COLLECTION BELLE-MÈRE. C’est la faute de belle-maman (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2023 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION BELLE-MÈRE. C’est la faute de belle-maman (3/3)
• Dites-moi, très chère belle-maman, comment avez-vous fait l’éducation de votre fille ?
À la fin de ce deuxième chapitre, j’ai ma réponse.
Belle maman gère un club libertin alors qu’elle nous a fait croire qu’elle était infirmière de nuit dans l’hôpital voisin.
C’est Corinne son amie, prof des écoles qui sans le vouloir, semble-t-il, nous fait découvrir le pot aux roses.
C’est après nous avoir invités au restaurant avec Romain, son mari qu’ils nous entraînent dans cette boîte échangiste voisine d’où nous habitons et dont je connaissais l’existence.
Plusieurs fois avant d’épouser Sandrine, j’ai eu envie d’y aller, mais renseignements pris, comme ce soir le club était réservé au couple légitime ou illégitime.
Fêter son anniversaire de mariage en voyant sa femme se faire défoncer comme ce que je vois sur l’écran devant moi, ça peut paraitre bizarre.
Surtout par une verge noire, celle d’un des jumeaux adjoints de belle-maman.
Mais que dire de l’évolution de ma propre femme coincée du cul par manque d’éducation de ma belle-mère voulant préserver sa fille des turpitudes qu’elle a subie en devenant proprio de ce bordel légal.
La prostitution en France est autorisée, seul le racolage est interdit.
Combien de couple dans cette soirée où il semble y avoir une cinquantaine de personnes, sont-ils de vrais couples et combien de célibataires sont venues avec ce que l’on appelle des escortes baiser nos propres femmes.
Payer une femme pour venir baiser d’autres femmes, mariées ou en vrai couples, c’est un peu tordu, mais c’est la loi de notre monde.
Sandrine est dans une cage en verre, la caméra me montre qu’elle est au-dessus de la piscine et que des clients dans cette dernière ont la tête levée pour voir ce qu’il s’y passe.
• Paulette, on peut mettre du son, ta fille parle en se faisant prendre en levrette par ton black, j’aimerais entendre ce qu’elle dit.
• Non, nous avons le droit aux images sans les enregistrer pour protéger nos clients de certains individus qui auraient échappé à la sagacité de Louis qui tient les entrer ce soir.
Tu devras te contenter des images de ta femme que tu as laissée venir dans mon monde, malgré mes recommandations de l’en éloigner.
• La sexualité, certains la découvre plus tardivement que d’autres, il semblerait que Sandrine fasse partie de la deuxième catégorie et qu’elle souhaite rattraper le retard que tu lui as fait prendre.
Écarte tes jambes, j’ai respecté mon marché, continue à respecter le tien.
C’est ainsi que devant les écrans où je vois ma femme changer de partenaires.
Romain la baisant pendant que Corinne lui présente sa chatte à sucer que je pénètre Paulette qui semble une nouvelle fois apprécier ma verge.
J’assiste à la continuité de la transformation de ma femme, faisant évoluer sa sexualité du côté des femmes.
Je dois être un peu voyeur, voir ma femme sucer le vagin de sa copine augmente les coups de bite que je donne à sa mère.
Tout se termine pour Paulette et moi dans la piscine entièrement nue, elle a ôté bas et guêpière.
J’ai vu Sandrine changer de partenaire, par les écrans, je la vois coucher sur son amie continuant à la brouter mais se faisant de nouveau prendre par la verge noire de son amant.
Je suis assis sur les sièges immergés.
C’est formidable de baiser sous celle qu’il y a peu, sa mère la considérait être une coincée du cul.
Paulette place ses pieds de chaque côté de moi et comme la vision des progrès de Sandrine dans, sa sexualité me fait de nouveau bander, elle peut s’empaler commençant à gémir.
Près de nous, les deux salopes, pourquoi j’emploie le terme de salope, les deux femmes Georgette et Liliane que j’ai vu se gouiner par écrans interposés, ont été rejointes par les hommes et la femme ainsi que le mari candauliste.
Je les vois tous sortir de l’eau et aller au bar ou le cocu volontaire leur offre une bouteille de champagne.
Je quitte tout ce petit monde, car un couple vient s’assoir à nos côtés.
Si sur les écrans, faisant le tour des salles où ça baise allègrement certaines des clientes de Paulette sont un peu ingrates, cette blonde naturelle est une d’une beauté exceptionnelle.
