COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Dédoublement de personnalité (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE.  Dédoublement de personnalité (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Dédoublement de personnalité (2/2)
Combien ?
Trois, quatre jours que j’ai atterri dans cette caravane alors que je lisais mollement allongé sur ma liseuse de style Empire, et où j’ai dû m’endormir.

J’ai reçu mon premier client qui m’a fait connaitre bien des choses en peu de temps.
Mon premier client qui m’a valu une correction, avec le ceinturon d’Alain et les pieds de mes garçons.
Qu’ai-je fait pour mériter un tel traitement ?
Comment aurais-je su qu’avant tout rapport avec un de mes clients, je dois encaisser mon fric.
Le vieux Jacques, est bien arrivé, j’ai été obligé de le sucer dans une odeur de pisse, son hygiène laissant à désirer.
De toute façon, tout laisse à désirer dans cette caravane, comparé au chez-moi de ma vie d’avant où tout était plaisir, beauté et luxe.
Le vieux Jacques a fini par m’enfiler dans ce qu’il a appelé « la levrette ».
Depuis cette position qu’ils me font prendre, qui semble être celle qu’ils préfèrent, du moins, quatre-vingts pour cent me sautent comme s’ils regardaient leur chien sauter leur chienne.
Ce premier client m’a tout fait, jusqu’à me rentrer son sexe dans ma petite rosette, endroit toujours ignoré d’Alain d’ailleurs, c’est plutôt du genre crade.
Trois jours après, j’ai encore mal, il faut dire que deux autres ont voulu ma petite voie, l’un d’eux m’a dit.

• Je t’encule par là, c’est plus serré !
Ta chatte, seul l’autobus a évité de passer dessus.

Il va falloir que je m’habitue, il paraît que les hommes viennent aux putes pour assouvir cette envie de sodomie.
Je m’interroge : chez nous, Alain joue les gentlemen, dans l’immeuble devant lequel je l’ai attendu, lui aussi pratique-t-il ?
L’étrange phénomène qui m’a fait atterrir ici, après ce que je pense être un accident de vélo, le seul souvenir qu’il me reste, c’est une masse noire me sautant dessus.
Cet accident dans mon autre monde aurait pu me donner et donner un autre nom qu’Alice et Alain.
Si ceux qui me savatent se nomment Chris et Christophe.
Leur père leur avait promis un nouveau CD FIFA 2022 et ma négligence d’oublier de me faire payer pour mes fesses va retarder leur achat, d’où les coups.
Merde, Chris et Christophe, mes filles si elles existent, Christine et Christiane.
Les coups se sont calmés, mes fils, je dois reconnaître que ce sont les miens, qui partent trainer dans le quartier avec leurs copains.
Mes filles, elles, sont sérieuses, dès qu’elles sortent de leur collège, elles vont dans leur chambre étudier afin de devenir médecin et l’autre chirurgien comme leur père.
Eux semblent s’être arrêtés d’étudier à la maternelle, si un jour ils y sont allés.
De toute façon, à ce que leur père leur a dit, hier avant que je reçoive le vieux Jacques, il va leur trouver deux filles qui deviendront des putes et qui les nourriront.
En faisant l’idiote, ce qui a été facile dans le milieu dans lequel j’évolue maintenant, j’aurais dû demander ce que je devais prendre, mais les coups ayant cessé, j’ai élaboré une autre tactique.

• Bonjour, mets l’argent sur la table et on se rendra dans ma chambre.
• Bonjour, mets l’argent sur la table et on se rendra dans ma chambre.
• Bonjour, mets l’argent sur la table et on se rendra dans ma chambre.
• Bonjour, mets l’argent sur la table et on se rendra dans ma chambre.
• Bonjour, mets l’argent sur la table et on se rendra dans ma chambre.

En trois jours, j’ai tous les tarifs que je dois prendre pour chaque chose qu’il désire faire avec mon corps.
Cinq clients, pas du tout, comptons le double au moins, car lorsque je sais ce qu’une fellation coute, 50 €, il me suffit de contrôler que je suis normalement payé.
Me faire baiser par ma chatte, 100 et tarif suprêmes, 200 € pour une sodomie.

• Entrez, c’est 200.

