrouve nue devant son amante et Lionel qui bande comme un poney. Aude couvre de baisers le corps fébrile de Clara, qui se sent enfin redevenir femme.
La bouche glisse sur sa peau que le soleil au fil des jours a brunie. Elle n'omet aucune parcelle, lèche le nombril, tente de le fouiller, avant d' humer fortement les effluves que rejette la vulve. Elle regarde un instant la chatte aux lèvres bien dessinées, garnie d'une fine toison, puis plaque sa bouche brutalement sur la fente et aspire tout le jus qu'elle lui offre. La langue s'enfonce profondément dans la gaine brûlante pour la fouiller copieusement. Le visage de Clara est expressif, sa bouche est ouverte, une moue affreuse déforme son visage, ses gémissements sont sonores.
Gavée de jus, Aude se redresse, enfonce trois doigts dans le vagin de Clara et le fouille comme une forcenée. La soumise pousse des gémissements presque inhumains. Sa chatte est une fontaine intarissable. Les doigts agiles tournent dans l'antre de Venus, le ramonent violemment en faisant cabrer Clara. Soudain, Aude, pendant que ses doigts s'agitent dans la gaine vaginale, plaque sa bouche sur le clitoris et l'aspire brutalement. Elle le suce, le tète comme une affamée. Le résultat ne se fait pas attendre. Clara se cambre comme un pont, et en hurlant, explose de jouissance. Comme prise d'hystérie, grogne :
— Oui, oui, c'est merveilleux, Aude, Aude, je meurs de plaisir, encore, encore !
Aude n'en peut plus, elle retire rapidement ses vêtements et offre à son amante sa chatte en feu. Clara, bonne élève, apprend vite, elle dévore la chatte de son amante aussi efficacement qu'elle lui a fait. Aude au bord de la jouissance marmonne :
— Oui, oui, ma chérie, fouille-moi bien, oh comme ta langue me fait du bien, vas-y, vas-y, je viens, je viens, Lionel, Lionel, elle est phénoménale cette femme, oh putain, je jouis !
Une violente explosion fait hurler Aude de plaisir. Elle se cabre comme un cheval qui rue en gémissant comme une bête malade. Son corps retombe lourdement sur le sol, elle halète comme une bête malade. Lionel est au bout du rouleau, il retire son pantalon et son slip, sa verge se détend comme un ressort. Clara regarde l'engin avec attention. Cela fait des années qu'elle n'en a pas vu. Cela lui semble redoutable tellement qu'elle est épaisse. Aude la saisit et la décalotte, elle gobe le gland et sous les yeux envieux de Clara le suce comme une vorace. Rapidement, elle le délaisse et dit :
Tiens, ma chérie, fais-toi plaisir, suce-le, bouffe la bite de mon mari, je sais que tu en meurs d'envie, ne te gêne pas, ma chérie, vas-y !
Après un petit temps d'hésitation, Clara saisit délicatement le membre gonflé, le regarde un instant avant de l'engloutir. Sa bouche enveloppe le gland comme un écrin, son diamant. Elle suce et tète comme jamais elle ne l'a fait, elle veut rattraper le temps perdu. Elle savoure le gland comme une friandise. Aude est éblouie par l'ardeur qu'elle met à l'ouvrage. Elle marmonne :
— Suce ma chérie, suce, fais le décharger, gave-toi de son sperme, depuis le temps que tu n'en as pas avalé, cela doit te manquer, avale ma chérie, avale !
La bouche de Clara fait des merveilles, Lionel gémit de plaisir sous chaque aspiration. Il ne peut s'empêcher de dire :
— Oh putain, ce qu'elle suce bien, c'est trop bon !
La langue tourne sur le gland, titille le frein, lape les perles que le méat rejette. Avant de reprendre les succions monstrueuses. Une décharge de sperme brutale vient remplir la bouche de Clara, qui, surprise par la violence de la giclée, repousse Lionel. Elle reste un moment, les lèvres pincées, puis par petites gorgées avale la totalité de la décharge. La liqueur qui glisse lentement dans sa gorge a un goût de miel. Ses yeux brillent de mille feux.