Paulette part dans un orgasme qui me fait plaisir à lui apporter.
J’ai du mal à suivre toutes les situations, au-dessus de nous, la petite troupe a repris sa visite, la cage est vide
Il faudrait que je retourne vers les écrans dans le bureau pour suivre les évolutions sexuelles de ma femme, mais alors que Paulette me libère sans que j’aie déchargé, la blonde me regarde intensément.
Je suis persuadé, vu sa beauté et l’homme qui l’accompagne si quelconque que c’est une pute payée par son client pour venir profiter de la soirée couple.
• Bonsoir, Paulette, je vois que tu as trouvé un bel étalon, mais j’ai l’impression de vous avoir déjà vu !
• Bonsoir, comtesse Anastasia, bonsoir, comte Godefroid, cet étalon, c’est mon gendre.
• Mais oui, le mari de Sandrine, l’écrivain, j’ai vu votre photo sur votre deuxième best-seller.
Vous êtes mieux en vrai que sur ce livre.
Qui dit mieux, je suis assis les seins de cette belle femme à hauteur de mes yeux et je reçois un compliment sur le deuxième livre que j’ai écrit ?
• Je vous remercie pour l’invitation à votre mariage, mais nous étions en thalasso à Quiberon ce weekend-là, Godefroid aime que je reste svelte, l’âge avançant.
Voilà comment les gens se font cataloguer, la comtesse est mariée avec cet avorton alors que je la prenais pour une pute.
Sous l’eau ma verge est libre et c’est d’une main agile qu’elle mesure la puissance de mon instrument.
• Me permettez-vous Godefroid ?
• Faites ma chère, je connais votre passion pour les hommes de lettres, j’ai moi-même lu le livre de notre ami, je dois reconnaitre qu’il a un joli brin de plume.
Voilà comment une nouvelle femme s’empale sur moi.
Si j’ai un joli brin de plume, Anastasia a une chatte et une bouche très accueillante.
La chatte, c’est pour moi ainsi que ses seins que je titille de ma langue allègrement et sa bouche lorsqu’elle baisse la tête pour sucer son mari.
Contrairement à Lionel le mari candaulisme de Chantal, Godefroid participe aux parties de jambes en l’air de son épouse.
La comtesse me cache le bar, lorsqu’elle a fini de jouir absorbant comme un nectar le sperme de son mari, nous retournons vers le bar où je retrouve ma femme un verre à la main.
Paulette a dû remonter dans sa tour de contrôle, ses affaires qu’elle avait posées sur un pouf avant d’entrer dans l’eau brillent par leur absence.
• Mon chéri, tu as rencontré ma marraine, Anastasia, j’ignorais que tu pratiquais les clubs libertins.
• Nous sommes clients depuis quelques années, j’ai bien connu ton père, c’est ici que j’ai rencontré mon mari.
Tu comprends que le club de ta maman est cher à mon cœur.
• C’est vrai, Sandrine, ta marraine m’avait coûté assez cher, j’ai préféré l’épouser.
Un ange passe et si j’avais raison pour les putes accompagnant des hommes laids mais friqués.
Même si la comtesse est une ancienne escorte, je m’en fiche, je l’ai baisé juste en payant le prix de l’entrer
Sandrine me dit qu’elle est fatiguée, que je peux rester avec sa marraine et que Sandrine et Romain la ramène.
De mon côté, je rentre en suivant Paulette avant de prendre ma douche de me faire sécher mes cheveux et de rejoindre ma femme.
Moi aussi je suis épuisé et comme elle dort presque en suçant son pouce, je me garde bien de la réveiller.
Dans la matinée, il fait jour lorsque j’émerge, une bonne odeur de café m’aide à émerger.
Sandrine est en train de se recoucher.
• Mon cœur laisse-moi te sucer, je veux me faire pardonner d’avoir profité de notre club dont j’ignorais l’existence.
Je viens de discuter avec maman, elle m’a tout avoué, sur ce que vous avez fait et que j’ai pu constater de mes propres yeux dans la cage au-dessus de la piscine.
• Suce salope, on parlera avec ta mère devant une tasse de café, son odeur m’aide à bander.
Il m’est facile de défoncer Sandrine malgré la nuit à surprise que je viens de passer.
J’ai assez d’image de salope se faisant défoncer aux quatre coins de notre club.
Je dis notre club, nul doute que ma belle-mère dirige va devenir rapidement le nôtre.
J’emmène ma femme au paradis de celle qui baise sans retenue et l’explication avec Paulette se passe le mieux du monde.
