COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Deux salopes, les routiers polonais (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Deux salopes, les routiers polonais (2/2)
• Ben, les salops, vous avez tous déchargés, à vous regarder, je suis restée en rade.
Qui de nos deux nouvelles amies a prononcé cette phrase ?
C’est Caro se faisant baiser par y alors que Betty sa copine d’enfance en faisait de même pour la première fois par x.
Qui sont ces x et y ?
Deux chauffeurs poids lourds polonais que Caro a été dénichée sur l’air d’autoroute alors qu’ils étaient bloqués réglementairement du samedi midi au dimanche soir minuit.
Ils ont peut-être dit leur nom, hélas, aucune des deux parlant polonais, ce sont par des gestes pour se faire comprendre que les garçons l’ont suivi.
Ah ! oui, une marque pouvant les différencier, monsieur x qui vient de faire franchir le pas de l’adultère à Betty a un tatouage sur le bras représentant une sirène.
Y en a un aussi, mais c’est un bateau qui coule.
Depuis son mariage avec Loïc, breton de souche, Caro le trompe allègrement sans motif apparent, mais par goût du sexe.
J’en ai pour preuve, c’est elle qui s’est rendue sur l’aire d’autoroute se faire baiser dans leur camion par x et y avant de les ramener chez elle pour les partager avec son amie.
Betty, pour sa part, a toujours refusé de tromper Steven lui aussi de souche bretonne, malgré son peu d’entrain au lit.
Ces deux bourgeoises profitent de l’ouverture de la pêche à la truite où comme chaque année leurs maris sont partis pour les cocufier.
Betty a cédé à son amie et les deux polonais viennent de décharger dans leurs capotes lorsque Caro prononce la phrase de fin ou de début de chapitre.
Nous retrouvons nos deux nouvelles amies dans la cuisine ayant entrainé leurs amants pour prendre quelques forces après ce premier round sexuel.
Lorsque la petite troupe entre dans la cuisine, Caro se dirige vers le frigo pour sortir les quiches lorraines achetées sur le chemin de retour à la boutique de viennoiserie fraichement ouverte dans leur commune.
Pardon, le bras des hommes m’est masqué, l’un des deux vient s’asseoir sur une chaise entrainant Betty sur ses genoux.
Ça y est, je vois le bras tatoué d’une sirène venir frotter sa verge sur le cul de Caro.
Ils semblent vouloir changer de partenaire, car Betty ayant eu du mal à tromper Steven est assise sur la queue d’y, le bateau qui coule.
Caro repousse mollement celui qui l’a déjà baisé dans la cabine du camion pour se diriger vers le four, mais se retourne pour poser ses lèvres sur celle du polonais.
Betty tourne sa tête, elle aussi devenue une salope, elle passe ses bras autour du cou de celui qui la convoite et elle aussi lui donne sa bouche.
Nous voyons là la différence entre deux bourgeoises salopes et les putes des temps anciens.
Elles embrassent alors que les putes réservaient ce privilège à leurs macs.
Leurs clients pouvaient se servir de leurs sexes autant qu’ils le voulaient du moment que cela payait.
Mais leurs bouches étaient réservées pour ceux qui les avaient amenées à se prostituer.
J’oubliais les fellations ou les filles ouvraient leurs bouches pour avaler les bites, mais les lèvres et la langue, inutile d’essayer, elles se refusaient.
Revenons à nos bourgeoises bien salope déjà surtout Caro dans la durée et Betty pour ses débuts.
Betty se tortilla sur les jambes du bateau naufragé, j’ai l’impression qu’elle juge la verge qui doit commencer à se redresser.
Lorsque j’ai dit que ces étrangers étaient des bêtes, il a déjà déchargé deux fois et il semble repartir pour une nouvelle saillie.
Son copain continue à se coller, Caro se retourne et s’agenouillant fait une fellation sur une verge molle.
Des bêtes, il lui faut deux minutes pour tendre le bras, Caro profite de cette verge pour réussir un exploit.
Le Titanic lui fait faire une gorge profonde en lui prenant les oreilles et les tirants vers lui.
Des larmes coulent de ses yeux, mais aussi de grandes quantités de baves qui tombent au sol.
Bon, pas suffisamment pour se baigner, mais en fin, avant le retour des maris, il sera nécessaire de passer la serpillière, l’un d’eux risquant de se casser la gueule.
Des mots en polonais, je rappelle que j’ai décidé d’arrêter de traduire.
Sauf quelques-uns d’entre vous descendants des jaunes venus casser les grèves au siècle dernier, peu d’entre nous sont capables de comprendre.
