COLLECTION BELLE-MÈRE. Voyage vers l’Andalousie (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BELLE-MÈRE. Voyage vers l’Andalousie (3/3)
C’est dur de dire « belle maman » à celle à qui on a cassé le cul la nuit précédente.
J’en suis là avec Maggy, ma belle-mère lorsque la voiture fait une nouvelle embardée.
Certains diront que j’ai réveillé le serpent qui sommeillait en elle, c’est plus surement un monstre de sexe et de lubricité.
Je croyais lui rendre service en réalisant les fantasmes que je lui avais entendu dire à sa copine au téléphone.
J’ai tout bien fait, mais malgré son maintien et ses tenues bourgeoises, elle cachait au fond d’elle une salope qui devait s’ignorer.
Nous venons de passer Cordoue lorsqu’elle revient près de moi.
J’en ai ras la casquette des chants espagnols que je trouve sur toutes les radios.
À non, France culture, j’ai horreur de la grande musique et des heures de bla-bla pour refaire le monde.
Dans la nuit tombante, nous sommes entourés de champs de citrons, je vois quelques fruits, ce sont bien des citrons à la couleur.
À Cordoue, nous nous sommes arrêtés dans un resto à tapas, Maggy voulait du vin rouge du Pays.
J’avais déjà testé la femme qu’elle devenait lorsqu’elle abusait des champagnes français.
Le prix des bouteilles était loin d’être donné, mais leur coût était loin de me rebuter, ce sont plus les effets secondaires avant notre arrivée que je redoutais.
Maggy est remontée en voiture en me faisant la gueule.
Ça m’arrangeait même, ça m’isolait m’obligeant à écouter du flamenco, elle me tournait ostensiblement le dos regardant par la fenêtre les cultures qui défilaient.
• Tu peux t’arrêter, j’ai envie de pisser !
• Que cela ait dit dans un langage châtié, tu serais cher nous tu mettrais un euro dans le cochon aux vilains mots.
Je vais chercher un café ou comme tu le dis, tu vas pouvoir pisser.
• Non, dès que tu vois un chemin entre deux champs, arrête-toi sinon je pisse dans la voiture.
Quelques mètres, un chemin, ça fait deux heures que je roule, comme il est dit sur les autoroutes, une pause s’impose.
Elle descend en se dépêchant, j’en fais de même passant de son côté pour me délasser les jambes.
Elle est à cinq six mètres enlevant une jolie petite culotte rose.
Nous sommes entourés d’orangers, elle s’agenouille sous l’un d’eux.
Tenant sa culotte à la main, dans le coucher de soleil, vois clairement les jets d’urine sortir de cette chatte que j’ai baisé une bonne partie de la nuit.
C’est la première fois que je vois une femme faire ses besoins devant moi, surtout à la fin lorsque la source commence à se tarir et que de petits jets sortent encore, je bande.
Maggy voit que je la regarde et dès la dernière goutte, se frotte sa culotte sur sa chatte.
Je trouve qu’elle insiste un peu trop à croire qu’elle se masturbe avec sa culotte me faisant commencer à bander.
Elle se relève et vient vers moi.
• Vicieux, c’est comme ça que l’on regarde sa belle-mère urinée, mais je vois que ça te fait bander salopard.
En me disant ces mots, elle s’est rapprochée, elle place sa main sur ma verge, je sens que je suis à deux doigts d’exploser.
Je lui laisse sortir ma bite, pourtant je m’étais juré d’arrêter d’avoir des rapports avec elle en respect pour Julie et les enfants.
Mais quand elle se baisse comme elle l’a fait pour pisser, moi aussi je devais mettre un euro dans la cagnotte et qu’elle me met dans sa bouche que faire d’autre que craquer.
• Attends, tu vas me baiser, un dernier petit coup avant de retrouver la famille.
Joignant le geste à la parole, elle se relève, relève sa robe et se couche sur mon capot.
Je vois un rayon du soleil couchant frapper sa paire de fesses et la cible que je vais atteindre.
• Encule-moi, en te sentant en moi, ça m’éclairera peut-être si c’est toi qui m’as défoncé le cul la nuit dernière.
• Tiens, prend ça, oui c’est moi qui t’as enculé la nuit dernière, tu hurlais que tu voulais que je t’encule.
À Marseille, ils disent « droit au but », mon but, c’est sa rosette et alors qu’elle lâche un grand râle à la lune qui vient de se lever malgré qu’il fasse encore jour, je suis au fond de son anus.
