COLLECTION LIBERTINAGES. Comment sommes-nous devenus des libertins ? (5/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LIBERTINAGES. Comment sommes-nous devenus des libertins ? (5/5)
Le libertinage, sur l’initiative d’Émilie, semble bien s’être installé entre les deux couples.
Ça baise encore dans les chambres maintenant contigües, les enfants étant relégués de l’autre côté de la salle de bains et de l’escalier menant à l’étage inférieur.
Comme on l’a vu, Louise, la fille de Pierre et Véronique est venue voir ses parents pour leur annoncer que l’année de ses 18 ans, elle était enceinte de Firmin, le fils de Christian et Émilie.
Voyons ce qu’elle a à nous dire, je dirais presque nous révéler.
Je m’appelle Louise, tout a changé pour Firmin ou pour moi lorsque nos parents nous ont changés de chambre avec Firmin.
Une dizaine d’années, nous avions environ cet âge.
Cela n’a rien changé pour nous pendant quelques années, nous connaissions la nudité de nos mères qui restaient seins nus comme c’était à la mode dans ces années-là.
Pour ma part, j’avais approximativement 13 ans lorsqu’un jour je suis montée me doucher car je devais aller chercher le pain avec mon vélo jusqu’à Rogny.
J’ai ouvert la porte de la salle de bains, découvrant pour la première fois, la bite d’un homme adulte.
Christian était là et j’ignore ce qu’il faisait parce que, parce que, parce que sa bite…
J’ai du mal à trouver les mots, étais toute droite et semblait toute dure.
J’ai quitté la salle et je me suis réfugiée dans ma chambre pour me changer et aller au pain.
Le midi, Christian, m’ayant vu, a fait comme s’il ne s’était rien passé et pendant un an j’ai vécu avec vision ignorante pourquoi une telle chose était possible.
C’est l’année suivante que j’ai tout compris et appris sur le corps des hommes et des femmes.
C’est Firmin qui m’a fait découvrir des films pornographiques sur son portable.
J’étais une oie blanche, surtout que nos portables étaient bloqués par le contrôle parental mis en place par papa et maman.
Il en était de même pour Firmin, mais lui avait un pote qui lui avait fait sauter ce contrôle.
Nos parents, persuadés que nous étions protégés de certaines images, nous laissaient tranquilles.
Nous ignorions encore qu’ils étaient ce qu’ils sont, bien que Firmin m’ait avoué que nous avions changé de chambre lorsqu’une nuit il avait entendu des bruits dans la chambre de ses parents.
Ils étaient dans la chambre du fond et alors qu’il était réveillé, mais faisait celui qui dormait, il a vu passer ma mère et mon père.
À environ quatorze ans, il m’a fait comprendre, lorsqu’il m’a montré ma première vidéo, pourquoi la verge de Christian était dans l’état dans laquelle je l’avais vu.
C’était son père et je me suis bien gardée de lui faire part de ma découverte.
Mais je devenais de plus en plus intéressé par les choses du sexe, tout en restant vierge, même si à quinze ans nous avons assisté à notre premier feu d’artifice avec d’autres jeunes du village.
Quinze ans.
Comme je considérais Firmin comme mon frère.
Même s’il me montrait des pornos, c’est avec Claude, un gars de Rogny, le fils du maire, que j’ai connu mes premiers baisers avec la langue.
Simple baiser, simple autorisation qu’il me palpe les seins sous mon débardeur, maman m’ayant prévenue des risques de faire l’acte sexuel que je connaissais déjà visuellement, bien sûr, sans que je lui avoue.
Claude voulait plus, mais j’ai tenu bon et à 16 ans les portes de ma vie ont pris un tournant.
• Louise, tu peux venir m’aider à changer mes draps de nos chambres, ton père doit aller à Rogny et il les portera à laver.
Ici, avec ta mère nous évitons ce genre de corvées, nous sommes ici pour nous reposer et prendre du bon temps.
J’ignorais ce que « bon temps » voulait dire, mais j’allais rapidement le savoir.
En défaisant leur lit de ses draps, j’ai vu Émilie, récupérer une sorte de journal et le mettre précipitamment dans sa table de nuit.
J’ai vite compris qu’Émilie écrivait un journal intime.
