COLLECTION NUIT DE LA SAINT-SYLVESTRE. Réveillon de la Saint-Sylvestre (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION NUIT DE LA SAINT-SYLVESTRE. Réveillon de la Saint-Sylvestre (3/3)
Nos maris, certainement aidés par Valérie et Cindy, nous ont bien eus.
Que va-t-il nous arriver à environ quatre heures de cette nouvelle année ?
C’est la question que je me pose lorsque j’arrive dans le salon de Valérie, notre hôtesse pour cette soirée du nouvel An.
• Mesdames, je le reconnais, vos maris ont décidé de vous piéger.
Vous pensiez tous venir à cette soirée de la nouvelle année en acceptant de revêtir ces costumes de femmes soumises, pensant que vous vous différencieriez de vos autres amies.
Stop Paula, inutile d’essayer de nous échapper, mon mari, maître Robert a fermé la porte à clef.
Cindy, sa femme, semble être la maitresse de ces jeux que toutes nous allons subir, ayant toutes été trompée par nos maris.
Je vois bien Paula essayer de crier, mais elle est muselée par la boule à bouche.
La sienne est de couleur jaune alors que toutes, sauf Cindy, nous en sommes pourvues.
Chacune de nous se différenciant par sa couleur différente.
Moi comme lors de l’essayage, elle est de couleur rouge.
Pire, maitre Roger a dans ses mains une cravache qui s’abat sur notre copine, essayant désespérément de se protéger, surtout sa croupe.
• Nous allons rapidement vous donner la règle de nos jeux !
Vos maris, lorsque nous les avons rencontrés, ont tous avoué l’amour qu’ils avaient pour vous.
Dans notre sex-shop, lorsque vous êtes venue essayer vos tenues, toutes les mêmes, sans que vous le sachiez, certains de vos maris sont apparus trop tendres envers vous.
À la fin de cette nuit, mieux pour les douze coups de minuit, il faut que vous appreniez la soumission comme mon mari me l’a apprise.
Six noms d’hommes et six noms de femmes dans deux chapeaux sur cette table.
Une main innocente, Paula, puisque tu voulais nous abandonner.
Tu vas tirer, un homme, puis une femme, et messieurs vous échangerez les laisses de vos femmes avec celui que le sort lui aura désigné.
Il va sans dire que, si un mari retrouve sa femme, un deuxième papier sera tiré dans le chapeau des hommes.
Qu’il soit hors de question que les couples se reforment.
Moi la première, j’ai voulu exprimer, sous ma cagoule, ma récrimination contre ce point de règlement.
Mal nous en a pris, nos propres maris, armés de leurs engins de torture, se sont empressés de nous ramener à la raison.
J’ai personnellement ramassé, car Ludovic s’était armé d’un chat à neuf queues.
J’ai appris que c’était du buis qui nous faisait horriblement mal.
Autour de moi, les coups pleuvaient sur les croupes des unes et des autres, certaines plus chanceuses, leur mari ayant de simples cravaches.
J’ai vite espéré que Paula m’assignerait comme maître de notre soirée, Louis ou David, ayant en main ces simples engins de torture.
Paula tire une feuille et la passe à Cindy, capable de s’exprimer.
• Paula, tu as de la chance ma grande, le sort te désigne la première !
Qui va être ton maître ?
Ludovic, jolis couple, bien qu’avec Louis ou Cloé, chacun de vous êtes de très belles personnes.
Allez, on accélère, à leur regard derrière leurs cagoules, les jolies petites chiennes veulent savoir quel grand méchant loup va les croquer.
Cindy, c’est moi la deuxième, tire bien, j’en veux un qui saura me dominer comme Maitre Roger, sais me dominer !
Dommage, maitre, c’est vous qui allez retourner dans le chapeau, c’est vous que Paula vient de tirer.
Jésus, à vous l’honneur de prendre ma laisse en main.
Dans notre sous-sol dans notre boutique, je vous ai senti un peu mou du poignet avec ce chat à neuf queues, Maître Roger vous a montré d’y aller franchement, je compte sur vous !