Aude souriante la complimente sur sa performance. La verge de Lionel est secouée de soubresauts incontrôlables. À chaque secousse, une goutte de semence tombe sur le sol.
Aude saisit la verge, elle sent le sang battre dans la hampe, elle donne quelques coups de poignets et la presse pour la vider du reste de semence qu'elle cache. Avec la pointe de sa langue, elle nettoie soigneusement le gland violacé. Clara regarde le manche plein de vie, qu'Aude taquine. Elle semble heureuse de ce qui se passe ce soir. Jamais elle n'aurait imaginé faire l'amour avec une femme. Cette expérience l'a complétement changée. Pour ce qui est de sucer le membre d'un homme, cela faisait des années qu'elle ne l'avait fait. Elle a beaucoup de mal à réaliser ce qu'il lui arrive.
Aude lâche la verge, regarde Clara et dit :
— Lionel, mon chéri, baise Clara, elle en meurt d'envie. Défonce-la bien, mon chéri, elle n'a pas baisé depuis des lustres. Réapprends-lui le plaisir que donne une bonne bite dans le ventre.
Clara regarde Aude, puis Lionel qui s'avance vers elle. Il la bascule doucement sur le canapé. Elle ouvre automatiquement les cuisses. Il prend place entre les cuisses ouvertes et frotte quelques instants son gland contre la vulve dégoulinante, avant de l'enfoncer lentement dans le ventre de Clara qui pousse un long gémissement pendant la pénétration. La verge semble aspirée, elle disparait entièrement dans le ventre de Clara qui s'accroche à son amant en gémissant de plaisir. Le va-et-vient prend de la vitesse. Le gland racle les parois sensibles qu'une queue n'a pas visitée depuis longtemps. Clara grogne comme un animal, elle agite son bassin en marmonnant :
— Oh mon Dieu, comme c'est bon !
Lionel lui ramone la chatte avec de plus en plus de violence, les gémissements de Clara l'encouragent. La gaine enveloppe la verge comme un étui son objet, depuis le temps que Clara ne s'est pas fait défoncer, sa gaine vaginale s'est contractée. C'est très jouissif pour Lionel qui a l'impression de posséder une vierge. Les coups de reins qu'il donne sont puissants et dévastateurs. À chaque pénétration, Clara glisse sur le canapé, en gémissant de plaisir.
Clara agite son bassin, puis d'un coup, se tend comme un arc, une violente brûlure lui traverse le ventre, cambrée fortement avant de retomber lourdement sur le canapé, elle explose de jouissance. Le cri qu'elle pousse fait sursauter Aude qui encourage son mari :
— Bourre-la bien, mon chéri, éclate-la, oh la vache, comme elle jouit fort, démonte-la, démonte-la !
Lionel marmonne entre deux souffles :
— Oh putain, ce qu'elle est bonne, sa chatte aspire ma bite comme une pompe, c'est merveilleux, je vais décharger, oui, oui, ça vient, oh putain, oh putain, Aude, Aude, je vais jouir !
Plusieurs jets successifs remplissent le ventre de Clara, qui, sous la douce chaleur du sperme qui glisse dans son ventre, jouit une seconde fois en s'agrippant à son amant. Aude, excitée comme jamais, veut, elle aussi, profiter de la queue de son mari. Une fois qu'il s'est retiré du ventre de Clara, elle se rue dessus et s'empale en grognant. Elle s'agite comme une hystérique, en bafouillant :
— Lionel, Lionel, défonce-moi comme une pute, fais-moi jouir autant que Clara, oh comme je sens bien ta queue en moi, mon chéri, bourre bien ta grosse pute !
Lionel entre dans le jeu de sa femme et réplique :
— Oui, tu es une pute, une grosse salope, oui, je vais bien t'ouvrir, pouffiasse, donne-moi ton cul, donne-le-moi, je veux t'enculer !