Je deviens ivre de plaisir à chaque coup de bite que je lui donne.
Une envie irrésistible de lui claquer le baigneur me traverse, ma grosse main commence à lui rougir à chaque claque que je lui mets.
• Ah ! ah, continue, tu le fais jouir du cul, c’est la première fois que mon anus explose, ahhhhhh.
C’est un dernier râle de plaisir que nous lâchons tous les deux lorsque je vide mes couilles dans le cul, de Maggy, de ma belle-mère, de ma salope de belle-maman.
C’est au moment que je reprends pieds dans les orangers que je me rends compte que j’ai libéré ses seins et que mes mains les agrippent les tirant vers l’arrière au point de les arracher.
• Attends, je reviens.
Elle retourne vers l’arbre sous lequel elle a pissé, récupère sa culotte et se plaçant la main derrière elle, elle s’essuie le cul comme elle le ferait si elle avait déféqué.
J’ai rangé ma bite et mon couteau et je remonte en voiture, nous avons encore pris un grand temps de retard.
Elle vient de remonter lorsque son portable sonne posé sur le tableau de bord.
Elle décroche.
• Joseph, ça tombe bien, j’allais t’appeler, c’est de ma faute.
La main froide du bourreau passe sur ma nuque, que va-t-elle inventer.
• Je suis seule dans la voiture, en passant par Cordoue, je voulais voir les orangers, on a oublié de faire le plein et tu connais la route et le peu de pompe qu’il y a.
On est tombé en panne sèche, heureusement du petit chemin où nous avons pu nous arrêter, un tracteur est sorti cinq minutes après alors que nous essayons d’appeler son assistance.
Le brave paysan l’a fait monter, il a du gas-oil à sa ferme à quelques kilomètres, ils vont revenir et nous pourrons repartir.
Je l’ignore, dix ou onze heures, ça va dépendre du temps qu’ils vont mettre avant de revenir.
Oui, que Josy fasse manger les enfants et les couches nous aurons le temps de les voir le temps des vacances, bisous.
Elle raccroche et repose le téléphone.
• Tu te rends compte, il vient de me faire un gros poutou sur mes fesses.
Qu’est-ce que vous avez tous avec mes fesses, d’un seul coup tout le monde semble si intéresser ?
De plus fieffé salopard, elles me brûlent encore des tapes que tu leur as données.
Grâce à moi, je viens de trouver une explication au retard que nous avons engrangée lorsque l’on a baisé, roule.
Jolie menteuse, je viens d’avoir devant moi, la preuve qu’une femme était plus roublarde que nous.
Un doute me prend, je cocufie Josy avec Rose, en fait-elle de même lorsqu’elle me dit avoir certains retards après avoir été à son institut de beauté ou chez sa coiffeuse.
Une copine étant passée devant elle, car elle avait une urgence.
Moi qui baise régulièrement sa chatte afin qu’elle évite de se demander pourquoi je suis distant et qu’elle pense que je la trompe ?
En fait-elle de même, comme l’on dit « telle mère, telle fille » et depuis notre départ Maggy m’a prouvé qu’elle faisait partie du monde des salopes, ma femme en fait-elle partie.
Elle vient de tromper son mari de manière éhonté, Josy en fait-elle de même derrière mon dos.
En réfléchissant à tout ça, les radios andalouses ayant remplacé les radios madrilènes, les kilomètres défilent.
Marbella vingt kilomètres, il est vingt-deux heures vingt-cinq, Maggy sort de sa torpeur.
• William, j’ai beaucoup appris pendant notre voyage grâce à toi.
Sa main se repose sur mon pantalon comme elle l’a fait un peu plus tôt dans notre voyage.
Par chance, les diverses étapes de mes faiblesses sont rattrapées par les possibilités de l’homme, ma verge reste flasque.
• Je vois que tu restes sans réaction, trouve le moyen de t’arrêter, je vais te faire une fellation, nous sommes en avance sur l’heure que j’ai donnée à Joseph.
Ce sera le clou de nos rapports après, je te promets que tu passeras des vacances tranquilles, tu les as bien mérités et moi je retournerais à ma misère sexuelle.
• Belle-maman et si Josy a laissé les enfants attendre notre arrivée, ils ont dû aller à la mer une grande partie de la journée et se sont dépensés, sinon, nous les verrons demain matin redevenu grand-maman et gentil papa.
