COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (47/48)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (47/48)
Nous avons quitté Lusignan avec moins d’aprioris que lors de notre arrivée.
J’avais tendance à penser qu’hors de Paris et aussi de la région parisienne, tous les habitants de ces petites villes, étaient des arriérés.
Certains diraient des péquenauds !
Je suis dans l’obligation de reconnaitre que je suis un bourge ayant des préjugés.
Yvon ainsi que Paola et, à un degré moindre, Louise et Franck nous ont montré qu’ils étaient capables de jouer avec leur sexe tout au long de la soirée passée près d’eux.
Des libertins échangistes, une belle brochette d’enfoirés qui ont su, surtout Paola, me vider les couilles par ses jeux très érotiques.
Les fellations, les levrettes, j’ai même fait faire la brouette avec Louise sous les yeux de son mari.
Je la tenais si serrée, pour éviter qu’elle ne tombe, que ma bite pénétrait son vagin alors que je lui faisais faire le tour du salon et de la salle à manger.
Patou s’occupait d’Yvon et Paola semblait bien aimer Franck, elle ne l’a pas laissé bien longtemps seul à se morfondre.
J’ai bien sûr défoncé Paola lorsque mon tour est venu, depuis que j’avais vu sa petite culotte à la station, j’avais envie d’elle.
En ce moment, je viens de m’arrêter sur une petite portion d’autoroute terminée et un air d’autoroute a permis de me faire sucer par notre petite gourmande.
Elle venait de détacher les boutons de ma braguette et de sortir ma verge alors que nous roulions.
J’avais bien tenté qu’elle attende notre retour à Paris, mais maintenant qu’elle sait se servir de sa bouche pour me satisfaire, elle ne voulait surtout pas attendre.
À 130 et un peu plus, je dirais 150, se faire sucer, c’est un grand risque d’accident.
Alors, lorsque j’ai vu le sapin et la table, distants de 200 mètres, j’ai ralenti pour m’engager sur la bretelle afin de trouver un coin tranquille.
Bref, Paris nous revoilà.
Tient, il y a de la lumière, Christine serait elle en train de préparer notre retour !
J’ai un doute, nous nous sommes arrêtés après la sucette que Patou m’a prodiguée pour faire le plein d’essence et elle a eu sa marraine au téléphone qui était chez elle en cette fin de week-end.
• Vanille, tu m’as fait peur, c’est vrai que Christine nous a dit que tu avais quitté Noa, ton mari, alors que tu es enceinte !
Vanille, toujours aussi jolie, son ventre s’étant légèrement arrondi pendant le temps de notre voyage, même s’il a été court.
• J’ai profité de votre absence pour faire du ménage, j’ai peur de sortir dans la rue, j’ignore ce qu’il se passe, mais en ce mois de mai, les gens semblent devenus fous.
Les étudiants de la Sorbonne occupent leur fac, vous n’avez pas vu ces camions de CRS qui quadrillent Paris ?
Il est vrai que sur la fin de notre parcours, aux portes de Paris, des camions de police paraissent se tenir prêts à en découdre.
J’étais arrêté à un feu, une file de ces camions, à grosses roues étaient stationnés.
Deux gars fumaient appuyés à ces drôles d’engins.
Rien qu’à leur simple vue, ça faisait peur.
Je parle des camions qui les transportaient, bien que sous leur uniforme les CRS, montraient à Patou leur masse musculaire plutôt impressionnante.
À son regard porté sur une partie de leur corps, ma coquine serait prête à les provoquer comme elle a dû le faire dans le bungalow des ouvriers nord-africains.
Le feu passant au vert, j’ai embrayé pour m’éloigner le plus rapidement possible de la tentation de Patou.
Nous nous retrouvons en première ligne si la Sorbonne bouge, nous sommes à moins de 500 mètres à vol d’oiseau de la faculté.
Patou passe la journée de notre retour comme à son habitude à se mettre devant son chevalet.
Demain, je dois faire un voyage jusqu’au champ afin de ramener à Christine les quelques pièces de vêtements de notre ogresse.
