COLLECTION NUIT DE LA SAINT-SYLVESTRE. Réveillon de la Saint-Sylvestre (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION NUIT DE LA SAINT-SYLVESTRE. Réveillon de la Saint-Sylvestre (1/3)
• Cloé, j’ai une idée, pour l’organisation du réveillon que nous allons faire chez nous cette année.
Il nous reste trois mois pour que tous nous nous préparions.
Je te propose d’envoyer les invitations à nos couples d’amis sur Internet pour une soirée costumée.
• Tu as toujours de bonnes idées, Valérie, banco, je vais demander à Ludovic de chercher une idée pour nous.
• J’ai une autre idée en te parlant, puisque nous sommes cinq couples.
Chaque couple devra être déguisé en suivant le même thème.
Par exemple, une infirmière pour elle, un médecin pour lui, Arlequin et Colombine pour un deuxième couple et ainsi de suite.
• Tu as raison, footballeur pour lui, arbitre pour elle, thème le football.
Je vois très bien Jésus en Ronaldo, il a déjà le maillot et Mélissa en arbitre, elle qui veut toujours tout diriger.
• Suggère-lui, en retour tu risques de te prendre une baffe, elle dit toujours que la tyrannie c’est pour les autres.
• C’est parti, lance ton idée, je vois avec Ludovic comment nous allons nous déguiser.
• Tu me diras dès que vous aurez choisi, tu connais comment je suis curieuse.
• Tu as eu une bonne idée, mais je veux que tu sois patiente, tu découvriras cela le 31 décembre à 20 heures quand nous arriverons.
En plus, on sera plusieurs à choisir.
Ludovic aura son mot à dire, il a toujours des idées originales pour ce genre de situation.
Regarde l’été dernier, toi et moi, nous voulions nous faire bronzer à Palavas-les-Flots, nous avons fait l’Espagne en calèche.
Tu te souviens de Pompon, il croyait pouvoir en faire à sa tête.
Sans parler de la promiscuité, c’était formidable de vous entendre baiser.
• Vous nous entendiez !
• Bien sûr, tu es de mauvaise foi, dis-moi que tu es sourde, évite la langue de bois.
• Je reconnais, il faut dire que tu sembles aimer qu’il te prenne en levrette.
• Arrête, je vais être obligé de me caresser.
• On a plus vingt ans louloute.
Tu veux qu’on trompe nos maris ensemble.
• Qui te parle de tromper, tiens, prends Anna et Louis, tu leur donnerais le bon Dieu sans confession, ils sont échangistes !
• Échangiste, comment le sais-tu ?
• Nous les avons invités à diner, Anna était habillée comme une vamp.
• Je connais ta discrétion, elle était vêtue comme une pute.
• Tu as raison, c’était tout comme.
C’est moi qui ai calé, j’avais l’impression que c’était loin d’être mon truc.
Je suis toujours amoureuse de la queue de Franck.
• Je te quitte, notre conversation va mal finir.
Le soir, quand Ludovic rentre de son entreprise, où il a un poste à haute responsabilité, je lui présente l’idée de Valérie en lui servant son whisky.
• Un jour, Lucien, tu sais, mon pote au travail, celui que tu exècres, car il t’a baratiné dès la première fois où il t’a vu.
• L'obsédé sexuel, j’ai passé tout le temps du pot de fin d’année offert par votre patron à repousser ses avances.
• C’est qu’il te trouvait à son goût !
Quand je te vois, j’aurais du mal à penser le contraire ma chérie !
J’ai envie de te prendre là sur le tapis devant la cheminée.
Bref, revenons à Lucien, il parlait d’une soirée à laquelle il devait se rendre déguisé, tout ce qu’il trouvait était ringard.
Je me demandais comment j’aimerais m’habiller, j’ai eu une idée, fait-moi confiance, on va s’éclater.
• Tu es sûr.
• Oui, de plus cela va nous aider à faire avancer notre couple.
• Je vois, tu seras en Mac, moi en pute, la gueule que tous feront dans leur tenue de roi et de reine ou de prince et de princesse.
Je suis certaine que Valérie et Franck seront dans l’une de ces tenues, elle aime trop les choses grandioses.
Quelle idiote, elle va s’emmerder toute la soirée avec sa robe longue et ses jupons.
• Mac et pute, il y a de cela, mais je veux éviter de t’en dire plus, il faut que je me renseigne où trouver nos costumes.
