COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Mission en France. Saison II (6/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION AGENT SECRET. Madame Marion, Commandant Marion. Mission en France. Saison II (6/7)
« C’est la belle nuit de Noël, la neige étend son manteau blanc, à genoux les petits enfants. »
Dans cette nuit de paix, je viens de la faire progresser en éliminant définitivement un homme qui en voulait à notre pays.
J’ai rejoint la masure de bric et de broc de Younes avec Yasmin et Ayoub ses enfants espérant rejoindre sa femme qui a réussi à monter dans un camion et passer vers l’Angleterre avec leurs jumeaux.
Je me suis changée redevenant Attifa la petite Syrienne elle aussi en galère et je suis en ce moment en train de m’éclater comme j’aime le faire après une grande tension.
Dans ma précédente mission c’est Boby et le commandant du sous-marin qui nous évacuaient qui m’ont permis de faire tomber la pression.
Là c’est Zoé belle Somalienne qui offre à ma bouche sa chatte poilue alors que je vois l’ombre d’Hamed l’épicier de la jungle venir me prendre.
En moi, je trouve mon équilibre sexuel ce qui pour le commun des mortels surtout féminin doit être incompréhensif.
Hamed est bien monté et participe rapidement à mon équilibre en m’apportant une première jouissance.
Mais je me connais bien, je sais que pour que ma pression retombe, il faut qu’un orgasme massif traverse mon corps.
Une bite dans ma chatte, une langue sur mon clito et il est là me libérant de toutes les tensions de la nuit.
- Hamed, j’ai tenu ma promesse, Zoé merci pour ce bon moment, je récupère mes cadeaux je les ai bien mérités.
Je rejoins la masure ils dorment tous les trois.
Les deux cadeaux au pied du sapin, je me couche repu d’actions et de sexes.
- C’est à moi.
- Non c’est à moi.
Je me réveille en sursaut.
J’ai vu la même chose chez moi, deux enfants qui veulent le même cadeau celui qui est le plus gros.
Hamed a fait les paquets comme il le pouvait.
Il y a un camion de pompier et un Kiki.
Younès intervient.
Chez eux pas de problème le sapin et Noël sont une fête inconnue.
Tout ce calme.
Younès s’assoit sur l’une des caisses en bois devant la table, elle aussi composée de quatre caisses et une planche.
- Merci pour les enfants.
- Il m’était difficile de trouver un cadeau pour toi Younès.
Les enfants jouent, je sais pour ta femme mais laisse-moi faire, tu as bien mérité une petite compensation pour ton dévouement pour ta famille.
Sans attendre de réponse, je passe ma main dans le pantalon de pyjama de cet homme.
Ma main trouve sa verge qui se laisse faire.
Surveillant qu’aucun des deux petit nous surprenne, je masturbe leur papa.
Dommage qu’il soit fidèle, c’est la plus belle bite que j’ai en main depuis que j’ai commencé ma mission.
Au moment où il décharge sur ma main, il se mord les lèvres pour étouffer son cri de plaisir.
Ma main essuyée sur un morceau de chiffon servant à un peu tout dans ce logement de misère, je remets mes affaires et surtout mon blouson gris.
Je sais, il était blanc, je voulais me faire remarquer pour ça, ça a marché.
Je m’apprête à sortir pour rejoindre le restaurant et Alexandre qui va récupérer ma tenue Catwoman et lui donner des ordres pour les jours prochains.
Je me suis assez fait voir, passons à la phase deux du plan élaboré avec mon équipe.
J’ouvre le vanteau en bois.
« C’est la police, restez chez vous nous allons vous évacuer. »
Tient un grain de sable, l’évacuation était dans mes plans mais sur mon ordre or je voulais qu’elle ait lieu demain matin.
Il a dû se passer un imprévu pour qu’ils fassent ça le jour de Noël.
Malgré l’ordre, j’avance vers la voix dans le haut-parleur.
Un cordon de police semble entourer la jungle.
- Madame, avez-vous entendu les ordres, rester chez vous.
Je manque de pouffer de rire, chez moi, s’il savait ce qu’est un « chez vous » ici.
- Laissez passer lieutenant, je connais cette dame.
Commandant suivez-moi s’il vous plait.
