COLLECTION ANNE MA MUSE. Joyeux Noël (7/8) - histoire érotique

Je m’appelle Anne, 58 ans, future retraitée.
J’étais contente des moments passés avec Noël le soir de noël et j’espérais que jusqu’à son départ demain nous pourrions recommencer nos aventures sexuelles.
C’était mal connaître la rencontre intempestive qu'il a eue avec Lucie jeune fille blonde vue une première fois au Mac Do puis tout à l’heure dans le zoo de la citadelle et qu’il a invité à dîner ce soir.

Surtout qu’il nous propose de préparer le repas d’adieu jusqu’à la prochaine fois.
Lucie l’aide, elle est dans la cuisine avec Noël quand je m’approche et que je les vois s’embrasser.
S’il décide de monter dans sa chambre, je me vois mal les suivre.

Bof, un bon feu dans la cheminée, un livre et au lit.
La seule chose que j’espère, si ça se produit, est que Lucie soit du genre expressive dans ses jouissances.
La chambre de Noël est au-dessus de nos fauteuils grâce à la mezzanine qui y conduit, notre chambre étant la suivante.
Serais-je jalouse de voir ma période de plaisir m’échapper ?

Pierre a rechargé la réserve à bûches et je l’ai vu descendre chercher du vin.
Je m’assois dans mon fauteuil et comme Pierre je ferme les yeux.

- À table, les anciens, tout est prêt, nous avons faim.

À part la cuisine et les toilettes du bas qui ont des parois de séparation, salon et salle à manger sont communs.
Ils ont mis la table, même mes chandeliers et ma belle vaisselle.
Mais là c’était facile j’avais tout mis dans le lave-vaisselle au fur et à mesure pendant le repas de Noël de la veille.
Ils ont dû trouver le quatrième couvert dans le meuble de la salle à manger.
Nous prenons place autour de notre table rectangulaire.
C’est agréable de ne rien avoir à faire.
Depuis combien d’années ça ne m’est plus arrivé, mais bref voyons ce que ces chérubins nous ont préparés.

- Pour commencer, en guise d’apéritif, des acras de morue.
Nous en consommons beaucoup, papa ton frère Anne, les adore.
Maman dit que comme c’est très salé, ça lui permet de boire un peu plus.
- L’as-tu déjà vu bourré ?
Mon frère serait-il devenu alcoolique ?
- Pas le moins du monde, c’est elle qui fait partie de la ligue anti-alcoolique de l’île, à croire que lorsque j’étais petit, elle a eu des problèmes qu’elle veut éviter aux autres !

C’est vrai, je me souviens que la première fois que je l’ai vue, avant leur mariage, elle avait la descente facile, surtout de la bière.
Ses grosses fesses et sa poitrine tombante seraient peut-être la conséquence de ses débordements ?
Instinctivement mon regard se porte sur la glace, ma poitrine est superbe malgré le poids des âges qui commence à être conséquent.

La glace, Pierre a bien fait de la remplacer, je peux voir que pendant que nous parlons, Lucie a sorti la verge de Noël qu’elle caresse comme si elle était déjà sa propriété.
Je décide de m’amuser un peu.

- Noël, je sens la bonne odeur de ce que vous avez préparé avec notre amie. Inutile de vider la cave de Pierre, va nous chercher le plat suivant.

Lucie a vu mon regard vers ma glace, elle réagit.

- Laisse Noël, je vais le chercher, j’aime me rendre utile.

Il semble soulagé.
Je suis une salope ou un peu jalouse, je vois qu’il fait discrètement rentrer sa verge dans son fut.

- Voilà « Colombo de poulet. »- Ce sont des dés de poulet, marinés avec des épices colombo.
C’est un mélange de plusieurs épices que nous trouvons en poudre.
Lucie connaissait, elle m’a conduit dans le rayons où ils en vendent en France, le reste serait trop long à expliquer. Dégustez avec le riz.

Je suis contente, les jeux de mains sous la table ont cessé.
Il faut dire que c'est délicieux, surtout que Pierre a débouché une bouteille de Morgon rouge, vin des coteaux du Beaujolais.

