COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 1 (2/2)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 1 (2/2)
Je m’appelle Josiane X, en ce moment, Josyane Alba, même prénom, mais nom différent, c’est normal, c’est mon nom d’emprunt lorsque je suis l’autre.
Et l’autre, en ce moment, je le suis ayant comme objectif le coffre d’un couple blindé de fric partit ce jour pour une croisière dans les îles grecques à bord de son yacht.
J’ai su que le service de nettoyage devait venir seulement demain pour nettoyer la soirée de la veille ou avec Jean-Philippe, mon mari, nous étions parmi les invités.
Ainsi, j’ai largement le temps d’opérer, comme je sais si bien le faire depuis que Patricia, la maîtresse de maison en a trop dit sur leur échappée monégasque avant la Grèce.
C’était sans compter sans Nadejda, c’est le nom que la jeune femme qui venait de rentrer dans l’appartement m’a donné.
Je lui intime l’ordre de se dévêtir.
Nadejda est ukrainienne et a fui son pays depuis l’invasion russe.
Son mari Olaf est sur le front et elle est venue en France pour gagner de quoi lui apporter un bien-être matériel que son état à du mal à lui donner.
Elle a été licenciée par ses patrons pour éviter de la payer le temps de leur absence.
Ayant surpris son patron, Herbin, qui abusait d’elle derrière le dos de sa femme.
Elle connaissait la combinaison du coffre et c’était pour se venger qu’elle est venue et entrer dans l’appartement vider le coffre.
Sur le lit, nous venons de finir de satisfaire nos corps, comme je sais si bien le faire lorsque je suis en mode salope.
Josiane X serait incapable de faire ce que je viens de faire avec Nadejda.
Après mes grandes lèvres et mon clito, c’est en 69 que chacune de nous, nous nous sommes données du plaisir.
Mieux, c’est moi qui lui ai demandé de me fister.
Alba adore ce que X refuse de se faire faire.
Un doigt, deux doigts, le troisième a suivi et sans le moindre problème sa main entière.
J’aurais bien aimé lui en faire de même, mais j’ai réussi à lui en mettre deux dans sa chatte et un dans son trou du cul.
Alba a été satisfaite après que cette main lui eut déclenché un si bel orgasme en elle.
Le temps fil, même si j’ai dit que le temps ne m’était pas compté.
Jean-Philippe rentre tard du ministère de l’Intérieur, où comme je l’ai dit, il exerce de hautes fonctions.
Il ne pose pas de question sur mes occupations, mais pourquoi lui donner l’occasion d’avoir des doutes sur la femme que je deviens lorsque je fais tourner le fond des penderies de mes deux appartements.
Je fais ce que Jean-Bernard m’a appris à faire lorsque les circonstances l’obligent.
Je ressors dans la rue, tout bien rangé dans ma valise.
Rien de suspect, mais deux précautions valent mieux qu’une seule.
C’est à la station Concorde que je brouille mes pistes.
Cette station, avec ses longs couloirs et ses multiples croisements de lignes, me permet de voir que je peux retourner à mes appartements, redevenir la femme respectable que je suis.
La rousse provocante fait ressortir dans la rue parallèle, la blonde, bon chic, bon genre que je suis la plus grande partie du temps.
Attention, j’assume l’une et l’autre, c’est là ma double facette.
L’une est aussi importante que l’autre et le corps repu, je rejoins grâce à plusieurs taxis l’appartement dans lequel, après peu d’attente, Jean-Philippe me rejoint.
• Marie, vous servirez son whisky à monsieur Jean-Philippe, je pense qu’il l’a bien méritée après sa journée de travail.
Je suis dans ma bergère, après le bain que j’ai pris dès mon retour.
J’en ai déjà pris un dans mon appartement avant de remettre ma robe Dior et de remettre mes Louboutin.
Je quitte mes deux lieux, permettant de devenir l’une ou l’autre de ces femmes jalonnant ma vie.
Jean-Philippe est venu poser un baiser sur mon front avant d’aller dans notre chambre à son tour se dévêtir.
Peignoir type kimono pour moi, sur mon corps nu.
Pyjama de soie toujours bleu clair pour mon époux.
Marie dépose le whisky sur la table basse devant lui.
J’ignore, et je m’en fiche, si Marie baise avec mon mari, mais elle sait lui servir ses seins sur un plateau lorsqu’elle se baisse.