La tête du beau policier quand cette femme un peu crade reçoit son grade supérieur au sien mais il s’écarte me saluant.
- Commandant Marion, suivez-moi dans cette fourgonnette aux vitres teintées, je vais tout vous expliquer.
Nous prenons place, je connais cette fourgonnette, c’est moi qui l’ai fait affecter à notre service concevant son intérieure pour des missions de surveillance dans de bonnes conditions.
Jusqu’aux douches qui m’ont tant manqué.
Mais l’heure est loin d’être au nettoyage de mon corps.
Les ordres sont donnés et je vois les policiers faire mouvement.
- Commandant, nous avons bien reçu au service le lien avec le portable de Klein, ce que nous avons trouvé dépassait tous les entendements.
Avec une équipe qui se trouvait en région parisienne, ils avaient prévu et commencé à préparer de faire sauter tous les Bateaux-mouches parisiens le soir du réveillon de la Saint Sylvestre.
Nos équipes sont sur le pavillon où on vient de me prévenir qu’un homme gisait dans son sang devant ce même ordinateur.
Beau travail commandant encore un salopard de moins.
- Mais la zone pourquoi évacuer aujourd’hui ?
- Ordre du Président car au camp d’émigrer de Paris La villette l’affaire de drogue est en partie réglée par les stups.
La surveillance des allées et venues, on permit de voir que le réseau de drogue était mené par un curé et deux bonnes sœurs.
- Un curé et deux bonnes sœurs, vous rigolez Alexandre.
- Non, un des gars qui surveillait a vu une des deux sœurs se baisser pour donner quelque chose à un des blacks qu’il savait être drogué.
Ce sont ses chaussures cachées par sa longue robe en temps normal qui l’a interpellé.
Une bonne sœur en basket, ça peut paraître un détail mais c’est souvent comme ça que ces salops se font prendre.
Nous les avons interrogés surtout sur les chaussures.
Commandant la fille faisait du 44 et dans leur tenue alors qu’ils avaient prévu des sandales en 42.
La fille avait gardé ses baskets.
Pour finir, sur ce sujet, dès que vous serez à Paris, le Président veut vous voir.
Je suis heureuse, je vais revoir mes bouts de choux plus tôt que je l’avais prévu.
Les policiers ayant fait mouvement, je vois deux d’entre eux revenir avec Hamed les mains menottées derrière le dos.
- Pourquoi arrêtez-vous cet homme.
- Dans l’ordi ils ont trouvé des noms et des fonctions.
Cet épicier faisait partie du réseau que Klein avait mis en place, c’est par lui qu’une partie du matériel était regroupé.
Je m’attends à voir Naïm arrivé lui aussi mais c’est parmi le troupeau de pauvre gens que je l’ai vu sortir de la jungle avec à ses côtés Zoé.
- Le jeune homme et la jeune noire, ils sont dans la liste.
- Non, ici seul le dénommé Hamed en faisait partie, les autres sont sur la région parisienne.
- Donnez des ordres pour les écarter des autres, je vais les recevoir l’un après l’autre.
- Bien commandant.
Il a un talkie-walkie et donne des ordres au beau lieutenant qui supervise l’évacuation des émigrés.
Il fait sortir les deux jeunes et ils sont emmenés.
- Cet homme avec les deux enfants.
- Oui commandant, celui avec le petit garçon qui a un camion de pompiers dans ses bras et la petite fille qui porte un Kiki.
C’est marrant, quand j’étais petit, j’avais un Kiki le hérisson, il est toujours dans ma malle à jouet.
Je le donnerais à mes enfants quand j’en aurais.
- Je vais vous confier une mission strictement personnelle.
Voilà ce que je souhaite que vous fassiez pour cette famille.
- Bien commandant, j’ai déjà une idée.
- C’est pour ça que je vous ai choisi Alexandre pour avoir des idées complémentaires des miennes.
- Merci Marion.
Pardon commandant.
Ce sont bien les hommes, un compliment et il pense par leur queue qu’on les drague.
Certes, il est beau gosse, mais si je couche avec mon collaborateur, là, je tromperais Gontran mon mari.
- Louis vous attend dans votre voiture, vous irez directement voir le Président.
- Avant, vous me fait venir Naïm et Zoé, chacun leur tour.
Une dernière chose, quand vous serez à Paris, changez-moi ce café et cette cafetière, c’est une vraie purge.