Maître Roger, vous de nouveau qui va être l’heureuse élue ?
Chloé, la chance de ta vie, c’est notre maître qui va avoir l’honneur de faire de toi une parfaite soumise.
Depuis le temps qu’il me domine, je sais que tu vas ramasser, mais à minuit, tu seras la plus grande soumise de tout notre réveillon de la Saint Sylvestre.
Après quelques retours dans le chapeau des hommes, les couples illégitimes sont enfin formés.
Paula avec Ludovic, mon mari.
Cindy avec Jésus.
Élisa et David, une cravache m’échappe.
Avec un peu de chance, la deuxième sera pour moi.
Mélissa et Franck.
À ce moment du tirage, il restait une cravache et un chat à neuf queues, c’était cinquante, cinquante !
Une chance sur deux.
Valérie et Louis a été le tirage suivant.
Pas de chance, dans la main de celui qui vient de m’être désigné, un chat avec lequel il m’a initié dans son sex-shop est à ma disposition.
Chloé, donc moi, et Roger le patron du sex-shop et maître dans l’art de la soumission, sans m’en plaindre autant avoir un spécialiste qu’un débutant.
Oui, mais il a un « mais » un de ces terribles engins qu’est un chat à neuf queues sera mon compagnon de soirée.
• Bon mes amis, chacun a sa chacune, différent de leurs couples habituels.
Enlevez tous vos cagoules et mesdames, vos boules à bouche.
La maison est assez isolée des autres de notre quartier pour qu’il n’y ait aucun risque que l’une d’entre vous les oblige à alerter la maréchaussée.
C’était pour vous mettre en condition, ce qui est fait, n’est-ce pas Paula ?
La récalcitrante, certainement de peur de représailles, fait un « oui » de la tête en arrachant sa cagoule.
Elle, si posée en temps normal, dès qu’elle a la bouche libre, sort la verge de Ludovic et pour la première fois, je la regarde entrer dans une autre bouche que la mienne.
J’en fais de même et les yeux dans les yeux de ceux de mon mari, j’avale la verge qui s’avère être la plus grosse de l’ensemble de celles qui sont à notre disposition.
Lorsque je le suce, j’ignore l’arme fatale qui me fait aussi peur, mais malgré que je fasse une gorge profonde à notre nouvel ami, il me caresse négligemment les fesses avec.
Des frissons, mais des frissons de plaisir descendent le long de mon corps.
• Mes amis, n’oublions pas que c’est la nuit de la Saint Sylvestre 2025.
Ernest, notre traiteur, nous a préparé ces merveilleuses victuailles avec du champagne aux frais dans cette coupe et de la glace.
Messieurs les Maîtres, offrez une coupe à vos soumises, un petit coup dans l’aile vous aidera à les matter si le besoin s’en fait sentir.
Maître Roger est un galant homme, il m’évite une dose de sperme pour apéro.
Avant d’éjaculer, il me relève et m’offre une coupe avec une tranche de petit cake aux olives.
Pour me servir, son martinet aux billes de buis est posé sur la table, ce qui va m’éviter un châtiment que je redoute un peu.
• Aie !
Ludovic, occupe-toi de Paula et non de mes fesses, bourreau !
• J’avais trop envie de te les caresser ma chérie, je vais baiser Paula, elle vient de me donner son accord.
Je veux le tien, aussi j’aime jouer, mais je t’aime encore plus et je ne veux aucune ombre dans notre couple !
• Maître Roger, puis-je suggérer d’aller sur ce divan pour que vous me preniez comme la chienne que mon mari a faite de moi !
• Vos désirs sont des ordres, depuis ton passage dans mon établissement je rêve plus de te la mettre bien profonde que de te rougir l’arrière-train.
Un canapé, une verge déjà sortie et déjà tendue et pour la première fois, j’ai un orgasme avec un autre que celui qui prend Paula en levrette devant la cheminée allumée, il va de soi dans cette nuit de fête.
