COLLECTION NUIT DE NOËL. Le Père Noël est un Chippendale (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION NUIT DE NOËL. Le Père Noël est un Chippendale (1/1)
Nous sommes quatre couples d’amis qui chaque année nous réunissons pour passer le réveillon du jour de l’An dans un chalet de montagne Airbnb.
Ça fait trois ans que nous louons d’une année sur l’autre pour les journées des 23 au 26 décembre.
Ski au sommet du Semnoz, raclette, fondue et tartiflette est la base de nos repas après le sport intensif que nous pratiquons.
Jean, Robin, Guillaume et moi, Christian, nous sommes quatre copains de promotion faisant partie des sapeurs-pompiers de Paris engagés pour quelques années dans ce corps d’élite de la capitale.
Le chalet se trouve dans un village au pied du Semnoz ayant un nom un peu bizarre.
Viuz-la-Chiésaz, je me demande qui a eu l’intelligence de trouver un tel nom !
Mais bon, le chalet est spacieux avec une vue magnifique et nous louons à des prix très abordables comparés à se couterait un Airbnb aussi spacieux dans la capitale ou dans une des stations de Savoie.
Surtout que deux de nos femmes pratiquent le ski de fond et non de descente.
Pour notre plus grand plaisir une boulangerie dans laquelle le pain est cuit au feu de bois.
Ça nous permet de déguster du bon pain et des croissants lorsque l’un de nous a le courage d’aller au matin les chercher.
Aux pompiers de Paris, je suis sorti major de promotion et je suis déjà sergent.
Pour les autres, ils ne sont que caporaux-chefs et même Jean est resté caporal.
Il a stagné alors qu’il n’était que débutant lorsque nous avions baisé la femme de notre commandant dans une caserne dont je tairais le nom.
Viviane, cette femme d’officier était une vraie salope.
Jean s’est fait prendre dans le pieu du commandant alors que nous étions tous les quatre à nous relayer pour la défoncer comme elle le méritait.
J’étais passé le premier, mais Jean fut le dernier et lorsque nous avons entendu son mari entrer, nous avons tous sauté par la fenêtre assez haute, mais pas assez pour des garçons entrainés comme nous.
Jean était en train de sodomiser Viviane et a voulu finir de décharger dans ce trou du cul si accueillant.
Le patron est rentré dans la chambre et il va de soi que sa promotion s’en est fait sentir, d’où son grade inférieur au nôtre.
Entretemps nous nous sommes tous mariés la même année.
Jean avec Loïse, Guillaume avec Giselle, Robin avec Ludivine et moi avec Jennifer.
Jennifer, c’est sur le plan d’eau de Lescheraines, là aussi en Haute-Savoie, en été, que je l’ai rencontrée.
Elle était en maillot de bain deux pièces avec son copain.
Mais dès que je me déplaçais, elle matait mes pectoraux surdéveloppés par les tonnes de fonte que je soulevais.
Au passage de la planche, nul de notre équipe n’est plus rapide que moi.
Elle m’a dit le soir où je l’ai baisé avant que je l’épouse, que c’était mon petit cul qui semblait très ferme qui l’avait séduite lorsque je me déplaçais afin d’aller me baigner.
Nous avions failli en venir aux mains avec son ex, mais sa carrure d’athlète, genre ablette, l’en avait dissuadé.
Ce soir c’est le réveillon de la nuit de Noël.
Tous sont baptisés, mais aucun ne pratique, alors nous installons la salle devant la maxi cheminée que nous bourrons de buches et où nous plaçons les canapés et fauteuils prévus pour des couchages secondaires.
Ça nous donne un espace dans lequel nous allons pouvoir nous exprimer dans un spectacle préparé cette année.
Cette année, mes copains ont décidé d’innover lors du réveillon, nous nous sommes entrainés pour présenter un spectacle.
La bûche de Noël terminée, sans moi, je n’aime pas le chocolat.
Cette année c’est la maman de Jean qui l’a préparé et nous l’avons apporté dans une glacière.
Elle était au chocolat comme il est de tradition.
Je dis « étais », car malgré sa grande taille, ils n’en ont pas laissé, elle a été mangée dans son intégralité.