Lui, je sais, c’est le vieux Jacques.
Mes fils et mon mari sont allés le retrouver.
Après quelques menaces et certainement des coups, son visage étant tuméfié, ils ont récupéré l’argent de la passe que j’avais oublié de lui demander, ignorant que pour mon cul il devait payer.
Tout est rentré dans l’ordre et je peux continuer à tapiner pour eux, ayant l’ensemble des codes qu’une pute doit connaître dans son métier dans cette caravane immonde.
Chaque billet gagné avec mes fesses, Alain me le prend.
Il m’achète de quoi éviter de mourir de faim, le reste il le picole, rentrant souvent bourré chez nous.
Chaque fois qu’il est de retour, la première chose qu’il fait c’est de compter le fric avant de le mettre dans sa poche.
Chaque soir il ôte son pantalon me montrant sa verge nue, les sous-vêtements c’est loin d’être son truc.
Je dois subir les clients, mais c’est plus lui qui me fait presque gerber.
J’arrive à prendre son langage, moi qui sortais du couvent des Oiseaux.
Son alcoolisme prononcé m’évite qu’il ne me saute pendant des longs moments.
Quasiment à chaque fois il s’endort avant de se servir de ma chatte.
Comme je l’ai dit, Alain, mon chirurgien, me fait l’amour avec douceur et longueur de temps, m’amenant à l’orgasme.
Chaque fois, il jouit après que j’ai eu pris mon plaisir.
Comme je l’ai dit, c’est un gentleman.
Celui de la caravane, lorsqu’il est en état, me baise à la hussarde.
Je jouis avec l’homme du monde, j’explose de jouissance avec le pouilleux dès que sa bite est en moi lorsqu’il tient assez longtemps.

• Maman, tu dormais, excuse-nous !
• Mes filles, je lisais et j’ai dû m’endormir.
Puis-je vous demander quelque chose !
• Maman, tu peux tout nous demander, on a tellement eu peur de te perdre quand papa nous a dit que tu t’étais retrouvée sous une voiture.
• Depuis combien de temps suis-je de retour de l’hôpital.
• Maman, tu as des trous de mémoire, nous sommes venues te chercher hier et lorsque nous sommes rentrées du collège, Sandrine nous a dit que tu lisais dans le salon.
Si tu as des trous de mémoire, dis-le à papa, il saura te conseiller et te consultera, c’est le meilleur médecin, tout Paris se l’arrache.
Tu sais que je me destine à devenir médecin comme lui.
Je travaille déjà sur les maladies ou les traumatismes, ça peut être grave, mais j’ai encore peu de connaissances, lui saura te dire ce qu’il faut faire.

Inutile que je consulte et que j’embête Alain, comment dire, « le propre », « l’élégant », « le gentleman ».
L’autre, « l’ignoble », notre aventure s’arrêtant là.
J’ai repris ma vie normale, jusqu’à ce que Sandrine, notre servante, vienne m’annoncer une visite.

• Madame, Gladys, votre amie demande à vous voir !
• Mais, faites-la entrer petite sotte.
• Je suis là, je vois que tu as encore changé de femme de service.
• Gladys, tu es revenu de New York !
• Lorsque j’ai été prévenue que mon amie était à l’article de la mort, mon sang n’a fait qu’un tour.
Il était normal que je saute dans le premier avion et que je vienne auprès de toi, alors me voilà.

Nous nous embrassons, dois-je dire comment ?
Non, une histoire est loin d’être terminée avec mon retour au bercail.

• Alice, avec cette chaleur et ce long voyage, est-ce que je peux prendre un bain.

Je vois que tu es en robe de chambre, allons-y ensemble, ça nous rappellera nos études lorsque nous étions colocataires.

C’est pour cela que j’ai dit : « Dois-je dire comment », car j’ai connu Gladys au moment de nos études.
La petite femme propre sur elle ayant épousé un chirurgien de renom a connu les amours féminins, il faut que je sois objective.
Si j’étais vierge de sexe masculin, je l’étais moins avec la langue de Gladys et ses doigts sur mon clitoris.
Elle assumait son homosexualité, moi j’avais peur de mes parents et elle m’a préservé ma virginité.

Nues toutes les deux, je retrouve sa chatte épilée, mais surtout ses seins, qu’elle adore que je les suce.
J’ai encore dans le nez l’odeur, j’allais dire d’Alain.
Je vais simplement dire « l’ignoble », je prends mon flacon de Cinq de Chanel et je le verse dans notre bain.
Gladys me regarde comme une autre personne que celle qu’elle a quittée.

• Ma chérie, quelle horreur, regarde les poils de ta chatte, une vraie forêt vierge !
• J’allais chez mon esthéticienne lorsque j’ai eu mon accident.
• Tu te rases toujours les jambes avec ton rasoir comme dans notre appartement, je vais t’arranger ça.
• Non, mais Alain se rase avec son coupe-chou, regarde dans l’armoire à droite.

Je retrouve enfin mon univers, Gladys m’y aide, lorsque mon portable sonne.
Je viens d’enjamber ma baignoire, trouvant l’eau divine à l’exacte température comme je l’aime.
Ma baignoire est programmable grâce à une application.

• Reste dans l’eau, je vais décrocher.
Oui…
Il a raccroché, c’est un certain Alain, je ne comprends pas.
Alain c’est ton mari, il m’a dit.
Alain de la caravane, elle saura qui l’appelle, je rappellerai.
Qu’elle prépare ses fesses, elle va ramasser.

Par quel étrange phénomène, suis-je atteinte ?

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