COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Dédoublement de personnalité (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE.  Dédoublement de personnalité (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Dédoublement de personnalité (1/2)
Qu’il est agréable d’aller en vélo chez mon esthéticienne afin qu’elle me fasse le tablier.
Le joli mois de mai, je l’attendais depuis octobre, où je me recroquevillais dans mon manteau de fourrure en vison.
Je sais, c’est démodé de porter de la fourrure, mais je me fiche du qu’en dira-t-on. J’ai du fric, du moins mon mari, et j’aime que ça se sache.
Je suis la femme d’un des plus grands chirurgiens parisiens, voire français et en toute modestie d’Europe.
Il opère les plus grands, même dans d’autres hôpitaux du monde.
Dernièrement il a opéré l’homme à la toupette jaune sans que personne dans le monde ne soit au courant.
Un chirurgien de ce niveau, ça se paye et c’est moi qui, avec chance, en profite.
Je suis en vélo par ce premier beau jour au lieu de conduire ma belle Porsche Carrera.
Je suis en robe légère qui vole autour de moi.
Je chante tellement, je suis heureuse.
Il faut dire qu’hier Alain m’a fait l’amour dans notre hôtel particulier à Montmartre, ancien atelier de ce peintre célèbre dont j’ai oublié le nom.
Notre maison possède même un jardin d’intérieur.
Lorsque je rentrerai dans la voiture d’Alain, conduite par notre chauffeur, il serait trop difficile pour mes jolies jambes de remonter la côte en pédalant alors que je la descends de plus en plus rapidement.
Je vais peut-être avoir la possibilité de me faire offrir un de ces vélos électriques très à la mode de nos jours.
Je ferais saliver Marie-Chantal, mon amie, toujours jalouse, des cadeaux que mon mari me fait, malgré qu’elle soit plus riche que nous, son mari possède une banque familiale qu’il gère de main de maître.
Lorsque je serais remontée, donc, j’irais bronzer pour la première fois de l’année sur l’une des chaises longues dont je dispose dans ce jardin d’intérieur dont j’ai déjà parlé.
Je vais vous faire un aveu, c’est tellement bien isolé que je me mets nue.
Lorsqu’il rentre, si mes jumelles sont encore à leur cours de danse classique, il me fera l’amour.
Bonjour monsieur, vous avez de la chance, un coup de vent a soulevé ma robe, je suis sûr que vous avez eu le temps de voir que ma petite culotte était rose.
Elle est toujours rose, ce sont des sous-vêtements de cette couleur qui font fantasmer mon mari.
Ce soir, cet homme qui est déjà loin va se masturber de la vision qu’il a eue d’une jeune femme à la trentaine épanouie, heureuse d’être sur terre.
Au bas de la côte, le feu est au vert, alors pourquoi ralentir, ça remonte légèrement après.
Merde...

• Monsieur, votre femme vient de commencer à se réveiller !

Ce sont les mots que j’entends lorsque j’ouvre mes yeux, pourquoi cette chambre bleue, la mienne est blanche, tout chez moi est blanc !

• Madame, vous nous avez fait la peur de notre vie lorsque vous avez été amenée par les services de secours, vous avez été touchée à la tête.
• J’ai eu un accident !
Il faut prévenir mon esthéticienne, c’est là que j’allais lorsqu’une masse noire a déboulé devant moi, venu de nulle part alors que le feu se trouvait au vert.
• Madame Alice, un chauffard vous a coupé la route en passant au rouge et a pris la fuite après vous avoir percutée.
Comme je vous l’ai dit, vous avez été touché à la tête.
Ça fait trois jours que vous êtes dans le coma.
Pour votre esthéticienne, je pense que monsieur Alain l’a prévenu de votre accident.
Reposez-vous, il va arriver, il a été prévenu, dans son service, ils m’ont dit qu’il venait de finir d’opérer.

Trois jours, je suis restée avant de sortir, tous étaient à mes petits soins, vous pensez, la femme d’un des principaux chirurgiens de leur hôpital, ça se chouchoute.
Avant que je sorte, les infirmières m’ont enlevé mon bandage, me montrant sur mon front quelques points de suture.
Il me faut encore quelques jours de repos, ça tombe bien, le beau temps du mois de mai, a fait place à un temps de pluie.
De plus, mon vélo est fichu, il a fini sous la voiture en faisant du tube broyé, sans compter les roues, dans l’impossibilité de rouler en rond.
Je suis mollement allongée sur ma liseuse à lire, lorsque je m’endors.

• Alice, vieille pute, tu vas te lever, ton premier client arrive dans vingt minutes.

J’ouvre un œil où puis-je être ?
On dirait l’intérieur d’une caravane.
Je sens que l’on me prend par les cheveux, me tirant à me faire hurler.

• Quand je te donne un ordre, tu sais que c’est immédiat, même pas trois secondes après, tiens ramasse putain de roulure.

Je ramasse une baffe me faisant porter la tête sur la cloison de cette caravane où je viens de me réveiller.
Où est mon salon Empire, mon lustre et autres objets achetés dans les meilleures boutiques se trouvant Faubourg Saint-Honoré ?
Un lit aux draps douteux, une immonde chemise de nuit ayant certainement vu la lessive il y a des lustres, bref je dois faire un cauchemar et je vais me réveiller.
Bien que la baffe que je viens de ramasser semblait bien réelle.
Avant que je comprenne ce qui m’arrive par un étrange phénomène, j’en ramasse trois avant que je mette mon pied au sol.