Les semaines passent, l’invitation est arrivée, chacune de mes copines qui seront présentes, cherche à savoir ce que nous avons décidé, mais Ludovic garde son secret.
• Cloé, samedi, nous avons rendez-vous à Bordeaux, nous allons essayer nos tenues, j’ai enfin trouvé où les acheter.
• Je pensais que nous louions !
• Mon idée est tellement extravagante que je souhaite en rire plus tard quand nous ouvrirons notre armoire et que nous reverrons en quoi nous étions déguisés.
• Vivement samedi, tu as souvent des idées originales, mais géniales.
Je te promets que quoi que tu aies choisi, je te suivrai.
• Tu le promets, juré craché comme nous disions quand nous étions adolescents !
• C’est malin, mais oui, il est vrai que lorsque je t’ai dit juré craché, j’ai accepté de faire l’amour avec toi.
Tu m’as fait l’amour sans grand plaisir, sur le siège avant de ta 4 L et neuf mois plus tard, nous nous retrouvions devant ma mère pour lui avouer ma grossesse.
• La première fois, il est exact que tu m’avais caché que j’étais le premier.
Quand j’ai sorti ma queue de ta foune, j’ai mis du sang partout.
Je suis sûr que si je vais dans le garage où elle est garée, je trouverai encore des taches brunes.
Je l’ai gardé comme pièce de collection
• Tu as raison mon amour, depuis, le mal que cela m’a fait, j’adore que tu m’en mettes un petit coup.
D’ailleurs, Hugo est couché, viens me la mettre, je suis en tenue.
Je laisse tomber mon peignoir, apparaissant dans la tenue d’Ève.
Du haut de mes trente-deux ans, mon ventre plat et mes fesses encore fermes font de moi une femme forte appétissante.
Il me couche sur la peau de bête et nous faisons l’amour divinement.
Des images passent devant mes yeux, Anna, Lucien, il est vrai que j’ai un peu regretté.
Le samedi, comme prévu, nous prenons la route de Bordeaux.
• Ludovic, pourquoi me fais-tu entrer dans ce sex-shop ?
• C’est là que nous avons rendez-vous avec les patrons.
• Bonjour, madame, bonjour monsieur nous vous attendions.
Voulez-vous nous suivre, nous vous avons réservé le salon d’essayage au sous-sol.
Lucie garde bien la boutique, nous mettons la chaîne, les clients ont l’habitude.
Où suis-je tombée, quelle idée peut avoir eu Ludovic, nous descendons un escalier de quelques marches ?
Le patron met une chaîne derrière nous barrant l’escalier, une pancarte « Descente interdite. »
Que vais-je découvrir ?
• Nous commencerons par vous, monsieur !
• Normalement, honneur aux femmes, à ma femme, la plus belle comme vous le voyez.
Elle va essayer l’ensemble que vous m’avez montré quand je suis venu vous voir et prendre rendez-vous.
Mais exceptionnellement, je vais passer la tenue que je vous ai réservée dans la cabine voisine, pendant ce temps présentez son costume à ma femme.
Ludovic passe dans la cabine voisine et disparaît à ma vue avec le patron.
• À vous madame, votre mari a raison, vous allez vous éclater.
Madame, déshabillez-vous ?
C’est la première fois que vous passez ce genre de vêtements, si l’on peut appeler cela un vêtement.
La patronne sort d’un placard, des lanières de cuir noires.
D’un seul regard alors que seul mon string me recouvre, je vois que je serais nue, Ludovic est devenu fou.
• Rester zen, madame.
Regardez, les cuissardes, les gants montant jusqu’au coude et cette cagoule, vous serez très bien vêtue en femme soumise.
J’oubliais le collier à clous et la laisse.
• Ludovic, où es-tu, tu es devenu complètement cinglé, inutile de penser la moindre seconde que je vais mettre ces trucs et passer la soirée à être ta soumise !
• Chloé, juré craché, tu te souviens.
Tu as toujours respecté cette parole et si pour une fois tu devais me déplaire.
Ludovic vient de sortir de la cabine voisine, lui aussi harnachée avec un costume de lanière et de cuir.
Un étui pénien en cuir lui aussi, recouvre son sexe.
• Si tu refuses de mettre ce costume, j’ai ce qu’il faut pour que tu exécutes mes ordres, madame va t’aider.
Malgré sa cagoule qui fait partie de son costume, je vois les yeux de mon mari et je sens qu’il est sérieux.