Je parle de Patou.
Ogresse, depuis que je l’ai sortie des pattes, disons plutôt des bites des travailleurs construisant l’autoroute qui va permettre de rejoindre Paris à Bordeaux dans un temps record.
Ogresse, depuis que je me suis éloigné des camions de CRS qui, loin de leurs casernements, l’aurait dévorée toute crue si elle en avait eu le temps de les provoquer au feu rouge.
C’est à pied que je me rends sur les champs.
Là encore, la maréchaussée est omniprésente, le préfet de police de la place de Paris sait protéger le centre d’intérêt de la capitale française.
La boutique est fermée, mais je sais passer par le petit couloir où Christine m’a donné la clef pour que je dépose les vêtements dans son bureau.
J’entends du bruit dans la réserve, je m’y rends, Amélie se trouve là qui compte des petites culottes, je suis poursuivi par ce genre de sous-vêtements féminins.
Elle sursaute lorsque je lui parle dans son dos.
• Christophe, c’est toi, tu m’as fait peur !
Avec Patou vous êtes de retour de la côte, votre séjour a été agréable !
Moins arrogante qu’à la sortie de la douche, où il est vrai je n’ai pas assuré, mais c’est si rare et je me suis bien rattrapé en la bloquant dans la Rolls alors qu’elle était sur son pont.
• Christophe, je pensais justement à toi, j’ai quitté mon mec, il ne t’arrivait pas à la cheville.
Sois sans crainte, j’adore Patou et je ne ferai rien pour lui faire du tort.
Prononçant ces mots, elle vient se coller à moi.
Je la laisse faire, surtout qu’elle me met l’une de ses mains sur la braguette du jean qui la couvre.
Il va sans dire, mais c’est mieux de le faire, que je bande immédiatement.
Elle m’embrasse, il va de soi, mais c’est mieux de le dire, que je me laisse faire.
Des cartons sont là fortuitement pour qu’après que je l’aie assise, je lui ôte, là encore, son petit bout de tissu qui s’éclipse sans demander son reste.
Sa chatte est près de ma bouche, alors j’honore son clito qui est trempé de cyprine.
Ses jambes reposant sur mes épaules, je la bourre suffisamment longtemps pour déclencher un orgasme la faisant hurler de plaisir à chaque poussée au fond de son vagin.
Elle hurle, je grogne de plaisir, une nouvelle fois j’ai amené la partenaire d’un moment à son point de non-retour.
Je range ma bite, et je m’éclipse avant qu’Amélie ne revienne à elle.
Comme l’on dit, je l’ai envoyée au septième ciel.
Cette petite gourmande serait capable de vouloir entamer un deuxième round.
Je quitte la boutique et les Champs, décidant de faire le tour de mes femelles en me rendant chez Chantal et Malaurie.
Malaurie, que de chemin parcouru depuis que j’ai dépucelé cette jeune prof d’anglais vierge à 28 ans.
C’est du côté appart que je sonne
Chantal vient m’ouvrir.
• Malaurie est couchée, nous avons refusé tous nos clients aujourd’hui !
Je sens la catastrophe arriver à son regard grave.
• Christophe, Malaurie a perdu ton enfant, enfin ce qui aurait dû être ton enfant !
Elle a fait une fosse couche.
Je suis à deux doigts de lui dire que ça n’est pas grave.
Surtout devant elle, semblant l’être et de fort bonne manière.
Qui eut dit, lorsqu’elle m’a dépucelé du temps lointain de nos vacances, que ce serait moi qui l’aurais mise en cloque.
• Je vais la laisser se reposer, tu lui diras que je suis passé et que je serai près lorsqu’elle le voudra à recommencer et vous apporter le plaisir d’enfanter.
Chantal, prends soin de toi en attendant, mais je te sais assez lucide pour mener à terme ta propre grossesse.
Courage, fuyons, baiser ces femmes et leur apporter après le plaisir, le droit à procréer, mais gérer les conséquences de mes actes, il y a un monde que je ne saurais reconnaitre.
