COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Mission en France. Fin de la saison I (3/
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Mission en France. Fin de la saison I (3/
Voilà c’est fait, j’ai intégré la jungle de Calais.
Je sais, se servir de gens dans la misère pour réussir ma mission c’est un peu dégueulasse mais seule ma devise me fait avancer.
« Marche ou crève. »J’ai déjà prouvé que crever je veux éviter, alors je marche vers mon but qui est bien loin d’ici.
- Je vais faire un tour voir si je vois mes enfants ou mon mari.
- Tu peux y aller, j’ai passé le mot, tu es tranquille, ici je fais la pluie et le beau temps.
Avant de nous lever et que l’odeur du thé envahisse l’épicerie, Hamed m’a pris en levrette sans que je me refuse, c’est ça une femme facile même mariée à Younès.
Il faut que je trouve le moyen de quitter Hamed, devenir sa pute est loin d’être mon but.
J’avance entre les cabanes les pieds gelés par l’eau froide des mares suite à des pluies et même un début de neige dans la nuit.
Là encore, je suis prête, pendant la semaine où je me suis mis en condition à notre centre sous Paris, j’ai fait tous les jours des périodes de deux heures au début dans la salle de froid que nous avons aménagée.
Nous savons que le froid est une épreuve terrible pour nos agents, mais cette formation nous permet de le surmonter plus facilement.
Pendant cette période, j’étais avec Corinne, une béret vert comme moi et nous nous serions dans les bras l’une l’autre pour garder notre chaleur interne.
Dans cette situation, en période de température normale, j’aurais mouillé car là encore dans notre unité spéciale, nous sommes formées pour des amours lesbiens.
Là, le froid annihilait toutes mes envies.
Ici, ce froid d’hiver, c’est presque la température du club Med.
Après le dernier coup de bite d'Hamed, c’est derrière l’épicerie que je me suis lavée la chatte au robinet un des seuls points d'eau du camp.
Une fois mon pantalon remit mon vagin et ma figure propre.
C’est à ce moment que des cris d’enfants et deux bambins viennent se mettre dans mes jambes.
- Excusez madame, ils sont jeunes et pleins de fougue.
- Aucun problème comment s’appelle cette petite fille ?
Je viens de la rattraper car elle allait tomber.
- Labwa madame.
- La lionne, très bon choix, elle saura se défendre.
- Et toi ?
- Maad madame.
- Tu veux aller en Angleterre ?
- Elle les avait dans les bras quand j’ai réussi à la faire monter dans un camion il y a trois jours.
- Maad, vie future, là encore bien vue, je vais vous aider à les retrouver je te le promets et toi.
- Saadi, mon garçon.
- Saadi, bienheureux, tu le seras quand tu auras réuni ta famille.
- Je t’offre le thé en signe de bienvenue.
Et toi que cherches-tu ?
- Moi aussi ma famille, regarde la photo, les as-tu vus ?
- Non.
- Et vous les enfants ?
- Non, non.
- Dis, je vois que tu as un matelas à deux places, je peux m’installer chez toi.
- C’est le lit des enfants, je couche sur cette couverture.
- À leur âge, ils peuvent dormir sur cette couverture et nous sur ce matelas.
- Je veux bien, mais hors de question que je trompe Jadba.
- Je comprends que tu l’ais épousé Jadba, attirante, c’est un nom prédestiné.
- Vous parlez bien arabe, tu viens d’où ?
- Syrie.
- Avec les enfants et ma femme nous sommes turcs, nous habitions près d’Izmir.
Mon frère est déjà en Angleterre et Jadba a dû le rejoindre.
- Je te promets, tu vas les revoir, attends quelques jours j’aurais une opportunité.
- Quand le camion a démarré me laissant seul avec mes enfants, j’ai eu le temps de lui crier que je lui promettais de les rejoindre avant Noël, c’est dans une semaine.
Ce soir on va faire une tentative.
- Si tu crois au prophète, remets cette tentative, c’est trop dangereux pour les enfants.
L’avantage sur lui c’est que je sais pourquoi je suis là et pourquoi je veux passer pour une fille facile sans pour autant être la pute d’Hamed.
Hamed fait la gueule, mais je lui promets que tant que je serais dans la zone de venir lui sucer la queue.
Ça semble le satisfaire du moment que je lui vide les couilles.
J’apporte mon sac à dos.
- Naïm, j’ai besoin de fric avant de passer en Angleterre, si tu as des copains qui sont seuls et veulent que je les soulage, je suis partante.
20 € la pipe 50 la baise.
Eh oui, pour être rapidement connu d’un maximum de gens en peu de temps, il faut savoir donner de sa personne et vous savez que de ce côté-là en mission je suis la reine des putes, j’ai été formé pour ça.
- Hamed, je te prends une boîte de raviolis aux légumes.