Surtout quand il se sert de la cravache qu’il a en main et me donne un violent coup sur mon fessier nu.
• As-tu compris, je vais présenter à nos amis la petite chienne que je faite de toi ?
Patron, la cravache ce n’est pas mal, mais avez-vous quelque chose de plus singlant !
• Oui, regardez, dans ce placard, vous avez les fouets, mais c’est plus un outil d’extérieur.
• Vous avez raison, nous serons dans un appartement.
• C’est plus difficile pour les soumissions, dans les maisons sans caves.
Si vous en aviez une, vous pourriez l’aménager en salle de torture.
En appartement, il vous faut ce genre d’ustensile, une boule à bouche.
Regarder, nous en avons dans plusieurs modèles.
Avez-vous des enfants ?
• Oui, un fils.
• Vous êtes jeune, il doit l’être aussi, le couchez-vous de bonne heure ?
• Neuf heures, tous les soirs, quand nous sortons ma belle-mère, nous lui déposons.
• Un conseil, vous devrez penser à fermer votre porte à clef quand madame aura son harnais, nous avons des clients qui ont vu leur petite fille débarquer.
Dans votre cas, la boule à bouche est obligatoire à cause des voisins.
Ils doivent ignorer que madame aime être dominée.
• J’aime bien la rouge, montrer.
Incroyable, je suis comme tétanisé.
Ludovic a changé sa cravache pour un autre engin impressionnant, une sorte de martinet avec plusieurs lanières de cuir et des petites boules en bois.
Je laisse la patronne me passer les lanières.
Elles sont si étroites que mes seins sont comprimés, mais dans la glace en pied qui est dans cette cave, je vois qu’ils sont mis en valeur.
Quelle idiote d’avoir juré cracher.
J’aime tellement Ludovic que dans ma tête, l’idée de lui être soumise fait son chemin, surtout quand il me donne une grande volée de son étrange ustensile.
• Tout doux avec le chat à neuf queues, c’est tellement efficace que si vous la flagellée directement sur sa peau, vous risquez de la déchirer.
Une soumise doit avoir la douleur dans sa tête, inutile qu’elle se retrouve à l’hôpital.
Passé le moi, je vais vous montrer sur ma femme.
Cindy, es-tu prête ?
• Oui, Maître Roger.
Le patron de ce lieu étrange single sa femme qui reste stoïque.
C’est facile pour elle, elle a un short en cuir noir…
Il nous reste trois mois pour que tous nous nous préparions.
Je te propose d’envoyer les invitations à nos couples d’amis sur Internet pour une soirée costumée.
• Tu as toujours de bonnes idées, Valérie, banco, je vais demander à Ludovic de chercher une idée pour nous.
• J’ai une autre idée en te parlant, puisque nous sommes cinq couples.
Chaque couple devra être déguisé en suivant le même thème.
Par exemple, une infirmière pour elle, un médecin pour lui, Arlequin et Colombine pour un deuxième couple et ainsi de suite.
• Tu as raison, footballeur pour lui, arbitre pour elle, thème le football.
Je vois très bien Jésus en Ronaldo, il a déjà le maillot et Mélissa en arbitre, elle qui veut toujours tout diriger.
• Suggère-lui, en retour tu risques de te prendre une baffe, elle dit toujours que la tyrannie c’est pour les autres.
• C’est parti, lance ton idée, je vois avec Ludovic comment nous allons nous déguiser.
• Tu me diras dès que vous aurez choisi, tu connais comment je suis curieuse.
• Tu as eu une bonne idée, mais je veux que tu sois patiente, tu découvriras cela le 31 décembre à 20 heures quand nous arriverons.
En plus, on sera plusieurs à choisir.
Ludovic aura son mot à dire, il a toujours des idées originales pour ce genre de situation.
Regarde l’été dernier, toi et moi, nous voulions nous faire bronzer à Palavas-les-Flots, nous avons fait l’Espagne en calèche.
Tu te souviens de Pompon, il croyait pouvoir en faire à sa tête.
Sans parler de la promiscuité, c’était formidable de vous entendre baiser.
• Vous nous entendiez !
• Bien sûr, tu es de mauvaise foi, dis-moi que tu es sourde, évite la langue de bois.
• Je reconnais, il faut dire que tu sembles aimer qu’il te prenne en levrette.
• Arrête, je vais être obligé de me caresser.
