COLLECTION BLACK. Jogging dans la forêt (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Jogging dans la forêt (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Jogging dans la forêt (2/3)
Mes deux amants avant Georges :

J’avais plus de dix-sept ans lorsque j’ai perdu mon pucelage.
Je dois être franche, je pourrais dire que j’ai été déflorée par un beau gars de notre village.
Je mentirais même s’il était beau gosse.
J’ai du mal à le dire, je vais froisser quelques vieilles bigotes si tentées de croire que l’une d’elles lise ces lignes.
C’est le curé de notre village qui m’a fait passer du monde de l’adolescence à celui de femme.
J’avais treize, quatorze ans lorsque je suis déjà passée de l’enfance à cet état d’adolescente.
Non, aucune méprise, je parle simplement de mes formes très vite devenues féminines.
Mon corps, comme celui de mes copines de collège, a commencé à se transformer de très bonne heure.
Mes seins, mais aussi ma chatte, nom que j’ai découvert grâce à Odette, la délurée de notre village, certains disant qu’elle avait une case en moins.
Ce sont les mêmes, qui depuis qu’elle aussi est devenue femme, s’arrangent pour aller chez elle pour le moindre sujet.
Sans être la pute de notre village pour autant, nous savons qu’elle a la cuisse légère.
J’avais dix-sept ans, donc, maman, un matin, m’a demandé d’aller porter le pain pour la messe du dimanche.

Le curé, le premier :

Chez nous, nous avons gardé une vieille tradition, chaque famille partage la « miche » à tour de rôle les dimanches en sortant de la messe.
J’ai frappé à la porte du presbytère, sans avoir entendu que notre curé m’autorisait à entrer, j’ai poussé la porte.
J’étais dans la salle et sortant du couloir menant certainement aux chambres ou à sa chambre, il est sorti nu comme un ver.
Il aurait dû être surpris, mais il m’a parlé comme s’il avait sa soutane et que c’était naturel qu’il soit nu.
C’est à ce moment, qu’ayant déjà vu la verge de Michel à la rivière, dans une soirée de la Saint-Jean, autour du feu.
Il était bourré et il nous l’a montré, mais là, pour la première fois, je prenais conscience qu’un curé avait une bite.

• Tu es là ma chère jenny, tu m’amènes le pain du dimanche, excuse ma tenue, je sortais de mon bain.

Sa chambre, comment me suis-je retrouvée dans son lit, plutôt dessus son dessus-de-lit et que dans les minutes qui ont suivi, un coup de poignard et je suis revenue sur terre, son pieu m’ayant défloré.
Je venais de perdre mon pucelage, sans bien en prendre conscience.
Ce jour-là, ce fut le premier à faire de moi une femme.
J’y serais bien retournée de moi-même, mais le destin en a disposé autrement.
Deux jours après, le curé chassait ses paroissiennes, mais chassait aussi la perdrix et le gros gibier.
Le mercredi, il participait à une battue aux sangliers lorsque les chasseurs ont entendu un coup de feu.
Le père Karl est tombé sans que l’enquête puisse déterminer qui était le tireur.
Vingt chasseurs, dix-neuf sans lui, ôté Louis le cantonnier, il était pédé comme un phoque.
Bien qu’il ait été dit que même lui, le père Karl aurait pu avoir une aventure avec lui sans que quiconque puisse, là encore, le prouver.
Parmi eux, il y avait une femme, Laurence de Bellevue.
Châtelaine d’une moitié de la commune et vivant avec Hortense, aussi gouine l’une que l’autre.
Hortense, gouine et bigote, elles allaient à la messe tous les dimanches.
Le père Karl aurait pu entreprendre Hortense, qui en prenant ombrage, lui aurait porté le coup fatal.
Bref, autant de chasseurs, autant de cocus potentiels, ils étaient tous mariés sauf Laurence et un curé les ayant cocufiés, je perdais mon premier amant.

Le maire :

Jacques de Frontignan le maire, châtelain de son état, gérant les terres familiales dont des hectares de vignes.
Jacques de Frontignan, l’un des rares n’étant pas chasseurs et en conflit ouvert avec la châtelaine.
À chaque élection du maire, ils s’opposent l’un à l’autre, l’un prenant la place, l’autre devenant l’opposition.
Dans un an, il y a des élections à la mairie, nul doute que Laurence reprendra le siège à nouveau pour six ans.
Jacques, c’est moi qui ai témoigné que nous étions ensemble à la mairie.
Je suis la responsable de la maison des jeunes de notre village et nous devions parler de la future maison que le maire proposait dans sa campagne, espérant avoir les voix de ses nouveaux administrés.
C’est sur son bureau que j’ai fini par me faire sauter, lui donnant un parfait alibi.
Jacques, n’est pas chasseur, mais son castel renferme de nombreuses armes, son père étant collectionneur.
Sa bite a été son meilleur alibi, mais marié, il aurait pu faire partie du tableau de chasse du curé, celui-ci trainait souvent près de son castel alors que le maire était en réunion.
C’est quelque temps plus tard, que je me suis mise en ménage avec Georges.
Il m’a même été dit que c’est pour sa grange que je m’étais mise avec lui afin d’économiser un loyer.
Ce n’est pas faux, surtout depuis la venue de Soliman, c’est le nom que me donne mon black lorsque nous échangeons nos patronymes !