Viens que je te suce.
- J’aimerai plus tôt te baiser, tu peux en prendre deux boîtes.
- Mon cul tu l’auras si tu me trouve ce dont j’ai besoin pour Noël.
- C’est parti, tu auras l'ensemble la veille, en attendant pour les raviolis à genoux.
Sucer, baiser, coucher sur des matelas crasseux et humides, c’est mon lot depuis que j’ai demandé à Naïm de me trouver des clients.
Baiser, me laver la chatte et le cul car certains sont comme moi à la recherche de leur famille et souhaitent rester fidèle à la chatte de leur épouse.
Laver ma chatte à l’eau froide, ici, l’eau chaude c'est pour les gens de la ville.
Ma cagnotte complètement inutile vu ce qui va m’être versé sur notre compte à Gontran et moi à la fin du mois est plus que suffisante, surtout qu’en décembre nous aurons tous les deux une petite prime pour service rendu à la France.
Marche ou crève, chaque fois que j’écarte les cuisses, notre devise s’affiche dans ma chatte quand la verge me pénètre.
Marche ou crève quand je me fais enculer à quatre pattes sur ces maudits matelas.
Marche ou crève chaque fois que je jouis en même temps que celui qui croit se payer une pute.
- Attifa, j’ai un client pour toi, mais c’est dans le centre-ville de Calais.
Il est prêt à payer 500 € pour t’avoir dans son lit demain après-midi.
- 500, ça peut m’intéresser, tu m’y conduiras ?
- C’est parti je le préviens que c’est bon pour toi.
- C’est un vieux, je parie.
- Non, 35 à 40 ans, beau gosse, mais disons qu’il a des difficultés à sortir.
- Bon, je verrais, c’est d’accord.
Je retourne à mon labeur, bien qu’il soit inutile de continuer à trouver des clients.
Je pense que j’ai assez côtoyé de gens et surtout des hommes pour la suite de ma mission.
Il me reste une chose à faire.
- Hamed, tu m’as fait appeler ?
- Tu m’as passé une commande en me proposant ton cul, elle est là.
Sapin de Noël, une boîte avec boules et étoiles pour le sommet et surtout quatre boîtes cadeaux emballées.
- Je te dois ?
- Le temps de fermer le volet de l’épicerie, tu connais ma couche, ton cul ça suffira.
Quand il me prend en levrette sur son matelas endroit que j’ai beaucoup pratiqué depuis que je fais la pute, je sais que ma mission à part la baise en ville, va s’achever.
Il décharge, même pas le temps de jouir une dernière fois avec lui.
Une fois de nouveau présentable, je prends le sapin et la boîte de boules et je vais chez moi.
Pardon, chez Maad et ses enfants qui semblent l’avoir adopté.
- On va fêter Noël après-demain, j’ai récupéré un sapin et des décorations.
- Chez, nous en Turquie Noël nous est inconnue.
- Je suis catholique, chez moi, je l’ai toujours fêté avec mon mari et mes enfants.
- Alors les enfants aidez Attifa à préparer le sapin.
Les cadeaux ce sera pour la nuit de Noël, ils sont bien cachés chez Hamed.
Je suis certaine que pour les récupérer je vais encore donner un peu de mon corps et donner de grands coups de reins pour m’empaler sur la bite de celui qui a su faire commerce de la misère du monde.
- Naïm on y va ?
Centre-ville, une maison très banale, partant pour l’inconnu je prends mon sac à dos sans oublier ma lame.
- Entre Naïm, voyons qui tu nous amènes.
Canon, un peu vieille mais baisable, merci de me l’amener.
Tu me confirmes, elle parle arabe et pas Français.
- Elle parle seulement l’arabe.
- Tient ça c’est pour toi.
Ça sert d’avoir caché ma propre langue, ils parlent devant moi pensant qu’il m’est impossible de les comprendre.
Il me donne un ordre en français.
- Déloque-toi, fais-moi voir ce que tu as à me proposer.
- En arabe Gilles, parle lui en arabes c’est la seule langue qu’elle connaît.
C’est en arabe qu’il me repose la question.
Une chance, que Naïm soit intervenu m’évitant de faire l’imper de lui répondre en français.
Ça fait parti de l’entraînement que j’ai reçu et que j’inculte aux nouvelles recru de mon service.
Tu fais subir au candidat un feu de question dans la langue qu’il est sensé parler et d’un coup vous en posez une dans sa langue d’origine.
Neuf sur dix tombe dans le piège.
Il va sans dire que j’ai réussit mon test sans le moindre souci, alors la question de cet homme fort beau par ailleurs.
C’est drôle l’homme que j’ai devant moi semble m’être connu, mais où et quand l’ai-je rencontré ?