Je retraverse la Seine, si ça merde dans Paris, les péniches et les Bateaux-mouches circulent librement sous leur pont.
Je traverse le pont Saint-Michel et je me dirige vers le Quartier Latin.
Je veux voir la Sorbonne, il semble que le mouvement étudiant ait pris de l’ampleur.
Les camions de CRS que nous avons vus vers la porte d’Orléans se sont rapprochés et ces messieurs paraissent moins décontractés qu’hier lors de notre retour.
Les marches de la fac sont noires de monde.
Une idée saugrenue me vient et si moi aussi je faisais mon entrée dans ce lieu prestigieux de l’éducation française.
Moi le cancre, sauf en anglais, je fais mon entrée sans que la moindre personne ne m’en empêche.
Ça grouille de monde, je me retrouve dans un amphithéâtre où, à la place des profs ce sont les élèves qui débattent de tout et de rien.
Une jeune femme paraît tenir tête à un rouquin qui parle avec un drôle d’accent.
À mon côté deux filles parlent entre elles.
• Josette, Daniel est formidable, c’est un type comme lui qui devrait diriger la France et non pas ce vieux con de Gaulle.
Révolution, révolution !
Elles hurlent ce mot, sans le savoir à ce moment.
Je viens de faire, du haut de cet amphithéâtre, la connaissance de Daniel Cohn-Bendit qui au fil des jours et des années, deviendra Dany le rouge.
• Et toi, tu es en quoi !
La tuile, une jeune femme s’adresse à moi.
Nul doute, je fais impression aux filles présentes à la Sorbonne.
Je vais, mais j’ignore pourquoi, répondre philo lorsque la sœur jumelle de la première, pas à cause de leur visage, mais de leur look, se rapproche de la première.
• Véronique, je t’ai prévenue, tu sais que j’ai horreur que tu parles à des garçons, viens ou sinon je te quitte.
Merde, deux lesbiennes, pourtant celle qui semble soumise à l’autre, comme l’on dit, je lui conterais bien fleurette même si Amélie s’est bien occupée de moi…
J’avais tendance à penser qu’hors de Paris et aussi de la région parisienne, tous les habitants de ces petites villes, étaient des arriérés.
Certains diraient des péquenauds !
Je suis dans l’obligation de reconnaitre que je suis un bourge ayant des préjugés.
Yvon ainsi que Paola et, à un degré moindre, Louise et Franck nous ont montré qu’ils étaient capables de jouer avec leur sexe tout au long de la soirée passée près d’eux.
Des libertins échangistes, une belle brochette d’enfoirés qui ont su, surtout Paola, me vider les couilles par ses jeux très érotiques.
Les fellations, les levrettes, j’ai même fait faire la brouette avec Louise sous les yeux de son mari.
Je la tenais si serrée, pour éviter qu’elle ne tombe, que ma bite pénétrait son vagin alors que je lui faisais faire le tour du salon et de la salle à manger.
Patou s’occupait d’Yvon et Paola semblait bien aimer Franck, elle ne l’a pas laissé bien longtemps seul à se morfondre.
J’ai bien sûr défoncé Paola lorsque mon tour est venu, depuis que j’avais vu sa petite culotte à la station, j’avais envie d’elle.
En ce moment, je viens de m’arrêter sur une petite portion d’autoroute terminée et un air d’autoroute a permis de me faire sucer par notre petite gourmande.
Elle venait de détacher les boutons de ma braguette et de sortir ma verge alors que nous roulions.
J’avais bien tenté qu’elle attende notre retour à Paris, mais maintenant qu’elle sait se servir de sa bouche pour me satisfaire, elle ne voulait surtout pas attendre.
À 130 et un peu plus, je dirais 150, se faire sucer, c’est un grand risque d’accident.
Alors, lorsque j’ai vu le sapin et la table, distants de 200 mètres, j’ai ralenti pour m’engager sur la bretelle afin de trouver un coin tranquille.
Bref, Paris nous revoilà.