Une femme de ma classe ne s’arrête pas à ce genre de détail.
Papa trompait maman avec Conception la bonne portugaise.
Je suis incapable de dire si maman lui rendait la pareille, mais ça ne m’étonnerait pas, à la maison comme chez moi, jamais un mot plus haut que l’autre.
• Que lisez-vous, ma tendre amie ?
• Le dernier Lévy, comme tout le monde, mon chéri.
Petite entorse à ce que je suis lorsque je suis en mode X, lorsque je laisse glisser un pan de mon peignoir laissant apparaitre ma chatte à mon mari.
Il a toujours le petit regard lubrique sur mon anatomie blonde qui me rassure.
Après le dîner servi par Marie qui part dès son service terminé, je sais que dans notre lit, toujours dans notre lit, Jean-Philippe viendra me planter sans autre forme de préparatif.
Je jouis, je jouis toujours, d’où le début de mes confidences ou je dis être une femme comblée.
Je jouis, mais sans les orgasmes qu’Alba ressent lorsqu’elle baise comme une chienne.
C’est à son retour le lendemain, ayant passé ma journée à me souvenir de la manière dont ma visite chez Herbin et Patricia s’était terminée qu’il me met au courant de ce que je sais déjà.
• Josiane mon amour, savez-vous, de quoi nous avons été prévenus ce matin au ministère ?
• Comment le saurais-je, mon cher et tendre, j’ai passé ma journée à finir le Lévy que je lisais hier.
La veille, comme je l’avais prévu après dîner, nous avons lu chacun dans nos fauteuils et bergère différente.
Nous avons rejoint notre lit et comme prévu la lumière éteinte, nous avons fait l’amour comme le couple amoureux à notre manière que nous sommes.
• C’est vrai, ma mie, vous avez horreur de regarder la télé que vous n’allumez jamais, comment pourriez-vous savoir qu’Herbin et Patricia, se sont fait cambrioler.
• Mon Dieu, que me dites-vous là, nos amis se sont fait braquer, les voleurs leur ont-ils fait du mal ?
• À eux, non, comme prévu, ils avaient déjà appareillé pour les îles grecques.
C’est l’équipe de nettoyage qui a trouvé l’appartement visité et la servante ukrainienne morte d’une balle dans la poitrine sur leur lit.
• Quelle horreur, vos inspecteurs ont-ils découvert un indice qui pourrait permettre de savoir qui a fait ça ?
• Non, le coffre-fort était ouvert et vidé de son contenu sans qu’il ait été préalablement forcé.
Le voleur et le tueur connaissaient la combinaison.
Il est temps, maintenant que Jean-Philippe a parlé de Nadejda que j’ai tuée d’une balle dans la poitrine après avoir fait l’amour passionnément avec elle, de vous dire pourquoi je l’ai tuée.
Pas de chance pour elle d’avoir vu mon visage et de savoir que j’avais cambriolé ses anciens patrons comme elle était venue, elle aussi le faire.
Lorsque je l’ai rejointe pour lui offrir ma chatte, j’ai posé mon arme sur la table de nuit.
Nous avons baisé et après avoir pris mon pied lorsqu’elle m’a fister, j’ai sorti du sac d’un super-marcher ou là aussi, je tairais le nom, les valeurs prisent dans le coffre.
Je lui disais lui en faire cadeau pour son mari, mais c’était pour mieux l’amadouer.
Lorsque j’ai récupéré l’oreiller à son côté et mon flingue, j’aurais pu le mettre sur sa figure et tirer.
Ce serait mal me connaitre, ce que je voulais, c’est de voir ses yeux lorsqu’elle a compris qu’elle allait mourir.
C’est pourquoi j’ai posé l’oreiller sur sa poitrine, pris mon révolver et le poser calmement à la hauteur de son cœur et qu’après de longues minutes, j’ai tiré une seule balle, la faisant passer de vie à trépas.
C’est con, moi, j’aurais rué pour désarçonner celle qui allait me donner la mort.
Un peu comme les vigiles incrédules de voir que pour quelques euros, ils étaient déjà morts.
Nadejda a failli me gâcher mon plaisir, mais retrouver le goût de la mort, m’a tout de même apporté ma jouissance lorsque j’ai tiré à travers l’oreiller pour atténuer le bruit de la détonation.