Il y a une chaîne dans la salle, et j’ai réglé mon smartphone pour que les baffes distribuent la musique dont nous avons besoin.
Le départ, c’est moi qui le donne, mais en retrait, je passe en vedette, c’est normal, je suis le chef.
Village People, groupe américain mythique des années 80, va nous permettre de montrer à nos épouses le travail que nous avons fait afin de continuer à les séduire.
Étant près, je vais pour lancer la musique lorsque je constate que dans le clan de nos épouses, deux d’entre elles, ont franchi certaines barrières.
Même si j’ai déjà eu l’impression que Loïse et Ludivine semblent très bien s’apprécier, les deux femmes sont dans les bras l’une de l’autre et il est évident que dans leurs bouches, leurs langues sont très actives.
Je démarre le premier morceau, « Y.M.C.A. », mes trois copains entrent en scène dans les tenus que nous nous sommes fait confectionner.
Certes, Village people, sont six, mais qu’importent, ils sont les trois en pompiers avec casques et tenues d’intervention.
Enfin, tenue d’intervention, chemise et pantalon, et rapidement, ils sont en string.
Du côté des femmes aimant les femmes, la situation évolue, elles se caressent directement l’entrejambe.
Je vois même les doigts de Loïse entrer dans la chatte de Ludivine.
Jean et Robin, semblent se satisfaire de cette situation.
Pourtant, ils pourraient intervenir, mais Jean se rapproche de ma femme et Robin de Giselle.
Guillaume à son tour, voyant certainement que Jennifer sort la bite de Jean et la met directement dans sa bouche, vient à elle.
Une bouche, deux bites, c’est de l’un à l’autre qu’elle commence à satisfaire ses amants du moment.
Je sais que Jennifer et elle le savent aussi,elle aime ces situations scabreuses.
Il nous arrive d’aller dans un club échangiste à Aix-les-Bains, lorsque à des fêtes nous venons chez ses parents habitant dans le massif des Bauges.
J’aime la baiser et j’aime aussi la voir se faire baiser.
Mais deux mâles en rut, c’est la première fois.
La chorégraphie n’a plus rien à voir avec ce que nous avons travaillé, mais sur les premières notes de « Macho Man », le père Noël dans la tenue dont je suis déguisé, entre en scène.
Vers qui dois-je me rendre pour qu’elle m’arrache, comme nous l’avions prévu, mon pantalon et me retrouve en string rouge bordé d’Ermine blanc !
Les trois garçons étaient tenus de venir vers moi, m’arracher ma veste de Père Noël et ainsi de montrer à nos femmes la bête que je suis avec mes pectoraux que je devais faire marcher devant chacune d’elles.
Je choisis les gouines, je choisis bien, car Ludivine, venant entre les jambes de Loïse, lui ôte sa petite culotte.
Nul doute, qu’il a dû se passer quelque chose lors du repas.
Mes cinq compagnons et compagnes ou les yeux de ceux que je connais bien, lorsqu’il nous arrive de faire des interventions chez des junkies.
C’est dans la bouche de Loïse que je trouve une place bien au chaud, la salope me prenant la bite en main me pratique une gorge profonde.
Tout en limant dans la main et la bouche si accueillante, je me rends compte que je suis le seul qui semble être maître de la situation.
Entre mes jambes, je vois clairement le petit bout rose de la langue de Ludivine venir titiller le clito de celle qui me pompe ardemment.
La bûche au chocolat, je suis le seul à ne pas en avoir mangé.
Jean a-t-il bourré la buche avec une substance illicite.
Je me souviens que lors d’une intervention, nous avions trouvé du cannabis et qu’il devait le remettre à nos copains policiers.
En aurait-il récupéré une certaine quantité qu’il a fait mélanger à la ganache préparée par sa maman et que tous ont dégustée, sauf moi.
C’est exact que lorsque je leur ai dit que je ne mangeais pas de buche, il a eu l’air contrarié/
Mais il faudrait que j’en amène la preuve et elle intégralement dans les estomacs de toutes ces personnes lubriques qui aux douze coups de minuit dépassent largement ce qu’ils font en temps normal.
Au moment de baiser, j’ai le choix entre deux chattes, mais comme c’est Jean qui semble avoir piégé tout le monde, c’est sa femme que je fais mettre à quatre pattes les seins sur le dossier du canapé, et que je plonge en elle tellement elle est mouillée.