Tient, il y a de la lumière, Christine serait elle en train de préparer notre retour !
J’ai un doute, nous nous sommes arrêtés après la sucette que Patou m’a prodiguée pour faire le plein d’essence et elle a eu sa marraine au téléphone qui était chez elle en cette fin de week-end.
• Vanille, tu m’as fait peur, c’est vrai que Christine nous a dit que tu avais quitté Noa, ton mari, alors que tu es enceinte !
Vanille, toujours aussi jolie, son ventre s’étant légèrement arrondi pendant le temps de notre voyage, même s’il a été court.
• J’ai profité de votre absence pour faire du ménage, j’ai peur de sortir dans la rue, j’ignore ce qu’il se passe, mais en ce mois de mai, les gens semblent devenus fous.
Les étudiants de la Sorbonne occupent leur fac, vous n’avez pas vu ces camions de CRS qui quadrillent Paris ?
Il est vrai que sur la fin de notre parcours, aux portes de Paris, des camions de police paraissent se tenir prêts à en découdre.
J’étais arrêté à un feu, une file de ces camions, à grosses roues étaient stationnés.
Deux gars fumaient appuyés à ces drôles d’engins.
Rien qu’à leur simple vue, ça faisait peur.
Je parle des camions qui les transportaient, bien que sous leur uniforme les CRS, montraient à Patou leur masse musculaire plutôt impressionnante.
À son regard porté sur une partie de leur corps, ma coquine serait prête à les provoquer comme elle a dû le faire dans le bungalow des ouvriers nord-africains.
Le feu passant au vert, j’ai embrayé pour m’éloigner le plus rapidement possible de la tentation de Patou.
Nous nous retrouvons en première ligne si la Sorbonne bouge, nous sommes à moins de 500 mètres à vol d’oiseau de la faculté.
Patou passe la journée de notre retour comme à son habitude à se mettre devant son chevalet.
Demain, je dois faire un voyage jusqu’au champ afin de ramener à Christine les quelques pièces de vêtements de notre ogresse.
Je parle de Patou.
Ogresse, depuis que je l’ai sortie des pattes, disons plutôt des bites des travailleurs construisant l’autoroute qui va permettre de rejoindre Paris à Bordeaux dans un temps record.
Ogresse, depuis que je me suis éloigné des camions de CRS qui, loin de leurs casernements, l’aurait dévorée toute crue si elle en avait eu le temps de les provoquer au feu rouge.
C’est à pied que je me rends sur les champs.
Là encore, la maréchaussée est omniprésente, le préfet de police de la place de Paris sait protéger le centre d’intérêt de la capitale française.
La boutique est fermée, mais je sais passer par le petit couloir où Christine m’a donné la clef pour que je dépose les vêtements dans son bureau.
J’entends du bruit dans la réserve, je m’y rends, Amélie se trouve là qui compte des petites culottes, je suis poursuivi par ce genre de sous-vêtements féminins.
Elle sursaute lorsque je lui parle dans son dos.
• Christophe, c’est toi, tu m’as fait peur !
Avec Patou vous êtes de retour de la côte, votre séjour a été agréable !
Moins arrogante qu’à la sortie de la douche, où il est vrai je n’ai pas assuré, mais c’est si rare et je me suis bien rattrapé en la bloquant dans la Rolls alors qu’elle était sur son pont.
• Christophe, je pensais justement à toi, j’ai quitté mon mec, il ne t’arrivait pas à la cheville.
Sois sans crainte, j’adore Patou et je ne ferai rien pour lui faire du tort.
Prononçant ces mots, elle vient se coller à moi.
Je la laisse faire, surtout qu’elle me met l’une de ses mains sur la braguette du jean qui la couvre.
Il va sans dire, mais c’est mieux de le faire, que je bande immédiatement.
Elle m’embrasse, il va de soi, mais c’est mieux de le dire, que je me laisse faire.
Des cartons sont là fortuitement pour qu’après que je l’aie assise, je lui ôte, là encore, son petit bout de tissu qui s’éclipse sans demander son reste.