Mais ils ont un peu de sadisme en eux, je le vois appuyé sur la tête de Caro.
Certains diront que c’est bien fait pour elle, s’est avec sa langue qu’il lui fait nettoyer le carrelage.
Le travail fini, il la relève et lui couchant les seins petits, mais mignons, il lui plante sa verge la faisant hurler.
• Betty, ce salopard, il m’a enculé, ouahou, c’est dur à avaler.
• Je sens le mien qui recommence à bander, tu es dégelas de m’avoir forcé à tromper Steven, mais je dois dire que j’apprécie beaucoup.
J’ai plus joui en trois heures que depuis le début de notre mariage.
• Attends, ça monte dans mon cul, je vais jouiiir par l’anus, je suis une vraie salope.
Betty doit vouloir voir si le garçon est prêt à la pénétrer, elle descend des genoux pour venir lui sucer la bite.
Le bateau qui coule écarte ses jambes pour lui permettre de mieux le sucer.
Caro à son compte, mais x est une force de la nature, il quitte le cul de notre amie pour prendre Betty par les jambes, la faire monter jusqu’à son pieu.
Avec le même coup de rein que pour Caro, il défonce Betty bien sûre par l’anus, à deux doigts d’émasculer son pote.
La petite était à deux doigts de lui mordre la verge.
Les deux gars s’engueulent dans leur langue.
Il a dû voir frôler le sectionnement de sa verge à une seconde près, Betty ayant refermé ses crocs une fraction de seconde avant la sodomie.
Caro plane à cent mètres le corps couché sur la table, ce sont les quiches commençant à se calciner qui lui font reprendre conscience du temps présent.
Lorsqu’il a sodomisé nos deux amies, le polonais était sans capote, alors lorsqu’il décharge, Betty a du sperme qui coule de son petit trou bien agrandi.
De sa bouche aussi, car son copain aussi a déchargé, arrosant son visage.
C’est avec ses doigts qu’elle racle ce qu’elle peu pour l’amener dans sa bouche, devenue une vraie salope, elle veut que l’intégralité soit bien récupérée.
Tous les quatre mangent ce qui est récupérable des quiches avant de retourner dans la chambre.
La sauterie continue pendant plusieurs heures, entrecoupée de prises de calories pour recharger les batteries.
X veut, lui aussi avoir du trou arrière de Betty, la première pénétration sans l’avoir pour autant traumatisé.
Il faut ce souvenir que dans ses frustrations la sodomie en faisait partie, mais il lui fallait digérer cette première fois surtout avec le morceau qu’elle avait ingurgité.
Enfin, le dimanche arrive.
Je dis « enfin » bien que pour les filles, les Polonais les ont si bien ramonés que le temps leur a paru court.
Lorsque les filles font monter les Polonais dans la voiture de Carole, elles en savent plus sur x, Alexy et y Bartosz, Betty ayant enfin voulu savoir avec qui elle baisait.
Arrivé au camion, elle a une dernière demande, Caro à un instant l’impression d’avoir déclenché une tornade blanche qui se fait aider pour rejoindre la cabine.
Au pied du camion, elle voit ce dernier brinqueballé au rythme ou cette nouvelle salope se faisant une dernière fois baiser.
Elle l’entend même hurler à deux doigts de la rejoindre pour la sauver.
La portière droite finit par s’ouvrir et Betty descendre en marche arrière.
Une fois dans la voiture, elle se confie à celle qui a déclenché le feu qu’elle a en elle.
• Tu as déjà eu deux queues du calibre d’Alexy et Bartosz en toi, moi je viens de l’expérimenté.
J’en ai pris plein la chatte et plein le cul, tu devrais essayer.
• Tu as fait une D.P, alors toi qui refusais de tromper ton mari, tu es une véritable pute, je t’adore.
Caro se penche vers sa copine, l’embrasse, pour la première fois, leurs bouches sont toutes proches l’une de l’autre, mais le temps presse, les hommes vont bientôt rentrés et chacune chez elle, il faut que tout soit nickel.
De plus, les rapports lesbiens depuis leur jeunesse sont restés loin de leurs préoccupations, elles étaient trop attirées par les mâles.
Ce baisé semble interrogé Carole, à se demander si une fois par hasard dans ses délires érotiques, cette pratique elle l’a déjà expérimenté.
Nous verrons dans les histoires suivantes, si elle nous confie des moments où les chattes des femmes l’ont intéressé.
Quand on est une salope, mais l’est-elle vraiment ?
Ces pratiques se font naturellement, comme pour Betty, de retour dans son foyer ignorait que lorsqu’elle est arrivée chez Caro, elle tromperait Steven pour la première fois.