Juste retour des choses, car avec son copain Guillaume je sais qu’ils vont baiser ma salope en double pénétration.
Jennifer aime se faire enculer, lorsque nous nous sommes rencontrés dans une situation que j’ai déjà décrite, avant de nous rendre dans le club, j’ai été un mari à qui elle a donné tous les droits.
On parle entre copains et je sais que chacun d’entre eux, rêve de sodomie rarement pratiqué dans le milieu ou leurs femmes ont été élevés.
C’est en voulant se venger de notre abandon qu’il a bourré la bûche de cannabis.
Ça a permis à chacun et chacune de dépasser ses préjugés.
Il a eu tout faux, car tous, même moi, se satisfont de la tournure que prend cette soirée de Noël.
Chacun de nous nous honorons le petit Jésus dans la crèche, dans cette soirée qui devrait être la première pierre à des soirées sans cannabis et avec à notre disposition les chattes et les culs des compagnes des autres.
Je dis culs, car je prends un malin plaisir dans les jours qui ont suivi de défoncer l’anus de chacune d’entre elles.
Jennifer ayant compris mon but, m’aide en ce sens allant même jusqu’à jouer de sa langue sur les clitos de toutes nos femmes.
J’ignorais que ma femme avait des penchants lesbiens.
Au club à ce jour, elle se contentait de bites, mais moi ça m’arrange, elle broute pendant que je défonce.
Parfaite harmonie d’un couple de libertins.
C’est quelques semaines plus tard que Jean m’a avoué avoir mis suffisamment de cannabis dans la ganache au chocolat, mais sans vouloir qu’elle truffe la bûche.
Il avait mis quelques morceaux de cannabis dans une boîte pour la cuisine et sa maman l’avait pris, sentant l’odeur plaisante, pour en mettre dans sa buche.
Ce qui devait être un geste personnel de se faire un petit joint est devenu une action collective, nous permettant de passer le plus beau Noël de notre vie entre copains et copines.
Vivement Noël 2026 que nous nous retrouvions à fêter cette fête ensemble.
En attendant, bon Noël à mes lecteurs et une nouvelle fois lectrices pour celui de 2025.
Ça fait trois ans que nous louons d’une année sur l’autre pour les journées des 23 au 26 décembre.
Ski au sommet du Semnoz, raclette, fondue et tartiflette est la base de nos repas après le sport intensif que nous pratiquons.
Jean, Robin, Guillaume et moi, Christian, nous sommes quatre copains de promotion faisant partie des sapeurs-pompiers de Paris engagés pour quelques années dans ce corps d’élite de la capitale.
Le chalet se trouve dans un village au pied du Semnoz ayant un nom un peu bizarre.
Viuz-la-Chiésaz, je me demande qui a eu l’intelligence de trouver un tel nom !
Mais bon, le chalet est spacieux avec une vue magnifique et nous louons à des prix très abordables comparés à se couterait un Airbnb aussi spacieux dans la capitale ou dans une des stations de Savoie.
Surtout que deux de nos femmes pratiquent le ski de fond et non de descente.
Pour notre plus grand plaisir une boulangerie dans laquelle le pain est cuit au feu de bois.
Ça nous permet de déguster du bon pain et des croissants lorsque l’un de nous a le courage d’aller au matin les chercher.
Aux pompiers de Paris, je suis sorti major de promotion et je suis déjà sergent.
Pour les autres, ils ne sont que caporaux-chefs et même Jean est resté caporal.
Il a stagné alors qu’il n’était que débutant lorsque nous avions baisé la femme de notre commandant dans une caserne dont je tairais le nom.
Viviane, cette femme d’officier était une vraie salope.
Jean s’est fait prendre dans le pieu du commandant alors que nous étions tous les quatre à nous relayer pour la défoncer comme elle le méritait.
J’étais passé le premier, mais Jean fut le dernier et lorsque nous avons entendu son mari entrer, nous avons tous sauté par la fenêtre assez haute, mais pas assez pour des garçons entrainés comme nous.
Jean était en train de sodomiser Viviane et a voulu finir de décharger dans ce trou du cul si accueillant.
