COLLECTION BELLE-MÈRE. Confidence à ma meilleure amie (1/1)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION BELLE-MÈRE. Confidence à ma meilleure amie (1/1)
• Bonsoir Amanda, tu es radieuse, j’arriverai presque à croire que tu as enfin pris un amant !
• Ça se voit autant que ça, tu as certainement raison !
• Dit m’en plus !
• Que veux-tu savoir, si c’est un garçon ou une fille ?
• Que dis-tu, un homme, ou une fille, serais-tu devenue lesbienne ?
• Bisexuelle, si tu le veux, je l’ai expérimenté lorsque j’étais mariée avant la mort de Joseph.
• Cachotière, tu sais que je suis friande de ce genre de détails et toi tu me sors tout de go que tu t’es gouinée une fois dans ta vie.
• Une fois, tu te mets le doigt dans l’œil, trois fois, avec trois filles différentes.
• Pourquoi me l’as-tu caché ?
• Crois-tu que c’est facile, même à sa meilleure copine, de lui dire que je suis devenue une brouteuse de gazon ?
• Ça alors, trois filles, moi j’ai failli franchir le pas avec Odile, mais au dernier moment j’ai reculé.
• Odile cette bigote, tu crois qu’elle aime les chattes !
• Je l’ai vu s’embrasser avec Sabine, sa collègue de bureau et s’était loin d’être un chaste baiser.
• Penser que j’aurais pu avoir Sabine sur mon tableau de chasse est à la limite de me faire hurler de frustration.
Mais tu sais, j’aime aussi les bites et j’ai le béguin pour un garçon, mais cette situation est plutôt ambiguë.
• Arrête de me faire languir, qui est ce garçon, quel âge a-t-il et où l’as-tu connu !
• Te faire languir, j’adore ça, tu voudrais que j’arrive et que je te dise :
« Tiens, j’ai baisé avec Julien ! »
• Tu as raison, si pour me faire marcher, tu viendrais me dire que tu baises avec ton gendre, si ce Julien c’est ton gendre !
Soit sûre que j’ai l’habitude que tu me fasses marcher et je me contenterais de te dire « arrête de me prendre pour une conne. »
• Tu vois, tu es incapable de me croire, lorsque je te dis quelque chose et que je suis sérieuse, pourquoi te ferais-je d’autres confidences !
• Arrête, je vais finir par m’énerver, ou tu parles ou tu te tais à jamais, comme disent les curés lorsqu’un couple se marie !
• Non, j’ai plutôt envie d’en parler, surtout à toi, Amanda, n’es-tu pas ma meilleure amie.
• Cause toujours Cléophée, tu m’intéresses, tu pourrais m’embobiner !
Tu as une première façon de me le prouver…
• Tout ce que tu veux, demande et je te suivrai dans ton délire.
Il y a longtemps que le cul de Cléophée m’intéresse, être une salope qui s’assume et avoir chaque fois que je marche à côté d’elle l’envie de lui mettre la main au cul.
• Oh ! que fais-tu ?
• Tu vois, tu as eu un mouvement de recul, lorsque je t’ai pris la tête.
• C’était de surprise, non, je le veux aussi, j’attends ça depuis des années.
Je m’étais emparé de la tête de Cléophée pour l’embrasser, évidemment sur la bouche, elle a eu un mouvement de recul.
C’est elle, se reprenant, qui prend mes lèvres, le canapé où j’ai baisé avec Julien étant près de nous.
Est-ce, elle ou moi qui chute en premier ?
Ce qui est sûr, c’est que sa bouche est à moi, comme son sein droit qui s’est dénudé dans sa chute ou notre chute.
Non seulement, elle, non, nous nous embrassons, mais c’est un immense plaisir de sentir sa main s’insinuer sous ma jupe d’été.
Confidence, l’été j’aime avoir la chatte épilée à l’air libre, je ne porte aucune petite culotte.
J’ai essayé le string, mais la ficelle entre mes blocs fessiers m’indisposait.
Non pas son passage, mais son frottement sur ma rosette, je suis très sensible de ma petite pastille autant que de mon gros clito.
Mon clito, c’est lui qui est à l’origine, lorsque j’ai cédé à Julien, mon beau-fils.