Aude, trop excitée, se désaccouple, saisit la verge de son mari et la dirige vers son anus. Elle s'empale brutalement dessus, le gémissement qu'elle pousse est monstrueux. Lionel doit souvent la sodomiser, car Aude s'agite sur sa queue en marmonnant :
— Oui, oui, encule-moi bien, mon chéri, oh comme c'est bon !
Clara reste scotchée sur la verge, qui ne fait qu'entrer et ressortir de l'anus d'Aude, qui gémit comme une bête en rut. Elle s'agite en exprimant fortement son plaisir. Une violente jouissance la fait hurler, c'est juste à ce moment-là qu'elle reçoit la semence épaisse de son mari dans l'intestin.
Lionel se retire, Clara béate, regarde le trou béant rejeter le surplus de sperme. Aide en haletant, demande avec un langage vulgaire en regardant Clara :
— Ma chérie, tu veux aussi sa bite dans le cul, profite que mon Lionel d'amour est en forme pour te faire enculer, car cela ne durera pas, vas-y, donne-lui ton cul, ma chérie !
Clara reste un instant sans voix, l'invitation est très tentante. Bien que la sodomie ne soit pas son truc favori, elle hésite. Aude insiste avec toujours autant de tact :
— Vas-y, vas-y, soit salope, fais-toi enculer à fond, ma chérie, une bonne bite dans le cul, c'est si bon !
En se pinçant les lèvres, fébrilement, Clara prend la pose. Aude lui écarte les fesses et commence un travail d'assouplissement. Sa langue taquine l'anus, elle tente de le forcer, après plusieurs tentatives, elle réussit à y enfoncer sa langue. Clara pousse un long râle rauque, c'est la première fois qu'une langue pénètre son anus. La sensation est indescriptible, Clara se cambre fortement en gémissant comme une bête blessée. Aude est très douée pour ce genre d'exercice. Clara défaille :
-Aude, Aude, tu me fais mourir !
Lionel maintient sa verge opérationnelle en la caressant. Aude se redresse, son mari se place derrière Clara il appuie son gland contre l'anus et en s'accrochant à ses hanches pousse. Le muscle rectal cède sous la poussée et avale petit à petit le membre large et épais s'enfonce dans le conduit étroit. Clara grimace, dilatée comme rarement elle ne l'a été par son mari, subit la sodomie avec courage. La verge voyage dans son rectum en lui arrachant des gémissements bruyants. Aude est en admiration devant le couple qui cherche son plaisir.
Clara commence à agiter sa croupe, le pilonnage devient plus violent. On l'entend gémir de plaisir sous les coups de reins puissants de son amant. Elle se cambre le plus qu'elle peut, et en poussant un hurlement jouit du cul. C'est si intense qu'elle s'écroule sur le sol en gémissant comme un animal agonisant. Lionel bien soudé à elle continue de lui labourer le canal anal avec rage. Il se raidit, se bloque et dit dans un grognant de fauve :
- Clara, Clara, je me vide en toi, c'est merveilleux, de jouir en toi, tu es si étroite !
Il est temps de mettre un terme aux ébats. Les jours suivant, et jusqu'à la fin des vacances, Clara avec bonheur subit les assauts répétés de ses deux amants.
Aude ouvre brusquement le corsage de Clara, malheureusement, le tissu se déchire. Elle s'acharne en faisant des lambeaux. D'un geste rapide, elle dégrafe le soutien-gorge en libérant de leur carcan les seins généreux de Clara, qui giclent comme deux obus. Elle ferme les yeux, lorsque Aude lui malaxe les lobes, en enfonçant ses longs doigts dans les chairs. Elle grimace, mais trouve cela agréable. Depuis le temps que des mains ne lui ont pas pétri les seins, elle se sent revivre. Même que ce soit une femme qui le fasse, cela ne semble pas la traumatiser plus que cela.
