COLLECTION BLACK. Jogging dans la forêt (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Jogging dans la forêt (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
COLLECTION BLACK. Jogging dans la forêt (3/3)
J’emploie une expression bien connue, mais sans vraiment savoir d’où elle vient et ce qu’elle signifie réellement.
Heureusement, la technique moderne me permet d’interroger Copilot.
Copilot, intelligence artificielle incorporée dans mon traitement de texte dans lequel j’écris l’aventure, m’étant arrivée en faisant mon jogging et en passant par la forêt.
Là où des immigrés ont trouvé refuge et là où Georges, mon mari, m’avait déconseillé de me rendre.
Je l’ai pourtant emprunté, fidèle au parcours que je fais pour être prête à faire des marathons.

Origine et signification de « cloche merle » :

L’expression « cloche merle » fait référence à une ambiance typique des villages où règnent les potins, les rumeurs et les petites querelles entre voisins et voisines.
Elle provient du célèbre roman « Clochemerle » de Gabriel Chevallier, publié en 1934, qui met en scène une petite commune française secouée par des conflits de clocher, des cancans et des histoires de mœurs.
Le mot est devenu un symbole de ces situations dans lesquelles la vie locale s’agite autour de rivalités, de jalousies ou d’affaires futiles qui prennent une importance démesurée.

Exactement à notre échelle, ce que nous vivons chez nous.
Usage dans le texte :

Dans le passage cité, la formule « cloche merle en plus petit » traduit une atmosphère pleine de jugements, de non-dits et de rumeurs sur la vie sexuelle ou les pratiques religieuses des habitantes du village.
Cela évoque un microcosme dans lequel chacun et chacune surveille l’autre et où l’on colporte des rumeurs à la moindre occasion.
Ce qui donne à la communauté un air de théâtre permanent, aussi drôle que cruel, où tout le monde joue un rôle.
Le narrateur ou la narratrice décrit ainsi un environnement dans lequel les moindres faits et gestes, les relations et les réputations, deviennent sujets à récit, exagération ou moquerie.

En somme, « clochemerle », mais à l’échelle plus réduite du village évoqué.
Tout à fait comme nous, j’ai employé la bonne expression.

Intervilles à la télé :

Ce soir, c’est la finale, d’Intervilles sur France Télévision.
Nous avons dîné d’un beau gros steak de vache avec des frites que j’ai coupées et cuites maison.
Pour ma part, le steak était de moitié et les frites, quelques-unes pour accompagner mes deux hommes, tenues de ma ligne obligent.
Il serait malheureux de courir pour maintenir ma ligne et de tout reprendre le temps d’un bon repas.
J’ai eu une copine qui était du Ch’Nord, comme Galabru le martel dans « Bienvenue chez les Ch’tis » et qui m’a appris à les faire, à la graisse de bœuf et cuites deux fois.
Les hommes dévorent, à midi, ils se sont contentés de sandwichs qu’ils avaient préparés, je dormais encore au moment où ils ont quitté la ferme après avoir fait la traite du matin.
Pour ma part, jogging dès mon réveil et après une douche, travail de la glaise.
Après le repas, chacun de nous se douche.
Eux, car ils ont transpiré intensément toute la journée, moi, parce qu’il m’arrive fréquemment de passer ma main dans mes cheveux et de me maculer de glaise.

• Je vais me coucher, ce jeu est débile depuis qu’ils ont enlevé les vachettes.

Là, c’est Georges qui se lève de son fauteuil après avoir regardé les conflits dans le monde aux informations.
Un jour, nous évoquions Poutine et il me disait qu’il avait peur qu’il ne fasse péter une bombe sur nous !
Je lui ai rétorqué que la bombe, elle était peut-être déjà partie et que nous étions déjà morts, car elle explosera avant que je n’aie le temps de finir ma phrase.
Bon, je l’ai fini et il nous donne un sursis.
Je reviens de la cuisine et, sans penser malice, Georges étant toujours dans son fauteuil, je vais m’installer à côté de Soliman, à la place à laquelle je me tiens habituellement.
Nous nous croisons lorsqu’il rejoint notre chambre.
Intervilles commence et je dois être fatigué, à un moment, je me surprends à m’être affalé sur l’épaule de Soliman.
Quelle horreur, ma main s’est portée sur son sexe qui est sorti de son peignoir et qui me regarde par son méat un peu rose dans la noirceur de ce pieu qui m’est présenté.
Les mauvais pensants, ceux de Clochemerle diront que mon assoupissement, suivi de la prise en main de cette verge, était prémédité.
J’affirme et cela sans la moindre ambiguïté qu’il n’en est rien, seulement la situation est étonnante depuis que j’ai vu Soliman nu dans la salle de bains.

• Suce ma belle, j’ai parlé avec ton mari ce midi en buvant un verre de son vin rosé, il n’est pas opposé à un plan à trois.

Comment, je peux faire entrer cette verge dans ma bouche, moi qui ne suis pas experte en fellation ?
J’aurais pu l’être, mais Georges n’était pas demandeur, alors, ça ne s’est pas fait.
Ma main le masturbe et ma bouche, malgré sa grosseur, je le suce au plus loin que je le peux.

• Viens, que je te baise, depuis que je t’ai vu, c’est mon vœu le plus cher.