Elle virevolte autour de nous dans son déshabillé négligement posé sur ses épaules.
Je vois un sein, mais la dernière séance dans notre lit avec Sandrine, ma définitivement vider les couilles.
J’ai aussi de la retenue, je me vois mal sauter ma belle-mère sur la table de la cuisine en présence de sa fille.
L’inverse vaut aussi, maintenant il y a le club pour cela.
Le temps passe, à grande vitesse.
Ça fait deux mois que Paulette nous a confié les clefs de son paquebot libertin.
Elle-même navigue sur l’un d’eux au large de la Floride.
Il faut savoir profiter de la vie à son âge.
Sandrine se fait très bien à son rôle d’hôtesse en guêpière avec des bas blancs sur ses hauts talons.
En ce moment, elle est au bar avec la comtesse Anastasia et Godefroid, je les vois partir dans le couloir menant à la cage en verre au-dessus de la piscine.
Godefroid va pouvoir l’enculer, chaque fois qu’il le peut, il semble aimer enculer les femmes.
Quant à moi, je suis derrière les écrans à contrôler la bonne marche de la moitié de mon entreprise.
J’ai inverti par moitié dans l’entreprise familiale, j’ai des idées de développement.
Le garage attenant au club est à vendre, personne pour acheter cette friche industrielle.
La surface disponible va nous permettre de proposer à nos clients et clientes de nouveaux jeux sexuels glanés sur Internet et qui semble faire fureur ailleurs.
On frappe à ma porte.
• Marion, c’est toi, viens me sucer.
• Oui, patron, je vous montais votre whisky.
Marion est l’une des deux serveuses au bar avec Aglaé, la jolie métisse Martiniquaise.
Bien sûrs, les deux frères blacks sont toujours là, ce soir, c’est Adrien qui est de service aux entrées et Louis qui aide nos clientes à trouver de belles bites à leur disposition.
Les deux serveuses, je les ai sautées dès le premier soir où Paulette est partie vers une contrée plus exotique.
Je pose le cahier ou j’écris mon nouveau roman.
Mon inspiration est un peu plus érotique que les précédents, j’écris toujours sur des idées originales, l’intrigue se passera dans un club libertin.
Marion descend mon boxer après s’être agenouillée.
Excusez, je vous quitte, j’ai du mal à me concentrer et faire deux choses en même temps.
À la fin de ce deuxième chapitre, j’ai ma réponse.
Belle maman gère un club libertin alors qu’elle nous a fait croire qu’elle était infirmière de nuit dans l’hôpital voisin.
C’est Corinne son amie, prof des écoles qui sans le vouloir, semble-t-il, nous fait découvrir le pot aux roses.
C’est après nous avoir invités au restaurant avec Romain, son mari qu’ils nous entraînent dans cette boîte échangiste voisine d’où nous habitons et dont je connaissais l’existence.
Plusieurs fois avant d’épouser Sandrine, j’ai eu envie d’y aller, mais renseignements pris, comme ce soir le club était réservé au couple légitime ou illégitime.
Fêter son anniversaire de mariage en voyant sa femme se faire défoncer comme ce que je vois sur l’écran devant moi, ça peut paraitre bizarre.
Surtout par une verge noire, celle d’un des jumeaux adjoints de belle-maman.
Mais que dire de l’évolution de ma propre femme coincée du cul par manque d’éducation de ma belle-mère voulant préserver sa fille des turpitudes qu’elle a subie en devenant proprio de ce bordel légal.
La prostitution en France est autorisée, seul le racolage est interdit.
Combien de couple dans cette soirée où il semble y avoir une cinquantaine de personnes, sont-ils de vrais couples et combien de célibataires sont venues avec ce que l’on appelle des escortes baiser nos propres femmes.
Payer une femme pour venir baiser d’autres femmes, mariées ou en vrai couples, c’est un peu tordu, mais c’est la loi de notre monde.
Sandrine est dans une cage en verre, la caméra me montre qu’elle est au-dessus de la piscine et que des clients dans cette dernière ont la tête levée pour voir ce qu’il s’y passe.
• Paulette, on peut mettre du son, ta fille parle en se faisant prendre en levrette par ton black, j’aimerais entendre ce qu’elle dit.
• Non, nous avons le droit aux images sans les enregistrer pour protéger nos clients de certains individus qui auraient échappé à la sagacité de Louis qui tient les entrer ce soir.