Les doigts agiles roulent les mamelons, les écrasent pour les stimuler au maximum, puis les étirent fortement en faisant gémir Clara.
La bouche vorace d'Aude s'acharne sur les mamelons en les faisant épaissir le plus possible. Pendant qu'elle agace les mamelons, d'une main, elle tire sur le zip de la jupe et la fait descendre comme elle peut sur le corps de Clara, qui ne cesse de s'agiter. Au passage, elle accroche la culotte et lui fait suivre le même chemin. En un tour de main, Clara se retrouve nue devant son amante et Lionel qui bande comme un poney. Aude couvre de baisers le corps fébrile de Clara, qui se sent enfin redevenir femme.
La bouche glisse sur sa peau que le soleil au fil des jours a brunie. Elle n'omet aucune parcelle, lèche le nombril, tente de le fouiller, avant d' humer fortement les effluves que rejette la vulve. Elle regarde un instant la chatte aux lèvres bien dessinées, garnie d'une fine toison, puis plaque sa bouche brutalement sur la fente et aspire tout le jus qu'elle lui offre. La langue s'enfonce profondément dans la gaine brûlante pour la fouiller copieusement. Le visage de Clara est expressif, sa bouche est ouverte, une moue affreuse déforme son visage, ses gémissements sont sonores.
Gavée de jus, Aude se redresse, enfonce trois doigts dans le vagin de Clara et le fouille comme une forcenée. La soumise pousse des gémissements presque inhumains. Sa chatte est une fontaine intarissable. Les doigts agiles tournent dans l'antre de Venus, le ramonent violemment en faisant cabrer Clara. Soudain, Aude, pendant que ses doigts s'agitent dans la gaine vaginale, plaque sa bouche sur le clitoris et l'aspire brutalement. Elle le suce, le tète comme une affamée. Le résultat ne se fait pas attendre. Clara se cambre comme un pont, et en hurlant, explose de jouissance. Comme prise d'hystérie, grogne :
— Oui, oui, c'est merveilleux, Aude, Aude, je meurs de plaisir, encore, encore !
Aude n'en peut plus, elle retire rapidement ses vêtements et offre à son amante sa chatte en feu. Clara, bonne élève, apprend vite, elle dévore la chatte de son amante aussi efficacement qu'elle lui a fait. Aude au bord de la jouissance marmonne :
— Oui, oui, ma chérie, fouille-moi bien, oh comme ta langue me fait du bien, vas-y, vas-y, je viens, je viens, Lionel, Lionel, elle est phénoménale cette femme, oh putain, je jouis !
Une violente explosion fait hurler Aude de plaisir. Elle se cabre comme un cheval qui rue en gémissant comme une bête malade. Son corps retombe lourdement sur le sol, elle halète comme une bête malade. Lionel est au bout du rouleau, il retire son pantalon et son slip, sa verge se détend comme un ressort. Clara regarde l'engin avec attention. Cela fait des années qu'elle n'en a pas vu. Cela lui semble redoutable tellement qu'elle est épaisse. Aude la saisit et la décalotte, elle gobe le gland et sous les yeux envieux de Clara le suce comme une vorace. Rapidement, elle le délaisse et dit :
Tiens, ma chérie, fais-toi plaisir, suce-le, bouffe la bite de mon mari, je sais que tu en meurs d'envie, ne te gêne pas, ma chérie, vas-y !
Après un petit temps d'hésitation, Clara saisit délicatement le membre gonflé, le regarde un instant avant de l'engloutir. Sa bouche enveloppe le gland comme un écrin, son diamant. Elle suce et tète comme jamais elle ne l'a fait, elle veut rattraper le temps perdu. Elle savoure le gland comme une friandise. Aude est éblouie par l'ardeur qu'elle met à l'ouvrage. Elle marmonne :
— Suce ma chérie, suce, fais le décharger, gave-toi de son sperme, depuis le temps que tu n'en as pas avalé, cela doit te manquer, avale ma chérie, avale !