- Dis-moi Lucie, pourquoi as-tu quitté ta copine ce soir et d’où vient ton accent ?
- Corinne avait un client à voir ce soir à Paris.
Pardon, un camarade à voir à Paris.
- Tu en as trop dit, Lucie.
Soit toi-même, je sens que tu as horreur du mensonge, comme moi je le vomis, tu as bien dit « client. »- Je peux le dire, je retourne demain à Sète où j’ai un logement et nous ne nous reverrons plus.
J’ai connu Corinne il y a deux ans au Cap d’Agde où elle passait des vacances. Elle m’a invité pour noël, mais hier elle a reçu un coup de téléphone.
C’était un de ses clients de passage à Paris qui voulait la voir pendant trois jours.
Elle a été obligée de m’avouer que pendant mon séjour elle éviterait ce qui arrive comme je ne suis pas avec elle.
Elle est escorte girl pour payer ses études à la fac de Dijon.
Par sécurité, elle qui est originaire de Pouilly-en-Auxois, a pris un logement à Besançon, car par l’autoroute la fac est toute proche.
- Et toi, comment payes-tu tes études ?
- Anne, Lucie est la fille d’un couple de chirurgiens esthétiques qui ont une clinique privée à Montpellier.
- Mes parents possèdent un immeuble à Sète.
Dans cet immeuble, ils ont leur appartement, j’ai le mien aussi qu’ils m’ont offert.
D’où mon accent du sud.
Par dessus tout ça, nous possédons un appartement au dernier étage dans une co-propriété privée à Agde avec vu sur la plage naturiste.
- Tu es naturiste ?
- Et bi-sexuelle, Anne. Lucie m’a tout avoué, je sais qui elle est.
- Puisqu’il dit ce que je suis, oui, j’ai connu Corinne sur la plage d’Agde et elle est venue dans ma chambre.
C’est pourquoi elle m’a invité, vous comprenez que je n’ai pas besoin de me prostituer pour vivre, je peux même t’avouer que j’adore le sexe.
Même après ce que je vous ais dit, je dois dire les sexes.
- Je vois que vous avez aimé le poulet, Lucie, viens m’aider, amenons le dessert.

Ils partent en débarrassant le colombo de poulet, il faut que Noël me donne sa recette.

- Banane flambée au rhum.
Lucie met le rhum chaud et gratte ton allumette.

Une belle flamme va jusqu’au plafond, à quelques centimètres du détecteur de fumée que Pierre a placé là.
Il se déclenche, nous cassant les oreilles.

- Je vais chercher l’escabeau !

Noël grimpe et arrête la sonnerie et redescend.

- Pendant que tu y es, remonte pour redresser la flamme de l’arbre de Noël, elle est de travers.

Nous nous regardons avec Pierre, à deux doigts d’éclater de rire.
Je me vois mal expliquer aux enfants, car pour moi ce sont des enfants, comment je me suis cassé la figure rattrapée par mon chevalier servant.
Il remet en place la flèche et vient nous servir les bananes qui sont succulentes.
Je vois Pierre prendre la télécommande et démarrer notre chaîne.
Il a changé le CD sans que je ne le voie.
Une valse débute ?
Notre salle est vaste et permet de danser ce genre de morceau.

- Danses-tu Anne ?

Je me lève et nous valsons d’une manière divine, elle conduit, son sexe se collant au mien de façon plus que suspect.
La danse s’achève, nos bouches sont proches, nos yeux étincellent de l’une et l’autre, surtout les siens qui sont d’un bleu profond comme doit être la mer qu’elle voit depuis son appartement au-dessus de la plage.
Elle est bi, et je deviens bi quand elle me prend la bouche, sa bouche est divine.
Moi qui pensais lire ce soir, je me trouve entraînée dans un tourbillon de plaisir.
Par-dessus mon épaule, je vois les garçons s’asseoir dans le fauteuil de Pierre pour lui et l’accoudoir pour Noël.

- Viens Lucie, montons dans ma chambre, ces messieurs et surtout toi Noël avec ton bon repas a mérité que nous les récompensions.

Nous courons dans l’escalier. A ma demande, Lucie se déshabille, me montrant sa jolie poitrine en forme de pommes avec de petites pointes friponnes.
Sa chatte est recouverte d’une toison blonde comme ses cheveux montrant sa fente. Ses lèvres sont inexistantes comme les miennes.

- J’ai plusieurs nuisettes à notre disposition.
C'est le fantasme de Pierre et j'aime qu'il m'en offre.
Il est vrai que la première fois son cadeau fut un fer à repasser et il a failli le manger dans ses gencives.
Depuis ce sont des nuisettes.
Laquelle veux-tu mettre ?
- Je te comprends, la violette…