Mais nous verrons cela plus tard, j’aime diriger nos ébats avec mes partenaires.
Je prends la fraise, du moins ce que je peux en attraper, j’ai un gros clito et j’ai de grosses fraises, toujours prêtes à s’enflammer.
Cléophée, j’ignore encore pour son clito, j’espère bien vite le découvrir très rapidement, mais elle a des seins sans fraises ni aréole.
C’est simple, chaque zone érogène d’un corps de femmes, s’enflamme au moindre contact, c’est ce qui a été à l’origine de ma perte avec Julien.
J’allais chercher loin de chez nous ce que j’avais à portée de main.
Mais une nouvelle fois, je m’enflamme, je me consume même, Cléophée vient de trouver mon clito et son doigt qui tourne dessus, comme je tournais sur les chevaux de bois centenaire du bois de Vincennes.
Les chevaux de bois, ceux où j’ai rencontré Julien, celui qui devait devenir mon mari.
Il tournait devant moi attrapant anneau après anneau, à chaque tour.
D’un coup, il en attrape un qui s’envole avec les mouvements de rotation du manège et vient atterrir sur moi.
J’arrive à m’en saisir, ce sera le seul que j’avais, lorsque le manège s’est arrêté.
• Mademoiselle, cet anneau est à moi, je veux que vous me le rendiez !
• Et si je le mets, comme ça, a mon annulaire, qu’en pensez-vous ?
• À rien, celui-ci est dans un vulgaire métal indigne de votre beauté.
Épousez-moi et je vous en offre une bien plus jolie en or massif 24 carats.
Je suis joaillier et j’en ai des très jolies avec des bagues de fiançailles, dont l’une dans mon coffre que je réserve à ma future épouse.
Je l’ai suivi, même, le dimanche, jusqu’à l’avenue du Château où sa boutique se trouvait.
Bague de fiançailles, dès ce premier jour et canapé, le même que celui avec Julien et maintenant Cléophée.
On dirait qu’il a été conçu spécialement pour moi et mes fantasmes sexuels !
Même si certains de mes ébats ont eu lieu à d’autres endroits que celui ou Cléophée me bouffe la chatte et mon gros clito.
Joseph, Julien, les deux joailliers de ma vie, mes autres amants étant dans la finance et la politique.
Tous des clients venus à la boutique et que je les ai servis.
L’un d’eux, Malo, il venait pour lui aussi une bague de fiançailles, il est reparti avec, mais en me donnant son numéro de téléphone.
Appel, invitation, chambre dans l’hôtel auquel il résidait lorsqu’il était à Paris et cornes pour Joseph, plusieurs fois pendant des mois.
Dissolution de l’assemblée après une motion de censure du Premier ministre au moment du débat du budget du pays, puis battu, aucun motif de revenir à Paris.
Disparition de Joseph, une joaillerie sans joaillier, c’est faillite assurée.
Petite annonce, choix entre trois d’entre eux et c’est ce Julien qui a été l’heureux élu.
Après notre mariage et de nombreux cracs, cracs, même dans l’arrière-boutique de la joaillerie et vous vous retrouvez avec un gros ventre, de gros seins et de grosses aréoles noires autour des seins.
Je passe les allaitements et le tirage de mon lait, étant productrice pour deux ou trois de nos progénitures.
Azalée était là et vingt ans après, alors que nous vivions au-dessus de la boutique, elle m’annonçait qu’elle épousait celui qui était notre employé.
Rez-de-chaussée, boutique, premier étage, notre logement, plutôt mon logement après la mort de Joseph, suite à une crise cardiaque avec le canapé.
Et au-dessus, logement du jeune couple.
• Belle maman, j’ai fermé la boutique et je vais rejoindre Azalée, nous allons au restaurant pour notre anniversaire de mariage.
Pourriez-vous ?
Oh ! pardon !
Voir entrer votre gendre dans la pièce où vous êtes sur votre canapé à vous frotter le clito avec un gode dont vous vous l’enfoncez dans la chatte, les jambes écartées.
C’est une situation insolite.
Surtout que votre gendre prend l’initiative de sortir sa verge et de vous la mettre dans votre bouche.
Vous voulez vous offusquer, mais comment parler la bouche pleine.
