COLLECTION BLACK. Le démonte-pneu, non, les démonte-pneus (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2023 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION BLACK. Le démonte-pneu, non, les démonte-pneus (2/2)
Noire, noire, noire, grosse, noire,grosse, grosse, très grosse.
C’est à ça que je rêve dès que je ferme les yeux depuis trois mois ou depuis un problème de pneu dégonflé, je me suis donné à Mamadou, noir baraqué d’origine sénégalaise.
Quelle est ma situation avec Aldo, mon mari.
Les rares fois où il est là, il a un métier itinérant sur les routes, couvrant principalement l’Ouest de la France comprenant principalement la Bretagne, il m’a refait l’amour après que je l’ai caressé pendant la nuit.
On aurait dit qu’il avait honte de mon corps déformé par ma grossesse alors que j’ai repris mes fringues d’avant avec même un cran de moins de la ceinture de certaines de mes robes.
J’aime plutôt les robes que les jeans et les escarpins que les baskets, pourtant j’en ai chaussées pour aller courir, en salle, sur des tapis pendant des kilomètres afin de reprendre ma ligne.
C’est Chantal chez qui je me rendais quand j’ai cru être crevé, je parle du pneu de ma Dacia, Chantal garde ma fille Arisa une fois par semaine.
Le jour où Mamadou m’a fait commettre l’adultère, je me rendais dans son nouveau logement.
Mais j’ai fait une erreur de parcours et mon voyant « pneu » s’est allumé à cause de chenapans ayant mis un morceau d’allumette dans ma valve certainement lorsque je me suis arrêtée à ma pharmacie.
Sans cette blague d’enfants, j’aurais fait cinq cents mètres et j’aurais vu le panneau Carrefour au rond-point suivant et j’aurais retrouvé la route que j’aurais dû garder.
Ce jour-là, je suis arrivée trop tard, elle avait mis un mot sur sa porte me disant que si je venais elle partait chez sa coiffeuse.
Depuis j’y suis retournée et ayant vu cette salle de fitness, j’ai pris un contrat pour que mon mari soit fier des efforts de sa femme pour le reconquérir.
Pourtant, rien, pas un geste vers moi, d’origine marocaine, ma pudeur m’empêchait de lui parler de mon problème et surtout que tous mes rêves étaient orientés sur de gros engins noirs.
Lorsque mes seins se sont taris alors que j’étais une véritable fabrique à lait, j’ai passé Arisa au lait maternisé.
Chaque fois que je vais acheter des boîtes de lait maternisé à la pharmacie, je repense au sexe de Mamadou que j’ai réussi à escalader comme d’autre escalade les montagnes de l’Himalaya.
Chaque fois que je me gare devant cette pharmacie, je regarde si les petits chenapans veulent me refaire leur blague.
J’ai peu de chance, l’école a repris et à moins qu’ils sèchent peu de risques qu’une allumette soit coincée dans ma valve
Mon lait a cessé de couler, mais pour autant les élans de mon mari est restée lettre morte.
Changeant de tactique, c’est avec ma main que j’ai réussi à le faire bander suivi de ma bouche sous le drap.
J’ai eu l’impression que le noir bien différent du mien lui permettait d’avoir une érection.
J’ai rejeté le drap et à la lueur de son radio-réveil, je me suis empalée sur sa petite bite.
J’avais l’impression de l’emmerder et moi j’ai été insatisfaite car deux montées et trois descentes et il éjaculait.
Je l’ai libéré et trois minutes après, il s’était rendormi.
C’est hier que mon destin a basculé, j’ai voulu ranger le sac d’Arisa où un bordel s’était installé.
Je savais comment aller au garage, mais j’espérais retrouver les élans de mon mari dans nos jeux érotiques, alors la nuit je fantasme, mais le jour, je résiste.
Là dans ma main bien au fond du sac, j’ai la carte avec le numéro de téléphone de Mamadou,
Une phrase me revient en mémoire prononcée au moment où nous nous sommes séparés.
« À tout moment, de jour comme de nuit, tu m’appelles et nous viendrons te dépanner. »
Après tous mes échecs pour retrouver la droite ligne acceptée lors de mon mariage, je monte un plan pour qu’il vienne me secourir.
Je sas, c’est petit, mais il faut savoir prendre des initiatives pour se ressentir de nouveau, une femme.
Mon père aimait les voitures et me montrait souvent son moteur qu’il bichonnait.
