COLLECTION LIBERTINAGES. Comment sommes-nous devenus des libertins ? (2/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LIBERTINAGES. Comment sommes-nous devenus des libertins ? (2/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. Comment sommes-nous devenus des libertins ? (2/5)
Bien sûr, le titre est explicite, je pense qu’il est difficile de douter là où ces travaux vont mener, Christian, Émilie, Véronique et Pierre.
Quoiqu’Émilie semble un peu coincée et va peut-être faire capoter les objectifs que Véronique semble avoir en tête.
Mais voyons cela de plus près.

• Christian, je te propose de faire deux équipes, vu le papier qu’il y a à poser.
Je fais équipe avec Émilie et toi avec Véronique.
On pourrait attaquer en couple, mais avec ma femme, nous risquons de nous chamailler pour un oui ou pour un non.
Cela créerait des tensions et du retard dans notre travail.
• Dis à nos amis que je suis une semeuse de merde, tu as de la chance qu’Émilie soit mon amie et que je tienne à l’aider, sinon, tu rentrerais avec eux, moi j’irais prendre un train.
Voyez, même sur le simple choix de deux équipes on s’engueule.
Bien, je suis d’accord, faisons comme meussieur veut que nous fassions, meussieur veut toujours avoir raison, alors allons-y, au boulot.

Avec ces messieurs appuyés, nous venons d’assister à une scène de ménage en direct.
Avec Émilie, nous ignorons ce que ces mots « scène de ménage » veulent dire, depuis le premier jour ou nous avons échangé notre premier baiser, pas une ombre au tableau entre nous.
Chaque fois qu’une situation risque de nous poser problème, nous en discutons jusqu’à ce que nous trouvions une solution.

• Bon, nous sommes là pour travailler et non pour palabrer des heures entre nous.
• Chéri, Pierre a raison, faisons deux équipes, tu commences depuis ce coin de porte, en partant à droite, Véronique te prépare les lés de papier et te les passe.
Nous nous tournons vers la gauche avec Pierre qui monte sur l’escabeau et moi qui lui prépare le papier.
Les premiers qui arrivent au coin opposé là où les coupures ne se verront pas, donnent un gage à l’autre équipe.
Inutile de dire que vous êtes d’accord ou non.
Émilie elle en a marre qu’on décide toujours pour elle, les tables sont prêtes, mètres, cutters et règles sont à la disposition de chaque équipe.
Pierre, Christian vous avez ce qu’il faut pour encoller le mur, tu avais prévu des pots de colle toute prête et des brosses.
Un, deux, trois nous sommes parties.

Je suis très étonné, c’est la première fois que je vois Émilie prendre une décision par mon petit bouchon, il y a une chose que je dois avouer.
Si je m’entends toujours bien avec ma femme, c’est que rarement elle ne me contrarie sur les idées qui me traversent.
Un simple exemple : il y a trois mois, j’ai eu l’opportunité de changer notre voiture.
Elle la voulait rouge, moi bleue, elle aurait pu imposer sa couleur, mais elle n’en a rien fait, nous avons une voiture bleu foncé.
Sauf en un point, la sodomie, où là, très gentiment, elle m’a fait comprendre qu’elle n’était pas adepte de ce genre de pratique sexuelle.
Le travail avance vite, mais très proprement.
Chaque équipe prend ses poses lorsqu’ils le désirent.
Je dirais sans être vulgaire qu’une envie de pisser, ça ne puisse pas attendre.
Pour ma part avec Véronique, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Seulement revêtu de la partie basse de son maillot, j’ai la plupart du temps une vue plongeante sur ses attributs.
Elle a vraiment de beaux obus que je me verrais bien faire éclater.
Plusieurs fois, au moment de me passer le lé de tapisserie, sa main effleure ma verge.
Chaque fois, je dois faire un effort surhumain pour éviter de bander.
Par chance, comme nous tournons dans un sens opposé, nous sommes rarement dans le champ de vision d’Émilie, étant de dos.
Sur mon escabeau, je me retrouve de temps en temps face à Pierre.
Que veulent dire les clins d’oeil qu’il m’adresse chaque fois qu’il le peut !
Midi, la moitié du travail reste à faire, un point de détail, les murs de ces vieilles maisons sont rarement droits et malgré la couleur uniforme du papier, par moments le travail prend plus de temps.
Nous l’avons choisi, pardon que j’ai choisi, Émilie voulait des motifs avec une perte de près de 35 centimètres à chaque découpe pour avoir un motif harmonieux.
Mais là, elle s’est ralliée lorsque je lui ai calculé le surcout de tels rouleaux.
Bon prince, je lui ai laissé le choix de la couleur dans le catalogue d’échantillons, je savais que son jugement serait plus pertinent que le mien.
Nous venons d’arrêter lorsque ça carillonne à la porte d’entrée.
Émilie récupère le haut.
Nue, pardon presque dénudé, entre nous ça passe, mais le jeune livreur de pizza pourrait être traumatisé même si les roberts de ma chérie, comme je l’ai déjà dit, sont de petite grosseur.
Ce matin en allant chez les croissants, je suis passé au restaurant pour les commander et demander qu’elles nous soient livrées chaudes à midi tapant.
Table à l’ombre du cerisier qui va nous donner des fruits cœur de pigeon dans quelques jours.
Le congèle qui va m’être livré juste à temps pour en faire des sacs avec leurs noyaux.
Toujours garder les noyaux dans un clafouti, ça lui donne du goût.
Un petit inconvénient, il est couvert de fleurs, gage de profusion, mais les fleurs nous tombent dessus ce qui fait dire à Véronique :

• Christian ta femme est une fleur parmi les fleurs, on en mangerait !

