COLLECTION BLACK. Jogging dans la forêt (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION BLACK. Jogging dans la forêt (1/3)
La forêt :
• Jenny ma chérie, je vois que tu te prépares pour ton jogging.
Évite la forêt, à la mairie, nous avons été prévenues que des immigrés s’y étaient installés.
La police a été prévenue, ils vont les expulser dès que l’autorisation du juge arrivera.
Georges, mon mari, depuis trois ans, est agriculteur et conseiller municipal.
J’ai emménagé dans sa ferme, mais sans m’en occuper, j’ai d’autres centres d’intérêt, principalement la sculpture et le jogging.
Pour notre voyage de noces, Georges a promis que nous irions à New York où je ferais le marathon de la ville, extraordinaire manifestation avec plus de 10 000 coureurs et coureuses étrangers et 50 000 au départ.
Comme Georges vient de le dire, ma maman m’a appelé Jenny.
Cette mère qui m’a élevé de père inconnu, était fan de Johnny, elle m’aurait donné son prénom si j’avais été un garçon.
J’ai vingt-deux ans, mariés depuis deux ans, à ce jour sans enfant, mais pour perpétrer la terre, nous en voulons un ou deux.
Que dire de plus, brune aux yeux verts, je suis longiligne, mais avec des seins lorsque je les libère de ma tenue de joggeuse ?
Ah, oui, Georges est agriculteur, mais j’ai été très claire, il fait tourner son exploitation et me laisse la vieille grange où j’ai installé mon atelier.
Je fais de la sculpture avec de l’argile, plutôt figurative, des êtres asexués et filiformes.
J’en vends quelques-unes au marché tous les mardis, mais surtout pendant l’été notre village étant assez ancien et ayant été le gagnant des plus beaux villages de France, il y a une dizaine d’années.
Je suis partie pour dix kilomètres, même parcours, même distance tous les jours, des hommes dans la forêt, je cours vite, je prends à droite, comme d’habitude et je m’engage sous le couvert.
Avant de déboucher sur le chemin me menant vers la petite côte dite des « monts, » aller savoir pourquoi, c’est relativement plat, je dois parcourir presque deux kilomètres.
Je m’arrête au tronc couché et je commence mes étirements, j’en ai l’habitude, ça fait partie de ma progression, jambe droite, puis jambe gauche.
C’est à cet instant qu’à quelques mètres de moi, j’aperçois sa silhouette massive, certainement une tête de plus que moi.
En slip et en tongs, j’ai le temps de voir qu’il se rase, une cuvette posée sur une veille table de camping à côté d’une tente Décathlon.
Il a un coupe-chou en main et son visage est couvert de savon.
En slip, alors que je passe à quelques mètres un peu anxieuse, le coup chou étant menaçant, je dois le dire, j’ai le temps de voir son paquet, comme le dit Georges lorsqu’il est à poil devant moi.
Il est bien plus impressionnant que celui de Georges lorsqu’il se prépare pour sa journée de labeur.
Je fais toujours deux tours de mon parcours, avec mon podomètre, je vois qu’ils correspondent à environ cinq kilomètres des dix que je fais tous les jours à cinq mètres de moins.
Je me retrouve de nouveau à l’orée de la forêt.
Suis-je téméraire ou inconsciente, j’ai bien vu deux à trois tentes sur les deux kilomètres, mais celle où l’homme se rasait était la seule où il y avait cette personne humaine ?
Je repars jusqu’à mon tronc, pensant passer sans m’arrêter, mais ai-je envie de me prouver à moi-même que je suis brave, voire très brave, je stoppe et je m’étire.
Il est là, assis dans un fauteuil en tissu, lui aussi genre fauteuil de pécheur de chez Décathlon, il lit, donc il est instruit.
J’ai le temps d’admirer sa musculature exceptionnelle, Georges est musclé, c’est normal dans son métier, il soulève des bottes de foin et de pailles d’un certain poids.
J’ai essayé d’en décoller une, même pas en rêve, j’ai vite renoncé.
Mais, cet homme noir, ses pectoraux sont bien plus impressionnants.