Mais oui, c’est…
Voilà qui est dans cette maison, vous le saurez dans la saison II qui arrive très rapidement.
Je sais, se servir de gens dans la misère pour réussir ma mission c’est un peu dégueulasse mais seule ma devise me fait avancer.
« Marche ou crève. »J’ai déjà prouvé que crever je veux éviter, alors je marche vers mon but qui est bien loin d’ici.
- Je vais faire un tour voir si je vois mes enfants ou mon mari.
- Tu peux y aller, j’ai passé le mot, tu es tranquille, ici je fais la pluie et le beau temps.
Avant de nous lever et que l’odeur du thé envahisse l’épicerie, Hamed m’a pris en levrette sans que je me refuse, c’est ça une femme facile même mariée à Younès.
Il faut que je trouve le moyen de quitter Hamed, devenir sa pute est loin d’être mon but.
J’avance entre les cabanes les pieds gelés par l’eau froide des mares suite à des pluies et même un début de neige dans la nuit.
Là encore, je suis prête, pendant la semaine où je me suis mis en condition à notre centre sous Paris, j’ai fait tous les jours des périodes de deux heures au début dans la salle de froid que nous avons aménagée.
Nous savons que le froid est une épreuve terrible pour nos agents, mais cette formation nous permet de le surmonter plus facilement.
Pendant cette période, j’étais avec Corinne, une béret vert comme moi et nous nous serions dans les bras l’une l’autre pour garder notre chaleur interne.
Dans cette situation, en période de température normale, j’aurais mouillé car là encore dans notre unité spéciale, nous sommes formées pour des amours lesbiens.
Là, le froid annihilait toutes mes envies.
Ici, ce froid d’hiver, c’est presque la température du club Med.
Après le dernier coup de bite d'Hamed, c’est derrière l’épicerie que je me suis lavée la chatte au robinet un des seuls points d'eau du camp.
Une fois mon pantalon remit mon vagin et ma figure propre.
C’est à ce moment que des cris d’enfants et deux bambins viennent se mettre dans mes jambes.
- Excusez madame, ils sont jeunes et pleins de fougue.
- Aucun problème comment s’appelle cette petite fille ?
Je viens de la rattraper car elle allait tomber.
- Labwa madame.
- La lionne, très bon choix, elle saura se défendre.
- Et toi ?
- Maad madame.
- Tu veux aller en Angleterre ?
- Elle les avait dans les bras quand j’ai réussi à la faire monter dans un camion il y a trois jours.
- Maad, vie future, là encore bien vue, je vais vous aider à les retrouver je te le promets et toi.
- Saadi, mon garçon.
- Saadi, bienheureux, tu le seras quand tu auras réuni ta famille.
- Je t’offre le thé en signe de bienvenue.
Et toi que cherches-tu ?
- Moi aussi ma famille, regarde la photo, les as-tu vus ?
- Non.
- Et vous les enfants ?
- Non, non.
- Dis, je vois que tu as un matelas à deux places, je peux m’installer chez toi.
- C’est le lit des enfants, je couche sur cette couverture.
- À leur âge, ils peuvent dormir sur cette couverture et nous sur ce matelas.
- Je veux bien, mais hors de question que je trompe Jadba.
- Je comprends que tu l’ais épousé Jadba, attirante, c’est un nom prédestiné.
- Vous parlez bien arabe, tu viens d’où ?
- Syrie.
- Avec les enfants et ma femme nous sommes turcs, nous habitions près d’Izmir.
Mon frère est déjà en Angleterre et Jadba a dû le rejoindre.
- Je te promets, tu vas les revoir, attends quelques jours j’aurais une opportunité.
- Quand le camion a démarré me laissant seul avec mes enfants, j’ai eu le temps de lui crier que je lui promettais de les rejoindre avant Noël, c’est dans une semaine.
Ce soir on va faire une tentative.
- Si tu crois au prophète, remets cette tentative, c’est trop dangereux pour les enfants.
L’avantage sur lui c’est que je sais pourquoi je suis là et pourquoi je veux passer pour une fille facile sans pour autant être la pute d’Hamed.
Hamed fait la gueule, mais je lui promets que tant que je serais dans la zone de venir lui sucer la queue.
Ça semble le satisfaire du moment que je lui vide les couilles.
J’apporte mon sac à dos.
- Naïm, j’ai besoin de fric avant de passer en Angleterre, si tu as des copains qui sont seuls et veulent que je les soulage, je suis partante.
20 € la pipe 50 la baise.
Eh oui, pour être rapidement connu d’un maximum de gens en peu de temps, il faut savoir donner de sa personne et vous savez que de ce côté-là en mission je suis la reine des putes, j’ai été formé pour ça.
- Hamed, je te prends une boîte de raviolis aux légumes.
Viens que je te suce.
