COLLECTION BLACK. Mamy salope (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Mamy salope (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Mamy salope (1/2)
- Excusez de vous importuner, mais vous semblez anxieuse, je peux vous aider.
- Vous êtes gentil, je crois que je suis dans la panade.
- La panade, vous m’excusez, je suis en France depuis trois ans, j’ai encore du chemin à faire pour comprendre les subtilités de votre langue !
- Êtes-vous étranger ?
- Oui, je suis Soudanais, je suis venu ici officiellement pour un séjour d’un mois, j’ai oublié de repartir, mon pays est en guerre.
- Je pense que c’est quand j’ai dit que j’étais dans la panade que vous avez décrochée.
- Oui, vous avez raison.
- Je voulais dire que je suis dans la choucroute, je vous taquine, je vais être direct, je suis dans le caca.
- Ça, je connais, vous voulez dire que vous êtes dans la merde.
- Voilà, vous avez tout compris.
- Je peux vous demander pourquoi ?
- J’étais avec Jules mon mari, nous étions dans le métro, nous voulions aller voir le Moulin rouge.
Il s’est trompé de station, nous sommes descendus à La Chapelle, avec sa tête de cochon, je lui avais dit que c’était trop tôt.
Bien sûr, j’avais raison, je voulais que l’on reprenne le métro, là encore, il a voulu avoir raison et venir à pied, il marche plus vite que moi.
Il a avancé sans se retourner, j’ai fini par le perdre.
Je me suis arrêté à la terrasse de ce café pour boire de l’eau en espérant qu’il ferait demi-tour.
J’ai deux problèmes, je pensais que le serveur me donnerait de l’eau plate, mais il m’a apporté de l’eau d’Évian, j’aurais dû refuser.
Chez nous à Limoges, j’ai toujours de l’argent liquide dans mon portefeuille avec moi, mais quand j’ai ouvert mon sac, je me suis aperçu qu’il était resté dans mon imper chez nos amis.
- Avez-vous une adresse ?
- Je vais vous paraître gourde, j’ignore où c’est, de la chambre où nous dormons, je vois des arbres, comme un parc ou un square.
C’est là que mon deuxième problème se pose, j’ai un portable avec sa batterie vide, j’ai oublié de le recharger.
J’oublie toujours de l’alimenter, chez moi, je téléphone toujours avec mon fixe.
- Aucun problème, j’ai la solution à vos deux problèmes s’il vous plait, serveur ?
- Oui, Monsieur !
- Combien, je vous dois pour la consommation de madame et la mienne.
- 12, 20 € !
- J’ai honte, vous m’enlevez une épine du pied.
- Il faut savoir se rendre service, comment croyez-vous que je puisse réussir à rester en France en attendant mes papiers !
Venez, ma deuxième solution, c’est pour votre portable, vous êtes à Barbès, j’habite à quelques centaines de mètres d’ici.
Faite moi confiance, vous pourrez mettre votre portable en charge.
- Encore un problème, mon chargeur est dans ma valise.
- Et votre valise est chez vos amis, amis dont vous ignorez où ils habitent.
Ici, vous savez à Barbès tout est possible, entrons dans cette boutique, ils remettent les portables en marche, ils auront une solution.

Je suis près de l’entrée, je vois le jeune homme noir, baraqué, mais très jeune, entre vingt et vingt-cinq ans, parler avec le vendeur qui vient vers moi.

- Vous avez un souci petite madame, faite moi voir votre portable, gros problème, c’est une marque qui a disparu du marché.
- Un Samsung !
- Je vous fais marcher, voilà un câble de charge, votre ami m’a expliqué votre problème.
Je vous offre ce chargeur, mais il faut que vous le laissiez branché deux heures sur le courant avant de le remettre en marche.
- Je risque quelque chose si je le débranche plus tôt !
- Votre batterie serait fichue.
- Puis-je le brancher ici ?
- Je ferme dans une demi-heure, je vais voir la finale de la coupe du monde avec des copains.
Le Cameroun joue et je suis camerounais.

La coupe du monde de foot avec la France, j’en ai mangé toute la soirée avec Georges, le copain de Jules.
C’est pour cela qu’il était pressé, nous devions retourner chez eux pour le coup d’envoi.
Il m’avait promis de revoir le Moulin Rouge où nous avions dîner pendant notre voyage de noces à Paris, dans ces années-là, nos moyens étaient réduits pour aller au soleil dans des îles.

- Coucou, il est là Azar, venez, j’ai votre solution, une nouvelle fois.

