COLLECTION ADULTÈRE. D’autres femmes de mon village (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ADULTÈRE. D’autres femmes de mon village (1/1)
Je vous avais quitté alors que je venais de baiser Francette la fille dont j’étais amoureux et surtout la fille du boulanger de notre village.
Je vous ai écrit une suite...
Pourquoi aller par quatre chemins, je suis cocu, mais pour faire comme un équilibre, Francette l’est aussi ?
Qui dans nos villages ne le sont pas.
Les kermesses sont des sources de ces débordements comme celle les 15 aout, fête de Marie, la maman du petit Jésus.
Bon nombre de nos salopes savent mettre le petit Jésus dans leur crèche ce jour-là.
Il faut dire qu’avec les copains de notre club de foot j’organise la buvette du bal avec en vedette Gilou et son accordéon.
Bonne journée pour moi qui, après que Raoul le boulanger m’ait appris le métier, m’a laissé sa fille et sa boulangerie pour aller se reposer
Si ça m’apporte une belle paire de cornes, car c’est devenu notre boulangerie, il faut dire que c’est la seule à 10 kilomètres à la ronde qui fournit les miches de pain et les viennoiseries que les mamans achètent pour leurs rejetons.
Une petite confidence, certains d’entre eux sont un peu les miens ou les nôtres lorsqu’il s’agit de mon fils Claude, cinq ans.
Comment je le sais, c’est facile, je sais que Francette fait partie des nombreuses cuisses légères de notre village ?
Nous avons un seul noir chez nous et Claude est un peu caramel, j’avais baisé Francette, la piquant à mon copain Roland.
Et Gaspard, c’est comme cela que ce coureur cycliste se prénomme en a fait de même avec moi.
Ça s’est passé cinq ans plus tôt à la course cycliste que nous organisons chaque année le 14 juillet, là encore avec buvette et baguettes de pain.
Il a gagné la course et buvait dans la coupe que la boulangerie de la place avait offerte.
Jouons franc jeu, c’est les farines françaises qui me l’avaient offerte après un certain tonnage de farine que je leur avais achetée.
J’avais décollé leur plaque pour la remplacé par celle que j’avais fait graver à Aubusson aux « clefs rapides, » boutique de la grande surface à l’entrée de la ville.
C’est toujours 70 € d’économie pour les finances de la boulangerie de la place.
• Gigi, on va manquer de pain, tu viens avec moi, j’en avais mis 30 baguettes au congèle au qu’à ou !
Pour ceux qui ont la mémoire courte, Gigi, c’est mon nom, Gérard, Gigi pour les intimes.
• Tu me fais chier Francette, j’ai travaillé depuis deux heures du matin pour assurer toutes les commandes, je finis ma bière et je t’accompagne.
Il faut être honnête, sans en avoir bu un fût après avoir donné le départ de la course où courait Gaspard, le nouveau garde champêtre engagé dans notre commune, j’étais déjà passablement bourré.
• Attends, Francette je viens avec toi, ton mari a raison, il a eu une rude journée.
Lui la course aurait dû le fatigué.
J’ignore le temps qu’ils ont mis avant de revenir avec ma camionnette, mais neuf mois plus tard, Claude venait au monde égailler notre foyer avec ses cheveux crépu et son teint permanent de celui d’un enfant né au soleil de l’Afrique, mais plus précisément de Clermont Ferran, ville d’où ses parents étaient originaires.
C’est son grand-père et sa grand-mère qui était sénégalaise venue manger le pain des Français comme le disait Fernand Raynaud dans une histoire de boulangerie il y a des années.
Moi, Gigi la boulange, c’est le cul de Francette qu’il est venu manger m’apportant ce fils que je chéri, la futur boulange de notre village lorsqu’elle sera en âge de me remplacer.
• Allo, la boulangerie de la place.
• Oui ?
• Je m’appelle Louis et je suis en vacances au gîte de la « planche en bois ».
• Chez le père Mathieu, attention elles sont pourries !
• Qui est pourri ?
• Les planches en bois !
J’éclate de rire, déclenchant un début de colère de mon interlocuteur.
• Si vous vous croyez drôle, j’irai ailleurs acheter une miche et ma brioche six parts.
D’ailleurs, des miches vous en avez !
• Moi non, mais Francette mon épouse, même s’ils sont bien petits en a !