Tiens, nous retrouvons la route directe après Málaga, la densité de population nous empêche de trouver un coin tranquille.
Je sors vainqueur de ce dernier bras de fer avec celle qui est devenue la maitresse tout au long du parcours Paris Marbella, je gare la voiture aux pieds de notre maison familiale.
Josy, sans les enfants, et Joseph qui suit comme le vieux qu’il est en train de devenir.
Pimpante, j’ai l’impression qu’au cours de ce voyage, elle a rajeunie de plusieurs années, j’ignorais qu’un club échangiste et ma queue était capable d’un tel changement.
Faux cul comme je le suis et comme je le suis souvent, j’embrasse ma femme, mais avec un petit regain d’intérêt pour elle.
Je prends une grande décision, dès le début de notre nouvelle année en septembre, je vais trouver le moyen de licencier Rose et redevenir un père irréprochable.
• Les enfants voulaient vous attendre, ils se sont endormis sur le canapé, Papy m’a aidé à les mettre au lit.
Je connais mes enfants, j’ai bien fait de repousser les élans érotiques de Maggy sous le boisseau.
• Mon chéri, j’ai entendu que tu tutoyais, maman, comment ce changement a-t-il pu se produire, vu la bourgeoise qu’elle a toujours été ?
• Un long voyage, est la source de problèmes et notre panne d’essence y a largement contribué.
Elle continue à se déshabiller, ces huit jours de vacances semble lui avoir profité, j’ai l’impression qu’elle s’arrondit.
• Chéri, j’ai une grande nouvelle, regarde ce que j’ai découvert.
Elle me sort une espèce de stylo où je vois deux barres parallèles.
• Mon cœur, nous allons avoir le troisième enfant dont je révais j’ai adoré être enceinte la première fois.
J’exulte de bonheur en façade, car je sais qu’il va falloir changer de maison un enfant de plus, il lui faut de l’espace et je sais que je vais avoir des pleure, c’est dérangeant.
À Menton où elle est partie voir sa maman pour ses vacances, une certaine Rose, vient de sauver ses miches.
La dernière fois où elle a été grosse, elle a dû rester cinq mois allongés sans le moindre rapport sexuel.
Rose va m’être bien utile.
Et belle-maman, la dernière fois, elle était là presque vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Ma vie est loin d’être facile.
J’en suis là avec Maggy, ma belle-mère lorsque la voiture fait une nouvelle embardée.
Certains diront que j’ai réveillé le serpent qui sommeillait en elle, c’est plus surement un monstre de sexe et de lubricité.
Je croyais lui rendre service en réalisant les fantasmes que je lui avais entendu dire à sa copine au téléphone.
J’ai tout bien fait, mais malgré son maintien et ses tenues bourgeoises, elle cachait au fond d’elle une salope qui devait s’ignorer.
Nous venons de passer Cordoue lorsqu’elle revient près de moi.
J’en ai ras la casquette des chants espagnols que je trouve sur toutes les radios.
À non, France culture, j’ai horreur de la grande musique et des heures de bla-bla pour refaire le monde.
Dans la nuit tombante, nous sommes entourés de champs de citrons, je vois quelques fruits, ce sont bien des citrons à la couleur.
À Cordoue, nous nous sommes arrêtés dans un resto à tapas, Maggy voulait du vin rouge du Pays.
J’avais déjà testé la femme qu’elle devenait lorsqu’elle abusait des champagnes français.
Le prix des bouteilles était loin d’être donné, mais leur coût était loin de me rebuter, ce sont plus les effets secondaires avant notre arrivée que je redoutais.
Maggy est remontée en voiture en me faisant la gueule.
Ça m’arrangeait même, ça m’isolait m’obligeant à écouter du flamenco, elle me tournait ostensiblement le dos regardant par la fenêtre les cultures qui défilaient.
• Tu peux t’arrêter, j’ai envie de pisser !
• Que cela ait dit dans un langage châtié, tu serais cher nous tu mettrais un euro dans le cochon aux vilains mots.
Je vais chercher un café ou comme tu le dis, tu vas pouvoir pisser.
• Non, dès que tu vois un chemin entre deux champs, arrête-toi sinon je pisse dans la voiture.
Quelques mètres, un chemin, ça fait deux heures que je roule, comme il est dit sur les autoroutes, une pause s’impose.
Elle descend en se dépêchant, j’en fais de même passant de son côté pour me délasser les jambes.
Elle est à cinq six mètres enlevant une jolie petite culotte rose.
