COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (46/48)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (46/48) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (46/48)
Louise, et Franck, non, Christophe et Patou !
Mais nous ne sommes pas invités, bien que je voie derrière Yvon une table dressée me montrant qu’ils seront quatre prévus au dîner ce soir.
En principe quatre, car si tous se goupillent comme je l’espère, ils dresseront deux couverts de plus.

• Je vous laisserais bien entrer, mais nous attendons des amis qui seraient peut-être gênés si nous vous invitions à notre table.

Yvon semble confus, même ambigu dans ses explications.
Mais que dire de Paola, si sage dans sa tenue de pompiste avec sa blouse si chère à nos grand-mères.
Qu’est-ce que j’ai dit sur les cul-terreux peuplant nos campagnes !
Paola, chez elle est loin de représenter ce cliché circulant parmi les bobos parisiens.
Surtout dans le Quartier latin où Patou a son garage transformé en atelier.
Des lanières de cuir, tenant simplement un petit cache sexe lui aussi en cuir, aussi grand qu’un timbre-poste.
Deux coupelles, elles aussi en cuir, forment les bonnets du soutien-gorge, l’ensemble tenu par des lanières.
Elle s’aperçoit qu’elle est dans mon champ visuel.
Elle recule précipitamment, mais le mal est fait, j’ai eu le temps de voir que sa tenue se terminait par des bottes cuissardes montant jusqu’au-dessus du genou.
Soirée d’Artagnan entre amis, non !
Si vous lui ajoutez une cravache dans sa main, qui bizarrement se trouve sur la table dressée, vous avez la parfaite dominatrice prête à gérer notre soirée libertine.
Enfin lorsque je parle de notre soirée libertine, je m’avance, mais pas très longtemps, je place le Mathusalem dans les mains d’Yvon, son peignoir s’ouvre, lui aussi porte une tenue d’esclave type « Ben-Hur ».
Avec Charlton Heston dans le rôle principal, que j’ai vu avec mes parents en 1959 ou 60, ma mémoire me faisant défaut à quelques mois près.
On pourrait croire, que la course de chars a été tournée à Lusignan et que nos amis faisaient partie des figurants ou du casting principal !

• Yvon, malgré ma réticence, lorsque vous nous aviez invités, j’avais compris que nous serions seules avec vous !
Mais, monsieur et madame, je suis heureuse de faire votre connaissance.

Comme l’on dit, ça semble se bousculer au portillon.
Yvon avec sa grosse bouteille dans les mains s’efface, nous permettant de pénétrer dans leur maison.
Paola ayant entendu l’arrivée de ses propres invités, sortant de derrière la porte menant certainement vers les chambres et vient jusqu’à nous.

• Nous nous sommes permis de venir vous déranger, mais nous avons pris un tel retard qu’il nous est impossible de rejoindre Paris ce soir.
N’ayant pas d’hôtel ouvert à cette heure dans votre petite ville, voyant l’épicerie et cette bouteille ainsi que votre camionnette, nous étions venus vous demander l’asile pour cette nuit !
Vous avez été si gentil de réparé la roue que Christophe a dû porter jusqu’à votre station que ça mérite bien cette bouteille, hélas, trop chaude pour que nous la buvions ce soir.

Patou, sait y faire pour s’inviter à la table de nos deux couples.
Louise est entrée, à ouvert son imper, bien utile par ce temps de pluie.
Elle place son parapluie dans le porte-parapluie de l’entrée et nous montre une tenue plus sage, dans ces péplums chers à notre époque.
Les tenues dans la Rome antique étaient généralement très simples et peu coûteuses.
Les esclaves portaient souvent une tunique en tissu grossier, sans ornements, et rarement de chaussures.
Leur habillement contrastait nettement avec celui des citoyens libres, ce qui permettait de les distinguer facilement au sein de la société romaine.
Franck a la même tenue que sa femme, mais au masculin avec des chaussures en cuir rudimentaires.
En effet, autant que je m’en souvienne, dans Ben-Hur, les esclaves avaient des chaussures peu sophistiquées.
Ils utilisaient parfois des sandales basiques dont j’ai du mal à me souvenir du nom, faites de simples lanières de cuir, mais la majorité d'entre eux se déplaçaient pieds nus, ce qui accentuait leur statut social inférieur.

• Paola, avez-vous deux vieux draps qui me permettraient de terminer les tenues du temps des Romains, qui semble être le thème de votre soirée ?
• Yvon peux-tu aller dans le garage chercher dans la malle que nous avons ramenée de chez ma grand-mère, hélas décédée ce jour, deux de ses draps ? J’aimerais voir ce que vous êtes capable d’en faire pour notre soirée.
• Des esclaves, des dominateurs, il ne manque que les tribuns de Rome, je vais nous en faire des toges, si tu as des ciseaux et des épingles de nourrice à mettre à ma disposition.

Je note le tutoiement que Patou emploie comme si elle connaissait Paola et Yvon de longue date alors qu’elle ne les a jamais vus.
Pendant que j’étais près d’eux à me faire réparer, elle était trop occupée à satisfaire les ouvriers étrangers dans leur bungalow.
Une fois de plus, elle me montre le naturel qu’il y a en elle, malgré son compte en banque qui a certainement encore fructifié ce soir, l’expo qui lui est consacrée n’étant pas encore terminée.
Trente toiles, si je me souviens de ce qu’elle m’a dit et que je lui ai vu préparé avant que des déménageurs viennent les chercher dans son atelier.

• Je peux couper, ces draps seront fichus, mais je pense qu’ils seront du plus bel effet sur Christophe et sur moi !