• Vous voilà bien songeuse, mon amie, je ne vous ai pas tout dit !
Celui qui a tué cette jeune femme et volé les valeurs du coffre a entièrement lavé le corps à l’eau de javel.
Certainement pour cacher ses traces d’ADN, nous pensons que c’est quelqu’un ayant des connaissances dans nos méthodes de travail, et surtout les recherches d’ADN, qui a fait ça.
Si Jean-Philippe savait que c’était Jean-Bernard, paix à son âme, qui m’avait appris la puissance de la javel, dans le cadre d’une enquête pour meurtre.
Il faut que j’avoue, qu’il avait été un temps gendarme avant de devenir voleur.
Moi, ce qui m’avait plu, c’était en même temps de jouer aux gendarmes et aux voleurs.
La bouteille qui m’a servi pour faire ce travail, je l’ai déjà remplacée dans ma valise où elle était au cas où, dès ma venue sur les lieux de mon cambriolage, je savais pouvoir en avoir besoin.
La bouteille usagée, ainsi que les gants de chirurgiens que j’avais mis, c’est Josiane X qui l’a mise dans le vide-ordures de sa maison après être redevenue moi.
Et que dire du sac Dior avec lequel j’ai ramené mon vol, avec le plaisir d’un meurtre, chez nous.
Dans quelques jours, dans une église parisienne, le curé recevra un colis, avec ce que j’ai ramené de chez ces bourgeois nantis et puant le fric, comme c’est aussi le cas chez nous.
Pour preuve, Jean-Philippe, deux jours plus tard, me rapporte une montre achetée place Vendôme.
Il était allé voir un autre de ses collègues au ministère de la Justice.
En sortant, il a pensé à moi et a sans la moindre gêne financière acheté cette montre sertie de diamant.
Il m’a donné comme motif, puisque ça ne correspondait à aucune de nos fêtes, que c’était pour m’aider à me remettre de ce qu’il m’avait annoncé sur le cambriolage.
Celui-ci orchestré d’une main de maître par moi-même.
L’adrénaline que cela m’a procurée lorsque j’ai abattu Nadejda, me permet de vivre ma vie oisive en attendant une autre occasion de faire revivre Josyane Alba dans une nouvelle aventure.
Je me connais, surtout depuis la mort de Jean-Bernard, je sais que ça ne va pas tarder.
Et l’autre, en ce moment, je le suis ayant comme objectif le coffre d’un couple blindé de fric partit ce jour pour une croisière dans les îles grecques à bord de son yacht.
J’ai su que le service de nettoyage devait venir seulement demain pour nettoyer la soirée de la veille ou avec Jean-Philippe, mon mari, nous étions parmi les invités.
Ainsi, j’ai largement le temps d’opérer, comme je sais si bien le faire depuis que Patricia, la maîtresse de maison en a trop dit sur leur échappée monégasque avant la Grèce.
C’était sans compter sans Nadejda, c’est le nom que la jeune femme qui venait de rentrer dans l’appartement m’a donné.
Je lui intime l’ordre de se dévêtir.
Nadejda est ukrainienne et a fui son pays depuis l’invasion russe.
Son mari Olaf est sur le front et elle est venue en France pour gagner de quoi lui apporter un bien-être matériel que son état à du mal à lui donner.
Elle a été licenciée par ses patrons pour éviter de la payer le temps de leur absence.
Ayant surpris son patron, Herbin, qui abusait d’elle derrière le dos de sa femme.
Elle connaissait la combinaison du coffre et c’était pour se venger qu’elle est venue et entrer dans l’appartement vider le coffre.
Sur le lit, nous venons de finir de satisfaire nos corps, comme je sais si bien le faire lorsque je suis en mode salope.
Josiane X serait incapable de faire ce que je viens de faire avec Nadejda.
Après mes grandes lèvres et mon clito, c’est en 69 que chacune de nous, nous nous sommes données du plaisir.
Mieux, c’est moi qui lui ai demandé de me fister.
Alba adore ce que X refuse de se faire faire.
Un doigt, deux doigts, le troisième a suivi et sans le moindre problème sa main entière.
J’aurais bien aimé lui en faire de même, mais j’ai réussi à lui en mettre deux dans sa chatte et un dans son trou du cul.
Alba a été satisfaite après que cette main lui eut déclenché un si bel orgasme en elle.
Le temps fil, même si j’ai dit que le temps ne m’était pas compté.