Et que dire de la sodomie, ce finissant par une double pénétration dans la cabine ou sa copine Caro avait raison, les draps crades amplifiaient l’impression de sordide de la situation.
Son cul ayant de nouveau sollicité, c’est dans son bain que Steven retrouve sa femme.
Par chance comme c’est elle qui s’est rendue chez son amie, tout est nickel chez eux et le fait qu’elle soit dans son bain est en rien preuve de ses tromperies.
• Ça tombe bien, je sens le poisson, on a fait des proses d’enfer.
Steven laisse tomber son jean qui a été dans l’eau malgré ses cuissardes, si les draps sentaient la marée, son pantalon aussi.
Betty rejette de son esprit la vision des verges des Polonais lorsqu’il enjambe le bord de la baignoire lui montant la différence de calibre surtout lorsqu’elle l’a prise dans le cul.
Pour chasser toutes ces turpitudes de son esprit, une fois ses jambes allongées, Betty s’avancer pour que sa chatte soit en contact avec la verge familière.
Ils s’embrassent sans qu’elle ait eu le temps de se laver les dents, d’un coup une petite frayeur la traverse.
Des fragments de sperme restent-ils entre ses dents lorsqu’elle a avalé ?
Le cocufier en plus d’être cocu, avale-t-il des fragments d’un de ceux qui l’ont fait entrer dans le monde des maris cocus.
Elle secoue la tête pour effacer cette vision, lorsque la verge de Steven entre en elle par là, elle est rassurée, chaque fois, ses amants avaient mis des capotes.
Lorsqu’elle jouit pour la première fois depuis des lustres, son cul qui repose sur les jambes de son mari, la brûle un peu.
Mais elle sens que c’est provisoire comme pour sa chatte lorsqu’elle a été dépucelée, il y a quelques années.
Ayant retrouvé la verge de son homme, en mieux car la baignoire s’était une première, elle pense à Caro.
Elle espère qu’elle a fait le tour des endroits où elles se sont fait baiser où des capotes pourraient malencontreusement trainer.
Si un jour, je vous propose la suite, « 2-Deux salopes, suite des aventures de Betty et Caro, » c’est que cette dernière ayant réussi à cacher à son mari qu’elle le cocufie, aura vécu d’autres aventures.
Peut-être nous éclairera-t-elle de son histoire avec le curé les ayant baptisés dans deux paroisses différentes.
Qui de nos deux nouvelles amies a prononcé cette phrase ?
C’est Caro se faisant baiser par y alors que Betty sa copine d’enfance en faisait de même pour la première fois par x.
Qui sont ces x et y ?
Deux chauffeurs poids lourds polonais que Caro a été dénichée sur l’air d’autoroute alors qu’ils étaient bloqués réglementairement du samedi midi au dimanche soir minuit.
Ils ont peut-être dit leur nom, hélas, aucune des deux parlant polonais, ce sont par des gestes pour se faire comprendre que les garçons l’ont suivi.
Ah ! oui, une marque pouvant les différencier, monsieur x qui vient de faire franchir le pas de l’adultère à Betty a un tatouage sur le bras représentant une sirène.
Y en a un aussi, mais c’est un bateau qui coule.
Depuis son mariage avec Loïc, breton de souche, Caro le trompe allègrement sans motif apparent, mais par goût du sexe.
J’en ai pour preuve, c’est elle qui s’est rendue sur l’aire d’autoroute se faire baiser dans leur camion par x et y avant de les ramener chez elle pour les partager avec son amie.
Betty, pour sa part, a toujours refusé de tromper Steven lui aussi de souche bretonne, malgré son peu d’entrain au lit.
Ces deux bourgeoises profitent de l’ouverture de la pêche à la truite où comme chaque année leurs maris sont partis pour les cocufier.
Betty a cédé à son amie et les deux polonais viennent de décharger dans leurs capotes lorsque Caro prononce la phrase de fin ou de début de chapitre.
Nous retrouvons nos deux nouvelles amies dans la cuisine ayant entrainé leurs amants pour prendre quelques forces après ce premier round sexuel.
Lorsque la petite troupe entre dans la cuisine, Caro se dirige vers le frigo pour sortir les quiches lorraines achetées sur le chemin de retour à la boutique de viennoiserie fraichement ouverte dans leur commune.
Pardon, le bras des hommes m’est masqué, l’un des deux vient s’asseoir sur une chaise entrainant Betty sur ses genoux.
Ça y est, je vois le bras tatoué d’une sirène venir frotter sa verge sur le cul de Caro.