Je me dénude, je suis fière de montrer ma verge à ces messieurs, je suis loin d’être ridicule sur le plan volume.
Pour Yvon, l’étui pénien, lui aussi en cuir, serait bien trop petit si c’était sur moi qu’il était posé.
Si papa a réussi une chose dans sa vie, ce sont mes couilles et ma verge digne des meilleurs artistes porno qu’il est possible de voir dans certains milieux dits « sous le manteau ».
La pornographie, comme la prostitution était interdite en France sous le règne de ce cher Charles et surtout de tante Yvonne.
J’ai ouï dire que depuis qu’il habite à l’Élysée, il paye leur électricité.
Je n’ose pas dire : « Quel con, » ce serait irrespectueux pour notre président.
Moi à sa place, je me serais gavé de petits fours et de billets me remplissant les poches, le plus possible, avant que d’autres ne prennent ma place.
En bon futur Français, j’ai de qui tenir : critique, gueule, mais surtout ne fait pas ce que je serais capable de faire si j’avais le pouvoir.
Bref, grâce à Patou, nous devenons les maîtres de cette soirée, le libertinage ça nous connaît.
Deux couverts de plus, le tout arrosé au champagne du Mathusalem.
Si Patou a beaucoup d’idées novatrices, Yvon en a aussi.
Il a placé la bouteille entourée de glaces à l’eau du pain qui lui a été livré en prévision de cette soirée en fin de journée.
Là encore dans nos campagnes les réfrigérateurs sont rares, nous sortons de la guerre, la dernière avant la suivante et c’est des glaciers qui approvisionnent nos besoins de glace.
Un Mathusalem, au fil du repas, l’atmosphère devient nettement plus chaude.
Paola a mis un 33 tours sur un tourne-disque et Claude François commence à résonner dans la pièce.
Cette année Clo-Clo a connu un immense succès avec son titre « Comme d’habitude ».
Chacun a perdu sa chacune, j’ai hérité de Louise, passablement éméché mais assez encore lucide pour sentir sous ma toge mon sexe grandir à vue d’œil.
Elle se frotte de plus en plus à moi, si je le désirais, il me serait facile d’emporter le morceau, mais j’ai bien compris lors du repas que cette soirée censée être libertine était la première pour ce couple.
Un clin d’œil à Patou qui danse avec Yvon, Paola formant le dernier trio avec Franck risquaient d’en rester là.
L’espiègle petite parisienne, subrepticement, arrive à faire tomber sa toge et faisant semblant de n’avoir rien vu, se colle à l’étui pénien qui d’un coup semble trop étroit.
Elle donne sa bouche à son cavalier qui s’en empare avec rapidité et avidité.
Paola voyant son mari embrasser Patou en fait de même avec Franck.
Je décide d’être plus direct, je vais descendre Louise d’un étage et sur les dernières notes de Clo-Clo, sortant ma bite de dessous le drap, je la fourre carrément dans la jolie bouche de Louise.
Timide la coquine, mais très réceptive à ma verge, bien tendue il va de soi.
On me connaît, toujours prêt à satisfaire celle qui s’invite à la table de ma verge.
Louise est peut-être une paysanne, j’ignore si elle a un emploi, mais elle sait se servir de mon costume trois-pièces.
Elle a une grande bouche et c’est une gorge profonde qu’elle m’inflige.
Peine perdue, je suis résistant à toute épreuve.
C’est sans grande difficulté que la faisant se relever, je l’entraîne vers le sofa ou s’agenouillant ses seins sur le dossier, ma verge pénètre sa chatte dégoulinant de cyprine.
Patou a fait se rassoir Yvon et elle s’est empalée sur son pieu qu’elle a dû préalablement sorti de son étui.
Elle se faisait prendre en levrette par les ouvriers et leur contremaitre, là c’est elle qui monte et qui descend Yvon lui bouffant les seins.
Dans ma concentration à satisfaire ma cavalière, Paola semble avoir emmené son partenaire vers les chambres.
Je pense que Paola est trop prude pour baiser devant son mari, mais aussi la femme de son partenaire.
Le tourne-disque tourne en fin de disque ce qui me permet d’entendre les cris de plaisir de la maîtresse de maison.
À son tour, Louise se met à chanter.
Seul ma Patou a la maitrise d’elle-même, même si à son regard je vois qu’elle jouit de la situation.
Entre deux coupes de champagne, nous finissons tous les six près d’eux dans la chambre.
De façon tout à fait normale ce couple, chez qui nous nous sommes introduits, doit baiser lorsque la station est fermée.
Louise et Franck nous embrassent, je comprends qu’ils ont des enfants et qu’il faut qu’ils rejoignent la baby-sitter qu’ils ont engagé pour cette soirée libertine.
J’ai le temps de saillir Paola, une nouvelle fois, me vidant définitivement, comme le mathusalem vide lui aussi.
Il fait plein jour lorsque j’ouvre un œil, l’une de mes jambes repose sur la verge du maître de maison qui ronfle comme il n’est pas permis.
Les femmes nous ont abandonnés, mais qu’importe, il nous faut recharger nos batteries.
Une bonne odeur de café m’attire.
Elle vient de la cuisine ou lorsque j’arrive, Patou continue notre soirée libertine.
Paola est assise sur le plan de travail qui, il va de soi, Patou lui fouffe la chatte en parfaite bi-sexuelle que j’ai su faire d’elle.

• Bonne route, merci d’être venue, on se téléphone et on reste en contact !

Lorsque nous passons devant l’épicerie, la bouteille de Mathusalem par son absence, brille.
Seul son support et la pancarte annonçant qu’il va être gagné la semaine prochaine est visible alors que c’est nous qui l’avons bu jusqu’à la dernière goutte.
Mais aussi bien d’autres choses, cyprine pour les hommes et spermes pour les épouses…

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