Le patron est rentré dans la chambre et il va de soi que sa promotion s’en est fait sentir, d’où son grade inférieur au nôtre.
Entretemps nous nous sommes tous mariés la même année.
Jean avec Loïse, Guillaume avec Giselle, Robin avec Ludivine et moi avec Jennifer.
Jennifer, c’est sur le plan d’eau de Lescheraines, là aussi en Haute-Savoie, en été, que je l’ai rencontrée.
Elle était en maillot de bain deux pièces avec son copain.
Mais dès que je me déplaçais, elle matait mes pectoraux surdéveloppés par les tonnes de fonte que je soulevais.
Au passage de la planche, nul de notre équipe n’est plus rapide que moi.
Elle m’a dit le soir où je l’ai baisé avant que je l’épouse, que c’était mon petit cul qui semblait très ferme qui l’avait séduite lorsque je me déplaçais afin d’aller me baigner.
Nous avions failli en venir aux mains avec son ex, mais sa carrure d’athlète, genre ablette, l’en avait dissuadé.
Ce soir c’est le réveillon de la nuit de Noël.
Tous sont baptisés, mais aucun ne pratique, alors nous installons la salle devant la maxi cheminée que nous bourrons de buches et où nous plaçons les canapés et fauteuils prévus pour des couchages secondaires.
Ça nous donne un espace dans lequel nous allons pouvoir nous exprimer dans un spectacle préparé cette année.
Cette année, mes copains ont décidé d’innover lors du réveillon, nous nous sommes entrainés pour présenter un spectacle.
La bûche de Noël terminée, sans moi, je n’aime pas le chocolat.
Cette année c’est la maman de Jean qui l’a préparé et nous l’avons apporté dans une glacière.
Elle était au chocolat comme il est de tradition.
Je dis « étais », car malgré sa grande taille, ils n’en ont pas laissé, elle a été mangée dans son intégralité.
Il y a une chaîne dans la salle, et j’ai réglé mon smartphone pour que les baffes distribuent la musique dont nous avons besoin.
Le départ, c’est moi qui le donne, mais en retrait, je passe en vedette, c’est normal, je suis le chef.
Village People, groupe américain mythique des années 80, va nous permettre de montrer à nos épouses le travail que nous avons fait afin de continuer à les séduire.
Étant près, je vais pour lancer la musique lorsque je constate que dans le clan de nos épouses, deux d’entre elles, ont franchi certaines barrières.
Même si j’ai déjà eu l’impression que Loïse et Ludivine semblent très bien s’apprécier, les deux femmes sont dans les bras l’une de l’autre et il est évident que dans leurs bouches, leurs langues sont très actives.
Je démarre le premier morceau, « Y.M.C.A. », mes trois copains entrent en scène dans les tenus que nous nous sommes fait confectionner.
Certes, Village people, sont six, mais qu’importent, ils sont les trois en pompiers avec casques et tenues d’intervention.
Enfin, tenue d’intervention, chemise et pantalon, et rapidement, ils sont en string.
Du côté des femmes aimant les femmes, la situation évolue, elles se caressent directement l’entrejambe.
Je vois même les doigts de Loïse entrer dans la chatte de Ludivine.
Jean et Robin, semblent se satisfaire de cette situation.
Pourtant, ils pourraient intervenir, mais Jean se rapproche de ma femme et Robin de Giselle.
Guillaume à son tour, voyant certainement que Jennifer sort la bite de Jean et la met directement dans sa bouche, vient à elle.
Une bouche, deux bites, c’est de l’un à l’autre qu’elle commence à satisfaire ses amants du moment.
Je sais que Jennifer et elle le savent aussi,elle aime ces situations scabreuses.
Il nous arrive d’aller dans un club échangiste à Aix-les-Bains, lorsque à des fêtes nous venons chez ses parents habitant dans le massif des Bauges.
J’aime la baiser et j’aime aussi la voir se faire baiser.
Mais deux mâles en rut, c’est la première fois.
La chorégraphie n’a plus rien à voir avec ce que nous avons travaillé, mais sur les premières notes de « Macho Man », le père Noël dans la tenue dont je suis déguisé, entre en scène.
