COLLECTION ZONE ROUGE. En passant la frontière (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. En passant la frontière (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. En passant la frontière (1/1)
« Bar cherche, barmaid s’adresser au… »

Cette annonce que je trouve dans la presse locale m’intéresse.
Je cherche un emploi après avoir élevé deux enfants.
Les horaires, une grande partie de nuit, sont exactement ce que je cherche pour me facilité la vie.
Pedro, mon mari m’a trahie et il a divorcé, se tirant au Canada avec une pétasse bien sûre plus jeune que moi et non marqué par les grossesses.
Pourtant, je prends soin de mon corps et je peux dire que j’ai réussi, je reste assez bandante.
Je dois passer la frontière chaque jour, après que ma sœur sorte de son propre travail et vienne chez moi pour garder mes rejetons.

• Bonsoir Gloria, vous êtes toujours aussi belle depuis notre rencontre après mon choix de vous embaucher comme barmaid.
J’aime beaucoup cette combinaison argentée avec vos chaussures à talons hauts que vous portez aujourd’hui.
Derrière votre bar, vous plairez à mes clients qui viennent pour mes filles, que je vais vous présenter.
Matilde, vingt-cinq ans, trois ans qu’elle travaille pour moi, sa chevelure rousse plait énormément à mes clients.
• Bonsoir Gloria, je suis heureuse de travailler avec toi, tu verras, mamy Mia est une patronne cool.

Mamy Mia, c’est ainsi que cette femme la soixantaine s’est présentée à moi lorsque je l’ai rencontrée après son annonce et qu’elle me fournisse cet emploi salvateur.
Je devrais apprendre que Matilde, lorsque mamy Mia est absente, est celle qui tient la caisse de ce que les filles gagnent.
Mamy Mia possède ce bar derrière la frontière, le commerce de la chair étant interdit en France.

Cette situation me rappelle l’histoire de Marthe Richard, célèbre pour avoir été à l’origine de la loi de 1946 qui a entraîné la fermeture des maisons closes en France.
Ancienne espionne et aviatrice, elle est devenue conseillère municipale de Paris et a milité activement contre la prostitution réglementée.
Ces décisions ont ainsi bouleversé la vie de nombreuses femmes et propriétaires d’établissements similaires à celui que tient mamy Mia.
La plupart, du moins les plus réputés, se trouvaient à Paris.
Parmi ses célèbres maisons closes parisiennes des années folles, on peut citer Le Chabanais, Le Sphinx, Le One Two Two, La Fleur Blanche ou encore Le Belles Poules.
Ces établissements étaient réputés pour leur luxe, leur ambiance extravagante et la diversité de leurs clientèles, allant des artistes aux hommes politiques en passant par de grands industriels.
Chacun possédait sa propre légende et participait à la renommée sulfureuse du Paris de cette époque.
La fermeture des bordels dans un premier temps a poussé les filles dans la rue, mais Internet est venu tout bousculer, bien sûr de nombreuses années plus tard en France.
J’ai lu ça, moi aussi, sur le net lorsque j’ai su que j’étais embauchée dans ce bar de l’autre côté de la frontière.
J’étais fidèle à mon mari, mais je suis loin d’être une oie blanche côté sexe.
Je dirais même que j’aime le sexe, mais présentement je devrais principalement savoir faire sauter les bouchons de champagne lorsqu’un client, s’étant soulagé, tient à payer à boire à la fille.

• Véronique, tu verras, avec sa chevelure blonde et ses seins en forme de poires, travaille énormément et tu constateras que c’est elle qui fait sauter le plus de bouchons, une fois qu’elle a baisé avec son client.

Véronique est presque à poil, comme les trois filles qui sont là.
Soutien-gorge pigeonnant et juste une petite culotte blanche lui donnant un air ingénu.
Nul doute, à ce que je vois, que ses seins doivent être son principal attrait, des poires et je dirais de belles poires.
C’est certain, elle a plus de dix-huit ans, car sinon mamy Mia ne l’aurait pas embauchée malgré son air ingénu.
La troisième est plus surprenante, Hanako, c’est une jeune femme de 24 ans aux yeux bridés, venue visiter le pays et y étant restée en acceptant d’être une fille de joie dans l’établissement de mamy Mia.
Elle est quasiment plate de poitrine, mais ses yeux compensent ce handicap.
Dès la première soirée, souvent les clients montent avec elle.
Losque je parle de monter, je devrais dire franchir le rideau et de retrouver trois chambres conçues pour qu’elle se fasse baiser.
J’ai fait une pause d’un quart d’heure, j’ai aussi franchi le rideau et j’ai pu voir ce que ces filles faisaient à leur client.
Pour cela j’ai entrouvert la porte des chambres une à une.
Dans la première Hanako, petits seins, mais bouche assez grande pour pomper le dard d’un homme qui pourrait facilement être son père, voire son grand-père.
Comme je l’ai dit, je suis allée sur Internet, mais, voir en vrai ce que j’ai vu en petit film porno, c’est une tout autre histoire.
Je regarde le temps de voir comment elle si prend, elle suce tout en masturbant la verge avec ses deux mains.
L’homme est bien monté, j’ignorais que la bouche d’une femme pouvait être si profonde, car elle l’a fait entrer jusqu’à ce que ses couilles touchent son menton.

