COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (7/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (7/13)
Dans cette collection qui m’est dédiée, vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71.
Gaston chauffeur de ma société de transports m’a conduit jusqu’en Avignon.
De là, Josyane mon amie de longue date est venue me chercher pour que je passe quelques jours au cap d’Agde afin de profiter du beau temps en ce mois de février.
Ce que j’avais oublié c’était que cette ville est le haut lieu du naturisme et du libertinage.
J’ai ma réponse à tous ces clins d’œil depuis le début de cette première journée, Josyane m’emmène dans le restaurant d’un club libertin le « Copacabana ».
Restaurant presque normal à part le service assuré par de jeunes hommes et femmes portant comme seul vêtement des timbres-poste en cuir pour les demoiselles et de simples étuis péniens en cuir eux aussi pour les garçons.
Leurs vêtements se complètent par un collier à chien avec un mousqueton.
C’est dans cette tenue que je retrouve Joël, le clin d’œil avec Josyane sur la plage était pour moi, ils savaient où ils m’emmenaient et se sont fichus de moi.
Idem pour Nicolas et la même Josyane qui ont réitéré ces clins d’œil, se fichant carrément de mon ignorance.
Vous savez je m’en fiche, je m’en contrefiche.
Malgré le soleil, mes vacances auraient pu être gâchées quand j’ai laissé filer Joël à Montélimar.
La manière dont il me reçoit ce soir, me regardant chaque fois que nos regards se croisent, me fait espérer qu’il me présente sa laisse pour que je la fixe à son mousqueton à la fin de son service.
Une fois fait, je lui ferai franchir ce grand rideau rouge que certains franchissent déjà, espoir de rattrapage du temps perdu par mes tergiversations sur le temps de conduite de Gaston, mon chauffeur pour mes vacances.
En attendant le moment de détacher ce morceau de cuir qui enserre les 25 centimètres de sa bite, j’ai le plaisir bien qu’étonné de retrouver Noël mon neveu et amant qui est là avec Lucie sa copine et mon amante des fêtes de Noël.
Grâce à une femme à la table voisine, Joël les place à nos côtés, rejoignant pour leur part la table que les parents de Lucie avaient réservée.
Tout de suite un bon climat s’installe entre Josyane et Lucie, la conversation s’oriente sur les appartements avec et sans vue sur la plage et la mer.
Ce que je remarque, c’est qu’étant assise l’une face à l’autre, leurs mains se frôlent, se touchent.
Connaissant la petite, après les soirées passées ensemble à Noël, elles vont passer le rideau ensemble.
Quand je regarde Noël, je vois qu’il voit et avance sa main vers moi.
J’avance la mienne et nous aussi nous devons nous remémorer son dépucelage dans ma maison de Besançon.
C’est à ce moment que je vois Joël arriver avec un plateau et les apéritifs et amuse-bouches.
Mince, il nous a vus, il va croire que mon neveu est ma chose et offrir sa laisse à cette rouquine sans seins qui pourtant les offre généreusement à qui veut les voir lui faisant des œillades dévastatrices.
Elle est venue certainement pour lui, elle est seule à sa table.
Pourtant si elle le veut, elle a à sa disposition des mâles certes un peu bedonnants qui la regarde avec insistance.
La sangria à peine servie, je vois la femme qui nous a cédé sa place se lever après avoir parlé avec le couple voisin.
Elle se dirige vers le rideau passant à quelques mètres de nous, suivie comme un bon toutou par son mari.
- En voilà trois qui vont passer un petit moment ensemble, le mari va pouvoir satisfaire son plaisir à la regarder se faire sauter.
J’entends ça d’une oreille distraite, Joël nous apporte les entrées, suivies du plat principal, du fromage, coupe glacée et café.
Une nouvelle fois, je manque de me lever pour envoyer son verre d’eau gazeuse à la figure de ce grand échalas roux, elle prend la main de Joël quand il lui pose son assiette.
Notre conversation se porte sur les jeunes, les choses se sont arrangées avec Épiphanie, ma belle-sœur guadeloupéenne.