Un soir, j’ai eu mes règles, Firmin avait rejoint nos copains et nos parents était parti diner sans que je sache où ils allaient.
Je devais l’apprendre très vite, c’était écrit dans son journal intime, nos parents étaient échangistes.
J’ai compris que du resto ils se rendraient dans leur boîte échangiste où Émilie regarderait les autres baisers.
Je devais ce soir-là comprendre que l’amie de maman était candauliste tant les détails de ce qu’elle avait plaisir à voir était précisément rapportée dans son journal.
Je découvrais qu’Émile connaissait la tromperie de Christian, avec la secrétaire de son patron.
Corinne était venue lui dire que son mari allait la quitter pour vivre avec elle.
Dans son écrit, elle semblait sûre d’elle ayant éconduit la salope sans plus de procès envers Christian.
Je comprenais bien que c’était elle la légitime et qu’elle comptait bien le rester.
Je gardais ma découverte pour moi, entre les films et le journal, j’avais terminé d’être une oie blanche bien que je sois toujours vierge.
Et, il y a eu la nuit, comme un trop grand nombre où l’on crevait de chaud.
Je venais de fêter mon bac, notre bac, et nos dix-huit ans autour de la piscine.
J’avais soif, ma bouche étant sèche par l’alcool, et je suis descendue boire un verre d’eau.
La piscine était éclairée par la pleine lune et je me suis senti attiré par l’eau même si elle était chaude par la canicule.
Je venais de nager lorsque j’ai eu la frayeur de ma vie, je n’étais pas seule.
J’ai très vite compris que Christian avait eu la même idée que moi et était déjà dans l’eau.
• Alors petite fille, on est venu se rafraîchir !
Tu as bien raison, tu sais que depuis que je t’ai vue dans la glace de la salle de bains alors que je me masturbais, je rêve de toi !
Pour rêver, il rêvait plutôt activement lorsqu’il est venu se coller à moi, sa verge malgré la fraicheur de l’eau étant aussi tendue et droite qu’il y a quelques années.
Sans penser aux conséquences, je me suis retournée et je me suis pendue à son cou.
Christian m’a soulevé et m’a fait entrer sa bite dans ma chatte.
Il venait de me déflorer sans que je n’aie la moindre douleur.
Mieux, c’est sa bouche qui m’a bâillonné lorsque j’ai eu ma première jouissance avec un homme.
Il m’arrivait de me masturber depuis que Firmin m’avait fait voir des pornos.
Cette bite, j’ai compris que c’était elle que j’attendais malgré que j’aime Émilie comme ma propre mère.
• Bonjour Madame Petit, j’aurais besoin, besoin…
• Je comprends, de capote !
• Non, de, de, de…
• Pilules ?
• Oui, du lendemain, j’ai eu des rapports et j’avais oublié de prendre ma pilule.
• J’espère que ça marchera, ce n’est pas sûr que ce rapport vous ait mise enceinte, mais la pilule du lendemain s’avère inefficace de temps en temps.
Mais je ne veux pas vous alarmer, chaque jour suffit sa peine.
J’ai interrogé mon portable, à mon âge, j’avais supprimé le contrôle parental.
Voici ce qu’il me disait.
La pilule du lendemain est une méthode contraceptive d'urgence conçue pour réduire le risque de grossesse après un rapport sexuel non protégé ou en cas d'échec de contraception.
Son efficacité dépend principalement du moment où elle est prise.
Elle est généralement plus efficace lorsqu'elle se trouve prise dès que possible après le rapport à risque.
Divers facteurs peuvent influencer son efficacité, notamment le moment de l'ovulation et le délai entre le rapport et la prise de la pilule.
Il est également important de noter que la pilule du lendemain n'est pas destinée à remplacer une contraception régulière et n'est pas efficace si l'ovulation a déjà eu lieu avant la prise.
Si vous avez le moindre doute ou si vos règles ne surviennent pas dans les semaines suivant la prise, il est recommandé de consulter un professionnel de santé et de réaliser un test de grossesse.
Comme sœur Anne, j’ai attendu mes règles, qui ne sont jamais venues.
Un test, je l’ai fait et il s’est avéré positif.
À qui m’adresser, le père, Christian, je l’ai fait.