Et surtout, je suis étonnée de voir ses tablettes de chocolat.
J’en ai vu à la télé, mais bien réelle, ce sont les premières.
• Tu cours longtemps, longtemps, moi, je faisais du culturisme dans mon pays.
Je redémarre sans lui répondre, qu’il me parle et en français, amplifie ma peur qui vient de me submerger.
Je dois battre mon record sur le reste du parcours, c’est idiot, pour le marathon de New York pour lequel je m’entraine, il me faut prendre du cardio et non de la vitesse.
Surprise :
• Y a-t-il quelqu’un ?
Je sursaute, ça fait deux jours que j’ai pris la poudre d’escampette devant ce black, m’ayant surpris lorsqu’il s’est adressé à moi, surtout en français.
C’est con, mais c’est comme ça, les frayeurs sont incontrôlables lorsqu’elles surviennent et montent en vous.
J’ai couru depuis deux jours, mais j’ai modifié mon parcours, de cinq mètres de moins, je fais presque cent de plus à cause de pâturages que je suis obligée de contourner.
Au début, lors de ma décision, de me mettre au jogging, j’ai franchi des barbelés.
J’ai été coursé par un jeune taureau qui avait déjà une belle paire de couilles, pendant sous son ventre.
C’est après cette rencontre plutôt inopportune où j’ai dû mon salut, grâce à des fils de fer barbelés assez espacés pour que je puisse plonger.
Dans cette rencontre intempestive, j’y ai laissé un pantalon de jogging avec une balafre de dix centimètres, entrainant des points de suture.
C’est donc après cet incident, heureusement bien terminé, que je suis passée par la forêt.
C’était prévu, je parle de l’augmentation de distance, mais j’anticipe simplement d’une semaine.
Je devais augmenter ma distance parcourue pour être capable de courir comme le Marathon à Athènes dans l’Antiquité avec ses 42 Km, identiques dans les rues de New York.
Il est là à l’entrée de mon atelier, debout, dans l’embrasure de la porte, encore plus massif que dans la forêt.
Il est là, cet homme noir, celui qui m’a effrayé il y a deux jours.
• Je te reconnais, c’est toi, la joggeuse, j’ai dû te faire peur, ça fait deux jours que j’espère te voir passer près de mon campement, tu es très féline lorsque tu cours.
Sois sans crainte, je passais devant ta ferme, j’ai vu l’auge, puis-je me baigner, je dois sentir le fennec dans cette forêt.
Je suis désemparée, bloquée dans cette grange, alors que je m’apprêtais à travailler ma glaise pour créer une nouvelle figurine.
Hier, c’était le marché et un car de Japonais visitant notre village pour la première fois, m’a dévalisé.
Il fait chaud aujourd’hui, Georges est parti pour la journée après la traite, avec son nouveau joujou, un tracteur ultra-moderne, qui travaille avec les satellites.
Il nous a coûté plus de 100 000 €.
Heureusement que je vends des sculptures, ça nous aide à mettre du lard dans la marmite.
Pour travailler dans ma grange, le temps le permettant, je suis moi-même en maillot de bain deux pièces, mettant mes seins en valeur.
• L’auge qui est dehors, elle est là pour que nos vaches s’abreuvent lorsque Georges les rentre pour la traite.
Il vous massacrerait si je vous laissais faire.
Enfin, il essayerait, dans la forêt, j’ai vu que vous étiez baraqué.
On est loin d’être des sauvages, même si notre ferme est vieille, nous avons une salle de bain, venez, je vais vous y conduire.
Pour aller dans notre logement, je dois passer près de lui et pendant un instant, ma frayeur revient, s’il m’attrape avec ses battoirs, il peut me massacrer d’une seule main.
Je le frôle, il sent l’homme, il sent fort, il sent la terre comme après la pluie d’un orage, alors que Georges sent la vache.
Cuisine, dans le temps, les animaux vivaient avec les fermiers, c’est Georges avec son père qui a coulé la dalle de béton.
Un couloir, à droite la chambre d’amis, un jour chambre de nos enfants et en face la salle d’eau avec après notre chambre.