Sa chatte est près de ma bouche, alors j’honore son clito qui est trempé de cyprine.
Ses jambes reposant sur mes épaules, je la bourre suffisamment longtemps pour déclencher un orgasme la faisant hurler de plaisir à chaque poussée au fond de son vagin.
Elle hurle, je grogne de plaisir, une nouvelle fois j’ai amené la partenaire d’un moment à son point de non-retour.
Je range ma bite, et je m’éclipse avant qu’Amélie ne revienne à elle.
Comme l’on dit, je l’ai envoyée au septième ciel.
Cette petite gourmande serait capable de vouloir entamer un deuxième round.
Je quitte la boutique et les Champs, décidant de faire le tour de mes femelles en me rendant chez Chantal et Malaurie.
Malaurie, que de chemin parcouru depuis que j’ai dépucelé cette jeune prof d’anglais vierge à 28 ans.
C’est du côté appart que je sonne
Chantal vient m’ouvrir.
• Malaurie est couchée, nous avons refusé tous nos clients aujourd’hui !
Je sens la catastrophe arriver à son regard grave.
• Christophe, Malaurie a perdu ton enfant, enfin ce qui aurait dû être ton enfant !
Elle a fait une fosse couche.
Je suis à deux doigts de lui dire que ça n’est pas grave.
Surtout devant elle, semblant l’être et de fort bonne manière.
Qui eut dit, lorsqu’elle m’a dépucelé du temps lointain de nos vacances, que ce serait moi qui l’aurais mise en cloque.
• Je vais la laisser se reposer, tu lui diras que je suis passé et que je serai près lorsqu’elle le voudra à recommencer et vous apporter le plaisir d’enfanter.
Chantal, prends soin de toi en attendant, mais je te sais assez lucide pour mener à terme ta propre grossesse.
Courage, fuyons, baiser ces femmes et leur apporter après le plaisir, le droit à procréer, mais gérer les conséquences de mes actes, il y a un monde que je ne saurais reconnaitre.
Je retraverse la Seine, si ça merde dans Paris, les péniches et les Bateaux-mouches circulent librement sous leur pont.
Je traverse le pont Saint-Michel et je me dirige vers le Quartier Latin.
Je veux voir la Sorbonne, il semble que le mouvement étudiant ait pris de l’ampleur.
Les camions de CRS que nous avons vus vers la porte d’Orléans se sont rapprochés et ces messieurs paraissent moins décontractés qu’hier lors de notre retour.
Les marches de la fac sont noires de monde.
Une idée saugrenue me vient et si moi aussi je faisais mon entrée dans ce lieu prestigieux de l’éducation française.
Moi le cancre, sauf en anglais, je fais mon entrée sans que la moindre personne ne m’en empêche.
Ça grouille de monde, je me retrouve dans un amphithéâtre où, à la place des profs ce sont les élèves qui débattent de tout et de rien.
Une jeune femme paraît tenir tête à un rouquin qui parle avec un drôle d’accent.
À mon côté deux filles parlent entre elles.
• Josette, Daniel est formidable, c’est un type comme lui qui devrait diriger la France et non pas ce vieux con de Gaulle.
Révolution, révolution !
Elles hurlent ce mot, sans le savoir à ce moment.
Je viens de faire, du haut de cet amphithéâtre, la connaissance de Daniel Cohn-Bendit qui au fil des jours et des années, deviendra Dany le rouge.
• Et toi, tu es en quoi !
La tuile, une jeune femme s’adresse à moi.
Nul doute, je fais impression aux filles présentes à la Sorbonne.
Je vais, mais j’ignore pourquoi, répondre philo lorsque la sœur jumelle de la première, pas à cause de leur visage, mais de leur look, se rapproche de la première.
• Véronique, je t’ai prévenue, tu sais que j’ai horreur que tu parles à des garçons, viens ou sinon je te quitte.
Merde, deux lesbiennes, pourtant celle qui semble soumise à l’autre, comme l’on dit, je lui conterais bien fleurette même si Amélie s’est bien occupée de moi…
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