COLLECTION PUTE. C’est ainsi que l’on devient pute (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. C’est ainsi que l’on devient pute (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. C’est ainsi que l’on devient pute (2/2)
« Le train pour Vierzon, départ 14 heures 22 est en formation quai numéro 2. »

Ce train, aujourd’hui, il est parti sans moi.
Je suis folle, il est 17 heures et j’attends un dénommé Sylvain.
Je me persuade, que je vais simplement lui demander des explications sur Lola, la pute, car le doute en est levé.
La pute qui a perdu sa clef de consigne gare de Lyon et que j’ai senti sous mon pied alors que j’allais prendre le train vers le bar de maman, mon mec m’ayant largué.
À quoi tient un destin, si cette clef n’avait pas eu ce petit morceau de plastic avec un trou pour la mettre sur un porte-clefs, je ne l’aurais même pas senti et les choses en auraient été autrement.

• Puis-je vous poser une question monsieur Sylvain ?
• Qu’est-ce que tu m’emmerdes avec tes questions ?
Je suis là pour baiser, alors fou-toi à poil et écarte tes cuisses, tu as accepté mon pognon, assume, surtout que tu es plus gironde que Lola, d’ailleurs elle est ou celle-là !

Je me trouve propulsée dans un monde et une atmosphère étrange.
Sylvain, le premier que j’ai appelé, homme marié à l’alliance qu’il porte à son annulaire m’a donné mes 1 000 €.
J’aurais dû les refuser et lui poser mes questions !
Surtout que 1 000 €, c’est une somme et que pour ce prix-là, même si le mot « classique » était porté dans le carnet, ce qui est un client doit avoir des exigences.
Que veut dire « classique » pour une pute, comparé à une femme mariée, je vais vite l’apprendre lorsqu’un fer rouge me perfore le cul.
Pris au piège, de l’argent encaissé, mon premier client, m’ayant fait simplement enlever ma petite culotte, m’a fait mettre en levrette.
Je suis une oie blanche dans le milieu de la prostitution, mais je sais baiser, Steeve mon patron et amant me prenait souvent dans cette position.
Là, la différence, c’est que c’est mon anus qui était la cible et non ma chatte.
En quelques minutes, je passe d’oie blanche à pute sodomite pour 1 000 €.
Cinq de ces billets de 200 qui sont venus compléter ma collection auprès de ceux que Lola avaient elle aussi gagnés avec son anus.

• Putain, quel pied, tu commences dans le métier et ton trou du cul, n’est pas encore aussi large que celui de Lola !
D’abord ou est-elle celle-là, mais bon je m’en fiche, je n’ai pas perdu au change.
Je peux te recommander auprès de Louis un copain, lui aussi sa femme lui refuse la sodomie et il aimerait essayer.
Il devait venir voir Lola, mais elle a disparu avant qu’il n’ait le temps de l’enculer.

Louis, 1 500 €. Sodomie.
G ! B ! comme Lola l’avait mis sur son carnet pour Sylvain, certainement grand et beau, on s’en fiche, pourquoi 1 500 ?
C’est Sylvain qui m’a suggéré d’augmenter mes tarifs avec lui.
Il bave tellement de sodomiser une femme, même une pute, que je n’ai aucun mal à lui soutirer cette somme.
Bref, avec ce deuxième client, Sylvain puis Louis, qui oserait dire que je suis autre chose qu’une péripatéticienne.

• Gladys ?
• Qui me demande, Lola, tu es la seule à qui j’ai donné ce faux prénom pour conserver mon identité ?
• Je la remplace et si vous le désirez je pourrais vous recevoir.
• Le jeu me plait, j’avais dit à Lola de m’appeler de temps en temps et que je verrais pour me libérer.
Comment te surnommes-tu ?