Tu devras te contenter des images de ta femme que tu as laissée venir dans mon monde, malgré mes recommandations de l’en éloigner.
• La sexualité, certains la découvre plus tardivement que d’autres, il semblerait que Sandrine fasse partie de la deuxième catégorie et qu’elle souhaite rattraper le retard que tu lui as fait prendre.
Écarte tes jambes, j’ai respecté mon marché, continue à respecter le tien.
C’est ainsi que devant les écrans où je vois ma femme changer de partenaires.
Romain la baisant pendant que Corinne lui présente sa chatte à sucer que je pénètre Paulette qui semble une nouvelle fois apprécier ma verge.
J’assiste à la continuité de la transformation de ma femme, faisant évoluer sa sexualité du côté des femmes.
Je dois être un peu voyeur, voir ma femme sucer le vagin de sa copine augmente les coups de bite que je donne à sa mère.
Tout se termine pour Paulette et moi dans la piscine entièrement nue, elle a ôté bas et guêpière.
J’ai vu Sandrine changer de partenaire, par les écrans, je la vois coucher sur son amie continuant à la brouter mais se faisant de nouveau prendre par la verge noire de son amant.
Je suis assis sur les sièges immergés.
C’est formidable de baiser sous celle qu’il y a peu, sa mère la considérait être une coincée du cul.
Paulette place ses pieds de chaque côté de moi et comme la vision des progrès de Sandrine dans, sa sexualité me fait de nouveau bander, elle peut s’empaler commençant à gémir.
Près de nous, les deux salopes, pourquoi j’emploie le terme de salope, les deux femmes Georgette et Liliane que j’ai vu se gouiner par écrans interposés, ont été rejointes par les hommes et la femme ainsi que le mari candauliste.
Je les vois tous sortir de l’eau et aller au bar ou le cocu volontaire leur offre une bouteille de champagne.
Je quitte tout ce petit monde, car un couple vient s’assoir à nos côtés.
Si sur les écrans, faisant le tour des salles où ça baise allègrement certaines des clientes de Paulette sont un peu ingrates, cette blonde naturelle est une d’une beauté exceptionnelle.
Paulette part dans un orgasme qui me fait plaisir à lui apporter.
J’ai du mal à suivre toutes les situations, au-dessus de nous, la petite troupe a repris sa visite, la cage est vide
Il faudrait que je retourne vers les écrans dans le bureau pour suivre les évolutions sexuelles de ma femme, mais alors que Paulette me libère sans que j’aie déchargé, la blonde me regarde intensément.
Je suis persuadé, vu sa beauté et l’homme qui l’accompagne si quelconque que c’est une pute payée par son client pour venir profiter de la soirée couple.
• Bonsoir, Paulette, je vois que tu as trouvé un bel étalon, mais j’ai l’impression de vous avoir déjà vu !
• Bonsoir, comtesse Anastasia, bonsoir, comte Godefroid, cet étalon, c’est mon gendre.
• Mais oui, le mari de Sandrine, l’écrivain, j’ai vu votre photo sur votre deuxième best-seller.
Vous êtes mieux en vrai que sur ce livre.
Qui dit mieux, je suis assis les seins de cette belle femme à hauteur de mes yeux et je reçois un compliment sur le deuxième livre que j’ai écrit ?
• Je vous remercie pour l’invitation à votre mariage, mais nous étions en thalasso à Quiberon ce weekend-là, Godefroid aime que je reste svelte, l’âge avançant.
Voilà comment les gens se font cataloguer, la comtesse est mariée avec cet avorton alors que je la prenais pour une pute.
Sous l’eau ma verge est libre et c’est d’une main agile qu’elle mesure la puissance de mon instrument.
• Me permettez-vous Godefroid ?
• Faites ma chère, je connais votre passion pour les hommes de lettres, j’ai moi-même lu le livre de notre ami, je dois reconnaitre qu’il a un joli brin de plume.
Voilà comment une nouvelle femme s’empale sur moi.
Si j’ai un joli brin de plume, Anastasia a une chatte et une bouche très accueillante.
La chatte, c’est pour moi ainsi que ses seins que je titille de ma langue allègrement et sa bouche lorsqu’elle baisse la tête pour sucer son mari.
Contrairement à Lionel le mari candaulisme de Chantal, Godefroid participe aux parties de jambes en l’air de son épouse.
La comtesse me cache le bar, lorsqu’elle a fini de jouir absorbant comme un nectar le sperme de son mari, nous retournons vers le bar où je retrouve ma femme un verre à la main.