Sans être en mesure de réparer une bagnole, je sais ce qu’est un Delco.
Je vais sur une route à quelques kilomètres de chez-moi et sur un parking, j’arrache un fils créant ma panne.
Forte de mon expérience de zone blanche devant chez mon amant, j’ai appelé Chantal qui a accepté de garder ma fille sans savoir que c’est pour aller baiser une bite noire que je lui ai laissée.
Arisa joue dans son parc que mon amie a acheté lui servant de lit si elle la garde à l’heure de la sieste, ce qui est le cas aujourd’hui.
Je viens à peine d’arracher le fil, laissant mon capot ouvert qu’une voiture s’arrête.
• Vous voulez que je regarde, je peux peut-être vous dépanner !
• Merci mon mari est à deux pas et il arrive, vous pouvez y aller.
On pense à bien des choses lorsque votre bas-ventre crie famine, mais certainement pas aux hommes qui sont prêts à vous aider, surtout avec des arrière-pensées lorsqu’ils voient votre petit cul.
Je referme mon capot et je m’installe au volant pour appeler Mamadou, j’ai le répondeur, j’ai pensé à tous sauf à son absence.
Je raccroche, je vais pour recommencer lorsque j’ai un appel par le Bluetooth de ma voiture.
À sa livraison, le livreur de la concession l’a configuré.
• Qui m’appelle ?
Je sais qu’il faut appuyer sur un bouton du volant, ça m’a été expliqué.
Je panique, j’ai reconnu la voix de Mamadou, j’arrive à me connecter.
• C’est moi, Radia je suis en panne et comme tu m’avais dit que, jour et nuit je pouvais t’appeler en me laissant ta carte, je me suis permis de t’appeler.
• Tu as bien fait, je t’envoie mes frères, ce sont eux qui gèrent la dépanneuse et moi j’ai un travail à terminer, je serais enchanté de te revoir, tu dois te douter pourquoi ?
Je vois où tu es à tes explications, mais fais attention, tu risques d’avoir des surprises sur ce parking au bord de la nationale !
Il coupe avant que j’aie le temps de lui poser une question sur ces surprises potentielles alors qu’une voiture vient se garer près de moi et me fait signe de descendre ma vitre.
Sans penser plus loin que le bout de mon nez, je la descends, le chauffeur en fait de même côté passager.
• T’es nouvelle, c’est combien pour une pipe.
Je referme rapidement je comprends pourquoi Mamadou m’a prévenu des surprises de ce parking.
C’est à ce moment qu’une voiture décapotable de sport vient se garer devant moi.
Une magnifique rousse est au volant, le gars qui m’a pris pour une pute s’est garé et revient à la charge, mais l’affaire se fait, car les deux voitures se mettent en route.
J’ignore où la fille se rend, car dans les trois quarts d’heure où j’attends, elle fait trois fois la rotation.
Combien une pute prend elle, je l’ignore, mais je comprends mieux la voiture de sport mon mari ayant seulement pu m’acheter une Dacia.
Que je suis bête, c’est Mamadou qui m’intéresse et le plaisir qu’il m’apporte surtout que la dépanneuse arrive.
• Ouvre le capot, je vais regarder si je peux te réparer sur place !
C’est le jumeau de Mamadou qui vient de m’interpeller, j’avais pensé à tout sauf qu’un bon mécanicien trouverait de suite le câble débranché et que dans cinq minutes je serais dépannée.
J’aurais mieux fait d’aller direct au garage et de dire à mon amant que j’aimerais tester son lit rond.
Amat referme le capot, le verdique va tomber.
• Il est impossible de réparer sur place, Boubacar aide Radia à monter et vient m’aider à faire monter la voiture sur le plateau.
Pour monter dans la cabine un peu haute Boubacar se permet de me tâter les fesses, je me laisse faire, ils montent la voiture et il démarre.
Un peu plus loin, sors d’un chemin de terre la rousse dans sa voiture de sport, c’est dans ce chemin qu’elle se fait baiser ou suce, moyennant rétribution.
Je sens la main d’Amat quitter le levier de changement de vitesse et la poser sur ma cuisse.
Boubacar en fait de même, le contact des mains de ces deux beaux blacks m’échauffe, mais nous sommes déjà arrivés, Mamadou est là semblant nous attendre.
• Frérot, tu avais raison, encore une qui avait un goût de revenez-y, elle a simplement débranché son Delco.