Je sens qu’au bout du fil, on s’impatiente.
• Je rigolais, cher monsieur Louis, oui j’ai des miches quand voulez-vous que je vous livre.
• Tous les matins, jusqu’à dimanche où nous rentrons à Paris, Véronique mon épouse et Sandrine ma fille, nous avons loué le gîte pour une semaine.
C’est ainsi que le lendemain lors de ma tournée je fais quatre kilomètres de plus aller et retour pour servir Louis au gîte des planches pourries.
La législation m’oblige à fermer un jour par semaine, mais pendant les périodes de vacances, j’ai une dérogation me permettant d’être ouvert même le lundi.
Lundi jour ou hors saison, je suis cocu une nouvelle fois par la comtesse qui plus est mairesse de notre commune.
Mais nous en reparlerons plus tard, commençons par Louis, plutôt dans un premier temps par Véronique sa femme, le titre c’est « les salopes de mon village. »
• Merci de venir nous livrer notre pain et notre petit déjeuner, je vous aurais bien présenté Véronique ma femme, mais elle est partie faire son jogging.
Quant à ma fille Sandrine, vous connaissez les jeunes, elles font la fête jusqu’à point d’heure et le matin impossible de les tenir éveillés.
• Votre fille a trouvé à s’amuser dans notre trou perdu !
• Dès que nous sommes arrivés, elle a déposé ses affaires, je crois que c’est à Aubusson qu’elle est partie s’amuser.
À demain matin, moi je vais partir à la pêche, on m’a dit qu’il y avait de la truite dans votre rivière.
• De la truite, je l’ignore, mais de la salope il y en a à revendre dans nos rivières.
• Je reconnais bien là votre humour, vous avez failli m’avoir au téléphone, un con de Parisien, vous poserait la question, « la salope, c’est quelle espèce de poisson, » un salmonidé ou tout autre espèce de vos torrents de montagne !
• La salope, on la trouve là ou il y a un trou et des poils ou ça pu.
En quittant le gîte du bois pourri, j’ignorais qu’en si peu de temps, je rencontrerais une salope au bord du torrent.
Dans le début de mes confidences, j’ai dit que j’avais un chien, Rex troisième génération.
Quand je suis en tournée Rex quatrième génération m’accompagne.
J’ai l’habitude de m’arrêter au belvédère pour le faire pisser, c’est presque comme un rituelle.
Ayant livré ma miche et ma viennoiserie, j’ai retrouvé la tournée normale, je vais chez Berthe, celle qui m’a dépucelé.
Lorsqu’elle couine d’envie de se faire baiser, je lui en mets un petit coup, de toute façon comme je l’ai dit, elle est toujours prête, maintenant je sais que les petites culottes, très peu pour elle.
Quand je dis petite culotte, je devrais dire culotte Xxl.
Rex y retrouve, Bella, deuxième du nom, la première était un labrador et la remplaçante un Yorkshire court sur ses pattes.
Je devrais dire une.
La première fois, Bella avait ses ours et Rex voulait la saillir.
Rex est grand et Bella est si petite, qu’à part lui renifler le cul, il est dans l’impossibilité de saillir cet étrange animal ou il est difficile de voir l’avant de l’arrière.
Certains diront qu’il faut qu’elle ait des flatulences pour le savoir.
Mais revenons au belvédère, je m’égare, je m’égare.
Rex sitôt lâché part comme une fusée vers le torrent en contrebas, en moi-même je pense qu’il a senti une salope et qu’il est parti s’en occuper.
J’ignorais que j’étais dans le vrai, je descends quelquefois avec lui par ce petit sentier qui conduit jusqu’au torrent, je sais qu’il y a ce qu’on appelle une baignoire naturelle où il fait bon se tremper par ces fortes chaleurs.
Je le suis de prêt, gardien de but de l’équipe du village, j’ai une bonne souplesse, mais surtout pour ce que les rugbymans appellent la troisième mi-temps.
• Au secours, mais faite fuir cet ignoble animal, il baise Carole ma chienne.
Lorsque j’arrive en bas, Rex a déjà sauté sur le dos de cette dalmatienne bon chic bon genre avec sa fourrure noir et blanche.
• Excusez mon chien, il cherchait des salopes et il en a trouvé une, ils sont collés.