Ce jeune homme de nouveau vient à mon secours.
Je me sens en sécurité, ou alors pourquoi aurait-il fait tout cela pour m’aider.

- J’habite au troisième étage un gars du pays, en France de longue date me prête son appartement.
Il y a plusieurs prises qui seront à votre disposition, je vous demande d’être indulgente, c’est un appartement de célibataire.

Il y a pire, un peu de ménage pour que tout soit présentable.
Je branche mon portable 16 heures 30, 17, 18 heures 30, je pourrais débrancher.

- Voulez-vous que je mette la radio afin que vous écoutiez le match, j’ignore votre nom ?
- Henriette, je sais c’est loin d'être moderne, c’étaient les noms à la mode à l’époque de ma naissance.
J’ai échappé au pire, j’ai une amie qui s’appelle Colette.
- C’est très joli, je pense que tu as compris que moi c’est Azar.
Azar, quel hasard.
Je peux t’offrir un verre, j’ai, j’ai…
Il ouvre un frigo qui semble éteint.

- Un verre d’eau chaude, je suis en panne par cette chaleur, je peux te demander un service.

Je me rends compte du tutoiement, cela m’est indifférent, je fais partie d’un club d’athlétisme et à 61 ans, en plus du secrétariat, je cours tous les jours, ce qui m’a permis de garder la forme.

- Tu m’en as rendu assez pour que j’accepte.
- Retourne-toi que je me déshabille pour prendre une douche, mais peut-être veux-tu en prendre une.

Le coin ou est la douche se trouve à côté de celui ou se trouve la cuisine, un bac, un rideau.

- Merci, j’en prendrais une quand j’aurais retrouvé mon chemin.

Je me retourne, j’entends qu’il tire le rideau et l’eau se met à couler.

- C’est tiède, les canalisations sont chauffées dans les rues par l’asphalte qui les recouvre, mais c’est bon, tu devrais venir.

Je me garde de répondre, je suis vierge, attention vierge de toutes tromperies envers Jules !
J’étais vierge à 20 ans quand nos parents nous ont mariés en urgence, après j’ai eu trois enfants.
Le sport m’a permis de garder ma ligne.
Je fais même les championnats régionaux vétérans, je suis vice-championne de ma région.
Juliette, mon amie, une gamine de 58 ans me dame le pion depuis trois ans.

Je me retrouve sur son lit où il me fait assoir, le logement étant exigu.
Il doit en faire de même afin de se servir de la table.
Je vois sa main sortir du rideau et prendre une serviette.
Rapidement il sort avec encore un peu d’eau sur sa peau brillante et son bas-ventre est recouvert par la serviette.

- Regarde de l’eau froide, ça fait du bien !

Il vient vers moi et se secoue, des gouttes d’eau me tombent dessus.

- Arrête, tu me mouilles.

En prononçant ces mots, la serviette se dénoue, son sexe m’apparaît éléphantesque.

- Pardon, ma serviette est tombée, tu sembles éberluée, je parie que c’est la première que tu vois de prêt une verge noire.
- Tu te trompes, j’en ai vu sur Internet, c’est mon plus jeune fils qui m’a mis en contact avec le web comme il dit, je vais tchater avec Juliette qui est mon amie de jeunesse.
- Et tu vas voir des bites noires de grandes longueurs !
Tu es comme toutes ces femmes blanches qui rêvent d’en avoir une comme ça a leur disposition, ton mari est bien membré.
- Je dois reconnaître, du peu que j’en vois, quelques centimètres.
- Au repos !
- Non, j’ai découvert après notre mariage que c'était un homme à petit sexe.
Il me pénètre, il jouit en moins de trois minutes et se retourne.
- Ma pauvre Henriette, tu es resté comme ça pendant tout ce temps !
Je vois que tu meurs d’envie de la prendre dans ta main, je te la prête.
- Mais j’ai plus de 60 ans et toi un peu plus de 20 !
- 29, mais va prend là !
J’avais 18 ans quand j’ai perdu mon pucelage, la grand-mère où je m’étais caché avait 82 ans, c’est elle qui s’en est occupé, nous baisions plusieurs fois par jour.

Il me prend la main, la pose sur sa verge qui est devant mes yeux, moi assise, lui debout.

- C’est bien, caresse là, attend, lève-toi que je te déshabille, ça, c’est pour moi en souvenir.

Ma culotte m’a quitté, pour venir à Paris, j’en avais acheté une avec de la dentelle, il la sent et la jette sur la table.

- Tu sens bon, veux-tu la sucer !…

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