• Louise, si tu dis quoi que ce soit à ma femme ou à tes parents, ça va foutre un bordel pas possible.
Dis-moi, Firmin, mon fils, tu l’aimes bien !
• Comme un frère, pourquoi ?
• Et si tu faisais le nécessaire pour qu’il soit plus qu’un frère.
Tu es enceinte de trois semaines environ, un prématuré de 3 kilos, ça se voit de temps en temps et tu ne passeras pas pour une salope qui se fait sauter par le premier venu.
Tu sais, une réputation, ça ne tient pas à grand-chose.
De plus, comme grand-père, je pourrais subvenir aux besoins de mon fils et de son fils.
Même l’ADN est en notre faveur si un jour mon fils avait un doute.
Comprenant la couardise de celui qui avait eu moins de scrupule à me sauter dans la piscine, c’est le lendemain matin que je suis passé à l’action.
• Firmin, je peux t’avouer quelque chose !
Je m’étais glissé dans son lit et je l’ai directement attaqué avec ma main sur sa verge.
Sur sa verge puis lorsqu’il a bien bandé, je savais qu’il était puceau, c’est moi qui me suis empalée dessus.
Je me suis dépêchée de le mettre en moi, j’avais peur qu’il ne décharge trop vite si je l’avais laissé faire et qu’il refuse de recommencer à cause de ses parents.
C’était fait, je l’ai senti gicler en moi, j’ai attendu le temps nécessaire pour lui montrer le test que j’avais refait comme celui que j’avais montré à son père et le jeu était fait.
Voilà, c’était l’histoire de deux familles françaises et de leur progéniture.
Analysons.
Des libertins, oui, les deux couples de notre histoire !
Un candaulisme, oui, mais féminin, Émilie, l’une des deux femmes de ces deux couples !
Un adultère, oui, le père avec Corinne la secrétaire de sa banque !
Un cocu, oui, Firmin !
Firmin, le seul cocu au monde avant d’avoir épousé sa moitié et qui plus est par son propre père !
Une salope, bien sûr la future maman Louise, ayant cédé à son futur beau-père et ayant réussi à épouser le fils pour cacher sa grossesse et garder sa dignité.
Et enfin, un gros beauf qui n’assume pas ses propres forfaitures se cachant derrière son petit doigt pour garder sa petite vie tranquille.
Ça baise encore dans les chambres maintenant contigües, les enfants étant relégués de l’autre côté de la salle de bains et de l’escalier menant à l’étage inférieur.
Comme on l’a vu, Louise, la fille de Pierre et Véronique est venue voir ses parents pour leur annoncer que l’année de ses 18 ans, elle était enceinte de Firmin, le fils de Christian et Émilie.
Voyons ce qu’elle a à nous dire, je dirais presque nous révéler.
Je m’appelle Louise, tout a changé pour Firmin ou pour moi lorsque nos parents nous ont changés de chambre avec Firmin.
Une dizaine d’années, nous avions environ cet âge.
Cela n’a rien changé pour nous pendant quelques années, nous connaissions la nudité de nos mères qui restaient seins nus comme c’était à la mode dans ces années-là.
Pour ma part, j’avais approximativement 13 ans lorsqu’un jour je suis montée me doucher car je devais aller chercher le pain avec mon vélo jusqu’à Rogny.
J’ai ouvert la porte de la salle de bains, découvrant pour la première fois, la bite d’un homme adulte.
Christian était là et j’ignore ce qu’il faisait parce que, parce que, parce que sa bite…
J’ai du mal à trouver les mots, étais toute droite et semblait toute dure.
J’ai quitté la salle et je me suis réfugiée dans ma chambre pour me changer et aller au pain.
Le midi, Christian, m’ayant vu, a fait comme s’il ne s’était rien passé et pendant un an j’ai vécu avec vision ignorante pourquoi une telle chose était possible.
C’est l’année suivante que j’ai tout compris et appris sur le corps des hommes et des femmes.
C’est Firmin qui m’a fait découvrir des films pornographiques sur son portable.
J’étais une oie blanche, surtout que nos portables étaient bloqués par le contrôle parental mis en place par papa et maman.
Il en était de même pour Firmin, mais lui avait un pote qui lui avait fait sauter ce contrôle.
Nos parents, persuadés que nous étions protégés de certaines images, nous laissaient tranquilles.