Paulette a dû remonter dans sa tour de contrôle, ses affaires qu’elle avait posées sur un pouf avant d’entrer dans l’eau brillent par leur absence.
• Mon chéri, tu as rencontré ma marraine, Anastasia, j’ignorais que tu pratiquais les clubs libertins.
• Nous sommes clients depuis quelques années, j’ai bien connu ton père, c’est ici que j’ai rencontré mon mari.
Tu comprends que le club de ta maman est cher à mon cœur.
• C’est vrai, Sandrine, ta marraine m’avait coûté assez cher, j’ai préféré l’épouser.
Un ange passe et si j’avais raison pour les putes accompagnant des hommes laids mais friqués.
Même si la comtesse est une ancienne escorte, je m’en fiche, je l’ai baisé juste en payant le prix de l’entrer
Sandrine me dit qu’elle est fatiguée, que je peux rester avec sa marraine et que Sandrine et Romain la ramène.
De mon côté, je rentre en suivant Paulette avant de prendre ma douche de me faire sécher mes cheveux et de rejoindre ma femme.
Moi aussi je suis épuisé et comme elle dort presque en suçant son pouce, je me garde bien de la réveiller.
Dans la matinée, il fait jour lorsque j’émerge, une bonne odeur de café m’aide à émerger.
Sandrine est en train de se recoucher.
• Mon cœur laisse-moi te sucer, je veux me faire pardonner d’avoir profité de notre club dont j’ignorais l’existence.
Je viens de discuter avec maman, elle m’a tout avoué, sur ce que vous avez fait et que j’ai pu constater de mes propres yeux dans la cage au-dessus de la piscine.
• Suce salope, on parlera avec ta mère devant une tasse de café, son odeur m’aide à bander.
Il m’est facile de défoncer Sandrine malgré la nuit à surprise que je viens de passer.
J’ai assez d’image de salope se faisant défoncer aux quatre coins de notre club.
Je dis notre club, nul doute que ma belle-mère dirige va devenir rapidement le nôtre.
J’emmène ma femme au paradis de celle qui baise sans retenue et l’explication avec Paulette se passe le mieux du monde.
Elle virevolte autour de nous dans son déshabillé négligement posé sur ses épaules.
Je vois un sein, mais la dernière séance dans notre lit avec Sandrine, ma définitivement vider les couilles.
J’ai aussi de la retenue, je me vois mal sauter ma belle-mère sur la table de la cuisine en présence de sa fille.
L’inverse vaut aussi, maintenant il y a le club pour cela.
Le temps passe, à grande vitesse.
Ça fait deux mois que Paulette nous a confié les clefs de son paquebot libertin.
Elle-même navigue sur l’un d’eux au large de la Floride.
Il faut savoir profiter de la vie à son âge.
Sandrine se fait très bien à son rôle d’hôtesse en guêpière avec des bas blancs sur ses hauts talons.
En ce moment, elle est au bar avec la comtesse Anastasia et Godefroid, je les vois partir dans le couloir menant à la cage en verre au-dessus de la piscine.
Godefroid va pouvoir l’enculer, chaque fois qu’il le peut, il semble aimer enculer les femmes.
Quant à moi, je suis derrière les écrans à contrôler la bonne marche de la moitié de mon entreprise.
J’ai inverti par moitié dans l’entreprise familiale, j’ai des idées de développement.
Le garage attenant au club est à vendre, personne pour acheter cette friche industrielle.
La surface disponible va nous permettre de proposer à nos clients et clientes de nouveaux jeux sexuels glanés sur Internet et qui semble faire fureur ailleurs.
On frappe à ma porte.
• Marion, c’est toi, viens me sucer.
• Oui, patron, je vous montais votre whisky.
Marion est l’une des deux serveuses au bar avec Aglaé, la jolie métisse Martiniquaise.
Bien sûrs, les deux frères blacks sont toujours là, ce soir, c’est Adrien qui est de service aux entrées et Louis qui aide nos clientes à trouver de belles bites à leur disposition.
Les deux serveuses, je les ai sautées dès le premier soir où Paulette est partie vers une contrée plus exotique.
Je pose le cahier ou j’écris mon nouveau roman.
Mon inspiration est un peu plus érotique que les précédents, j’écris toujours sur des idées originales, l’intrigue se passera dans un club libertin.
Marion descend mon boxer après s’être agenouillée.
Excusez, je vous quitte, j’ai du mal à me concentrer et faire deux choses en même temps.
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