La bouche de Clara fait des merveilles, Lionel gémit de plaisir sous chaque aspiration. Il ne peut s'empêcher de dire :
— Oh putain, ce qu'elle suce bien, c'est trop bon !
La langue tourne sur le gland, titille le frein, lape les perles que le méat rejette. Avant de reprendre les succions monstrueuses. Une décharge de sperme brutale vient remplir la bouche de Clara, qui, surprise par la violence de la giclée, repousse Lionel. Elle reste un moment, les lèvres pincées, puis par petites gorgées avale la totalité de la décharge. La liqueur qui glisse lentement dans sa gorge a un goût de miel. Ses yeux brillent de mille feux.
Aude souriante la complimente sur sa performance. La verge de Lionel est secouée de soubresauts incontrôlables. À chaque secousse, une goutte de semence tombe sur le sol.
Aude saisit la verge, elle sent le sang battre dans la hampe, elle donne quelques coups de poignets et la presse pour la vider du reste de semence qu'elle cache. Avec la pointe de sa langue, elle nettoie soigneusement le gland violacé. Clara regarde le manche plein de vie, qu'Aude taquine. Elle semble heureuse de ce qui se passe ce soir. Jamais elle n'aurait imaginé faire l'amour avec une femme. Cette expérience l'a complétement changée. Pour ce qui est de sucer le membre d'un homme, cela faisait des années qu'elle ne l'avait fait. Elle a beaucoup de mal à réaliser ce qu'il lui arrive.
Aude lâche la verge, regarde Clara et dit :
— Lionel, mon chéri, baise Clara, elle en meurt d'envie. Défonce-la bien, mon chéri, elle n'a pas baisé depuis des lustres. Réapprends-lui le plaisir que donne une bonne bite dans le ventre.
Clara regarde Aude, puis Lionel qui s'avance vers elle. Il la bascule doucement sur le canapé. Elle ouvre automatiquement les cuisses. Il prend place entre les cuisses ouvertes et frotte quelques instants son gland contre la vulve dégoulinante, avant de l'enfoncer lentement dans le ventre de Clara qui pousse un long gémissement pendant la pénétration. La verge semble aspirée, elle disparait entièrement dans le ventre de Clara qui s'accroche à son amant en gémissant de plaisir. Le va-et-vient prend de la vitesse. Le gland racle les parois sensibles qu'une queue n'a pas visitée depuis longtemps. Clara grogne comme un animal, elle agite son bassin en marmonnant :
— Oh mon Dieu, comme c'est bon !
Lionel lui ramone la chatte avec de plus en plus de violence, les gémissements de Clara l'encouragent. La gaine enveloppe la verge comme un étui son objet, depuis le temps que Clara ne s'est pas fait défoncer, sa gaine vaginale s'est contractée. C'est très jouissif pour Lionel qui a l'impression de posséder une vierge. Les coups de reins qu'il donne sont puissants et dévastateurs. À chaque pénétration, Clara glisse sur le canapé, en gémissant de plaisir.
Clara agite son bassin, puis d'un coup, se tend comme un arc, une violente brûlure lui traverse le ventre, cambrée fortement avant de retomber lourdement sur le canapé, elle explose de jouissance. Le cri qu'elle pousse fait sursauter Aude qui encourage son mari :
— Bourre-la bien, mon chéri, éclate-la, oh la vache, comme elle jouit fort, démonte-la, démonte-la !
Lionel marmonne entre deux souffles :
— Oh putain, ce qu'elle est bonne, sa chatte aspire ma bite comme une pompe, c'est merveilleux, je vais décharger, oui, oui, ça vient, oh putain, oh putain, Aude, Aude, je vais jouir !