• On a plus vingt ans louloute.
Tu veux qu’on trompe nos maris ensemble.
• Qui te parle de tromper, tiens, prends Anna et Louis, tu leur donnerais le bon Dieu sans confession, ils sont échangistes !
• Échangiste, comment le sais-tu ?
• Nous les avons invités à diner, Anna était habillée comme une vamp.
• Je connais ta discrétion, elle était vêtue comme une pute.
• Tu as raison, c’était tout comme.
C’est moi qui ai calé, j’avais l’impression que c’était loin d’être mon truc.
Je suis toujours amoureuse de la queue de Franck.
• Je te quitte, notre conversation va mal finir.
Le soir, quand Ludovic rentre de son entreprise, où il a un poste à haute responsabilité, je lui présente l’idée de Valérie en lui servant son whisky.
• Un jour, Lucien, tu sais, mon pote au travail, celui que tu exècres, car il t’a baratiné dès la première fois où il t’a vu.
• L'obsédé sexuel, j’ai passé tout le temps du pot de fin d’année offert par votre patron à repousser ses avances.
• C’est qu’il te trouvait à son goût !
Quand je te vois, j’aurais du mal à penser le contraire ma chérie !
J’ai envie de te prendre là sur le tapis devant la cheminée.
Bref, revenons à Lucien, il parlait d’une soirée à laquelle il devait se rendre déguisé, tout ce qu’il trouvait était ringard.
Je me demandais comment j’aimerais m’habiller, j’ai eu une idée, fait-moi confiance, on va s’éclater.
• Tu es sûr.
• Oui, de plus cela va nous aider à faire avancer notre couple.
• Je vois, tu seras en Mac, moi en pute, la gueule que tous feront dans leur tenue de roi et de reine ou de prince et de princesse.
Je suis certaine que Valérie et Franck seront dans l’une de ces tenues, elle aime trop les choses grandioses.
Quelle idiote, elle va s’emmerder toute la soirée avec sa robe longue et ses jupons.
• Mac et pute, il y a de cela, mais je veux éviter de t’en dire plus, il faut que je me renseigne où trouver nos costumes.
Les semaines passent, l’invitation est arrivée, chacune de mes copines qui seront présentes, cherche à savoir ce que nous avons décidé, mais Ludovic garde son secret.
• Cloé, samedi, nous avons rendez-vous à Bordeaux, nous allons essayer nos tenues, j’ai enfin trouvé où les acheter.
• Je pensais que nous louions !
• Mon idée est tellement extravagante que je souhaite en rire plus tard quand nous ouvrirons notre armoire et que nous reverrons en quoi nous étions déguisés.
• Vivement samedi, tu as souvent des idées originales, mais géniales.
Je te promets que quoi que tu aies choisi, je te suivrai.
• Tu le promets, juré craché comme nous disions quand nous étions adolescents !
• C’est malin, mais oui, il est vrai que lorsque je t’ai dit juré craché, j’ai accepté de faire l’amour avec toi.
Tu m’as fait l’amour sans grand plaisir, sur le siège avant de ta 4 L et neuf mois plus tard, nous nous retrouvions devant ma mère pour lui avouer ma grossesse.
• La première fois, il est exact que tu m’avais caché que j’étais le premier.
Quand j’ai sorti ma queue de ta foune, j’ai mis du sang partout.
Je suis sûr que si je vais dans le garage où elle est garée, je trouverai encore des taches brunes.
Je l’ai gardé comme pièce de collection
• Tu as raison mon amour, depuis, le mal que cela m’a fait, j’adore que tu m’en mettes un petit coup.
D’ailleurs, Hugo est couché, viens me la mettre, je suis en tenue.
Je laisse tomber mon peignoir, apparaissant dans la tenue d’Ève.
Du haut de mes trente-deux ans, mon ventre plat et mes fesses encore fermes font de moi une femme forte appétissante.
Il me couche sur la peau de bête et nous faisons l’amour divinement.
Des images passent devant mes yeux, Anna, Lucien, il est vrai que j’ai un peu regretté.
Le samedi, comme prévu, nous prenons la route de Bordeaux.
• Ludovic, pourquoi me fais-tu entrer dans ce sex-shop ?
• C’est là que nous avons rendez-vous avec les patrons.
• Bonjour, madame, bonjour monsieur nous vous attendions.
Voulez-vous nous suivre, nous vous avons réservé le salon d’essayage au sous-sol.