Nous ignorions encore qu’ils étaient ce qu’ils sont, bien que Firmin m’ait avoué que nous avions changé de chambre lorsqu’une nuit il avait entendu des bruits dans la chambre de ses parents.
Ils étaient dans la chambre du fond et alors qu’il était réveillé, mais faisait celui qui dormait, il a vu passer ma mère et mon père.
À environ quatorze ans, il m’a fait comprendre, lorsqu’il m’a montré ma première vidéo, pourquoi la verge de Christian était dans l’état dans laquelle je l’avais vu.
C’était son père et je me suis bien gardée de lui faire part de ma découverte.
Mais je devenais de plus en plus intéressé par les choses du sexe, tout en restant vierge, même si à quinze ans nous avons assisté à notre premier feu d’artifice avec d’autres jeunes du village.
Quinze ans.
Comme je considérais Firmin comme mon frère.
Même s’il me montrait des pornos, c’est avec Claude, un gars de Rogny, le fils du maire, que j’ai connu mes premiers baisers avec la langue.
Simple baiser, simple autorisation qu’il me palpe les seins sous mon débardeur, maman m’ayant prévenue des risques de faire l’acte sexuel que je connaissais déjà visuellement, bien sûr, sans que je lui avoue.
Claude voulait plus, mais j’ai tenu bon et à 16 ans les portes de ma vie ont pris un tournant.
• Louise, tu peux venir m’aider à changer mes draps de nos chambres, ton père doit aller à Rogny et il les portera à laver.
Ici, avec ta mère nous évitons ce genre de corvées, nous sommes ici pour nous reposer et prendre du bon temps.
J’ignorais ce que « bon temps » voulait dire, mais j’allais rapidement le savoir.
En défaisant leur lit de ses draps, j’ai vu Émilie, récupérer une sorte de journal et le mettre précipitamment dans sa table de nuit.
J’ai vite compris qu’Émilie écrivait un journal intime.
Un soir, j’ai eu mes règles, Firmin avait rejoint nos copains et nos parents était parti diner sans que je sache où ils allaient.
Je devais l’apprendre très vite, c’était écrit dans son journal intime, nos parents étaient échangistes.
J’ai compris que du resto ils se rendraient dans leur boîte échangiste où Émilie regarderait les autres baisers.
Je devais ce soir-là comprendre que l’amie de maman était candauliste tant les détails de ce qu’elle avait plaisir à voir était précisément rapportée dans son journal.
Je découvrais qu’Émile connaissait la tromperie de Christian, avec la secrétaire de son patron.
Corinne était venue lui dire que son mari allait la quitter pour vivre avec elle.
Dans son écrit, elle semblait sûre d’elle ayant éconduit la salope sans plus de procès envers Christian.
Je comprenais bien que c’était elle la légitime et qu’elle comptait bien le rester.
Je gardais ma découverte pour moi, entre les films et le journal, j’avais terminé d’être une oie blanche bien que je sois toujours vierge.
Et, il y a eu la nuit, comme un trop grand nombre où l’on crevait de chaud.
Je venais de fêter mon bac, notre bac, et nos dix-huit ans autour de la piscine.
J’avais soif, ma bouche étant sèche par l’alcool, et je suis descendue boire un verre d’eau.
La piscine était éclairée par la pleine lune et je me suis senti attiré par l’eau même si elle était chaude par la canicule.
Je venais de nager lorsque j’ai eu la frayeur de ma vie, je n’étais pas seule.
J’ai très vite compris que Christian avait eu la même idée que moi et était déjà dans l’eau.
• Alors petite fille, on est venu se rafraîchir !
Tu as bien raison, tu sais que depuis que je t’ai vue dans la glace de la salle de bains alors que je me masturbais, je rêve de toi !
Pour rêver, il rêvait plutôt activement lorsqu’il est venu se coller à moi, sa verge malgré la fraicheur de l’eau étant aussi tendue et droite qu’il y a quelques années.
Sans penser aux conséquences, je me suis retournée et je me suis pendue à son cou.
Christian m’a soulevé et m’a fait entrer sa bite dans ma chatte.
Il venait de me déflorer sans que je n’aie la moindre douleur.