Je suis prise à mon propre piège, mais bon Mamadou semble s’en amuser et me prenant la main il m’aide à descendre.
Il me tire directement vers sa chambre, je sais que c’est pour mon plus grand plaisir et surtout c’est ce que j’espérais.
C’est à ce moment que je vois que ses deux frères ont suivi, tous les quatre nous nous retrouvons à poil.
Je m’aperçois que ce que j’avais découvert être monstrueux est multiplié par trois.
Trois sexes de même calibre sont à ma disposition.
Le lit tourne, chacun des frères se tiennent debout à son tiers.
Je suis à quatre pattes, Mamadou tient la télécommande.
Ma bouche se trouve tour à tour à hauteur de chacune d’elles et je peux les sucer et les masturber chacune leur tour, car il immobilise le lit quelques minutes.
J’étais venue pour un démonte-pneu, je me retrouve avec trois d’entre eux à ma disposition.
Je sens ma mouille couler le long de mes cuisses.
Ce petit jeu dure un temps et Mamadou fini par le laisser tourner.
Chacun d’eux saute sur le lit et m’aide à me retrouver au centre.
Mamadou m’empale en me soulevant d’une seule main, vu la force de la nature qu’il est.
J’avais pensé à tout sauf que la jumelle de la première aurait des velléités de me sodomiser, pourtant en forçant un peu pour la première fois, je me fais prendre par ma rosette.
Le dernier frère vient devant ma bouche à ce moment où je hurle de souffrance mélangée à du plaisir.
Ça fait trois fois que je laisse Arisa chez Chantal avant de venir me faire défoncer par mes trois mâles en rut.
Je trouve à me faire prendre en double pénétration tout le plaisir que j’étais venue chercher avec une seule d’entre elles.
Cet après-midi, ils ont même réussi l’exploit de me prendre en double vaginale et Mamadou me sodomisant.
J’ai cru que mes trous allaient exploser à être étirés au maximum.
J’ai récupéré ma fille Chantal ayant voulu savoir qui était mon amant.
Il va sans dire qu’elle a eu du mal à comprendre que j’en satisfaisais trois d’un coup et trois très bien pourvu.
Mais le plus extraordinaire est venu lorsque je suis rentré, une lettre d’Aldo était posée sur la table de notre salle à manger.
« Radia, tu as dû t’apercevoir que j’ai de plus en plus de mal à faire l’amour avec toi.
J’ai rencontré quelqu’un et nous nous aimons.
Je prends tous les tords à ma charge et nous fixerons avec le juge le montant des indemnités d’entretien de notre fille.
Adieu. »
C’est signé Aldo.
Ce sera quelques semaines plus tard que je ferais la connaissance de celui qui m’a remplacé.
Je dis bien « celui » car il s’agit d’un jeune homme, mais je me retrouve libre.
Je quitte le tribunal, ma voiture connaît très bien le chemin conduisant vers un garage ou trois verges m’attendent, mais j’ai aussi une fresque à terminer, représentant les quatre étapes de la vie.
Lorsque mon lit tourne, je peux admirer mon travail.
Surtout lorsque je satisfais l’un des trois frères avec une préférence pour Mamadou.
Je le reconnais, il a un point blanc sur le côté de sa verge et je peux me rendre compte qu’à chaque tour, la vie est un éternel recommencement.
Mes trois amants et moi sommes dans le troisième tiers, Arisa dans le premier et le fils que j’attends va commencer, comme sa sœur, l’une des quatre étapes de cette vie pleine de surprise.
Qui de l’un ou de l’autre aura introduit la graine source de vie ?
Nous nous en fichons, comme toute bonne fille du désert, je veux quatre ou cinq de ces petits êtres pour aigayer nos vies.
Avec un peu de chance, chacun d’eux me fécondera, même si certaines d’entre vous peuvent penser que je suis une salope.
Je vous quitte, j’ai une facture à aller taper et si dieu le veut, une des trois verges me clouera au pilori sur le bureau.
Contrairement à mon ex, ils savent qu’une femme enceinte peut largement les satisfaire, sans risque pour mes progénitures.
C’est à ça que je rêve dès que je ferme les yeux depuis trois mois ou depuis un problème de pneu dégonflé, je me suis donné à Mamadou, noir baraqué d’origine sénégalaise.
Quelle est ma situation avec Aldo, mon mari.