Le bain :
J’entre, j’ouvre les robinets mettant de l’eau chaude afin de remplir la baignoire.
• Non, laissez, depuis tout petit, je me baigne dans de l’eau froide, ça évite les maladies.
Quelle horreur, l’été il m’arrive d’aller me baigner dans la rivière non loin de chez nous, mais je mets un temps certain pour éviter de dire un certain temps à pénétrer dans cette eau froide.
J’entre dans notre chambre, ce black dont j’ignore son patronyme sentait l’homme lorsque je suis passée près de lui, mais ses affaires semblaient être tout sauf propre.
J’ouvre notre armoire en bois massif, valant certainement pépètes vues son âge, loin des meubles IKEA qu’ils vendent à la ville près de chez nous.
Un vieux jogging, un polo rayé, fabriqué en France, il est comme neuf, pour le slip, j’en vois bien qui sont au rebut, mais le paquet vu en forêt réussira-t-il à rentrer sans l’éclater.
Je frappe à la porte que j’ai repoussée avant de sortir chercher des affaires, j’ai l’autorisation de rentrer.
• Je vous apporte une serviette propre et du linge de rechange.
Vous pourrez garder le polo et le survêtement, mon mari qui est au champ à passer la herse, a fini de les mettre.
En même temps que je dis cela, je me rends compte que je me livre à cet homme comme les bourgeois de Calais avec leur corde au cou.
C’est presque une invitation à lui dire, lorsque tu auras fini, « n’hésite pas à profiter de moi. »
Je serais insatisfaite sexuellement, ça pourrait se comprendre, mais hormis le fait d’essayer d’avoir des enfants sans grand succès, mon mari est un bon amant, alors pourquoi ma chatte aurait envie d’aller voir ailleurs.
Je dois reconnaitre un petit détail qui va avoir son importance.
Lorsque je pénètre, pardon, que j’entre, on pourrait croire que je m’offre en parlant de « pénétrer. »
M’offrir, me suis-je offert le jour où j’ai été dépucelé ?
Je vais vous conter comment cela m’est arrivé…
• Jenny ma chérie, je vois que tu te prépares pour ton jogging.
Évite la forêt, à la mairie, nous avons été prévenues que des immigrés s’y étaient installés.
La police a été prévenue, ils vont les expulser dès que l’autorisation du juge arrivera.
Georges, mon mari, depuis trois ans, est agriculteur et conseiller municipal.
J’ai emménagé dans sa ferme, mais sans m’en occuper, j’ai d’autres centres d’intérêt, principalement la sculpture et le jogging.
Pour notre voyage de noces, Georges a promis que nous irions à New York où je ferais le marathon de la ville, extraordinaire manifestation avec plus de 10 000 coureurs et coureuses étrangers et 50 000 au départ.
Comme Georges vient de le dire, ma maman m’a appelé Jenny.
Cette mère qui m’a élevé de père inconnu, était fan de Johnny, elle m’aurait donné son prénom si j’avais été un garçon.
J’ai vingt-deux ans, mariés depuis deux ans, à ce jour sans enfant, mais pour perpétrer la terre, nous en voulons un ou deux.
Que dire de plus, brune aux yeux verts, je suis longiligne, mais avec des seins lorsque je les libère de ma tenue de joggeuse ?
Ah, oui, Georges est agriculteur, mais j’ai été très claire, il fait tourner son exploitation et me laisse la vieille grange où j’ai installé mon atelier.
Je fais de la sculpture avec de l’argile, plutôt figurative, des êtres asexués et filiformes.
J’en vends quelques-unes au marché tous les mardis, mais surtout pendant l’été notre village étant assez ancien et ayant été le gagnant des plus beaux villages de France, il y a une dizaine d’années.
Je suis partie pour dix kilomètres, même parcours, même distance tous les jours, des hommes dans la forêt, je cours vite, je prends à droite, comme d’habitude et je m’engage sous le couvert.
Avant de déboucher sur le chemin me menant vers la petite côte dite des « monts, » aller savoir pourquoi, c’est relativement plat, je dois parcourir presque deux kilomètres.