Jean-Philippe rentre tard du ministère de l’Intérieur, où comme je l’ai dit, il exerce de hautes fonctions.
Il ne pose pas de question sur mes occupations, mais pourquoi lui donner l’occasion d’avoir des doutes sur la femme que je deviens lorsque je fais tourner le fond des penderies de mes deux appartements.
Je fais ce que Jean-Bernard m’a appris à faire lorsque les circonstances l’obligent.
Je ressors dans la rue, tout bien rangé dans ma valise.
Rien de suspect, mais deux précautions valent mieux qu’une seule.
C’est à la station Concorde que je brouille mes pistes.
Cette station, avec ses longs couloirs et ses multiples croisements de lignes, me permet de voir que je peux retourner à mes appartements, redevenir la femme respectable que je suis.
La rousse provocante fait ressortir dans la rue parallèle, la blonde, bon chic, bon genre que je suis la plus grande partie du temps.
Attention, j’assume l’une et l’autre, c’est là ma double facette.
L’une est aussi importante que l’autre et le corps repu, je rejoins grâce à plusieurs taxis l’appartement dans lequel, après peu d’attente, Jean-Philippe me rejoint.
• Marie, vous servirez son whisky à monsieur Jean-Philippe, je pense qu’il l’a bien méritée après sa journée de travail.
Je suis dans ma bergère, après le bain que j’ai pris dès mon retour.
J’en ai déjà pris un dans mon appartement avant de remettre ma robe Dior et de remettre mes Louboutin.
Je quitte mes deux lieux, permettant de devenir l’une ou l’autre de ces femmes jalonnant ma vie.
Jean-Philippe est venu poser un baiser sur mon front avant d’aller dans notre chambre à son tour se dévêtir.
Peignoir type kimono pour moi, sur mon corps nu.
Pyjama de soie toujours bleu clair pour mon époux.
Marie dépose le whisky sur la table basse devant lui.
J’ignore, et je m’en fiche, si Marie baise avec mon mari, mais elle sait lui servir ses seins sur un plateau lorsqu’elle se baisse.
Une femme de ma classe ne s’arrête pas à ce genre de détail.
Papa trompait maman avec Conception la bonne portugaise.
Je suis incapable de dire si maman lui rendait la pareille, mais ça ne m’étonnerait pas, à la maison comme chez moi, jamais un mot plus haut que l’autre.
• Que lisez-vous, ma tendre amie ?
• Le dernier Lévy, comme tout le monde, mon chéri.
Petite entorse à ce que je suis lorsque je suis en mode X, lorsque je laisse glisser un pan de mon peignoir laissant apparaitre ma chatte à mon mari.
Il a toujours le petit regard lubrique sur mon anatomie blonde qui me rassure.
Après le dîner servi par Marie qui part dès son service terminé, je sais que dans notre lit, toujours dans notre lit, Jean-Philippe viendra me planter sans autre forme de préparatif.
Je jouis, je jouis toujours, d’où le début de mes confidences ou je dis être une femme comblée.
Je jouis, mais sans les orgasmes qu’Alba ressent lorsqu’elle baise comme une chienne.
C’est à son retour le lendemain, ayant passé ma journée à me souvenir de la manière dont ma visite chez Herbin et Patricia s’était terminée qu’il me met au courant de ce que je sais déjà.
• Josiane mon amour, savez-vous, de quoi nous avons été prévenus ce matin au ministère ?
• Comment le saurais-je, mon cher et tendre, j’ai passé ma journée à finir le Lévy que je lisais hier.
La veille, comme je l’avais prévu après dîner, nous avons lu chacun dans nos fauteuils et bergère différente.
Nous avons rejoint notre lit et comme prévu la lumière éteinte, nous avons fait l’amour comme le couple amoureux à notre manière que nous sommes.
• C’est vrai, ma mie, vous avez horreur de regarder la télé que vous n’allumez jamais, comment pourriez-vous savoir qu’Herbin et Patricia, se sont fait cambrioler.
• Mon Dieu, que me dites-vous là, nos amis se sont fait braquer, les voleurs leur ont-ils fait du mal ?
• À eux, non, comme prévu, ils avaient déjà appareillé pour les îles grecques.
C’est l’équipe de nettoyage qui a trouvé l’appartement visité et la servante ukrainienne morte d’une balle dans la poitrine sur leur lit.
