COLLECTION LIBERTINAGES. Comment sommes-nous devenus des libertins ? (3/5) - histoire érotique

À tiens !
Des libertins et une qui est candaulisme, comment cette affaire va-t-elle évoluer, nous le saurons en lisant la suite de cette histoire sur H.D.S. mis à l’honneur par Émilie et aussi Véronique et Pierre.

C’est incroyable comme l’on connaît mal ceux que nous avions cernés depuis des années et qui vous ouvrent une nouvelle facette de votre vie.
Le canard plongeur, celui que j’adore mettre dans l’eau à Paris lorsque nous prenons notre bain ensemble, Émilie et moi.
Le voir plonger d’un coup vers sa cible, c’est un régal, surtout lorsque ma femme finit par se tordre de plaisir.
Je lui ai offert lors de notre premier anniversaire de mariage, je lui avais dit que c’était pour me remplacer si j’avais des pannes de moteurs.
J’ignorais qu’elle l’avait amené à Rogny.
Elle entre dans l’eau, je sens Véronique prendre ma main et me faire entrer dans la douche rejoindre Pierre qui y est déjà, attendant.
Il doit avoir une certaine expérience de telle situation, car il bande déjà ayant enlevé son slip de bain.
Véronique fait tomber le mien, s’agenouille et me prend dans sa main puis dans sa bouche.
Me faire sucer devant ma femme, qui semble ne pas en manquer une miette, c’est une situation ne manquant pas de piment.
L’eau coule sur nous, créant de la buée sur la paroi.
Pierre avec sa main l’enlève, montrant à celle qui doit sentir son canard sur sa chatte me matter me faisant sucer.

• C’est bien Véronique, c’est moi qui à partir de maintenant règle vos jeux, mon canard butine ma chatte, il adore agresser mon clito.

Je tombe des nues, comment puis-je être passé auprès de tant de dépravations sans m’en rendre compte ?
Entre nous, je sais qu’elle est capable de beaucoup, mais devant sa copine et son mari, je la découvre sous un jour nouveau, moi qui pensais que ma femme était restée une oie blanche.
Ses lectures ont dû être très instructives et lui ouvrir les portes de la luxure.
Ce n’est pas pour m’en plaindre, mais c’est surprenant.

• Véro, tu as deux mâles à ta disposition, tu en rêvais, même si c’est ton pain quotidien, occupe-toi aussi de ton mari, je vois qu’il a une très belle érection.

Comment peut-on porter en soi une telle perversion, se faire bouffer le clito par un canard en plastique en dirigeant trois personnes que l’on peut dire libertines ?
Qui l’est le plus, elle ou nous ?
Véronique a changé de bite, mais semble savoir en masturber deux en même temps.
Elle suce Pierre en le masturbant tout en faisant de même pour moi.

• Arrête ma belle salope, attends mon canard m’amène…

Putain ma femme jouit dans son bain tout en nous regardant et en laissant son canard taper du bec contre son clito.
Lorsque je lui ai offert par jeu, aurais-je pu penser que je vivrais un tel moment, surtout que, stoppant au milieu de sa phrase sans aucune pudeur, elle se pame de plaisir, certainement rattrapée par un orgasme.
Je la vois reprendre son souffle en attrapant le canard qu’elle nous montre en le sortant de l’eau.
De la manière dont elle le tient, il continue à battre du bec.

• Pierre, soulève ta femme, tu es assez costaud pour la maintenir à hauteur.
Christian aide-le en lui soutenant les jambes et bouffe lui la chatte.

Certains diront, il en avait rêvé et aujourd’hui il le fait.
Ses jambes maintenues écartées ma bouche vient elle aussi butiner sur les plates-bandes de Pierre, qui de nouveau me fait un clin d’œil.
Dans cette situation étrange, comme je l’ai dit devant Émilie qui semble, ayant repris pied sur terre, ne pas en perdre une miette.
Mon canard se trouvant certainement remplacé par sa main, qui semble s’agiter dans l’eau de là où je me trouve.
Sans réellement le voir, mais le devinant, c’est la première fois que je vois Émilie se caresser la chatte surtout devant moi.
Certes comme bon nombre de femmes, ne pas le faire serait un manque d’envie, Émilie me montre une autre facette de sa personnalité qui est loin de me déplaire.
Pierre soutient sa femme assez longtemps pour que sa chatte m’asperge de cyprine.
Moi aussi j’aime le sexe, mais c’est la première fois que je me fais asperger par une fontaine.
L’eau coule toujours sur nous, étouffant ses cris de plaisir que ma langue a fait démarrer.

• C’est bien, mon eau se refroidit et je ne voudrais pas finir ce week-end avec quarante de fièvre.
Sortez comme moi et essuyez-vous, nous allons continuer de jouer dans votre chambre ou la nôtre, mes amis, j’adore cette situation, je suis sèche, je passe devant.

Comment peut-on être aussi impudique ?
Lorsque nous arrivons dans leur chambre, dans chacune d’elles, nous avons mis un fauteuil avec accoudoirs.
Émilie est affalée dans celui de la chambre de nos amis, un pied sur l’accoudoir montrant sa blondeur à qui veut la voir.
Il ne faut pas oublier qu’Émilie avait du mal à se montrer nue après notre mariage, H.D.S. a dû être très efficace lors de ses lectures pour en faire la belle salope qu’elle nous montre aujourd’hui contre toute attente.
J’en serais presque à jalouser H.D.S. d’avoir montré le chemin de la luxure à celle que je destine à être la mère de mes enfants.
Pierre se baisse pour lui aussi la lécher, elle le rembarre.