- Bien Ma…commandant.
Je préfère, même s’il semble avoir un beau paquet dans son costume trois-pièces…
Dans cette nuit de paix, je viens de la faire progresser en éliminant définitivement un homme qui en voulait à notre pays.
J’ai rejoint la masure de bric et de broc de Younes avec Yasmin et Ayoub ses enfants espérant rejoindre sa femme qui a réussi à monter dans un camion et passer vers l’Angleterre avec leurs jumeaux.
Je me suis changée redevenant Attifa la petite Syrienne elle aussi en galère et je suis en ce moment en train de m’éclater comme j’aime le faire après une grande tension.
Dans ma précédente mission c’est Boby et le commandant du sous-marin qui nous évacuaient qui m’ont permis de faire tomber la pression.
Là c’est Zoé belle Somalienne qui offre à ma bouche sa chatte poilue alors que je vois l’ombre d’Hamed l’épicier de la jungle venir me prendre.
En moi, je trouve mon équilibre sexuel ce qui pour le commun des mortels surtout féminin doit être incompréhensif.
Hamed est bien monté et participe rapidement à mon équilibre en m’apportant une première jouissance.
Mais je me connais bien, je sais que pour que ma pression retombe, il faut qu’un orgasme massif traverse mon corps.
Une bite dans ma chatte, une langue sur mon clito et il est là me libérant de toutes les tensions de la nuit.
- Hamed, j’ai tenu ma promesse, Zoé merci pour ce bon moment, je récupère mes cadeaux je les ai bien mérités.
Je rejoins la masure ils dorment tous les trois.
Les deux cadeaux au pied du sapin, je me couche repu d’actions et de sexes.
- C’est à moi.
- Non c’est à moi.
Je me réveille en sursaut.
J’ai vu la même chose chez moi, deux enfants qui veulent le même cadeau celui qui est le plus gros.
Hamed a fait les paquets comme il le pouvait.
Il y a un camion de pompier et un Kiki.
Younès intervient.
Chez eux pas de problème le sapin et Noël sont une fête inconnue.
Tout ce calme.
Younès s’assoit sur l’une des caisses en bois devant la table, elle aussi composée de quatre caisses et une planche.
- Merci pour les enfants.
- Il m’était difficile de trouver un cadeau pour toi Younès.
Les enfants jouent, je sais pour ta femme mais laisse-moi faire, tu as bien mérité une petite compensation pour ton dévouement pour ta famille.
Sans attendre de réponse, je passe ma main dans le pantalon de pyjama de cet homme.
Ma main trouve sa verge qui se laisse faire.
Surveillant qu’aucun des deux petit nous surprenne, je masturbe leur papa.
Dommage qu’il soit fidèle, c’est la plus belle bite que j’ai en main depuis que j’ai commencé ma mission.
Au moment où il décharge sur ma main, il se mord les lèvres pour étouffer son cri de plaisir.
Ma main essuyée sur un morceau de chiffon servant à un peu tout dans ce logement de misère, je remets mes affaires et surtout mon blouson gris.
Je sais, il était blanc, je voulais me faire remarquer pour ça, ça a marché.
Je m’apprête à sortir pour rejoindre le restaurant et Alexandre qui va récupérer ma tenue Catwoman et lui donner des ordres pour les jours prochains.
Je me suis assez fait voir, passons à la phase deux du plan élaboré avec mon équipe.
J’ouvre le vanteau en bois.
« C’est la police, restez chez vous nous allons vous évacuer. »
Tient un grain de sable, l’évacuation était dans mes plans mais sur mon ordre or je voulais qu’elle ait lieu demain matin.
Il a dû se passer un imprévu pour qu’ils fassent ça le jour de Noël.
Malgré l’ordre, j’avance vers la voix dans le haut-parleur.
Un cordon de police semble entourer la jungle.
- Madame, avez-vous entendu les ordres, rester chez vous.
Je manque de pouffer de rire, chez moi, s’il savait ce qu’est un « chez vous » ici.
- Laissez passer lieutenant, je connais cette dame.
Commandant suivez-moi s’il vous plait.
La tête du beau policier quand cette femme un peu crade reçoit son grade supérieur au sien mais il s’écarte me saluant.