Il va nous falloir attendre trente à trente-cinq minutes, quand Rex en tien une il en profite à fond, c’est si rare dans nos régions.
Attendez, je vous rejoins, vous êtes Véronique la femme de Louis, je viens de vous livrer votre miche et votre petit déjeuner.
Sur la berge au pied de la baignoire, se trouvent des vêtements de joggeuse et une paire de baskets, c’était facile de comprendre que si Rex a trouvé une salope, espèce rare de nos rivières, je vais trouver la mienne en me mettant nu.
• Qu’est-ce que vous faites, je suis une femme mariée, vous venez de dire que vous avez rencontré mon mari, pourquoi me traitez-vous de salope ?
J’entre dans l’eau d’un coup et je me retrouve à côté de cette jolie femme, avec des seins qu’elle essaye de me cacher avec ses bras, le bas de son corps m’est caché par l’eau qui coule très doucement.
• Pour la salope, tu demanderas à Louis, il t’expliquera, tu sais que tu es canon !
Avec les femmes j’attaque direct, qu’est-ce que je risque, une baffe, on en meurt pas, devant quelqu’un on a l’air con, mais ici dans le trou du cul du monde, à part Rex et sa femelle dalmatienne qui peut nous voir !
J’attrape Véronique comme pour jouer, mais elle chute se mouillant ses cheveux.
Je la rattrape et la sauve d’une noyade certaine, on peut se noyer dans vingt centimètres d’eau.
Sa main se rattrape à ma queue, je sens clairement l’invitation, je l’emmène au bord de la baignoire, est-ce elle ou moi qui lui ai présenté ma queue, tout ce que je sais, c’est qu’il y avait bien une salope dans cette rivière et qu’après la fellation, je la pointe, avant de la tirer.
Si Louis à quelques kilomètres de là jette son fil à l’eau, plus loin en aval dans cette gorge inaccessible sauf en prenant le chemin descendant du belvédère sa femme a une gorge accessible en gorge profonde.
Si sa gorge est profonde, sa chatte l’est tout autant, c’est même un puits sans fond.
J’avais raison, c’est bien une salope que je finis par tirer comme Rex fini de tirer la sienne.
Voilà, « des femmes donc des salopes de mon village », j’ai parlé de la comtesse et de Francette, la suite au prochain numéro.
Je vous ai écrit une suite...
Pourquoi aller par quatre chemins, je suis cocu, mais pour faire comme un équilibre, Francette l’est aussi ?
Qui dans nos villages ne le sont pas.
Les kermesses sont des sources de ces débordements comme celle les 15 aout, fête de Marie, la maman du petit Jésus.
Bon nombre de nos salopes savent mettre le petit Jésus dans leur crèche ce jour-là.
Il faut dire qu’avec les copains de notre club de foot j’organise la buvette du bal avec en vedette Gilou et son accordéon.
Bonne journée pour moi qui, après que Raoul le boulanger m’ait appris le métier, m’a laissé sa fille et sa boulangerie pour aller se reposer
Si ça m’apporte une belle paire de cornes, car c’est devenu notre boulangerie, il faut dire que c’est la seule à 10 kilomètres à la ronde qui fournit les miches de pain et les viennoiseries que les mamans achètent pour leurs rejetons.
Une petite confidence, certains d’entre eux sont un peu les miens ou les nôtres lorsqu’il s’agit de mon fils Claude, cinq ans.
Comment je le sais, c’est facile, je sais que Francette fait partie des nombreuses cuisses légères de notre village ?
Nous avons un seul noir chez nous et Claude est un peu caramel, j’avais baisé Francette, la piquant à mon copain Roland.
Et Gaspard, c’est comme cela que ce coureur cycliste se prénomme en a fait de même avec moi.
Ça s’est passé cinq ans plus tôt à la course cycliste que nous organisons chaque année le 14 juillet, là encore avec buvette et baguettes de pain.
Il a gagné la course et buvait dans la coupe que la boulangerie de la place avait offerte.
Jouons franc jeu, c’est les farines françaises qui me l’avaient offerte après un certain tonnage de farine que je leur avais achetée.
J’avais décollé leur plaque pour la remplacé par celle que j’avais fait graver à Aubusson aux « clefs rapides, » boutique de la grande surface à l’entrée de la ville.