Noël a repris des études de kinésithérapeute, beau papa avec qui il est cul et chemise lui a promis un poste dans sa clinique.
Il veut développer un secteur d’entretien du corps pour ses patientes.
C’est lui qui le dirigera.
- Anne, maman et papa vont venir pour Pâques, tu sais que pour maman, cette fête est la plus importante de l’année.
Elle tient à ce que tous ensemble nous partagions l’agneau pascal.
Ils ont conversé avec les parents de Lucie, ils sont satisfaits que j’ai trouvé la jeune femme de ma vie.
Disant cela, sa main traverse la table pour prendre la main de Lucie.
J’ai envie de me marrer, Lucie a sa main droite dans celle de Josyane et sa main gauche, celle du cœur, dans la main de Noël.
Quand on est bisexuelle, il faut savoir se partager.
- J’ai un conseil à vous donner, évitez de conduire Épiphanie dans ce restaurant, vous feriez entrer un bulldozer dans un magasin de porcelaine.
Tu verras Anne, mon père doit t’appeler pour t’inviter, mes parents tiennent à ce que son frère soit réuni avec sa sœur pour cette fête.
Je sens que ce moment sera grandiose, mais avant ce rideau et une queue de vingt-cinq centimètres m’attendent, du moins je l’espère si la rouquine sait rester à sa place.
Je reprends un peu l’avantage, la rousse répond à ses deux voisins.
J’ignore ce qu’ils se disent, mais elle éclate de rire.
On se raccroche à toutes les petites choses, quand femme rit.
Les couples, hommes avec femmes, les couples femmes avec femmes et aussi les couples hommes avec hommes franchissent le rideau après que les hôtesses au ruban rose sont passées entre les tables, la machine à cartes bleues en mains.
Une table au bout de la salle se lève.
Six hommes, deux femmes.
Ce doivent être des gourmandes, car en rejoignant le rideau, les deux filles passent dans les bras de plusieurs d’entre eux.
Serais-je capable de me donner à six hommes ensemble, je crois que ça s’appelle un gang bang ?
- Anne, je te vois regarder Sally et BB, sait ainsi qu’elles se font appeler.
Ces femmes sont là deux fois par an, j’ai passé une soirée avec elles, des louves, ce qui se dit, c’est que ce sont deux femmes belges, mariées à des hommes influents, venant s’encanailler sur la côte.
BB aurait cinq enfants, tu me connais, les bruits de couloir très peu pour moi.
Je vois que tu es près de sauter au visage de la rouquine là-bas.
N’ai crainte, elle vient tous les samedis, elle fait de l’œil à ton boy-friends, je peux te dire qu’il choisira toute autre qu’elle.
Je peux te dire que lors d’une conversation entre amis, il a dit que l’odeur des rousses le faisait débander.
Ça me rassure, mais à moitié seulement, quand Josyane emploie le mot « ami », est-ce au pluriel lors d’une soirée avec tous ses amis du bistrot où ici alors que Joël lui a présenté sa laisse pour qu’elle lui fasse franchir le rideau ?
Josyane grande dame paye pour les quatre, quand la femme au collier rose qui nous a placés apporte la note comprenant bien sûr l’entrée derrière ce maudit rideau.
Qui et avec qui vais-je avoir le courage de le passer ?
Une fois de plus, elle me fait voir son grand cœur ou est-ce Lucie qui est source de sa générosité ?
Elles viennent de lever leurs jolies fesses et de s’embrasser se tenant chacune derrière leur nuque.
Dans tout autre restaurant, ça aurait fait scandale, ici les tables voisines applaudissent.
- Je m’isole quelques minutes, je reviens.
Noël dans son smoking blanc qui a dû coûter bonbon à Lucie se lève et part vers les toilettes à côté de la porte où les serveurs vont chercher les plats.
Quand il ressort, Joël est avec lui, ils se séparent, Noël lui tape sur l’épaule.