• Il y avait longtemps que j’avais envie de te baiser, salope.
Comment refuser de remplacer le gode par ce sexe que vous venez par votre fellation de faire grandir suffisamment pour qu’il vous défonce ?
Alors Cléophée, c’est sans le moindre problème que vous, à son tour, vous lui écartez les jambes.
Vous découvrez son abricot doré, celui recouvert d’un fin duvet et d’un clito que vous devez aller chercher avec votre langue.
Elle aussi, en plus de votre amie est une gouine qui aime aussi les mâles.
• Julien, tu peux fermer la boutique et montez me voir !
• Tu as encore envie d’un petit coup de bite, ma salope, tu profites de ce que ta fille est à son cours de yoga, c’est bon, j’arrive.
C’est ainsi que quelques minutes après, surtout après un moment de surprise voyant que Cléophée est là, nue sur mon canapé, la chatte offerte.
C’est à deux que chacune derrière sa verge bien tendue, nous le suçons, nos langues se retrouvant lorsque nous le décidons.
Une petite partie à trois est la bienvenue.
Chacune de nous en levrette sur le canapé, le buste sur le dossier, nous subissons les derniers outrages de ce garçon robuste capable de nous satisfaire autant qu’il satisfait Azalée, ma fille.
Comment je le sais, après que nous avons joui, il retourne finir un changement de fermoir sur un bracelet ?
En descendant par l’escalier de service pour raccompagner Cléophée, passant derrière la porte de l’arrière-boutique, ma fille chante sous sa queue de retour de son yoga.
C’est un nouvel étonnement qui nous attend.
• Salope, tu as encore été te faire trombiner par ton amant en voulant me faire croire que tu vas au yoga.
Tiens prend ça dans ton cul.
Une chienne ne fait pas des chattes…
Voilà, tel est ma vie et ce qui a été ma vie.
Cléophée s’en retourne vers sa voiture, je la regarde partir, satisfaite comme moi de mon après-midi.
• Amanda, j’ai réussi à venir, ma femme est chez sa mère malade.
J’espérais bien te voir, la chance est avec moi, tu es là sur ce trottoir.
• Malo, tu tombes bien, je parlais justement de toi à ma meilleure amie.
Monte, mon canapé est toujours là, très accueillant.
• Ça se voit autant que ça, tu as certainement raison !
• Dit m’en plus !
• Que veux-tu savoir, si c’est un garçon ou une fille ?
• Que dis-tu, un homme, ou une fille, serais-tu devenue lesbienne ?
• Bisexuelle, si tu le veux, je l’ai expérimenté lorsque j’étais mariée avant la mort de Joseph.
• Cachotière, tu sais que je suis friande de ce genre de détails et toi tu me sors tout de go que tu t’es gouinée une fois dans ta vie.
• Une fois, tu te mets le doigt dans l’œil, trois fois, avec trois filles différentes.
• Pourquoi me l’as-tu caché ?
• Crois-tu que c’est facile, même à sa meilleure copine, de lui dire que je suis devenue une brouteuse de gazon ?
• Ça alors, trois filles, moi j’ai failli franchir le pas avec Odile, mais au dernier moment j’ai reculé.
• Odile cette bigote, tu crois qu’elle aime les chattes !
• Je l’ai vu s’embrasser avec Sabine, sa collègue de bureau et s’était loin d’être un chaste baiser.
• Penser que j’aurais pu avoir Sabine sur mon tableau de chasse est à la limite de me faire hurler de frustration.
Mais tu sais, j’aime aussi les bites et j’ai le béguin pour un garçon, mais cette situation est plutôt ambiguë.
• Arrête de me faire languir, qui est ce garçon, quel âge a-t-il et où l’as-tu connu !
• Te faire languir, j’adore ça, tu voudrais que j’arrive et que je te dise :
« Tiens, j’ai baisé avec Julien ! »
• Tu as raison, si pour me faire marcher, tu viendrais me dire que tu baises avec ton gendre, si ce Julien c’est ton gendre !
Soit sûre que j’ai l’habitude que tu me fasses marcher et je me contenterais de te dire « arrête de me prendre pour une conne. »
• Tu vois, tu es incapable de me croire, lorsque je te dis quelque chose et que je suis sérieuse, pourquoi te ferais-je d’autres confidences !