Ils semblent vouloir changer de partenaire, car Betty ayant eu du mal à tromper Steven est assise sur la queue d’y, le bateau qui coule.
Caro repousse mollement celui qui l’a déjà baisé dans la cabine du camion pour se diriger vers le four, mais se retourne pour poser ses lèvres sur celle du polonais.
Betty tourne sa tête, elle aussi devenue une salope, elle passe ses bras autour du cou de celui qui la convoite et elle aussi lui donne sa bouche.
Nous voyons là la différence entre deux bourgeoises salopes et les putes des temps anciens.
Elles embrassent alors que les putes réservaient ce privilège à leurs macs.
Leurs clients pouvaient se servir de leurs sexes autant qu’ils le voulaient du moment que cela payait.
Mais leurs bouches étaient réservées pour ceux qui les avaient amenées à se prostituer.
J’oubliais les fellations ou les filles ouvraient leurs bouches pour avaler les bites, mais les lèvres et la langue, inutile d’essayer, elles se refusaient.
Revenons à nos bourgeoises bien salope déjà surtout Caro dans la durée et Betty pour ses débuts.
Betty se tortilla sur les jambes du bateau naufragé, j’ai l’impression qu’elle juge la verge qui doit commencer à se redresser.
Lorsque j’ai dit que ces étrangers étaient des bêtes, il a déjà déchargé deux fois et il semble repartir pour une nouvelle saillie.
Son copain continue à se coller, Caro se retourne et s’agenouillant fait une fellation sur une verge molle.
Des bêtes, il lui faut deux minutes pour tendre le bras, Caro profite de cette verge pour réussir un exploit.
Le Titanic lui fait faire une gorge profonde en lui prenant les oreilles et les tirants vers lui.
Des larmes coulent de ses yeux, mais aussi de grandes quantités de baves qui tombent au sol.
Bon, pas suffisamment pour se baigner, mais en fin, avant le retour des maris, il sera nécessaire de passer la serpillière, l’un d’eux risquant de se casser la gueule.
Des mots en polonais, je rappelle que j’ai décidé d’arrêter de traduire.
Sauf quelques-uns d’entre vous descendants des jaunes venus casser les grèves au siècle dernier, peu d’entre nous sont capables de comprendre.
Mais ils ont un peu de sadisme en eux, je le vois appuyé sur la tête de Caro.
Certains diront que c’est bien fait pour elle, s’est avec sa langue qu’il lui fait nettoyer le carrelage.
Le travail fini, il la relève et lui couchant les seins petits, mais mignons, il lui plante sa verge la faisant hurler.
• Betty, ce salopard, il m’a enculé, ouahou, c’est dur à avaler.
• Je sens le mien qui recommence à bander, tu es dégelas de m’avoir forcé à tromper Steven, mais je dois dire que j’apprécie beaucoup.
J’ai plus joui en trois heures que depuis le début de notre mariage.
• Attends, ça monte dans mon cul, je vais jouiiir par l’anus, je suis une vraie salope.
Betty doit vouloir voir si le garçon est prêt à la pénétrer, elle descend des genoux pour venir lui sucer la bite.
Le bateau qui coule écarte ses jambes pour lui permettre de mieux le sucer.
Caro à son compte, mais x est une force de la nature, il quitte le cul de notre amie pour prendre Betty par les jambes, la faire monter jusqu’à son pieu.
Avec le même coup de rein que pour Caro, il défonce Betty bien sûre par l’anus, à deux doigts d’émasculer son pote.
La petite était à deux doigts de lui mordre la verge.
Les deux gars s’engueulent dans leur langue.
Il a dû voir frôler le sectionnement de sa verge à une seconde près, Betty ayant refermé ses crocs une fraction de seconde avant la sodomie.
Caro plane à cent mètres le corps couché sur la table, ce sont les quiches commençant à se calciner qui lui font reprendre conscience du temps présent.
Lorsqu’il a sodomisé nos deux amies, le polonais était sans capote, alors lorsqu’il décharge, Betty a du sperme qui coule de son petit trou bien agrandi.
De sa bouche aussi, car son copain aussi a déchargé, arrosant son visage.
C’est avec ses doigts qu’elle racle ce qu’elle peu pour l’amener dans sa bouche, devenue une vraie salope, elle veut que l’intégralité soit bien récupérée.
Tous les quatre mangent ce qui est récupérable des quiches avant de retourner dans la chambre.
La sauterie continue pendant plusieurs heures, entrecoupée de prises de calories pour recharger les batteries.
X veut, lui aussi avoir du trou arrière de Betty, la première pénétration sans l’avoir pour autant traumatisé.