À Besançon, mon neveu m’a fait voir qu’il peut aimer les bites des garçons, parlons-en à Pierre qui ce soir-là m’a fait voir un pan de sa personnalité !
C’est fichu, c’est mon neveu qui va gagner la partie.
C’est à ce moment que le service terminé, les jeunes sortent ensemble et se dispersent dans la salle.
La jeune fille qui servait dans notre secteur est la première qui s’approche d’un dîneur.
Pardon d’une dîneuse, elle tend sa laisse à la rousse qui contre toute attente, l’accepte.
- Anne, je vois que tu souffles, il est facile de te piéger, elle est lesbienne et ce sont les femmes qui l’attirent, tu avais sa chance avec elle, mais toi les femmes, à part Lucie à Noël, ton truc ce sont les hommes.
Je pourrais lui en vouloir de s’être fichue de moi, mais Joël derrière elle, s’approche de nous.
Il a retiré son collier qu’il tient à sa main, l’autre est derrière son dos.
Fichu, Noël va être son choix.
- Noël attache ce collier à Anne ton amie.
Incroyable, je me retrouve avec le mousqueton au cou.
- Comme tu me l’as demandé, voici deux laisses, une pour toi, une pour moi.
- Anne, tu es à nous pour la nuit, nous allons te faire passer le rideau et te faire connaître le monde merveilleux que Lucie m’a promis.
Ils me les placent sur le mousqueton, me rendant soumise à eux pour un long et j’espère bon moment.
Josyane et ma future nièce applaudissent toutes les personnes qui sont encore dans la salle.
Je deviens la reine de la soirée.
Joël tire sur la sienne, ma tête doit suivre si je veux continuer à respirer, sa bouche s’approche de mes lèvres, mon bas-ventre ruisselle, il m’embrasse, laissant sa place à Noël qui m’embrasse lui aussi.
C’est tous les trois, suivant Josyane et Lucie enlacées, que je suis les deux garçons qui vont me partager et me faire placer une nuit inoubliable.
Ayant acceptée le collier, le rideau rouge est à un mètre, je le franchis étant volontaire…
Merci ma muse pour ta participation.
Gaston chauffeur de ma société de transports m’a conduit jusqu’en Avignon.
De là, Josyane mon amie de longue date est venue me chercher pour que je passe quelques jours au cap d’Agde afin de profiter du beau temps en ce mois de février.
Ce que j’avais oublié c’était que cette ville est le haut lieu du naturisme et du libertinage.
J’ai ma réponse à tous ces clins d’œil depuis le début de cette première journée, Josyane m’emmène dans le restaurant d’un club libertin le « Copacabana ».
Restaurant presque normal à part le service assuré par de jeunes hommes et femmes portant comme seul vêtement des timbres-poste en cuir pour les demoiselles et de simples étuis péniens en cuir eux aussi pour les garçons.
Leurs vêtements se complètent par un collier à chien avec un mousqueton.
C’est dans cette tenue que je retrouve Joël, le clin d’œil avec Josyane sur la plage était pour moi, ils savaient où ils m’emmenaient et se sont fichus de moi.
Idem pour Nicolas et la même Josyane qui ont réitéré ces clins d’œil, se fichant carrément de mon ignorance.
Vous savez je m’en fiche, je m’en contrefiche.
Malgré le soleil, mes vacances auraient pu être gâchées quand j’ai laissé filer Joël à Montélimar.
La manière dont il me reçoit ce soir, me regardant chaque fois que nos regards se croisent, me fait espérer qu’il me présente sa laisse pour que je la fixe à son mousqueton à la fin de son service.
Une fois fait, je lui ferai franchir ce grand rideau rouge que certains franchissent déjà, espoir de rattrapage du temps perdu par mes tergiversations sur le temps de conduite de Gaston, mon chauffeur pour mes vacances.
En attendant le moment de détacher ce morceau de cuir qui enserre les 25 centimètres de sa bite, j’ai le plaisir bien qu’étonné de retrouver Noël mon neveu et amant qui est là avec Lucie sa copine et mon amante des fêtes de Noël.