- Commandant Marion, suivez-moi dans cette fourgonnette aux vitres teintées, je vais tout vous expliquer.
Nous prenons place, je connais cette fourgonnette, c’est moi qui l’ai fait affecter à notre service concevant son intérieure pour des missions de surveillance dans de bonnes conditions.
Jusqu’aux douches qui m’ont tant manqué.
Mais l’heure est loin d’être au nettoyage de mon corps.
Les ordres sont donnés et je vois les policiers faire mouvement.
- Commandant, nous avons bien reçu au service le lien avec le portable de Klein, ce que nous avons trouvé dépassait tous les entendements.
Avec une équipe qui se trouvait en région parisienne, ils avaient prévu et commencé à préparer de faire sauter tous les Bateaux-mouches parisiens le soir du réveillon de la Saint Sylvestre.
Nos équipes sont sur le pavillon où on vient de me prévenir qu’un homme gisait dans son sang devant ce même ordinateur.
Beau travail commandant encore un salopard de moins.
- Mais la zone pourquoi évacuer aujourd’hui ?
- Ordre du Président car au camp d’émigrer de Paris La villette l’affaire de drogue est en partie réglée par les stups.
La surveillance des allées et venues, on permit de voir que le réseau de drogue était mené par un curé et deux bonnes sœurs.
- Un curé et deux bonnes sœurs, vous rigolez Alexandre.
- Non, un des gars qui surveillait a vu une des deux sœurs se baisser pour donner quelque chose à un des blacks qu’il savait être drogué.
Ce sont ses chaussures cachées par sa longue robe en temps normal qui l’a interpellé.
Une bonne sœur en basket, ça peut paraître un détail mais c’est souvent comme ça que ces salops se font prendre.
Nous les avons interrogés surtout sur les chaussures.
Commandant la fille faisait du 44 et dans leur tenue alors qu’ils avaient prévu des sandales en 42.
La fille avait gardé ses baskets.
Pour finir, sur ce sujet, dès que vous serez à Paris, le Président veut vous voir.
Je suis heureuse, je vais revoir mes bouts de choux plus tôt que je l’avais prévu.
Les policiers ayant fait mouvement, je vois deux d’entre eux revenir avec Hamed les mains menottées derrière le dos.
- Pourquoi arrêtez-vous cet homme.
- Dans l’ordi ils ont trouvé des noms et des fonctions.
Cet épicier faisait partie du réseau que Klein avait mis en place, c’est par lui qu’une partie du matériel était regroupé.
Je m’attends à voir Naïm arrivé lui aussi mais c’est parmi le troupeau de pauvre gens que je l’ai vu sortir de la jungle avec à ses côtés Zoé.
- Le jeune homme et la jeune noire, ils sont dans la liste.
- Non, ici seul le dénommé Hamed en faisait partie, les autres sont sur la région parisienne.
- Donnez des ordres pour les écarter des autres, je vais les recevoir l’un après l’autre.
- Bien commandant.
Il a un talkie-walkie et donne des ordres au beau lieutenant qui supervise l’évacuation des émigrés.
Il fait sortir les deux jeunes et ils sont emmenés.
- Cet homme avec les deux enfants.
- Oui commandant, celui avec le petit garçon qui a un camion de pompiers dans ses bras et la petite fille qui porte un Kiki.
C’est marrant, quand j’étais petit, j’avais un Kiki le hérisson, il est toujours dans ma malle à jouet.
Je le donnerais à mes enfants quand j’en aurais.
- Je vais vous confier une mission strictement personnelle.
Voilà ce que je souhaite que vous fassiez pour cette famille.
- Bien commandant, j’ai déjà une idée.
- C’est pour ça que je vous ai choisi Alexandre pour avoir des idées complémentaires des miennes.
- Merci Marion.
Pardon commandant.
Ce sont bien les hommes, un compliment et il pense par leur queue qu’on les drague.
Certes, il est beau gosse, mais si je couche avec mon collaborateur, là, je tromperais Gontran mon mari.
- Louis vous attend dans votre voiture, vous irez directement voir le Président.
- Avant, vous me fait venir Naïm et Zoé, chacun leur tour.
Une dernière chose, quand vous serez à Paris, changez-moi ce café et cette cafetière, c’est une vraie purge.
- Bien Ma…commandant.
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