Nous sommes entourés d’orangers, elle s’agenouille sous l’un d’eux.
Tenant sa culotte à la main, dans le coucher de soleil, vois clairement les jets d’urine sortir de cette chatte que j’ai baisé une bonne partie de la nuit.
C’est la première fois que je vois une femme faire ses besoins devant moi, surtout à la fin lorsque la source commence à se tarir et que de petits jets sortent encore, je bande.
Maggy voit que je la regarde et dès la dernière goutte, se frotte sa culotte sur sa chatte.
Je trouve qu’elle insiste un peu trop à croire qu’elle se masturbe avec sa culotte me faisant commencer à bander.
Elle se relève et vient vers moi.
• Vicieux, c’est comme ça que l’on regarde sa belle-mère urinée, mais je vois que ça te fait bander salopard.
En me disant ces mots, elle s’est rapprochée, elle place sa main sur ma verge, je sens que je suis à deux doigts d’exploser.
Je lui laisse sortir ma bite, pourtant je m’étais juré d’arrêter d’avoir des rapports avec elle en respect pour Julie et les enfants.
Mais quand elle se baisse comme elle l’a fait pour pisser, moi aussi je devais mettre un euro dans la cagnotte et qu’elle me met dans sa bouche que faire d’autre que craquer.
• Attends, tu vas me baiser, un dernier petit coup avant de retrouver la famille.
Joignant le geste à la parole, elle se relève, relève sa robe et se couche sur mon capot.
Je vois un rayon du soleil couchant frapper sa paire de fesses et la cible que je vais atteindre.
• Encule-moi, en te sentant en moi, ça m’éclairera peut-être si c’est toi qui m’as défoncé le cul la nuit dernière.
• Tiens, prend ça, oui c’est moi qui t’as enculé la nuit dernière, tu hurlais que tu voulais que je t’encule.
À Marseille, ils disent « droit au but », mon but, c’est sa rosette et alors qu’elle lâche un grand râle à la lune qui vient de se lever malgré qu’il fasse encore jour, je suis au fond de son anus.
Je deviens ivre de plaisir à chaque coup de bite que je lui donne.
Une envie irrésistible de lui claquer le baigneur me traverse, ma grosse main commence à lui rougir à chaque claque que je lui mets.
• Ah ! ah, continue, tu le fais jouir du cul, c’est la première fois que mon anus explose, ahhhhhh.
C’est un dernier râle de plaisir que nous lâchons tous les deux lorsque je vide mes couilles dans le cul, de Maggy, de ma belle-mère, de ma salope de belle-maman.
C’est au moment que je reprends pieds dans les orangers que je me rends compte que j’ai libéré ses seins et que mes mains les agrippent les tirant vers l’arrière au point de les arracher.
• Attends, je reviens.
Elle retourne vers l’arbre sous lequel elle a pissé, récupère sa culotte et se plaçant la main derrière elle, elle s’essuie le cul comme elle le ferait si elle avait déféqué.
J’ai rangé ma bite et mon couteau et je remonte en voiture, nous avons encore pris un grand temps de retard.
Elle vient de remonter lorsque son portable sonne posé sur le tableau de bord.
Elle décroche.
• Joseph, ça tombe bien, j’allais t’appeler, c’est de ma faute.
La main froide du bourreau passe sur ma nuque, que va-t-elle inventer.
• Je suis seule dans la voiture, en passant par Cordoue, je voulais voir les orangers, on a oublié de faire le plein et tu connais la route et le peu de pompe qu’il y a.
On est tombé en panne sèche, heureusement du petit chemin où nous avons pu nous arrêter, un tracteur est sorti cinq minutes après alors que nous essayons d’appeler son assistance.
Le brave paysan l’a fait monter, il a du gas-oil à sa ferme à quelques kilomètres, ils vont revenir et nous pourrons repartir.
Je l’ignore, dix ou onze heures, ça va dépendre du temps qu’ils vont mettre avant de revenir.
Oui, que Josy fasse manger les enfants et les couches nous aurons le temps de les voir le temps des vacances, bisous.
Elle raccroche et repose le téléphone.
• Tu te rends compte, il vient de me faire un gros poutou sur mes fesses.
Qu’est-ce que vous avez tous avec mes fesses, d’un seul coup tout le monde semble si intéresser ?
De plus fieffé salopard, elles me brûlent encore des tapes que tu leur as données.
Grâce à moi, je viens de trouver une explication au retard que nous avons engrangée lorsque l’on a baisé, roule.