Grâce à une femme à la table voisine, Joël les place à nos côtés, rejoignant pour leur part la table que les parents de Lucie avaient réservée.
Tout de suite un bon climat s’installe entre Josyane et Lucie, la conversation s’oriente sur les appartements avec et sans vue sur la plage et la mer.
Ce que je remarque, c’est qu’étant assise l’une face à l’autre, leurs mains se frôlent, se touchent.
Connaissant la petite, après les soirées passées ensemble à Noël, elles vont passer le rideau ensemble.
Quand je regarde Noël, je vois qu’il voit et avance sa main vers moi.
J’avance la mienne et nous aussi nous devons nous remémorer son dépucelage dans ma maison de Besançon.
C’est à ce moment que je vois Joël arriver avec un plateau et les apéritifs et amuse-bouches.
Mince, il nous a vus, il va croire que mon neveu est ma chose et offrir sa laisse à cette rouquine sans seins qui pourtant les offre généreusement à qui veut les voir lui faisant des œillades dévastatrices.
Elle est venue certainement pour lui, elle est seule à sa table.
Pourtant si elle le veut, elle a à sa disposition des mâles certes un peu bedonnants qui la regarde avec insistance.
La sangria à peine servie, je vois la femme qui nous a cédé sa place se lever après avoir parlé avec le couple voisin.
Elle se dirige vers le rideau passant à quelques mètres de nous, suivie comme un bon toutou par son mari.
- En voilà trois qui vont passer un petit moment ensemble, le mari va pouvoir satisfaire son plaisir à la regarder se faire sauter.
J’entends ça d’une oreille distraite, Joël nous apporte les entrées, suivies du plat principal, du fromage, coupe glacée et café.
Une nouvelle fois, je manque de me lever pour envoyer son verre d’eau gazeuse à la figure de ce grand échalas roux, elle prend la main de Joël quand il lui pose son assiette.
Notre conversation se porte sur les jeunes, les choses se sont arrangées avec Épiphanie, ma belle-sœur guadeloupéenne.
Noël a repris des études de kinésithérapeute, beau papa avec qui il est cul et chemise lui a promis un poste dans sa clinique.
Il veut développer un secteur d’entretien du corps pour ses patientes.
C’est lui qui le dirigera.
- Anne, maman et papa vont venir pour Pâques, tu sais que pour maman, cette fête est la plus importante de l’année.
Elle tient à ce que tous ensemble nous partagions l’agneau pascal.
Ils ont conversé avec les parents de Lucie, ils sont satisfaits que j’ai trouvé la jeune femme de ma vie.
Disant cela, sa main traverse la table pour prendre la main de Lucie.
J’ai envie de me marrer, Lucie a sa main droite dans celle de Josyane et sa main gauche, celle du cœur, dans la main de Noël.
Quand on est bisexuelle, il faut savoir se partager.
- J’ai un conseil à vous donner, évitez de conduire Épiphanie dans ce restaurant, vous feriez entrer un bulldozer dans un magasin de porcelaine.
Tu verras Anne, mon père doit t’appeler pour t’inviter, mes parents tiennent à ce que son frère soit réuni avec sa sœur pour cette fête.
Je sens que ce moment sera grandiose, mais avant ce rideau et une queue de vingt-cinq centimètres m’attendent, du moins je l’espère si la rouquine sait rester à sa place.
Je reprends un peu l’avantage, la rousse répond à ses deux voisins.
J’ignore ce qu’ils se disent, mais elle éclate de rire.
On se raccroche à toutes les petites choses, quand femme rit.
Les couples, hommes avec femmes, les couples femmes avec femmes et aussi les couples hommes avec hommes franchissent le rideau après que les hôtesses au ruban rose sont passées entre les tables, la machine à cartes bleues en mains.
Une table au bout de la salle se lève.
Six hommes, deux femmes.
Ce doivent être des gourmandes, car en rejoignant le rideau, les deux filles passent dans les bras de plusieurs d’entre eux.
Serais-je capable de me donner à six hommes ensemble, je crois que ça s’appelle un gang bang ?