Merde, j’ai pensé à tout, mais pas que Gladys, qui n’est certainement pas Gladys me demanderait comment je m’appelle.
De Claire à Blanche, pourquoi mon prénom me donne l’occasion de trouver mon nom de prostituée ?
Claire à partir de ce moment est morte, Blanche vient de voir le jour.
Ma voix est toute tracée, je deviens pute allant de la simple sucette à la sodomie que je pratique fréquemment.
Les sodomites ?
Se donnent-ils le mot, j’ai acheté un portable 06 00, si vous croyez que je vais vous le donner entièrement bande de pervers, vous vous fichez le doigt là où je le pense.

Gladys, dans le carnet est l’opposée de Françoise.
Françoise, je la domine et Gladys, c’est elle qui le fait.
La fessée, Gladys est une adepte de ce genre de pratique.
De plus, Gladys est la première femme avec qui je couche, surtout pour de l’argent.
Avant ma puberté, j’ai failli devenir une brouteuse de chatte, mais maman en a décidé autrement.
Elle tenait déjà son bar et de temps en temps je venais avec Clotilde faire des exposés ou autres maths à la maison au-dessus du bar.
C’est lors d’un travail d’Anglais, que pour commencer, sa main est venue se poser sur ma cuisse.
Une brûlure, c’est la sensation que j’ai ressentie surtout que sa bouche est venue me sucer le lobe de l’oreille.
Je suis très sensible du lobe de l’oreille et j’étais prête à passer à l’étape suivance, ma vulve coulant littéralement de désir, lorsque maman est entrée.
Mon expérience, c’est arrêté là, Clotilde a été congédié de ma chambre et de ses études.
C’est au bar qu’elle a commencé à servir les clients de maman.
Lorsqu’elle est venue nous déranger, c’était pour annoncer à Clotilde qu’elle avait appris qu’un accident du travail avait tué son père et que c’était un accident qu’il avait provoqué.
Saoul comme il l’était, pas possible de l’être plus, entrainant une faute professionnelle et son licenciement sans la moindre indemnité malgré son handicap.
Je rentrais le soir après mes cours, Clotilde était derrière le bar et j’ai fréquemment vu maman lui mettre la main au cul.
Un vrai petit couple de lesbiennes, mais un couple qui m’a peut-être empêché de le devenir moi-même.
Les femmes, les hommes, rapidement j’apprends à satisfaire les uns ou les autres.
Presque tout le carnet me passe dessus, mieux, ils me permettent d’étoffer ma clientèle simplement de bouche à l’oreille.
Enfin de bouches à verges ou de bouches à chattes en chaleurs.
De chatte à chatte, lorsque je caresse une femelle nos jambes se plaçant en ciseaux.
Il m’arrive même de temps en temps de jouir tout en encaissant de beaux billets.
Mon petit appartement se remplir de gode ou autres objets érotiques dont je me sers pour satisfaire mes clients et clientes.
Principalement mon gode ceinture, qui me sert aussi bien pour monsieur ou madame.
Je dis monsieur ou madame, car Berthe et Victor viennent de me quitter.
Pour une somme rondelette grossissant mon petit capital, c’est avec mon gode que j’enculais Berthe, moi-même me faisant mettre par Victor dans l’anus.
J’étais le wagon central de ce train où Berthe remplaçait la locomotive et Victor le wagon de queue.
La fois suivante, c’est Victor qui faisait la locomotive, moi restant en sandwich à le sodomiser avec le gode et l’étant moi-même par Berthe avec un deuxième gode ceinture.
Ce gode, c’est ce couple qui l’avait apporté bien plus gros que le mien.
Je vivais ma vie de pute lorsque j’ai été sollicité par une jeune femme, se présentant sous le doux nom de Léa.
J’avais déjà presque doublé mon capital trouvé dans le sac de la consigne de la gare de Lyon.
Léa s’est présentée à moi comme étant une femme aimant les femmes, sans me dire qui elle était réellement.