Jolie menteuse, je viens d’avoir devant moi, la preuve qu’une femme était plus roublarde que nous.
Un doute me prend, je cocufie Josy avec Rose, en fait-elle de même lorsqu’elle me dit avoir certains retards après avoir été à son institut de beauté ou chez sa coiffeuse.
Une copine étant passée devant elle, car elle avait une urgence.
Moi qui baise régulièrement sa chatte afin qu’elle évite de se demander pourquoi je suis distant et qu’elle pense que je la trompe ?
En fait-elle de même, comme l’on dit « telle mère, telle fille » et depuis notre départ Maggy m’a prouvé qu’elle faisait partie du monde des salopes, ma femme en fait-elle partie.
Elle vient de tromper son mari de manière éhonté, Josy en fait-elle de même derrière mon dos.
En réfléchissant à tout ça, les radios andalouses ayant remplacé les radios madrilènes, les kilomètres défilent.
Marbella vingt kilomètres, il est vingt-deux heures vingt-cinq, Maggy sort de sa torpeur.
• William, j’ai beaucoup appris pendant notre voyage grâce à toi.
Sa main se repose sur mon pantalon comme elle l’a fait un peu plus tôt dans notre voyage.
Par chance, les diverses étapes de mes faiblesses sont rattrapées par les possibilités de l’homme, ma verge reste flasque.
• Je vois que tu restes sans réaction, trouve le moyen de t’arrêter, je vais te faire une fellation, nous sommes en avance sur l’heure que j’ai donnée à Joseph.
Ce sera le clou de nos rapports après, je te promets que tu passeras des vacances tranquilles, tu les as bien mérités et moi je retournerais à ma misère sexuelle.
• Belle-maman et si Josy a laissé les enfants attendre notre arrivée, ils ont dû aller à la mer une grande partie de la journée et se sont dépensés, sinon, nous les verrons demain matin redevenu grand-maman et gentil papa.
Tiens, nous retrouvons la route directe après Málaga, la densité de population nous empêche de trouver un coin tranquille.
Je sors vainqueur de ce dernier bras de fer avec celle qui est devenue la maitresse tout au long du parcours Paris Marbella, je gare la voiture aux pieds de notre maison familiale.
Josy, sans les enfants, et Joseph qui suit comme le vieux qu’il est en train de devenir.
Pimpante, j’ai l’impression qu’au cours de ce voyage, elle a rajeunie de plusieurs années, j’ignorais qu’un club échangiste et ma queue était capable d’un tel changement.
Faux cul comme je le suis et comme je le suis souvent, j’embrasse ma femme, mais avec un petit regain d’intérêt pour elle.
Je prends une grande décision, dès le début de notre nouvelle année en septembre, je vais trouver le moyen de licencier Rose et redevenir un père irréprochable.
• Les enfants voulaient vous attendre, ils se sont endormis sur le canapé, Papy m’a aidé à les mettre au lit.
Je connais mes enfants, j’ai bien fait de repousser les élans érotiques de Maggy sous le boisseau.
• Mon chéri, j’ai entendu que tu tutoyais, maman, comment ce changement a-t-il pu se produire, vu la bourgeoise qu’elle a toujours été ?
• Un long voyage, est la source de problèmes et notre panne d’essence y a largement contribué.
Elle continue à se déshabiller, ces huit jours de vacances semble lui avoir profité, j’ai l’impression qu’elle s’arrondit.
• Chéri, j’ai une grande nouvelle, regarde ce que j’ai découvert.
Elle me sort une espèce de stylo où je vois deux barres parallèles.
• Mon cœur, nous allons avoir le troisième enfant dont je révais j’ai adoré être enceinte la première fois.
J’exulte de bonheur en façade, car je sais qu’il va falloir changer de maison un enfant de plus, il lui faut de l’espace et je sais que je vais avoir des pleure, c’est dérangeant.
À Menton où elle est partie voir sa maman pour ses vacances, une certaine Rose, vient de sauver ses miches.
La dernière fois où elle a été grosse, elle a dû rester cinq mois allongés sans le moindre rapport sexuel.
Rose va m’être bien utile.
Et belle-maman, la dernière fois, elle était là presque vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai lui avec plaisir d'un trait les 3 chapitres de cet écrit.
Bravo !
Bravo !
Merci beaucoup Chris...
Quelle Merveilleuse histoire bandante
Quelle Merveilleuse histoire bandante