Les rares fois où il est là, il a un métier itinérant sur les routes, couvrant principalement l’Ouest de la France comprenant principalement la Bretagne, il m’a refait l’amour après que je l’ai caressé pendant la nuit.
On aurait dit qu’il avait honte de mon corps déformé par ma grossesse alors que j’ai repris mes fringues d’avant avec même un cran de moins de la ceinture de certaines de mes robes.
J’aime plutôt les robes que les jeans et les escarpins que les baskets, pourtant j’en ai chaussées pour aller courir, en salle, sur des tapis pendant des kilomètres afin de reprendre ma ligne.
C’est Chantal chez qui je me rendais quand j’ai cru être crevé, je parle du pneu de ma Dacia, Chantal garde ma fille Arisa une fois par semaine.
Le jour où Mamadou m’a fait commettre l’adultère, je me rendais dans son nouveau logement.
Mais j’ai fait une erreur de parcours et mon voyant « pneu » s’est allumé à cause de chenapans ayant mis un morceau d’allumette dans ma valve certainement lorsque je me suis arrêtée à ma pharmacie.
Sans cette blague d’enfants, j’aurais fait cinq cents mètres et j’aurais vu le panneau Carrefour au rond-point suivant et j’aurais retrouvé la route que j’aurais dû garder.
Ce jour-là, je suis arrivée trop tard, elle avait mis un mot sur sa porte me disant que si je venais elle partait chez sa coiffeuse.
Depuis j’y suis retournée et ayant vu cette salle de fitness, j’ai pris un contrat pour que mon mari soit fier des efforts de sa femme pour le reconquérir.
Pourtant, rien, pas un geste vers moi, d’origine marocaine, ma pudeur m’empêchait de lui parler de mon problème et surtout que tous mes rêves étaient orientés sur de gros engins noirs.
Lorsque mes seins se sont taris alors que j’étais une véritable fabrique à lait, j’ai passé Arisa au lait maternisé.
Chaque fois que je vais acheter des boîtes de lait maternisé à la pharmacie, je repense au sexe de Mamadou que j’ai réussi à escalader comme d’autre escalade les montagnes de l’Himalaya.
Chaque fois que je me gare devant cette pharmacie, je regarde si les petits chenapans veulent me refaire leur blague.
J’ai peu de chance, l’école a repris et à moins qu’ils sèchent peu de risques qu’une allumette soit coincée dans ma valve
Mon lait a cessé de couler, mais pour autant les élans de mon mari est restée lettre morte.
Changeant de tactique, c’est avec ma main que j’ai réussi à le faire bander suivi de ma bouche sous le drap.
J’ai eu l’impression que le noir bien différent du mien lui permettait d’avoir une érection.
J’ai rejeté le drap et à la lueur de son radio-réveil, je me suis empalée sur sa petite bite.
J’avais l’impression de l’emmerder et moi j’ai été insatisfaite car deux montées et trois descentes et il éjaculait.
Je l’ai libéré et trois minutes après, il s’était rendormi.
C’est hier que mon destin a basculé, j’ai voulu ranger le sac d’Arisa où un bordel s’était installé.
Je savais comment aller au garage, mais j’espérais retrouver les élans de mon mari dans nos jeux érotiques, alors la nuit je fantasme, mais le jour, je résiste.
Là dans ma main bien au fond du sac, j’ai la carte avec le numéro de téléphone de Mamadou,
Une phrase me revient en mémoire prononcée au moment où nous nous sommes séparés.
« À tout moment, de jour comme de nuit, tu m’appelles et nous viendrons te dépanner. »
Après tous mes échecs pour retrouver la droite ligne acceptée lors de mon mariage, je monte un plan pour qu’il vienne me secourir.
Je sas, c’est petit, mais il faut savoir prendre des initiatives pour se ressentir de nouveau, une femme.
Mon père aimait les voitures et me montrait souvent son moteur qu’il bichonnait.
Sans être en mesure de réparer une bagnole, je sais ce qu’est un Delco.
Je vais sur une route à quelques kilomètres de chez-moi et sur un parking, j’arrache un fils créant ma panne.
Forte de mon expérience de zone blanche devant chez mon amant, j’ai appelé Chantal qui a accepté de garder ma fille sans savoir que c’est pour aller baiser une bite noire que je lui ai laissée.
Arisa joue dans son parc que mon amie a acheté lui servant de lit si elle la garde à l’heure de la sieste, ce qui est le cas aujourd’hui.
Je viens à peine d’arracher le fil, laissant mon capot ouvert qu’une voiture s’arrête.