Plusieurs jets successifs remplissent le ventre de Clara, qui, sous la douce chaleur du sperme qui glisse dans son ventre, jouit une seconde fois en s'agrippant à son amant. Aude, excitée comme jamais, veut, elle aussi, profiter de la queue de son mari. Une fois qu'il s'est retiré du ventre de Clara, elle se rue dessus et s'empale en grognant. Elle s'agite comme une hystérique, en bafouillant :
— Lionel, Lionel, défonce-moi comme une pute, fais-moi jouir autant que Clara, oh comme je sens bien ta queue en moi, mon chéri, bourre bien ta grosse pute !
Lionel entre dans le jeu de sa femme et réplique :
— Oui, tu es une pute, une grosse salope, oui, je vais bien t'ouvrir, pouffiasse, donne-moi ton cul, donne-le-moi, je veux t'enculer !
Aude, trop excitée, se désaccouple, saisit la verge de son mari et la dirige vers son anus. Elle s'empale brutalement dessus, le gémissement qu'elle pousse est monstrueux. Lionel doit souvent la sodomiser, car Aude s'agite sur sa queue en marmonnant :
— Oui, oui, encule-moi bien, mon chéri, oh comme c'est bon !
Clara reste scotchée sur la verge, qui ne fait qu'entrer et ressortir de l'anus d'Aude, qui gémit comme une bête en rut. Elle s'agite en exprimant fortement son plaisir. Une violente jouissance la fait hurler, c'est juste à ce moment-là qu'elle reçoit la semence épaisse de son mari dans l'intestin.
Lionel se retire, Clara béate, regarde le trou béant rejeter le surplus de sperme. Aide en haletant, demande avec un langage vulgaire en regardant Clara :
— Ma chérie, tu veux aussi sa bite dans le cul, profite que mon Lionel d'amour est en forme pour te faire enculer, car cela ne durera pas, vas-y, donne-lui ton cul, ma chérie !
Clara reste un instant sans voix, l'invitation est très tentante. Bien que la sodomie ne soit pas son truc favori, elle hésite. Aude insiste avec toujours autant de tact :
— Vas-y, vas-y, soit salope, fais-toi enculer à fond, ma chérie, une bonne bite dans le cul, c'est si bon !
En se pinçant les lèvres, fébrilement, Clara prend la pose. Aude lui écarte les fesses et commence un travail d'assouplissement. Sa langue taquine l'anus, elle tente de le forcer, après plusieurs tentatives, elle réussit à y enfoncer sa langue. Clara pousse un long râle rauque, c'est la première fois qu'une langue pénètre son anus. La sensation est indescriptible, Clara se cambre fortement en gémissant comme une bête blessée. Aude est très douée pour ce genre d'exercice. Clara défaille :
-Aude, Aude, tu me fais mourir !
Lionel maintient sa verge opérationnelle en la caressant. Aude se redresse, son mari se place derrière Clara il appuie son gland contre l'anus et en s'accrochant à ses hanches pousse. Le muscle rectal cède sous la poussée et avale petit à petit le membre large et épais s'enfonce dans le conduit étroit. Clara grimace, dilatée comme rarement elle ne l'a été par son mari, subit la sodomie avec courage. La verge voyage dans son rectum en lui arrachant des gémissements bruyants. Aude est en admiration devant le couple qui cherche son plaisir.
Clara commence à agiter sa croupe, le pilonnage devient plus violent. On l'entend gémir de plaisir sous les coups de reins puissants de son amant. Elle se cambre le plus qu'elle peut, et en poussant un hurlement jouit du cul. C'est si intense qu'elle s'écroule sur le sol en gémissant comme un animal agonisant. Lionel bien soudé à elle continue de lui labourer le canal anal avec rage. Il se raidit, se bloque et dit dans un grognant de fauve :
- Clara, Clara, je me vide en toi, c'est merveilleux, de jouir en toi, tu es si étroite !
Il est temps de mettre un terme aux ébats. Les jours suivant, et jusqu'à la fin des vacances, Clara avec bonheur subit les assauts répétés de ses deux amants.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par linsee
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
superbe histoire Linsee. merci