Je m’arrête au tronc couché et je commence mes étirements, j’en ai l’habitude, ça fait partie de ma progression, jambe droite, puis jambe gauche.
C’est à cet instant qu’à quelques mètres de moi, j’aperçois sa silhouette massive, certainement une tête de plus que moi.
En slip et en tongs, j’ai le temps de voir qu’il se rase, une cuvette posée sur une veille table de camping à côté d’une tente Décathlon.
Il a un coupe-chou en main et son visage est couvert de savon.
En slip, alors que je passe à quelques mètres un peu anxieuse, le coup chou étant menaçant, je dois le dire, j’ai le temps de voir son paquet, comme le dit Georges lorsqu’il est à poil devant moi.
Il est bien plus impressionnant que celui de Georges lorsqu’il se prépare pour sa journée de labeur.
Je fais toujours deux tours de mon parcours, avec mon podomètre, je vois qu’ils correspondent à environ cinq kilomètres des dix que je fais tous les jours à cinq mètres de moins.
Je me retrouve de nouveau à l’orée de la forêt.
Suis-je téméraire ou inconsciente, j’ai bien vu deux à trois tentes sur les deux kilomètres, mais celle où l’homme se rasait était la seule où il y avait cette personne humaine ?
Je repars jusqu’à mon tronc, pensant passer sans m’arrêter, mais ai-je envie de me prouver à moi-même que je suis brave, voire très brave, je stoppe et je m’étire.
Il est là, assis dans un fauteuil en tissu, lui aussi genre fauteuil de pécheur de chez Décathlon, il lit, donc il est instruit.
J’ai le temps d’admirer sa musculature exceptionnelle, Georges est musclé, c’est normal dans son métier, il soulève des bottes de foin et de pailles d’un certain poids.
J’ai essayé d’en décoller une, même pas en rêve, j’ai vite renoncé.
Mais, cet homme noir, ses pectoraux sont bien plus impressionnants.
Et surtout, je suis étonnée de voir ses tablettes de chocolat.
J’en ai vu à la télé, mais bien réelle, ce sont les premières.
• Tu cours longtemps, longtemps, moi, je faisais du culturisme dans mon pays.
Je redémarre sans lui répondre, qu’il me parle et en français, amplifie ma peur qui vient de me submerger.
Je dois battre mon record sur le reste du parcours, c’est idiot, pour le marathon de New York pour lequel je m’entraine, il me faut prendre du cardio et non de la vitesse.
Surprise :
• Y a-t-il quelqu’un ?
Je sursaute, ça fait deux jours que j’ai pris la poudre d’escampette devant ce black, m’ayant surpris lorsqu’il s’est adressé à moi, surtout en français.
C’est con, mais c’est comme ça, les frayeurs sont incontrôlables lorsqu’elles surviennent et montent en vous.
J’ai couru depuis deux jours, mais j’ai modifié mon parcours, de cinq mètres de moins, je fais presque cent de plus à cause de pâturages que je suis obligée de contourner.
Au début, lors de ma décision, de me mettre au jogging, j’ai franchi des barbelés.
J’ai été coursé par un jeune taureau qui avait déjà une belle paire de couilles, pendant sous son ventre.
C’est après cette rencontre plutôt inopportune où j’ai dû mon salut, grâce à des fils de fer barbelés assez espacés pour que je puisse plonger.
Dans cette rencontre intempestive, j’y ai laissé un pantalon de jogging avec une balafre de dix centimètres, entrainant des points de suture.
C’est donc après cet incident, heureusement bien terminé, que je suis passée par la forêt.
C’était prévu, je parle de l’augmentation de distance, mais j’anticipe simplement d’une semaine.
Je devais augmenter ma distance parcourue pour être capable de courir comme le Marathon à Athènes dans l’Antiquité avec ses 42 Km, identiques dans les rues de New York.
Il est là à l’entrée de mon atelier, debout, dans l’embrasure de la porte, encore plus massif que dans la forêt.
Il est là, cet homme noir, celui qui m’a effrayé il y a deux jours.