• Arrête, je vais finir par m’énerver, ou tu parles ou tu te tais à jamais, comme disent les curés lorsqu’un couple se marie !
• Non, j’ai plutôt envie d’en parler, surtout à toi, Amanda, n’es-tu pas ma meilleure amie.
• Cause toujours Cléophée, tu m’intéresses, tu pourrais m’embobiner !
Tu as une première façon de me le prouver…
• Tout ce que tu veux, demande et je te suivrai dans ton délire.
Il y a longtemps que le cul de Cléophée m’intéresse, être une salope qui s’assume et avoir chaque fois que je marche à côté d’elle l’envie de lui mettre la main au cul.
• Oh ! que fais-tu ?
• Tu vois, tu as eu un mouvement de recul, lorsque je t’ai pris la tête.
• C’était de surprise, non, je le veux aussi, j’attends ça depuis des années.
Je m’étais emparé de la tête de Cléophée pour l’embrasser, évidemment sur la bouche, elle a eu un mouvement de recul.
C’est elle, se reprenant, qui prend mes lèvres, le canapé où j’ai baisé avec Julien étant près de nous.
Est-ce, elle ou moi qui chute en premier ?
Ce qui est sûr, c’est que sa bouche est à moi, comme son sein droit qui s’est dénudé dans sa chute ou notre chute.
Non seulement, elle, non, nous nous embrassons, mais c’est un immense plaisir de sentir sa main s’insinuer sous ma jupe d’été.
Confidence, l’été j’aime avoir la chatte épilée à l’air libre, je ne porte aucune petite culotte.
J’ai essayé le string, mais la ficelle entre mes blocs fessiers m’indisposait.
Non pas son passage, mais son frottement sur ma rosette, je suis très sensible de ma petite pastille autant que de mon gros clito.
Mon clito, c’est lui qui est à l’origine, lorsque j’ai cédé à Julien, mon beau-fils.
Mais nous verrons cela plus tard, j’aime diriger nos ébats avec mes partenaires.
Je prends la fraise, du moins ce que je peux en attraper, j’ai un gros clito et j’ai de grosses fraises, toujours prêtes à s’enflammer.
Cléophée, j’ignore encore pour son clito, j’espère bien vite le découvrir très rapidement, mais elle a des seins sans fraises ni aréole.
C’est simple, chaque zone érogène d’un corps de femmes, s’enflamme au moindre contact, c’est ce qui a été à l’origine de ma perte avec Julien.
J’allais chercher loin de chez nous ce que j’avais à portée de main.
Mais une nouvelle fois, je m’enflamme, je me consume même, Cléophée vient de trouver mon clito et son doigt qui tourne dessus, comme je tournais sur les chevaux de bois centenaire du bois de Vincennes.
Les chevaux de bois, ceux où j’ai rencontré Julien, celui qui devait devenir mon mari.
Il tournait devant moi attrapant anneau après anneau, à chaque tour.
D’un coup, il en attrape un qui s’envole avec les mouvements de rotation du manège et vient atterrir sur moi.
J’arrive à m’en saisir, ce sera le seul que j’avais, lorsque le manège s’est arrêté.
• Mademoiselle, cet anneau est à moi, je veux que vous me le rendiez !
• Et si je le mets, comme ça, a mon annulaire, qu’en pensez-vous ?
• À rien, celui-ci est dans un vulgaire métal indigne de votre beauté.
Épousez-moi et je vous en offre une bien plus jolie en or massif 24 carats.
Je suis joaillier et j’en ai des très jolies avec des bagues de fiançailles, dont l’une dans mon coffre que je réserve à ma future épouse.
Je l’ai suivi, même, le dimanche, jusqu’à l’avenue du Château où sa boutique se trouvait.
Bague de fiançailles, dès ce premier jour et canapé, le même que celui avec Julien et maintenant Cléophée.
On dirait qu’il a été conçu spécialement pour moi et mes fantasmes sexuels !
Même si certains de mes ébats ont eu lieu à d’autres endroits que celui ou Cléophée me bouffe la chatte et mon gros clito.