• Avale salope…

C’est ce que j’entends au moment où je ferme la porte, j’irai bien voir dans les chambres voisines, mais ma pose est terminée.
Je me demande si Jules, mon mari, ne m’a pas quittée, car à ce jour, j’ignorais qu’un homme pouvait se soulager dans l’estomac d’une femme, fût-elle Japonaise.

• As-tu aimé voir ma bouche sucer la bite de cet homme, Gloria ?

Je tombe des nues, j’ignorais qu’Hanako m’avait vue, qu’on me croie ou non, lorsque j’entends la petite Japonaise, je suis rouge de confusion.
Le lendemain, Hanako est au bar avec mamy Mia, au moment de ma pause.
J’ai vu Marthe franchir le rideau avec l’un de ses clients, je devais découvrir par la suite que c’était l’un de ses plus fidèles.
Je passe le rideau, des toilettes sont près des chambres, je baisse ma culotte et je me soulage.
J’entends ce qu’il se passe dans la cellule voisine, Véronique gagne son fric avec un client.

• En levrette, vas-y dépêche-toi, je n’ai pas de temps à perdre.
Et, où tu vas, mon cul c’est plus cher, tu aurais dû le dire à mamy Mia, tu aurais payé un supplément.
Bon tu es entré par la petite porte, continue, fais-moi sodo, j’aime ça.

Ma main s’égare entre mes cuisses.
Depuis le départ de mon mari, il m’arrive de revenir à l’époque de mon adolescente où mes doigts caressaient mon petit bouton.
Dans l’un de mes petits films cochons, on parlait du clitoris des femmes.
Rapidement la petite chaleur monte en moi, mais comme avec mon homme ce fut de courte durée.
C’est le soir, là encore sur Internet, que pour une travailleuse du sexe, sodo était un raccourcie de sodomie et la petite porte était l’anus de Véronique.
Certains pourraient dire que dans mon bordel, mon éducation sexuelle, je la faisais à marche forcée.

• Gloria, ma belle Gloria, je voudrais que tu me pompes le dard.
Mamy Mia, je double le prix d’une fellation, si c’est Gloria qui vient avec moi dans l’une de vos chambres !
• Monsieur Sébastien, Gloria est ma barmaid, mais non, comme l’une de mes filles.

Je suis rouge de confusion, comment ce client peut-il me confondre avec l’une de ces vides couilles.

• Hanako, vous êtes payée combien pour une fellation ?
• Pourquoi t’intéresses-tu à ça, tu aurais envie d’essayer ?
• Oh ! non, c’était juste comme ça, car monsieur Sébastien a proposé à mamy Mia trois fois le tarif pour que je lui en fasse une.
• Mamy Mia est correcte avec nous, pour une pipe, les clients payent 50 € et elle garde 30 % pour elle.
Dans d’autres bars où j’ai travaillé, certaines patronnes sont de vraies maquerelles et prennent 50 % de ce que l’on gagne.
15 € pour elle, 35 pour moi.
• Donc, 3 fois 35, j’aurais gagné 105 €, mais que je suis conne.

Trois jours plus tard, monsieur Sébastien est de retour.

• Monsieur Sébastien, votre offre tient-elle toujours ?

Première fellation et premier encaissement de 105 € lors de la paye distribuée par mamy Mia.
Ajouter à ça, trois bouchons et deux passes, l’une en levrette et l’autre de façon classique dans la position du missionnaire.
Ça fait six mois que mamy Mia a mis une annonce dans le journal.

« Bar cherche, barmaid s’adresser au… »

Pour ma part, je viens chaque jour sauf le dimanche, je suis avec mes enfants.
Je gagne un max de fric et je m’éclate sexuellement.
Je me suis allongée sur l’un des lits où j’ai découvert l’orgasme.
Ce fut le cas aujourd’hui où un homme que je connais bien a payé pour un moment en totale liberté.
C’est Pedro, mon ex, revenu du Canada, mais ne m’ayant jamais dit qu’il fréquentait les bars à putes avant son départ.
De son côté, il ignorait que j’avais changé d’orientation pour gagner ma vie, l’appel de l’argent étant le plus fort.
L’instant de stupeur passé et voyant certainement qu’un temps, je ne reviendrais pas en arrière, il est devenu mon client préféré, celui qui me rapporte le plus gros de mes gains du mois.
Avec cette argent, je gatte nos enfants, il fallait vraiment que je devienne une fille de joie pour donner un sens à ma vie.
Étais-je née pour ça, je l’ignore !
Vous m’excusez, je dois me concentrer sur mon client, il a du mal à trouver l’entrée de mon anus, il a payé pour me sodomiser.
J’ai eu un orgasme en me faisant baiser par l’un, voire plusieurs de mes clients.
Je suis certaine que je vais jouir de cette sodomie, même si le sexe que j’ai mis en forme en le suçant, va avoir du mal à entrer dans ma petite entrée.
Pute, qui l’eut dit ?
Mais pute qui s’assume et qui ne regrette pas d’être passée de barmaid à fille vidant les couilles des clients de mamy Mia.

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