• Je te reconnais, c’est toi, la joggeuse, j’ai dû te faire peur, ça fait deux jours que j’espère te voir passer près de mon campement, tu es très féline lorsque tu cours.
Sois sans crainte, je passais devant ta ferme, j’ai vu l’auge, puis-je me baigner, je dois sentir le fennec dans cette forêt.
Je suis désemparée, bloquée dans cette grange, alors que je m’apprêtais à travailler ma glaise pour créer une nouvelle figurine.
Hier, c’était le marché et un car de Japonais visitant notre village pour la première fois, m’a dévalisé.
Il fait chaud aujourd’hui, Georges est parti pour la journée après la traite, avec son nouveau joujou, un tracteur ultra-moderne, qui travaille avec les satellites.
Il nous a coûté plus de 100 000 €.
Heureusement que je vends des sculptures, ça nous aide à mettre du lard dans la marmite.
Pour travailler dans ma grange, le temps le permettant, je suis moi-même en maillot de bain deux pièces, mettant mes seins en valeur.
• L’auge qui est dehors, elle est là pour que nos vaches s’abreuvent lorsque Georges les rentre pour la traite.
Il vous massacrerait si je vous laissais faire.
Enfin, il essayerait, dans la forêt, j’ai vu que vous étiez baraqué.
On est loin d’être des sauvages, même si notre ferme est vieille, nous avons une salle de bain, venez, je vais vous y conduire.
Pour aller dans notre logement, je dois passer près de lui et pendant un instant, ma frayeur revient, s’il m’attrape avec ses battoirs, il peut me massacrer d’une seule main.
Je le frôle, il sent l’homme, il sent fort, il sent la terre comme après la pluie d’un orage, alors que Georges sent la vache.
Cuisine, dans le temps, les animaux vivaient avec les fermiers, c’est Georges avec son père qui a coulé la dalle de béton.
Un couloir, à droite la chambre d’amis, un jour chambre de nos enfants et en face la salle d’eau avec après notre chambre.
Le bain :
J’entre, j’ouvre les robinets mettant de l’eau chaude afin de remplir la baignoire.
• Non, laissez, depuis tout petit, je me baigne dans de l’eau froide, ça évite les maladies.
Quelle horreur, l’été il m’arrive d’aller me baigner dans la rivière non loin de chez nous, mais je mets un temps certain pour éviter de dire un certain temps à pénétrer dans cette eau froide.
J’entre dans notre chambre, ce black dont j’ignore son patronyme sentait l’homme lorsque je suis passée près de lui, mais ses affaires semblaient être tout sauf propre.
J’ouvre notre armoire en bois massif, valant certainement pépètes vues son âge, loin des meubles IKEA qu’ils vendent à la ville près de chez nous.
Un vieux jogging, un polo rayé, fabriqué en France, il est comme neuf, pour le slip, j’en vois bien qui sont au rebut, mais le paquet vu en forêt réussira-t-il à rentrer sans l’éclater.
Je frappe à la porte que j’ai repoussée avant de sortir chercher des affaires, j’ai l’autorisation de rentrer.
• Je vous apporte une serviette propre et du linge de rechange.
Vous pourrez garder le polo et le survêtement, mon mari qui est au champ à passer la herse, a fini de les mettre.
En même temps que je dis cela, je me rends compte que je me livre à cet homme comme les bourgeois de Calais avec leur corde au cou.
C’est presque une invitation à lui dire, lorsque tu auras fini, « n’hésite pas à profiter de moi. »
Je serais insatisfaite sexuellement, ça pourrait se comprendre, mais hormis le fait d’essayer d’avoir des enfants sans grand succès, mon mari est un bon amant, alors pourquoi ma chatte aurait envie d’aller voir ailleurs.
Je dois reconnaitre un petit détail qui va avoir son importance.
Lorsque je pénètre, pardon, que j’entre, on pourrait croire que je m’offre en parlant de « pénétrer. »
M’offrir, me suis-je offert le jour où j’ai été dépucelé ?
Je vais vous conter comment cela m’est arrivé…
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