• Blanche, assez rigolée, je t’aime bien, mais où se trouve mon fric ?
J’ai perdu ma clef dans certaines circonstances que je suis dans l’incapacité de te dire comment.
J’ai des secrets à garder, rien que pour moi et qui te mettrait en danger si je t’expliquais ce que j’ai été obligé de faire.
Je t’ai retrouvé, car dans le carnet qui se trouvait dans mon sac avec mon pognon, je me souvenais de certains numéros que j’appelais souvent lorsque j’avais de la disponibilité.
Tous m’ont dit que Lola avait été remplacée par une certaine Blanche, qui les avaient contacté.
Il m’a été facile d’en déduire que celle qui les appelait en plus d’avoir prise ma place, avait mon pognon et me voilà.
J’ai eu la chance, tu prenais de nouveaux clients ou clientes.
J’ai appelé et me voilà, alors mon fric, dépêche, même si tu baises bien, j’ai un train à prendre et là je suis certaine que je ne vais pas le rater, alors accouche.

J’ignore pourquoi je le fais, certainement car je n’étais pas certaine, que cette L »o ou Lola était bien la réelle propriétaire de la clef de la gare de Lyon.
Mais j’ai soutenu mordicus, que j’ignorais où il était.
Si elle s’était penchée sous le lit, elle l’aurait vu et vu la pétoire qu’elle me met sous le nez, j’aurai perdu son pognon.
Mais aussi le mien gagner à la sueur de ma chatte, de ma bouche et surtout de mon joli cul.

• Creuse, avec la pelle que je t’ai donnée !
Lorsque ta tombe sera assez grande et si tu ne m’as pas dit où se trouve mon fric !
Tu rejoindras Max mon souteneur qui a cru bon me faire du chantage pour que je lui cède mon pognon.
Il me faisait creuser ma tombe, juste à côté que celle que tu creuses.
Tu peux voir que la terre a été remuée et que je l’ai recouvert avec des feuilles tombées des arbres.
Ce con, me tenait en joue avec sa pétoire que j’ai maintenant dans mes mains.

C’est à ce moment que j’ai entendu une sonnerie de téléphone venant de dessous la terre.
Quelqu’un appelait le dénommé Max sur son portable resté dans l’une de ses poches.
Ça a surpris Léa qui se trouvait assez près pour qu’un coup de pelle lui tranche la carotide.
Elle s’est tenu le cou espérant certainement empêcher le sang de sortir par jet continu de son corps.
La tombe qu’elle me réservait était prête, elle est tombée dedans me tombant dessus.
J’ai eu du mal à me dégager, j’avais du sang partout.
Il y avait un étang non loin du lieu ou elle avait tué son souteneur et ou elle reposait en paix sous six pieds sous terre.
J’avais creusé, j’ai rebouché et comme elle l’avait fait, la terre tassée, j’ai étalé des feuilles mortes dessus.
Après un bain dans une eau glacée, lavant, par là même, ma robe, j’ai pu revenir dans mon appartement ou avec mon sac et mon pognon, je suis retournée gare de Lyon.

« Le train pour Vierzon, départ 14 heures 22 est en formation quai numéro 2. »

Ce coup-ci, je l’ai pris n’ayant pas lâché mon sac.
Depuis je coule des jours heureux, au début près de maman à tenir notre bar que j’ai rénové avec le pognon de la pute que j’ai été un certain temps.

• Gloria, tu nous remets cela, n’oublie pas, lorsque tu seras prête, je te renouvellerais ma demande en mariage.

Après ce que j’ai vécu, jusqu’à me prostituer, suis-je prête à fonder une famille et à nettoyer le petit cul des bébés que Clotilde souhaite que nous ayons ensemble ?
Maman, elle, coule des jours heureux à Antibes dans sa maison de retraite que je lui ai trouvé afin qu’elle termine sa vie au soleil.
Si vous sentez une clef sous votre pied, pensez à mon aventure, une fois dans votre vie, la chance passera.

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