Il faut ce souvenir que dans ses frustrations la sodomie en faisait partie, mais il lui fallait digérer cette première fois surtout avec le morceau qu’elle avait ingurgité.
Enfin, le dimanche arrive.
Je dis « enfin » bien que pour les filles, les Polonais les ont si bien ramonés que le temps leur a paru court.
Lorsque les filles font monter les Polonais dans la voiture de Carole, elles en savent plus sur x, Alexy et y Bartosz, Betty ayant enfin voulu savoir avec qui elle baisait.
Arrivé au camion, elle a une dernière demande, Caro à un instant l’impression d’avoir déclenché une tornade blanche qui se fait aider pour rejoindre la cabine.
Au pied du camion, elle voit ce dernier brinqueballé au rythme ou cette nouvelle salope se faisant une dernière fois baiser.
Elle l’entend même hurler à deux doigts de la rejoindre pour la sauver.
La portière droite finit par s’ouvrir et Betty descendre en marche arrière.
Une fois dans la voiture, elle se confie à celle qui a déclenché le feu qu’elle a en elle.
• Tu as déjà eu deux queues du calibre d’Alexy et Bartosz en toi, moi je viens de l’expérimenté.
J’en ai pris plein la chatte et plein le cul, tu devrais essayer.
• Tu as fait une D.P, alors toi qui refusais de tromper ton mari, tu es une véritable pute, je t’adore.
Caro se penche vers sa copine, l’embrasse, pour la première fois, leurs bouches sont toutes proches l’une de l’autre, mais le temps presse, les hommes vont bientôt rentrés et chacune chez elle, il faut que tout soit nickel.
De plus, les rapports lesbiens depuis leur jeunesse sont restés loin de leurs préoccupations, elles étaient trop attirées par les mâles.
Ce baisé semble interrogé Carole, à se demander si une fois par hasard dans ses délires érotiques, cette pratique elle l’a déjà expérimenté.
Nous verrons dans les histoires suivantes, si elle nous confie des moments où les chattes des femmes l’ont intéressé.
Quand on est une salope, mais l’est-elle vraiment ?
Ces pratiques se font naturellement, comme pour Betty, de retour dans son foyer ignorait que lorsqu’elle est arrivée chez Caro, elle tromperait Steven pour la première fois.
Et que dire de la sodomie, ce finissant par une double pénétration dans la cabine ou sa copine Caro avait raison, les draps crades amplifiaient l’impression de sordide de la situation.
Son cul ayant de nouveau sollicité, c’est dans son bain que Steven retrouve sa femme.
Par chance comme c’est elle qui s’est rendue chez son amie, tout est nickel chez eux et le fait qu’elle soit dans son bain est en rien preuve de ses tromperies.
• Ça tombe bien, je sens le poisson, on a fait des proses d’enfer.
Steven laisse tomber son jean qui a été dans l’eau malgré ses cuissardes, si les draps sentaient la marée, son pantalon aussi.
Betty rejette de son esprit la vision des verges des Polonais lorsqu’il enjambe le bord de la baignoire lui montant la différence de calibre surtout lorsqu’elle l’a prise dans le cul.
Pour chasser toutes ces turpitudes de son esprit, une fois ses jambes allongées, Betty s’avancer pour que sa chatte soit en contact avec la verge familière.
Ils s’embrassent sans qu’elle ait eu le temps de se laver les dents, d’un coup une petite frayeur la traverse.
Des fragments de sperme restent-ils entre ses dents lorsqu’elle a avalé ?
Le cocufier en plus d’être cocu, avale-t-il des fragments d’un de ceux qui l’ont fait entrer dans le monde des maris cocus.
Elle secoue la tête pour effacer cette vision, lorsque la verge de Steven entre en elle par là, elle est rassurée, chaque fois, ses amants avaient mis des capotes.
Lorsqu’elle jouit pour la première fois depuis des lustres, son cul qui repose sur les jambes de son mari, la brûle un peu.
Mais elle sens que c’est provisoire comme pour sa chatte lorsqu’elle a été dépucelée, il y a quelques années.
Ayant retrouvé la verge de son homme, en mieux car la baignoire s’était une première, elle pense à Caro.
Elle espère qu’elle a fait le tour des endroits où elles se sont fait baiser où des capotes pourraient malencontreusement trainer.
Si un jour, je vous propose la suite, « 2-Deux salopes, suite des aventures de Betty et Caro, » c’est que cette dernière ayant réussi à cacher à son mari qu’elle le cocufie, aura vécu d’autres aventures.
Peut-être nous éclairera-t-elle de son histoire avec le curé les ayant baptisés dans deux paroisses différentes.
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