- J’aimerai plus tôt te baiser, tu peux en prendre deux boîtes.
- Mon cul tu l’auras si tu me trouve ce dont j’ai besoin pour Noël.
- C’est parti, tu auras l'ensemble la veille, en attendant pour les raviolis à genoux.
Sucer, baiser, coucher sur des matelas crasseux et humides, c’est mon lot depuis que j’ai demandé à Naïm de me trouver des clients.
Baiser, me laver la chatte et le cul car certains sont comme moi à la recherche de leur famille et souhaitent rester fidèle à la chatte de leur épouse.
Laver ma chatte à l’eau froide, ici, l’eau chaude c'est pour les gens de la ville.
Ma cagnotte complètement inutile vu ce qui va m’être versé sur notre compte à Gontran et moi à la fin du mois est plus que suffisante, surtout qu’en décembre nous aurons tous les deux une petite prime pour service rendu à la France.
Marche ou crève, chaque fois que j’écarte les cuisses, notre devise s’affiche dans ma chatte quand la verge me pénètre.
Marche ou crève quand je me fais enculer à quatre pattes sur ces maudits matelas.
Marche ou crève chaque fois que je jouis en même temps que celui qui croit se payer une pute.
- Attifa, j’ai un client pour toi, mais c’est dans le centre-ville de Calais.
Il est prêt à payer 500 € pour t’avoir dans son lit demain après-midi.
- 500, ça peut m’intéresser, tu m’y conduiras ?
- C’est parti je le préviens que c’est bon pour toi.
- C’est un vieux, je parie.
- Non, 35 à 40 ans, beau gosse, mais disons qu’il a des difficultés à sortir.
- Bon, je verrais, c’est d’accord.
Je retourne à mon labeur, bien qu’il soit inutile de continuer à trouver des clients.
Je pense que j’ai assez côtoyé de gens et surtout des hommes pour la suite de ma mission.
Il me reste une chose à faire.
- Hamed, tu m’as fait appeler ?
- Tu m’as passé une commande en me proposant ton cul, elle est là.
Sapin de Noël, une boîte avec boules et étoiles pour le sommet et surtout quatre boîtes cadeaux emballées.
- Je te dois ?
- Le temps de fermer le volet de l’épicerie, tu connais ma couche, ton cul ça suffira.
Quand il me prend en levrette sur son matelas endroit que j’ai beaucoup pratiqué depuis que je fais la pute, je sais que ma mission à part la baise en ville, va s’achever.
Il décharge, même pas le temps de jouir une dernière fois avec lui.
Une fois de nouveau présentable, je prends le sapin et la boîte de boules et je vais chez moi.
Pardon, chez Maad et ses enfants qui semblent l’avoir adopté.
- On va fêter Noël après-demain, j’ai récupéré un sapin et des décorations.
- Chez, nous en Turquie Noël nous est inconnue.
- Je suis catholique, chez moi, je l’ai toujours fêté avec mon mari et mes enfants.
- Alors les enfants aidez Attifa à préparer le sapin.
Les cadeaux ce sera pour la nuit de Noël, ils sont bien cachés chez Hamed.
Je suis certaine que pour les récupérer je vais encore donner un peu de mon corps et donner de grands coups de reins pour m’empaler sur la bite de celui qui a su faire commerce de la misère du monde.
- Naïm on y va ?
Centre-ville, une maison très banale, partant pour l’inconnu je prends mon sac à dos sans oublier ma lame.
- Entre Naïm, voyons qui tu nous amènes.
Canon, un peu vieille mais baisable, merci de me l’amener.
Tu me confirmes, elle parle arabe et pas Français.
- Elle parle seulement l’arabe.
- Tient ça c’est pour toi.
Ça sert d’avoir caché ma propre langue, ils parlent devant moi pensant qu’il m’est impossible de les comprendre.
Il me donne un ordre en français.
- Déloque-toi, fais-moi voir ce que tu as à me proposer.
- En arabe Gilles, parle lui en arabes c’est la seule langue qu’elle connaît.
C’est en arabe qu’il me repose la question.
Une chance, que Naïm soit intervenu m’évitant de faire l’imper de lui répondre en français.
Ça fait parti de l’entraînement que j’ai reçu et que j’inculte aux nouvelles recru de mon service.
Tu fais subir au candidat un feu de question dans la langue qu’il est sensé parler et d’un coup vous en posez une dans sa langue d’origine.
Neuf sur dix tombe dans le piège.
Il va sans dire que j’ai réussit mon test sans le moindre souci, alors la question de cet homme fort beau par ailleurs.
C’est drôle l’homme que j’ai devant moi semble m’être connu, mais où et quand l’ai-je rencontré ?
Mais oui, c’est…
Voilà qui est dans cette maison, vous le saurez dans la saison II qui arrive très rapidement.
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