Mangerait, non, mais nous en buvons, j’ai une cave voutée sous la maison, ça faisait partie de l’engouement pour cette maison.
Là encore il y aura quelques travaux, pour l’atteindre il faut passer par une trappe à l’extérieur sur le côté.
Cette cave servait de cave à charbon, du temps où les bougnats existaient encore.
Elle était crade, mais vide, je me suis harnaché et j’ai passé le Karcher, la rendant propre comme un sous-neuf.
J’avais loué une pompe pour la vider au fur et à mesure, sinon j’aurais pu être noyé.
Il y a un cellier près de la cuisine, je vais pouvoir y creuser un passage et y mettre un escalier intérieur pour y accéder été comme hiver.
En plus du cerisier, notre terrain possédait même un puits avec margelle en pierre du pays en parfait état de fonctionnement.
Émilie pourra tirer de l’eau si elle est propre à la consommation.
J’ai prévu de la faire analyser.
Elle pourra arroser les légumes qu’elle souhaite faire pousser, moi je la regarderai,
À part tondre la pelouse, je suis très peu cultivateur.
Certes, je lui ai promis de bêcher l’hiver son lopin que je lui réserve pour que sa terre soit prête au moment des semis.
Inconsciemment, j’ai hâte de manger des radis fraichement cueillis, des tomates sans le goût de coton et des fraises, surtout des fraises, elles aussi très gouteuses.
En ce qui concerne le puits, nous sommes parisiens donc un peu bobos écolos.
J’ai dans l’idée d’adapter un système pour alimenter les toilettes avec de l’eau de ce puits.
Canalisation, pompe, ballon de récupération pour ne jamais manquer d’eau, le plus grand souci c’est la prévision de piscine, il faudra y penser avant de creuser l’un ou l’autre.
Une vieille maison, c’est tout de l’anticipation, sinon on se retrouve très vite avec des problèmes insolubles.
C’est le cas du gag que nous devons donner à Pierre et Émilie qui ont perdu la compétition, nous sommes à la porte d’arrivée avant eux.

• Bon, j’ai pensé…
• Stop Véronique, arrête de penser !
• Mais vous avez accepté le pari et vous avez perdu, il nous reste à vous trouver un gag.
• Véronique crois-tu que je suis assez débile pour ne pas avoir vu votre petit jeu à Pierre et à toi depuis que tu m’as dit vouloir nous aider pour faire avancer nos travaux.
Ne cherchez pas à comprendre, venez à l’étage dans la salle de bains, nous sommes couverts de colle.

Sans plus de commentaires, Émilie tourne les talons et, rapides comme Speedy, rejoint l’étage.
Un peu estomaqués, nous la suivons sans un mot de plus.
Arrivée dans la salle d’eau, elle a enlevé son slip, me montrant enfin qu’elle a gardé sa toison blonde.
L’eau coule dans la baignoire, un instant je pense qu’il sera impossible de tenir à quatre dedans.

• Mes amis, ce bain est pour moi !
Vous, vous avez toute la place dans la douche.
• Véronique, te souviens-tu de cette soirée lors de laquelle nous avons fêté Sainte-Catherine en l’honneur de Catherine, la fille aux grosses lunettes !
• Oui, tu m’as ramené en taxi, chez moi, j’avais un peu abusé du punch antillais.
• C’est exact, tu avais trainé, car Pierre était en voyage et chez toi j’avais du mal à t’arrêter de parler, tu voulais me raconter ta vie, plus qu’intime.
• Alors ça, je ne m’en souviens pas, tout ce dont je me souviens c’est de mon réveil le lendemain, j’avais le plus beau mal de tête de ma vie.
Même deux Alka Seltzer n’ont pas suffi à le calmer.
Je me suis mise dans le noir et j’ai dormi pendant deux jours, même durant mes règles douloureuses je n’avais jamais autant souffert.
Et qu’ai-je dit qui te donne autant d’assurance, j’ai du mal à te reconnaitre ?
• Plusieurs choses : tu avais un fantasme que tu voulais à tout prix réaliser, tu voulais appartenir à deux hommes.
• Ne me dis pas que je t’ai demandé de me prêter Christian !
• Eh ! si, tu l’as fait, tu m’as dit qu’avec Pierre vous étiez libertins, mais que tu n’avais jamais trouvé de partenaire pour qu’ils te prennent en double pénétration.
• Mais Émilie…
• Toi, Christian, tu te tais, ici je suis chez moi et c’est moi la reine de la soirée à venir.
Toi, mon chéri, tu voulais m’enculer et je t’ai rembarré, tu es le partenaire tout trouvé pour ce couple.
Si je te propose cela, c’est que moi aussi j’ai des fantasmes.
Ils me sont survenus lors de mes trajets en métro de chez nous à l’étude Véronique.
Je lis pendant ce trajet sur mon portable et j’ai découvert H.D.S.
Je pense que vous ignorez quel site est H.D.S.
Histoire de Sexe, c’est plus explicite, toutes sortes d’histoires, je me suis découvert candaulisme, savez-vous ce que ce mot veut dire !
• Oui, Émilie, avec Pierre nous nous excitons en lisant ces histoires en tous genres, tu as découvert que tu préférais regarder que de faire ce que certains et certaines pratiquent.
• Exact, c’est pour cela que je vais rentrer dans mon bain pendant que tu les emmènes sous la douche, Véronique.
Christian, regarde, j’ai mon canard plongeur que tu m’as offert…

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