• Vous avez vu mes garçons, cette pute a beau être votre mère, c’est ainsi que les femmes se mattent.
Venez, je vais vous conduire à l’école pendant qu’elle va gagner notre fric avec son cul.
Dans quelques années, je vous trouverai deux putes, que vous matterez et que vous ferez travailler, vous aurez la belle vie.
• Oui, papa, on sait comment les femmes doivent être traitées, on est à bonne école avec toi.
Tu seras fière de nous comme nous sommes fières de toi !

Deux chérubins derrière celui qui se dit mon mari, bien que cet homme soit l’exact portrait d’Alain.
Une glace renvoie mon image, je suis bien moi celle que les infirmières appelaient madame Alice.
Sur mon front une coupure avec quelques points de suture.
Deux chérubins, de l’âge de Christine et Christiane, nos jumelles, eues jumeaux aussi, mais dont j’ignore le nom, mais réplique en garçon de mes filles.

• Papa, tu peux la tabasser une nouvelle fois, on adore la manière dont tu la frappes.

Des chérubins, des monstres oui, comparé à mes filles, qui me baisaient les mains lorsqu’elles sont venues me chercher à l’hôpital avec mon mari me ramenant à la maison.

• Non, mes garçons, apprenez la juste mesure des choses, elle a compris que son cul est à moi et que je peux en faire ce que je veux.
Quand son père me l’a vendu vierge, alors qu’il était bourré pour boire quelques verres de plus, il m’a dit qu’elle serait de bons rapports pour ma bourse.
Le vieux Jacques m’a payé pour la sauter, elle se prépare, venez, je vais vous apprendre à faire un ticket de Tiercé avec le fric qu’elle a ramassé hier !

Je les vois partir dans une vieille guimbarde, je pourrais fuir, mais pour aller où ?
Ou suis-je, ou le destin qui parait me frapper, m’a-t-il emmené.
Par la fenêtre de la caravane, je vois de vieilles carcasses de voitures certaines calcinées.
Que dois-je mettre pour recevoir mon premier client, qui a dit de celui qui se prétend être mon mari, me prostitue depuis des lustres ?
Lorsque j’ai vu ce qui semble être mes enfants, douze ou treize ans, mes filles fêtant leur anniversaire dans huit jours, ça fait des années que mon père ivrogne m’aurait vendu.
Mon père, cadre supérieur au ministère de l’Intérieur serait bien contri d’apprendre qu’il est alcoolique lui qui de sa vie n’a toujours bu que de l’eau.
Ma mère est une grenouille de bénitier, espérant avant que de me voir mariée que j’entre dans les ordres.
Mais par chance j’ai été présenté à Alain chirurgien comme je l’ai dit au début de ma vie de jeune femme.
Par quel phénomène étrange je me retrouve à être obligé de me prostituer dans ce lieu minable.
On frappe à la porte, je vais ouvrir.

• Tu m’as fait attendre vieille salope, t’as plutôt intérêt à me sucer et de me faire jouir, j’ai les couilles pleines depuis la dernière fois ou j’ai eu quelques billets à te refiler.

Au secours ou suis-je ?
Moi qui ai toujours été fidèle, si c’est bien moi dans la peau de cette femme, je suis bien mal engagée.
Cet homme ouvre son pantalon et sort son sexe.
Quelle horreur, son sexe est court, mais tout violet sur le bout.
J’ai lu un jour du temps où j’étais dans l’autre monde, bien plus luxueux, ça s’appelait un gland.

Alain, le vrai, le chirurgien, me respecte, mais loin de lui l’idée de me contraindre à le prendre dans ma bouche.
Mon mari, avant de m’honorer, passe par la salle de bains et revient vers moi propre comme un sous-neuf.
L’homme semble avoir oublié depuis des lustres ce que laver veut dire, une odeur âcre et pestilentielle arrive à mes narines.
J’ai peur qu’il ne se vide dans ma bouche, je serais capable de vomir.
Par chance, c’est lui qui m’abandonne, mais l’ordre suivant me laisse pantoise, que me demande-t-il, qu’est-ce que cela veut dire ?

• Mets-toi en levrette !
Dépêche ma femme m’attend dans ma voiture, elle va finir par se poser des questions !

Quel homme vient faire l’amour à une autre femme alors que la sienne l’attend dans sa voiture.
Mon Dieu, l’autre après-midi, nous étions allés faire des courses en ville avec Alain, il m’a dit qu’il allait voir un vieux client et est parti presque trois quarts d’heure.
Je l’ai vu entrer dans un immeuble, est-il allé voir une femme de petite vertu ?
Ce couillon, il me fait avoir des pensées malhonnêtes envers l’homme que j’aime et qui m’aime et surtout m’a donné deux filles alors qu’ici ce sont deux avortons.

• Alice, que me fais-tu, je t’ai dit de te mettre en levrette, à quatre pattes sur ta couche !

Je me mets à quatre pattes, dans une position infâme pour une femme de bonne famille comme moi.
Une claque magistrale s’abat sur mes fesses, je cage mon visage dans mon avant-bras, je me mets à chialer...

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