C’est toujours 70 € d’économie pour les finances de la boulangerie de la place.
• Gigi, on va manquer de pain, tu viens avec moi, j’en avais mis 30 baguettes au congèle au qu’à ou !
Pour ceux qui ont la mémoire courte, Gigi, c’est mon nom, Gérard, Gigi pour les intimes.
• Tu me fais chier Francette, j’ai travaillé depuis deux heures du matin pour assurer toutes les commandes, je finis ma bière et je t’accompagne.
Il faut être honnête, sans en avoir bu un fût après avoir donné le départ de la course où courait Gaspard, le nouveau garde champêtre engagé dans notre commune, j’étais déjà passablement bourré.
• Attends, Francette je viens avec toi, ton mari a raison, il a eu une rude journée.
Lui la course aurait dû le fatigué.
J’ignore le temps qu’ils ont mis avant de revenir avec ma camionnette, mais neuf mois plus tard, Claude venait au monde égailler notre foyer avec ses cheveux crépu et son teint permanent de celui d’un enfant né au soleil de l’Afrique, mais plus précisément de Clermont Ferran, ville d’où ses parents étaient originaires.
C’est son grand-père et sa grand-mère qui était sénégalaise venue manger le pain des Français comme le disait Fernand Raynaud dans une histoire de boulangerie il y a des années.
Moi, Gigi la boulange, c’est le cul de Francette qu’il est venu manger m’apportant ce fils que je chéri, la futur boulange de notre village lorsqu’elle sera en âge de me remplacer.
• Allo, la boulangerie de la place.
• Oui ?
• Je m’appelle Louis et je suis en vacances au gîte de la « planche en bois ».
• Chez le père Mathieu, attention elles sont pourries !
• Qui est pourri ?
• Les planches en bois !
J’éclate de rire, déclenchant un début de colère de mon interlocuteur.
• Si vous vous croyez drôle, j’irai ailleurs acheter une miche et ma brioche six parts.
D’ailleurs, des miches vous en avez !
• Moi non, mais Francette mon épouse, même s’ils sont bien petits en a !
Je sens qu’au bout du fil, on s’impatiente.
• Je rigolais, cher monsieur Louis, oui j’ai des miches quand voulez-vous que je vous livre.
• Tous les matins, jusqu’à dimanche où nous rentrons à Paris, Véronique mon épouse et Sandrine ma fille, nous avons loué le gîte pour une semaine.
C’est ainsi que le lendemain lors de ma tournée je fais quatre kilomètres de plus aller et retour pour servir Louis au gîte des planches pourries.
La législation m’oblige à fermer un jour par semaine, mais pendant les périodes de vacances, j’ai une dérogation me permettant d’être ouvert même le lundi.
Lundi jour ou hors saison, je suis cocu une nouvelle fois par la comtesse qui plus est mairesse de notre commune.
Mais nous en reparlerons plus tard, commençons par Louis, plutôt dans un premier temps par Véronique sa femme, le titre c’est « les salopes de mon village. »
• Merci de venir nous livrer notre pain et notre petit déjeuner, je vous aurais bien présenté Véronique ma femme, mais elle est partie faire son jogging.
Quant à ma fille Sandrine, vous connaissez les jeunes, elles font la fête jusqu’à point d’heure et le matin impossible de les tenir éveillés.
• Votre fille a trouvé à s’amuser dans notre trou perdu !
• Dès que nous sommes arrivés, elle a déposé ses affaires, je crois que c’est à Aubusson qu’elle est partie s’amuser.
À demain matin, moi je vais partir à la pêche, on m’a dit qu’il y avait de la truite dans votre rivière.
• De la truite, je l’ignore, mais de la salope il y en a à revendre dans nos rivières.
• Je reconnais bien là votre humour, vous avez failli m’avoir au téléphone, un con de Parisien, vous poserait la question, « la salope, c’est quelle espèce de poisson, » un salmonidé ou tout autre espèce de vos torrents de montagne !
• La salope, on la trouve là ou il y a un trou et des poils ou ça pu.
En quittant le gîte du bois pourri, j’ignorais qu’en si peu de temps, je rencontrerais une salope au bord du torrent.
Dans le début de mes confidences, j’ai dit que j’avais un chien, Rex troisième génération.
Quand je suis en tournée Rex quatrième génération m’accompagne.