Bien calé dans ses cousins, c’est moi qui me redresse et enlevant mon propre peignoir, je m’empale, émettant un cri pouvant être de souffrance, mais vite transformé en cri de plaisir.

On va me dire que je vais me reprendre et chasser l’intrus.
Baiser sous le toit de mon mari, c’est inadmissible, n’empêche que lorsque Soliman me caresse les seins, je suis frappée par le plus bel orgasme jamais atteint.

• Mon Dieu, qu’est-ce que je fais, même si j’ai plaisir à le faire.
• Eh bien, Jenny continue, je prends beaucoup de plaisir, autant, sinon plus de te voir te faire prendre par Soliman !

Petit arrangement en famille :

Ça fait quelques jours que les ragots vont bon train dans notre village que j’ai surnommé clochemerle.
Il faut dire que nous n’avons pas été très discrets.
Au marché, le mardi suivant, Soliman est venu m’aider à installer mon étal ainsi que les statuettes mises en vente.
Certes, nous nous sommes bien tenus, mais c’est moi qui ai fait l’imper.
À notre côté, se trouvait un marchand de matelas de plusieurs modèles.
Depuis l’acceptation de Georges de me partager avec celui qui devenait de plus en plus son adjoint, j’ai demandé au vendeur, s’il lui était possible d’avoir matelas et sommier plus grands que 140 ?
Sa réponse a été « oui, » 180 ou 200.
J’ai envoyé Soliman à la ferme pour mesurer la chambre.
C’est donc lui qui a aidé à passer commande en 180, le 200 serait trop large.
Les murs et les oreilles en ont toujours qui traînent et j’ai su plus tard que leur GPS étant en panne, les livreurs ont demandé à Léontine leur chemin vers « la ferme des trois petits cochons. »

(Inutile de chercher où se trouve notre ferme.
Aucune intelligence artificielle digne de ce nom ne vous dira que Chris71 vient de l’inventer afin de mettre un lieu sur la demande des livreurs.)

Notre ferme, ainsi que la fourgonnette sur laquelle une raison sociale montrait des matelas en tout genre.
Il n’y a pas eu besoin de trouver qui avait vendu la mèche faisant éclore tous les cancans sur la salope que j’étais.

180 pour quoi y faire exactement.

• Vas-y, passe par devant, je me contenterai de lui baiser le cul.

Quelle femme, n’ayant pas essayé la « double pénétration » ne connaît rien dans une partie de jambes en l’air ?
Moi, si.
Les garçons m’ont fait profiter de ce plaisir de sentir deux bites en moi.
La couleur importe peu, seule la taille des membres me prenant d’un côté et de l’autre, en a.
J’adore Salomon dans ma chatte et Georges dans mon anus.
L’inverse je fais aussi, mais la grosse verge de Soliman a encore un peu de mal de me donner un plaisir complet, car il adore me prendre ainsi.
Mais ça va venir, je reste optimiste, d’ailleurs, j’ai l’impression que je ne suis pas la seule dans le village à profiter de sa grosse queue qu’il sait si bien s’en servir.

• Léontine, Soliman notre employé va à ta messe tous les dimanches, il t’aide même à dire la messe en faisant l’enfant de choeur.
Que tu te fasses baiser dans la sacristie, tu peux autant que tu le veux, mais si tu as comme but de le faire venir chez toi pour le garder pour toi seule, je vais t’arracher les yeux.

Les choses étant dites, je croyais avoir vu le bout du tunnel avec mon amant si bien membré et ayant bouleversé ma vie.
Il n’en était rien.
Soliman dans son pays avait des dons de guérisseur.
Rapidement dans notre village, dans lequel j’ai parlé de la rumeur, il a été demandé aux quatre coins du pays.
Une foulure, une brûlure, il savait éteindre le feu, pour les humains et les animaux, vous l’appeliez, il venait et il réglait le problème.
Indispensable aux uns et aux unes, mais surtout indispensable à moi, je croyais que c’était le cas.
Une nuit de folie, une nuit de luxure et de débauche.
Un réveil douloureux, mon cul me brûlait d’avoir été trop pénétré, sans savoir que ce matin-là au marché, je ferais sauter la banque ayant eu un creux au début de ma relation avec Soliman.
Trop de gens m’en voulaient, surtout les femmes, de l’avoir à demeure et comme la rumeur s’étant propagée, on le sait déjà de partager ma couche avec lui.


Triste nouvelle, surtout pour nous les femmes :

• Georges, tu rentres après avoir labouré, sais-tu où est Soliman !
• Non, ce matin quand j’ai quitté notre lit à tous les trois.
En retard pour la traite après la nuit qu’il nous a fait passer, je pensais qu’il était dans la stabulation.
Il n’en était rien, les vaches meuglaient en attendant d’être traites.

Voilà, c’est fini, je reviens à ma vie d’avant, dans un lit trop grand, sans oublier mon casse-croûte habituel, Georges.
Clochemerle, le bruit a couru plus vite qu’un éclair, les salopes dont Léontine, elle aussi veuve après le départ de notre mâle devenu dominant dans notre petit coin de campagne.
Et que dire, si Georges réussissait à devenir maire, c’est moi qui me retrouverais à m’occuper de la traite des vaches, une sinécure pour moi.

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Histoire sexe : Une rose rouge
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