Vers qui dois-je me rendre pour qu’elle m’arrache, comme nous l’avions prévu, mon pantalon et me retrouve en string rouge bordé d’Ermine blanc !
Les trois garçons étaient tenus de venir vers moi, m’arracher ma veste de Père Noël et ainsi de montrer à nos femmes la bête que je suis avec mes pectoraux que je devais faire marcher devant chacune d’elles.
Je choisis les gouines, je choisis bien, car Ludivine, venant entre les jambes de Loïse, lui ôte sa petite culotte.
Nul doute, qu’il a dû se passer quelque chose lors du repas.
Mes cinq compagnons et compagnes ou les yeux de ceux que je connais bien, lorsqu’il nous arrive de faire des interventions chez des junkies.
C’est dans la bouche de Loïse que je trouve une place bien au chaud, la salope me prenant la bite en main me pratique une gorge profonde.
Tout en limant dans la main et la bouche si accueillante, je me rends compte que je suis le seul qui semble être maître de la situation.
Entre mes jambes, je vois clairement le petit bout rose de la langue de Ludivine venir titiller le clito de celle qui me pompe ardemment.
La bûche au chocolat, je suis le seul à ne pas en avoir mangé.
Jean a-t-il bourré la buche avec une substance illicite.
Je me souviens que lors d’une intervention, nous avions trouvé du cannabis et qu’il devait le remettre à nos copains policiers.
En aurait-il récupéré une certaine quantité qu’il a fait mélanger à la ganache préparée par sa maman et que tous ont dégustée, sauf moi.
C’est exact que lorsque je leur ai dit que je ne mangeais pas de buche, il a eu l’air contrarié/
Mais il faudrait que j’en amène la preuve et elle intégralement dans les estomacs de toutes ces personnes lubriques qui aux douze coups de minuit dépassent largement ce qu’ils font en temps normal.
Au moment de baiser, j’ai le choix entre deux chattes, mais comme c’est Jean qui semble avoir piégé tout le monde, c’est sa femme que je fais mettre à quatre pattes les seins sur le dossier du canapé, et que je plonge en elle tellement elle est mouillée.
Juste retour des choses, car avec son copain Guillaume je sais qu’ils vont baiser ma salope en double pénétration.
Jennifer aime se faire enculer, lorsque nous nous sommes rencontrés dans une situation que j’ai déjà décrite, avant de nous rendre dans le club, j’ai été un mari à qui elle a donné tous les droits.
On parle entre copains et je sais que chacun d’entre eux, rêve de sodomie rarement pratiqué dans le milieu ou leurs femmes ont été élevés.
C’est en voulant se venger de notre abandon qu’il a bourré la bûche de cannabis.
Ça a permis à chacun et chacune de dépasser ses préjugés.
Il a eu tout faux, car tous, même moi, se satisfont de la tournure que prend cette soirée de Noël.
Chacun de nous nous honorons le petit Jésus dans la crèche, dans cette soirée qui devrait être la première pierre à des soirées sans cannabis et avec à notre disposition les chattes et les culs des compagnes des autres.
Je dis culs, car je prends un malin plaisir dans les jours qui ont suivi de défoncer l’anus de chacune d’entre elles.
Jennifer ayant compris mon but, m’aide en ce sens allant même jusqu’à jouer de sa langue sur les clitos de toutes nos femmes.
J’ignorais que ma femme avait des penchants lesbiens.
Au club à ce jour, elle se contentait de bites, mais moi ça m’arrange, elle broute pendant que je défonce.
Parfaite harmonie d’un couple de libertins.
C’est quelques semaines plus tard que Jean m’a avoué avoir mis suffisamment de cannabis dans la ganache au chocolat, mais sans vouloir qu’elle truffe la bûche.
Il avait mis quelques morceaux de cannabis dans une boîte pour la cuisine et sa maman l’avait pris, sentant l’odeur plaisante, pour en mettre dans sa buche.
Ce qui devait être un geste personnel de se faire un petit joint est devenu une action collective, nous permettant de passer le plus beau Noël de notre vie entre copains et copines.
Vivement Noël 2026 que nous nous retrouvions à fêter cette fête ensemble.
En attendant, bon Noël à mes lecteurs et une nouvelle fois lectrices pour celui de 2025.
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