• Vous voulez que je regarde, je peux peut-être vous dépanner !
• Merci mon mari est à deux pas et il arrive, vous pouvez y aller.
On pense à bien des choses lorsque votre bas-ventre crie famine, mais certainement pas aux hommes qui sont prêts à vous aider, surtout avec des arrière-pensées lorsqu’ils voient votre petit cul.
Je referme mon capot et je m’installe au volant pour appeler Mamadou, j’ai le répondeur, j’ai pensé à tous sauf à son absence.
Je raccroche, je vais pour recommencer lorsque j’ai un appel par le Bluetooth de ma voiture.
À sa livraison, le livreur de la concession l’a configuré.
• Qui m’appelle ?
Je sais qu’il faut appuyer sur un bouton du volant, ça m’a été expliqué.
Je panique, j’ai reconnu la voix de Mamadou, j’arrive à me connecter.
• C’est moi, Radia je suis en panne et comme tu m’avais dit que, jour et nuit je pouvais t’appeler en me laissant ta carte, je me suis permis de t’appeler.
• Tu as bien fait, je t’envoie mes frères, ce sont eux qui gèrent la dépanneuse et moi j’ai un travail à terminer, je serais enchanté de te revoir, tu dois te douter pourquoi ?
Je vois où tu es à tes explications, mais fais attention, tu risques d’avoir des surprises sur ce parking au bord de la nationale !
Il coupe avant que j’aie le temps de lui poser une question sur ces surprises potentielles alors qu’une voiture vient se garer près de moi et me fait signe de descendre ma vitre.
Sans penser plus loin que le bout de mon nez, je la descends, le chauffeur en fait de même côté passager.
• T’es nouvelle, c’est combien pour une pipe.
Je referme rapidement je comprends pourquoi Mamadou m’a prévenu des surprises de ce parking.
C’est à ce moment qu’une voiture décapotable de sport vient se garer devant moi.
Une magnifique rousse est au volant, le gars qui m’a pris pour une pute s’est garé et revient à la charge, mais l’affaire se fait, car les deux voitures se mettent en route.
J’ignore où la fille se rend, car dans les trois quarts d’heure où j’attends, elle fait trois fois la rotation.
Combien une pute prend elle, je l’ignore, mais je comprends mieux la voiture de sport mon mari ayant seulement pu m’acheter une Dacia.
Que je suis bête, c’est Mamadou qui m’intéresse et le plaisir qu’il m’apporte surtout que la dépanneuse arrive.
• Ouvre le capot, je vais regarder si je peux te réparer sur place !
C’est le jumeau de Mamadou qui vient de m’interpeller, j’avais pensé à tout sauf qu’un bon mécanicien trouverait de suite le câble débranché et que dans cinq minutes je serais dépannée.
J’aurais mieux fait d’aller direct au garage et de dire à mon amant que j’aimerais tester son lit rond.
Amat referme le capot, le verdique va tomber.
• Il est impossible de réparer sur place, Boubacar aide Radia à monter et vient m’aider à faire monter la voiture sur le plateau.
Pour monter dans la cabine un peu haute Boubacar se permet de me tâter les fesses, je me laisse faire, ils montent la voiture et il démarre.
Un peu plus loin, sors d’un chemin de terre la rousse dans sa voiture de sport, c’est dans ce chemin qu’elle se fait baiser ou suce, moyennant rétribution.
Je sens la main d’Amat quitter le levier de changement de vitesse et la poser sur ma cuisse.
Boubacar en fait de même, le contact des mains de ces deux beaux blacks m’échauffe, mais nous sommes déjà arrivés, Mamadou est là semblant nous attendre.
• Frérot, tu avais raison, encore une qui avait un goût de revenez-y, elle a simplement débranché son Delco.
Je suis prise à mon propre piège, mais bon Mamadou semble s’en amuser et me prenant la main il m’aide à descendre.
Il me tire directement vers sa chambre, je sais que c’est pour mon plus grand plaisir et surtout c’est ce que j’espérais.
C’est à ce moment que je vois que ses deux frères ont suivi, tous les quatre nous nous retrouvons à poil.
Je m’aperçois que ce que j’avais découvert être monstrueux est multiplié par trois.
Trois sexes de même calibre sont à ma disposition.
Le lit tourne, chacun des frères se tiennent debout à son tiers.
Je suis à quatre pattes, Mamadou tient la télécommande.