Lucie garde bien la boutique, nous mettons la chaîne, les clients ont l’habitude.
Où suis-je tombée, quelle idée peut avoir eu Ludovic, nous descendons un escalier de quelques marches ?
Le patron met une chaîne derrière nous barrant l’escalier, une pancarte « Descente interdite. »
Que vais-je découvrir ?
• Nous commencerons par vous, monsieur !
• Normalement, honneur aux femmes, à ma femme, la plus belle comme vous le voyez.
Elle va essayer l’ensemble que vous m’avez montré quand je suis venu vous voir et prendre rendez-vous.
Mais exceptionnellement, je vais passer la tenue que je vous ai réservée dans la cabine voisine, pendant ce temps présentez son costume à ma femme.
Ludovic passe dans la cabine voisine et disparaît à ma vue avec le patron.
• À vous madame, votre mari a raison, vous allez vous éclater.
Madame, déshabillez-vous ?
C’est la première fois que vous passez ce genre de vêtements, si l’on peut appeler cela un vêtement.
La patronne sort d’un placard, des lanières de cuir noires.
D’un seul regard alors que seul mon string me recouvre, je vois que je serais nue, Ludovic est devenu fou.
• Rester zen, madame.
Regardez, les cuissardes, les gants montant jusqu’au coude et cette cagoule, vous serez très bien vêtue en femme soumise.
J’oubliais le collier à clous et la laisse.
• Ludovic, où es-tu, tu es devenu complètement cinglé, inutile de penser la moindre seconde que je vais mettre ces trucs et passer la soirée à être ta soumise !
• Chloé, juré craché, tu te souviens.
Tu as toujours respecté cette parole et si pour une fois tu devais me déplaire.
Ludovic vient de sortir de la cabine voisine, lui aussi harnachée avec un costume de lanière et de cuir.
Un étui pénien en cuir lui aussi, recouvre son sexe.
• Si tu refuses de mettre ce costume, j’ai ce qu’il faut pour que tu exécutes mes ordres, madame va t’aider.
Malgré sa cagoule qui fait partie de son costume, je vois les yeux de mon mari et je sens qu’il est sérieux.
Surtout quand il se sert de la cravache qu’il a en main et me donne un violent coup sur mon fessier nu.
• As-tu compris, je vais présenter à nos amis la petite chienne que je faite de toi ?
Patron, la cravache ce n’est pas mal, mais avez-vous quelque chose de plus singlant !
• Oui, regardez, dans ce placard, vous avez les fouets, mais c’est plus un outil d’extérieur.
• Vous avez raison, nous serons dans un appartement.
• C’est plus difficile pour les soumissions, dans les maisons sans caves.
Si vous en aviez une, vous pourriez l’aménager en salle de torture.
En appartement, il vous faut ce genre d’ustensile, une boule à bouche.
Regarder, nous en avons dans plusieurs modèles.
Avez-vous des enfants ?
• Oui, un fils.
• Vous êtes jeune, il doit l’être aussi, le couchez-vous de bonne heure ?
• Neuf heures, tous les soirs, quand nous sortons ma belle-mère, nous lui déposons.
• Un conseil, vous devrez penser à fermer votre porte à clef quand madame aura son harnais, nous avons des clients qui ont vu leur petite fille débarquer.
Dans votre cas, la boule à bouche est obligatoire à cause des voisins.
Ils doivent ignorer que madame aime être dominée.
• J’aime bien la rouge, montrer.
Incroyable, je suis comme tétanisé.
Ludovic a changé sa cravache pour un autre engin impressionnant, une sorte de martinet avec plusieurs lanières de cuir et des petites boules en bois.
Je laisse la patronne me passer les lanières.
Elles sont si étroites que mes seins sont comprimés, mais dans la glace en pied qui est dans cette cave, je vois qu’ils sont mis en valeur.
Quelle idiote d’avoir juré cracher.
J’aime tellement Ludovic que dans ma tête, l’idée de lui être soumise fait son chemin, surtout quand il me donne une grande volée de son étrange ustensile.
• Tout doux avec le chat à neuf queues, c’est tellement efficace que si vous la flagellée directement sur sa peau, vous risquez de la déchirer.
Une soumise doit avoir la douleur dans sa tête, inutile qu’elle se retrouve à l’hôpital.
Passé le moi, je vais vous montrer sur ma femme.
Cindy, es-tu prête ?
• Oui, Maître Roger.
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