J’ai l’habitude de m’arrêter au belvédère pour le faire pisser, c’est presque comme un rituelle.
Ayant livré ma miche et ma viennoiserie, j’ai retrouvé la tournée normale, je vais chez Berthe, celle qui m’a dépucelé.
Lorsqu’elle couine d’envie de se faire baiser, je lui en mets un petit coup, de toute façon comme je l’ai dit, elle est toujours prête, maintenant je sais que les petites culottes, très peu pour elle.
Quand je dis petite culotte, je devrais dire culotte Xxl.
Rex y retrouve, Bella, deuxième du nom, la première était un labrador et la remplaçante un Yorkshire court sur ses pattes.
Je devrais dire une.
La première fois, Bella avait ses ours et Rex voulait la saillir.
Rex est grand et Bella est si petite, qu’à part lui renifler le cul, il est dans l’impossibilité de saillir cet étrange animal ou il est difficile de voir l’avant de l’arrière.
Certains diront qu’il faut qu’elle ait des flatulences pour le savoir.
Mais revenons au belvédère, je m’égare, je m’égare.
Rex sitôt lâché part comme une fusée vers le torrent en contrebas, en moi-même je pense qu’il a senti une salope et qu’il est parti s’en occuper.
J’ignorais que j’étais dans le vrai, je descends quelquefois avec lui par ce petit sentier qui conduit jusqu’au torrent, je sais qu’il y a ce qu’on appelle une baignoire naturelle où il fait bon se tremper par ces fortes chaleurs.
Je le suis de prêt, gardien de but de l’équipe du village, j’ai une bonne souplesse, mais surtout pour ce que les rugbymans appellent la troisième mi-temps.
• Au secours, mais faite fuir cet ignoble animal, il baise Carole ma chienne.
Lorsque j’arrive en bas, Rex a déjà sauté sur le dos de cette dalmatienne bon chic bon genre avec sa fourrure noir et blanche.
• Excusez mon chien, il cherchait des salopes et il en a trouvé une, ils sont collés.
Il va nous falloir attendre trente à trente-cinq minutes, quand Rex en tien une il en profite à fond, c’est si rare dans nos régions.
Attendez, je vous rejoins, vous êtes Véronique la femme de Louis, je viens de vous livrer votre miche et votre petit déjeuner.
Sur la berge au pied de la baignoire, se trouvent des vêtements de joggeuse et une paire de baskets, c’était facile de comprendre que si Rex a trouvé une salope, espèce rare de nos rivières, je vais trouver la mienne en me mettant nu.
• Qu’est-ce que vous faites, je suis une femme mariée, vous venez de dire que vous avez rencontré mon mari, pourquoi me traitez-vous de salope ?
J’entre dans l’eau d’un coup et je me retrouve à côté de cette jolie femme, avec des seins qu’elle essaye de me cacher avec ses bras, le bas de son corps m’est caché par l’eau qui coule très doucement.
• Pour la salope, tu demanderas à Louis, il t’expliquera, tu sais que tu es canon !
Avec les femmes j’attaque direct, qu’est-ce que je risque, une baffe, on en meurt pas, devant quelqu’un on a l’air con, mais ici dans le trou du cul du monde, à part Rex et sa femelle dalmatienne qui peut nous voir !
J’attrape Véronique comme pour jouer, mais elle chute se mouillant ses cheveux.
Je la rattrape et la sauve d’une noyade certaine, on peut se noyer dans vingt centimètres d’eau.
Sa main se rattrape à ma queue, je sens clairement l’invitation, je l’emmène au bord de la baignoire, est-ce elle ou moi qui lui ai présenté ma queue, tout ce que je sais, c’est qu’il y avait bien une salope dans cette rivière et qu’après la fellation, je la pointe, avant de la tirer.
Si Louis à quelques kilomètres de là jette son fil à l’eau, plus loin en aval dans cette gorge inaccessible sauf en prenant le chemin descendant du belvédère sa femme a une gorge accessible en gorge profonde.
Si sa gorge est profonde, sa chatte l’est tout autant, c’est même un puits sans fond.
J’avais raison, c’est bien une salope que je finis par tirer comme Rex fini de tirer la sienne.
Voilà, « des femmes donc des salopes de mon village », j’ai parlé de la comtesse et de Francette, la suite au prochain numéro.
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