Ma bouche se trouve tour à tour à hauteur de chacune d’elles et je peux les sucer et les masturber chacune leur tour, car il immobilise le lit quelques minutes.
J’étais venue pour un démonte-pneu, je me retrouve avec trois d’entre eux à ma disposition.
Je sens ma mouille couler le long de mes cuisses.
Ce petit jeu dure un temps et Mamadou fini par le laisser tourner.
Chacun d’eux saute sur le lit et m’aide à me retrouver au centre.
Mamadou m’empale en me soulevant d’une seule main, vu la force de la nature qu’il est.
J’avais pensé à tout sauf que la jumelle de la première aurait des velléités de me sodomiser, pourtant en forçant un peu pour la première fois, je me fais prendre par ma rosette.
Le dernier frère vient devant ma bouche à ce moment où je hurle de souffrance mélangée à du plaisir.
Ça fait trois fois que je laisse Arisa chez Chantal avant de venir me faire défoncer par mes trois mâles en rut.
Je trouve à me faire prendre en double pénétration tout le plaisir que j’étais venue chercher avec une seule d’entre elles.
Cet après-midi, ils ont même réussi l’exploit de me prendre en double vaginale et Mamadou me sodomisant.
J’ai cru que mes trous allaient exploser à être étirés au maximum.
J’ai récupéré ma fille Chantal ayant voulu savoir qui était mon amant.
Il va sans dire qu’elle a eu du mal à comprendre que j’en satisfaisais trois d’un coup et trois très bien pourvu.
Mais le plus extraordinaire est venu lorsque je suis rentré, une lettre d’Aldo était posée sur la table de notre salle à manger.
« Radia, tu as dû t’apercevoir que j’ai de plus en plus de mal à faire l’amour avec toi.
J’ai rencontré quelqu’un et nous nous aimons.
Je prends tous les tords à ma charge et nous fixerons avec le juge le montant des indemnités d’entretien de notre fille.
Adieu. »
C’est signé Aldo.
Ce sera quelques semaines plus tard que je ferais la connaissance de celui qui m’a remplacé.
Je dis bien « celui » car il s’agit d’un jeune homme, mais je me retrouve libre.
Je quitte le tribunal, ma voiture connaît très bien le chemin conduisant vers un garage ou trois verges m’attendent, mais j’ai aussi une fresque à terminer, représentant les quatre étapes de la vie.
Lorsque mon lit tourne, je peux admirer mon travail.
Surtout lorsque je satisfais l’un des trois frères avec une préférence pour Mamadou.
Je le reconnais, il a un point blanc sur le côté de sa verge et je peux me rendre compte qu’à chaque tour, la vie est un éternel recommencement.
Mes trois amants et moi sommes dans le troisième tiers, Arisa dans le premier et le fils que j’attends va commencer, comme sa sœur, l’une des quatre étapes de cette vie pleine de surprise.
Qui de l’un ou de l’autre aura introduit la graine source de vie ?
Nous nous en fichons, comme toute bonne fille du désert, je veux quatre ou cinq de ces petits êtres pour aigayer nos vies.
Avec un peu de chance, chacun d’eux me fécondera, même si certaines d’entre vous peuvent penser que je suis une salope.
Je vous quitte, j’ai une facture à aller taper et si dieu le veut, une des trois verges me clouera au pilori sur le bureau.
Contrairement à mon ex, ils savent qu’une femme enceinte peut largement les satisfaire, sans risque pour mes progénitures.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore le mithe de la grandeur et la perfection des bbc
Personnellement la plus grosse bite que j'ai eu été blanche et le plus résistant était blanc
Je croit que c'est pareille pour toutes les races d'avoir de grand et petit pénis et que ce qu'on entend des noire n'est que simple exagération
De plus les noires son si imbus de leurs petsonnalitee qu'ils sont vraiment arrogants,impolis eu agressifs donc non merci je les préfères blanches les bites et un peut de romance ajouté du charme au fait
Nadia larebelle
Personnellement la plus grosse bite que j'ai eu été blanche et le plus résistant était blanc
Je croit que c'est pareille pour toutes les races d'avoir de grand et petit pénis et que ce qu'on entend des noire n'est que simple exagération
De plus les noires son si imbus de leurs petsonnalitee qu'ils sont vraiment arrogants,impolis eu agressifs donc non merci je les préfères blanches les bites et un peut de romance ajouté du charme au fait
Nadia larebelle