Joseph, Julien, les deux joailliers de ma vie, mes autres amants étant dans la finance et la politique.
Tous des clients venus à la boutique et que je les ai servis.
L’un d’eux, Malo, il venait pour lui aussi une bague de fiançailles, il est reparti avec, mais en me donnant son numéro de téléphone.
Appel, invitation, chambre dans l’hôtel auquel il résidait lorsqu’il était à Paris et cornes pour Joseph, plusieurs fois pendant des mois.
Dissolution de l’assemblée après une motion de censure du Premier ministre au moment du débat du budget du pays, puis battu, aucun motif de revenir à Paris.
Disparition de Joseph, une joaillerie sans joaillier, c’est faillite assurée.
Petite annonce, choix entre trois d’entre eux et c’est ce Julien qui a été l’heureux élu.
Après notre mariage et de nombreux cracs, cracs, même dans l’arrière-boutique de la joaillerie et vous vous retrouvez avec un gros ventre, de gros seins et de grosses aréoles noires autour des seins.
Je passe les allaitements et le tirage de mon lait, étant productrice pour deux ou trois de nos progénitures.
Azalée était là et vingt ans après, alors que nous vivions au-dessus de la boutique, elle m’annonçait qu’elle épousait celui qui était notre employé.
Rez-de-chaussée, boutique, premier étage, notre logement, plutôt mon logement après la mort de Joseph, suite à une crise cardiaque avec le canapé.
Et au-dessus, logement du jeune couple.
• Belle maman, j’ai fermé la boutique et je vais rejoindre Azalée, nous allons au restaurant pour notre anniversaire de mariage.
Pourriez-vous ?
Oh ! pardon !
Voir entrer votre gendre dans la pièce où vous êtes sur votre canapé à vous frotter le clito avec un gode dont vous vous l’enfoncez dans la chatte, les jambes écartées.
C’est une situation insolite.
Surtout que votre gendre prend l’initiative de sortir sa verge et de vous la mettre dans votre bouche.
Vous voulez vous offusquer, mais comment parler la bouche pleine.
• Il y avait longtemps que j’avais envie de te baiser, salope.
Comment refuser de remplacer le gode par ce sexe que vous venez par votre fellation de faire grandir suffisamment pour qu’il vous défonce ?
Alors Cléophée, c’est sans le moindre problème que vous, à son tour, vous lui écartez les jambes.
Vous découvrez son abricot doré, celui recouvert d’un fin duvet et d’un clito que vous devez aller chercher avec votre langue.
Elle aussi, en plus de votre amie est une gouine qui aime aussi les mâles.
• Julien, tu peux fermer la boutique et montez me voir !
• Tu as encore envie d’un petit coup de bite, ma salope, tu profites de ce que ta fille est à son cours de yoga, c’est bon, j’arrive.
C’est ainsi que quelques minutes après, surtout après un moment de surprise voyant que Cléophée est là, nue sur mon canapé, la chatte offerte.
C’est à deux que chacune derrière sa verge bien tendue, nous le suçons, nos langues se retrouvant lorsque nous le décidons.
Une petite partie à trois est la bienvenue.
Chacune de nous en levrette sur le canapé, le buste sur le dossier, nous subissons les derniers outrages de ce garçon robuste capable de nous satisfaire autant qu’il satisfait Azalée, ma fille.
Comment je le sais, après que nous avons joui, il retourne finir un changement de fermoir sur un bracelet ?
En descendant par l’escalier de service pour raccompagner Cléophée, passant derrière la porte de l’arrière-boutique, ma fille chante sous sa queue de retour de son yoga.
C’est un nouvel étonnement qui nous attend.
• Salope, tu as encore été te faire trombiner par ton amant en voulant me faire croire que tu vas au yoga.
Tiens prend ça dans ton cul.
Une chienne ne fait pas des chattes…
Voilà, tel est ma vie et ce qui a été ma vie.
Cléophée s’en retourne vers sa voiture, je la regarde partir, satisfaite comme moi de mon après-midi.
• Amanda, j’ai réussi à venir, ma femme est chez sa mère malade.
J’espérais bien te voir, la chance est avec moi, tu es là sur ce trottoir.
• Malo, tu tombes bien, je parlais justement de toi à ma meilleure amie.
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