• Je t’ai dit qu’ici, c’est moi qui mène le bal !
Aller sur votre lit !
Véronique, le moment de réaliser ton fantasme est enfin venu, comme je réalise les miens depuis que nous sommes montés à l’étage.
Suce-les, ils ont débandé et après tu vas pouvoir te faire pendre en double pénétration.
Christian, tu vas pouvoir enculer notre ami, pense que c’est moi que tu sodomises, car mon cul, même toi, tu ne l’auras jamais.

Je suis à deux doigts de renoncer, d’un coup j’ai peur des conséquences d’un tel jeu. Mais Véronique est très persuasive lorsqu’elle nous fait rebander et sans savoir où je suis, je reprends conscience ma tête de verge entrant dans l’anus de l’amie de ma femme.
La sodomie, elle connaît, car une fois mon gland passer le reste suit en une seule poussée.
La sodomie, j’espérais la réaliser, mais de sentir la verge de Pierre se frotter à la mienne au travers de la petite paroi entre ses deux voix, me surprends agréablement.
Je dois faire un effort sur moi-même pour ne pas éjaculer précipitamment.
Je tourne ma tête, c’est Émilie qui d’une main m’envoie un baiser alors quelle a fait entrer trois doigts de son autre main dans son vagin, qui la font se masturber.
Sous le spot qui éclaire le coin sous lequel elle se trouve, je peux voir des perles de jouissance posées sur sa toison.
Je sens que la verge de Pierre s’énerve le long de la mienne et que Véronique elle aussi est au bord de la jouissance.
Je donne un coup vigoureusement, quatre personnes, quatre adultes, quatre…je ne sais quoi, partent tous en même temps, les cris de cette jouissance emplissant la chambre dans laquelle nous venons de nous éclater.
C’est pantelant, défait, détruit par cette décharge d’adrénaline que nous mettons quelques minutes à reprendre pied sur terre, j’ajouterais après un tel pied.
J’ai roulé hors de l’anus de Véronique qui met plus longtemps que nous à remettre les pieds sur terre.
Notre maître de séance, étant elle aussi de retour parmi nous, nous remet les pieds dans le monde que nous avions un temps oublié.

• Mes amis, je crois qu’il est temps de contenter nos estomacs après les fantasmes que les uns et les autres nous venons de réaliser.

Nous nous préparons de façon plus conventionnelle avant de monter en voiture tous les quatre en tenue plus adéquate.
Quoique Véronique et Émilie portent un pagne en tissu coloré, les seins seulement recouverts du haut de leur maillot.
Nous sommes plus tenus de sport, Pierre et moi, sans nous concerter, nous avons passé le même style de tenue.
C’est le long du canal avec en vue les fameuses 7 écluses, de Rogny étant un chef-d'œuvre d’ingénierie au cœur de la Bourgogne.
C’est lors de notre première visite que j’ai regardé le Guide vert de la région dont je me servais afin de trouver un coin où réaliser notre rêve de maison secondaire.
J’ai remis ce guide dans le vide-poche en changeant de voiture.
C’est assis à notre table, hélas, dans la terrasse couverte, le froid des soirs de mai commençant à se faire sentir que je leur lis les choses les plus importantes sur ces 7 écluses.

« Les sept écluses de Rogny sont un témoignage impressionnant de l’ingéniosité humaine et de l’histoire du transport fluvial.
Construites au XVIIe siècle, ces écluses monumentales furent l’un des premiers maillons d’un ambitieux projet visant à relier la Loire à la Seine par un réseau de canaux.
Un projet visionnaire de l’époque d’Henri IV étant supervisé par son ministre Sully.
Ce dernier avait l’ambition de créer un système de navigation fluviale permettant aux marchandises de circuler entre l’océan Atlantique et la mer Méditerranée.
L’idée était de relier la Loire et la Seine par un canal traversant le plateau de la Puisaye.
Les travaux commencèrent en 1604 et furent achevés en 1642 sous le règne de Louis XIII.
Les sept écluses furent conçues pour permettre aux bateaux de franchir un dénivelé d’environ 24 mètres.
À l’époque, cette réalisation représentait une prouesse technique et symbolisait l’essor du commerce et de l’ingénierie.
Pendant près de deux siècles, les sept écluses furent utilisées pour faciliter le transport de marchandises, notamment le bois, le vin, et les céréales.
Les péniches naviguaient entre les deux bassins, reliant les principales régions agricoles et industrielles du pays.
Ce système fluvial contribua à l’essor économique de la Bourgogne et des régions environnantes.
Cependant, avec le temps, de nouvelles techniques et infrastructures vinrent remplacer le canal original.
À la fin du XIXe siècle, les sept écluses de Rogny furent abandonnées au profit de nouvelles écluses plus modernes et adaptées au trafic croissant.
Aujourd’hui, les sept écluses de Rogny sont classées Monument Historique et attirent de nombreux visiteurs chaque année.
Pour ceux qui visitent la Bourgogne, les sept écluses de Rogny constituent une étape incontournable, mêlant patrimoine, nature, et histoire au fil de l’eau. »

• C’est incroyable ce que l’homme a su faire dans ces années-là avec peu de matériel.
Nous maintenant nous allons dans la Lune !

Nous éclatons de rire, sans manquer d’humour, Véronique n’a certainement pas en mémoire ce que nous venons de faire dans sa propre lune.
Le plus drôle dans tout ça c’est qu’elle se tortille sur sa chaise en prononçant ces paroles.
Son anus, lui rappelle-t-il, qu’il y a peu ma verge le défonçait ?...