Mieux, c’est sa bouche qui m’a bâillonné lorsque j’ai eu ma première jouissance avec un homme.
Il m’arrivait de me masturber depuis que Firmin m’avait fait voir des pornos.
Cette bite, j’ai compris que c’était elle que j’attendais malgré que j’aime Émilie comme ma propre mère.
• Bonjour Madame Petit, j’aurais besoin, besoin…
• Je comprends, de capote !
• Non, de, de, de…
• Pilules ?
• Oui, du lendemain, j’ai eu des rapports et j’avais oublié de prendre ma pilule.
• J’espère que ça marchera, ce n’est pas sûr que ce rapport vous ait mise enceinte, mais la pilule du lendemain s’avère inefficace de temps en temps.
Mais je ne veux pas vous alarmer, chaque jour suffit sa peine.
J’ai interrogé mon portable, à mon âge, j’avais supprimé le contrôle parental.
Voici ce qu’il me disait.
La pilule du lendemain est une méthode contraceptive d'urgence conçue pour réduire le risque de grossesse après un rapport sexuel non protégé ou en cas d'échec de contraception.
Son efficacité dépend principalement du moment où elle est prise.
Elle est généralement plus efficace lorsqu'elle se trouve prise dès que possible après le rapport à risque.
Divers facteurs peuvent influencer son efficacité, notamment le moment de l'ovulation et le délai entre le rapport et la prise de la pilule.
Il est également important de noter que la pilule du lendemain n'est pas destinée à remplacer une contraception régulière et n'est pas efficace si l'ovulation a déjà eu lieu avant la prise.
Si vous avez le moindre doute ou si vos règles ne surviennent pas dans les semaines suivant la prise, il est recommandé de consulter un professionnel de santé et de réaliser un test de grossesse.
Comme sœur Anne, j’ai attendu mes règles, qui ne sont jamais venues.
Un test, je l’ai fait et il s’est avéré positif.
À qui m’adresser, le père, Christian, je l’ai fait.
• Louise, si tu dis quoi que ce soit à ma femme ou à tes parents, ça va foutre un bordel pas possible.
Dis-moi, Firmin, mon fils, tu l’aimes bien !
• Comme un frère, pourquoi ?
• Et si tu faisais le nécessaire pour qu’il soit plus qu’un frère.
Tu es enceinte de trois semaines environ, un prématuré de 3 kilos, ça se voit de temps en temps et tu ne passeras pas pour une salope qui se fait sauter par le premier venu.
Tu sais, une réputation, ça ne tient pas à grand-chose.
De plus, comme grand-père, je pourrais subvenir aux besoins de mon fils et de son fils.
Même l’ADN est en notre faveur si un jour mon fils avait un doute.
Comprenant la couardise de celui qui avait eu moins de scrupule à me sauter dans la piscine, c’est le lendemain matin que je suis passé à l’action.
• Firmin, je peux t’avouer quelque chose !
Je m’étais glissé dans son lit et je l’ai directement attaqué avec ma main sur sa verge.
Sur sa verge puis lorsqu’il a bien bandé, je savais qu’il était puceau, c’est moi qui me suis empalée dessus.
Je me suis dépêchée de le mettre en moi, j’avais peur qu’il ne décharge trop vite si je l’avais laissé faire et qu’il refuse de recommencer à cause de ses parents.
C’était fait, je l’ai senti gicler en moi, j’ai attendu le temps nécessaire pour lui montrer le test que j’avais refait comme celui que j’avais montré à son père et le jeu était fait.
Voilà, c’était l’histoire de deux familles françaises et de leur progéniture.
Analysons.
Des libertins, oui, les deux couples de notre histoire !
Un candaulisme, oui, mais féminin, Émilie, l’une des deux femmes de ces deux couples !
Un adultère, oui, le père avec Corinne la secrétaire de sa banque !
Un cocu, oui, Firmin !
Firmin, le seul cocu au monde avant d’avoir épousé sa moitié et qui plus est par son propre père !
Une salope, bien sûr la future maman Louise, ayant cédé à son futur beau-père et ayant réussi à épouser le fils pour cacher sa grossesse et garder sa dignité.
Et enfin, un gros beauf qui n’assume pas ses propres forfaitures se cachant derrière son petit doigt pour garder sa petite vie tranquille.
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