• Quelle horreur, vos inspecteurs ont-ils découvert un indice qui pourrait permettre de savoir qui a fait ça ?
• Non, le coffre-fort était ouvert et vidé de son contenu sans qu’il ait été préalablement forcé.
Le voleur et le tueur connaissaient la combinaison.
Il est temps, maintenant que Jean-Philippe a parlé de Nadejda que j’ai tuée d’une balle dans la poitrine après avoir fait l’amour passionnément avec elle, de vous dire pourquoi je l’ai tuée.
Pas de chance pour elle d’avoir vu mon visage et de savoir que j’avais cambriolé ses anciens patrons comme elle était venue, elle aussi le faire.
Lorsque je l’ai rejointe pour lui offrir ma chatte, j’ai posé mon arme sur la table de nuit.
Nous avons baisé et après avoir pris mon pied lorsqu’elle m’a fister, j’ai sorti du sac d’un super-marcher ou là aussi, je tairais le nom, les valeurs prisent dans le coffre.
Je lui disais lui en faire cadeau pour son mari, mais c’était pour mieux l’amadouer.
Lorsque j’ai récupéré l’oreiller à son côté et mon flingue, j’aurais pu le mettre sur sa figure et tirer.
Ce serait mal me connaitre, ce que je voulais, c’est de voir ses yeux lorsqu’elle a compris qu’elle allait mourir.
C’est pourquoi j’ai posé l’oreiller sur sa poitrine, pris mon révolver et le poser calmement à la hauteur de son cœur et qu’après de longues minutes, j’ai tiré une seule balle, la faisant passer de vie à trépas.
C’est con, moi, j’aurais rué pour désarçonner celle qui allait me donner la mort.
Un peu comme les vigiles incrédules de voir que pour quelques euros, ils étaient déjà morts.
Nadejda a failli me gâcher mon plaisir, mais retrouver le goût de la mort, m’a tout de même apporté ma jouissance lorsque j’ai tiré à travers l’oreiller pour atténuer le bruit de la détonation.
• Vous voilà bien songeuse, mon amie, je ne vous ai pas tout dit !
Celui qui a tué cette jeune femme et volé les valeurs du coffre a entièrement lavé le corps à l’eau de javel.
Certainement pour cacher ses traces d’ADN, nous pensons que c’est quelqu’un ayant des connaissances dans nos méthodes de travail, et surtout les recherches d’ADN, qui a fait ça.
Si Jean-Philippe savait que c’était Jean-Bernard, paix à son âme, qui m’avait appris la puissance de la javel, dans le cadre d’une enquête pour meurtre.
Il faut que j’avoue, qu’il avait été un temps gendarme avant de devenir voleur.
Moi, ce qui m’avait plu, c’était en même temps de jouer aux gendarmes et aux voleurs.
La bouteille qui m’a servi pour faire ce travail, je l’ai déjà remplacée dans ma valise où elle était au cas où, dès ma venue sur les lieux de mon cambriolage, je savais pouvoir en avoir besoin.
La bouteille usagée, ainsi que les gants de chirurgiens que j’avais mis, c’est Josiane X qui l’a mise dans le vide-ordures de sa maison après être redevenue moi.
Et que dire du sac Dior avec lequel j’ai ramené mon vol, avec le plaisir d’un meurtre, chez nous.
Dans quelques jours, dans une église parisienne, le curé recevra un colis, avec ce que j’ai ramené de chez ces bourgeois nantis et puant le fric, comme c’est aussi le cas chez nous.
Pour preuve, Jean-Philippe, deux jours plus tard, me rapporte une montre achetée place Vendôme.
Il était allé voir un autre de ses collègues au ministère de la Justice.
En sortant, il a pensé à moi et a sans la moindre gêne financière acheté cette montre sertie de diamant.
Il m’a donné comme motif, puisque ça ne correspondait à aucune de nos fêtes, que c’était pour m’aider à me remettre de ce qu’il m’avait annoncé sur le cambriolage.
Celui-ci orchestré d’une main de maître par moi-même.
L’adrénaline que cela m’a procurée lorsque j’ai abattu Nadejda, me permet de vivre ma vie oisive en attendant une autre occasion de faire revivre Josyane Alba dans une nouvelle aventure.
Je me connais, surtout depuis la mort de Jean-Bernard, je sais que ça ne va pas tarder.
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