- Anne, je te vois regarder Sally et BB, sait ainsi qu’elles se font appeler.
Ces femmes sont là deux fois par an, j’ai passé une soirée avec elles, des louves, ce qui se dit, c’est que ce sont deux femmes belges, mariées à des hommes influents, venant s’encanailler sur la côte.
BB aurait cinq enfants, tu me connais, les bruits de couloir très peu pour moi.
Je vois que tu es près de sauter au visage de la rouquine là-bas.
N’ai crainte, elle vient tous les samedis, elle fait de l’œil à ton boy-friends, je peux te dire qu’il choisira toute autre qu’elle.
Je peux te dire que lors d’une conversation entre amis, il a dit que l’odeur des rousses le faisait débander.
Ça me rassure, mais à moitié seulement, quand Josyane emploie le mot « ami », est-ce au pluriel lors d’une soirée avec tous ses amis du bistrot où ici alors que Joël lui a présenté sa laisse pour qu’elle lui fasse franchir le rideau ?
Josyane grande dame paye pour les quatre, quand la femme au collier rose qui nous a placés apporte la note comprenant bien sûr l’entrée derrière ce maudit rideau.
Qui et avec qui vais-je avoir le courage de le passer ?
Une fois de plus, elle me fait voir son grand cœur ou est-ce Lucie qui est source de sa générosité ?
Elles viennent de lever leurs jolies fesses et de s’embrasser se tenant chacune derrière leur nuque.
Dans tout autre restaurant, ça aurait fait scandale, ici les tables voisines applaudissent.
- Je m’isole quelques minutes, je reviens.
Noël dans son smoking blanc qui a dû coûter bonbon à Lucie se lève et part vers les toilettes à côté de la porte où les serveurs vont chercher les plats.
Quand il ressort, Joël est avec lui, ils se séparent, Noël lui tape sur l’épaule.
À Besançon, mon neveu m’a fait voir qu’il peut aimer les bites des garçons, parlons-en à Pierre qui ce soir-là m’a fait voir un pan de sa personnalité !
C’est fichu, c’est mon neveu qui va gagner la partie.
C’est à ce moment que le service terminé, les jeunes sortent ensemble et se dispersent dans la salle.
La jeune fille qui servait dans notre secteur est la première qui s’approche d’un dîneur.
Pardon d’une dîneuse, elle tend sa laisse à la rousse qui contre toute attente, l’accepte.
- Anne, je vois que tu souffles, il est facile de te piéger, elle est lesbienne et ce sont les femmes qui l’attirent, tu avais sa chance avec elle, mais toi les femmes, à part Lucie à Noël, ton truc ce sont les hommes.
Je pourrais lui en vouloir de s’être fichue de moi, mais Joël derrière elle, s’approche de nous.
Il a retiré son collier qu’il tient à sa main, l’autre est derrière son dos.
Fichu, Noël va être son choix.
- Noël attache ce collier à Anne ton amie.
Incroyable, je me retrouve avec le mousqueton au cou.
- Comme tu me l’as demandé, voici deux laisses, une pour toi, une pour moi.
- Anne, tu es à nous pour la nuit, nous allons te faire passer le rideau et te faire connaître le monde merveilleux que Lucie m’a promis.
Ils me les placent sur le mousqueton, me rendant soumise à eux pour un long et j’espère bon moment.
Josyane et ma future nièce applaudissent toutes les personnes qui sont encore dans la salle.
Je deviens la reine de la soirée.
Joël tire sur la sienne, ma tête doit suivre si je veux continuer à respirer, sa bouche s’approche de mes lèvres, mon bas-ventre ruisselle, il m’embrasse, laissant sa place à Noël qui m’embrasse lui aussi.
C’est tous les trois, suivant Josyane et Lucie enlacées, que je suis les deux garçons qui vont me partager et me faire placer une nuit inoubliable.
Ayant acceptée le collier, le rideau rouge est à un mètre, je le franchis étant volontaire…
Merci ma muse pour ta participation.
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