L’invitation :

• Georges, cet homme, allait partir lorsque tu es arrivé.
Il m’avait demandé de me baigner dans l’auge de tes vaches, je l’ai invité à prendre une douche, ça te contrarie !
• Pourquoi serais-je contrarié, Soliman, vous faites partie des immigrés qui vivent dans la forêt ?
• Pourquoi parles-tu en petit nègre avec Soliman, il parle notre langue mieux que nous ?
• Je viens du Mali, ayant été élevé dans une famille blanche à la mort de mes parents.
J’ai fui Bamako, à l’arrivée des djihadistes, qui voulaient m’enrôler dans leur armée et que je me batte contre les Français.
En Corse, l’on dirait que j’ai pris le maquis, mais c’est ma vie que j’ai jouée en traversant la Méditerranée sur un Zodiac surchargé.
Ils ont voulu m’enfermer à Lampedusa, en Italie, mais comme moi, lorsque l’on veut être un homme libre, ce n’est pas ce genre de camp qui vous freine.
Néanmoins, en France, c’est l’obtention de papier qui est problématique.
La France ne considère pas le Mali comme un pays en guerre et vos fonctionnaires voulaient me renvoyer à mon point de départ.
J’ai pris le maquis dans votre forêt, mais je dois aller à la préfecture voir à quel niveau mon dossier en est.
C’est pour cela que j’avais besoin de ton auge mon camarade.

Décontracté Soliman, j’ai un peu peur de Georges, mon mari, lors de sa réaction, toujours prêt à s’emporter lorsque quelque chose le contrarie.

• Soliman, va te renseigner et reviens ici, nous avons une chambre d’amis inoccupée, tu pourras y rester le temps qu’il te faudra.
J’envisage de me présenter contre le maire et la châtelaine aux prochaines élections, ça montrera aux gens que je suis un être sociable.
Je te demande une seule chose, lorsque tu viendras t’installer, pourras-tu m’aider dans des petits travaux, plus faciles à faire à deux que seul ?

Certains malintentionnés diraient que ça me troue le cul, autant de complaisance, moi qui craignais le pire.
Et qu’est-ce cette nouvelle lubie de se présenter à la candidature de maire ?
On n’en a même pas parlé tous les deux en tête-à-tête ou sur l’oreiller.

Nos soirées à deux ou à trois :

Ça fait deux jours, que Soliman est venu emménager, nous ignorons si c’est un séjour provisoire ou plus long, ils ne se sont pas encore réunis dans le ministère chargé du dossier pour statuer sur son cas.
J’ai personnellement bon espoir, Soliman parle très bien le français, mieux que moi.
Ça, c’est certain et il a des bras qui pourraient être utiles à notre nation.

Depuis deux jours, les hommes partent, avec le tracteur et la remorque, mettre en place une nouvelle clôture, sur un pré que Georges a décidé de mettre en pâture pour nos vaches.
La sécheresse limite la production de foin et il faut de l’herbe pour éviter de taper dans les réserves trop tôt dans la saison.
Ils avancent bien, à deux, tout est plus facile.
De retour pour la traite, heureusement automatique, ils ont croisé Léontine sur son vélo qui les a vus.
Nul doute que ça va jaser dans notre petit village, une femme seule et deux hommes à la maison.
Léontine, c’est la bigote sans curé depuis le décès du père Léon qui avait pris sa retraite deux mois plus tôt et restant toujours au presbytère.
C’est elle qui dit la messe le dimanche et qui est à la limite de confesser les paroissiens.
Elle est accompagnée par Lucienne, une autre bigote.
Un temps, il a été dit qu’elles étaient lesbiennes, mais sans jamais que quiconque ne le prouve.
Léontine lit les évangiles nous rappelant que nous sommes poussières et que nous retournerons à l’état de poussière.
Lucienne joue de l’harmonium et ceux qui vont à la messe, ce qui n’est pas mon cas, chantent tous en chœur, aussi fausse que Lucienne soit la reine des canards.

Heureusement, il y a longtemps que j’ai quitté ce monde de faux culs.
Léontine a toujours eu la cuisse légère bien connue dans le village.
Elle dit la messe, les dames cocues, comptez-vous, Léontine est de sortie.
Nul doute que lorsque les hommes l’ont croisé, elle allait à la ferme du père Grégoire.
Sa femme a été opérée de l’appendice et elle va pouvoir se faire défoncer.
Il est dit que le père Grégoire, à cinquante ans, est monté comme un âne, qu’il n’y a pu dans notre village.
Des ragots de bas étage, je ne suis jamais allée voir.
Bref, cloche merle en plus petit et c’est loin d’être terminer.

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