La soirée se déroule sans la moindre anicroche, la liberté que nous nous sommes octroyée au sein de nos couples devient de plus en plus chaude.
Manger et boire, baiser avant de recommencer tout ceci sous la protection de « dame capote ».
Sur la table entre la dinde froide et le brochet reconstitué et farci, des petites précautions sont à notre disposition.
J’ignore qui a dressé le buffet, s’il y avait des jeunes femmes, ont-elles compris qu’une soirée de soumission allait se tenir dans ce pavillon de banlieue.
Les coups sont de plus en plus rares, les hommes proposent et nous soumises pour une soirée, nous sommes partantes pour ces jeux érotiques qu’ils ont élaborés lors de leur troisième mi-temps.
Je me demande de Paula ou moi, sommes les plus délurées !
Après avoir voulu renoncer à d’autres que David, elle montre des dispositions pour être « Miss Saint Sylvestre ».
Quoique lorsqu’elle vient me sucer l’anus pendant que je m’empale sur maître Roger, elle montre des dispositions pour des jeux féminins.
• Chloé et Paula sucez-vous les chattes, il serait bon de vous entendre miauler.
Une chatte d’une de mes congénères, jeu nouveau pour moi !
La langue de notre amie semblant déjà connaitre ce genre de situation lesbiens.
Lorsque je hurle mon plaisir, mais en sourdine, ma bouche étant muselée par la chatte de cette jolie salope, je prends mon pied comme je le fais régulièrement avec Ludovic.
• Cinq, quatre, trois, deux, un, zéro…
J’évite les dix à cinq.
• Bonne année 2026…
Les coupes s’entrechoquent, 2025 est morts, vive 2026.
Qu’elle soit une année de paix pour chacun et chacune de nous.
Bonne année à vous, mes fidèles lecteurs et surtout lectrices !
Que cette nouvelle année vous apporte autant de plaisirs en découvrant vos écrits, auteurs du site H.D.S.
Que va-t-il nous arriver à environ quatre heures de cette nouvelle année ?
C’est la question que je me pose lorsque j’arrive dans le salon de Valérie, notre hôtesse pour cette soirée du nouvel An.
• Mesdames, je le reconnais, vos maris ont décidé de vous piéger.
Vous pensiez tous venir à cette soirée de la nouvelle année en acceptant de revêtir ces costumes de femmes soumises, pensant que vous vous différencieriez de vos autres amies.
Stop Paula, inutile d’essayer de nous échapper, mon mari, maître Robert a fermé la porte à clef.
Cindy, sa femme, semble être la maitresse de ces jeux que toutes nous allons subir, ayant toutes été trompée par nos maris.
Je vois bien Paula essayer de crier, mais elle est muselée par la boule à bouche.
La sienne est de couleur jaune alors que toutes, sauf Cindy, nous en sommes pourvues.
Chacune de nous se différenciant par sa couleur différente.
Moi comme lors de l’essayage, elle est de couleur rouge.
Pire, maitre Roger a dans ses mains une cravache qui s’abat sur notre copine, essayant désespérément de se protéger, surtout sa croupe.
• Nous allons rapidement vous donner la règle de nos jeux !
Vos maris, lorsque nous les avons rencontrés, ont tous avoué l’amour qu’ils avaient pour vous.
Dans notre sex-shop, lorsque vous êtes venue essayer vos tenues, toutes les mêmes, sans que vous le sachiez, certains de vos maris sont apparus trop tendres envers vous.
À la fin de cette nuit, mieux pour les douze coups de minuit, il faut que vous appreniez la soumission comme mon mari me l’a apprise.
Six noms d’hommes et six noms de femmes dans deux chapeaux sur cette table.
Une main innocente, Paula, puisque tu voulais nous abandonner.
Tu vas tirer, un homme, puis une femme, et messieurs vous échangerez les laisses de vos femmes avec celui que le sort lui aura désigné.
Il va sans dire que, si un mari retrouve sa femme, un deuxième papier sera tiré dans le chapeau des hommes.
Qu’il soit hors de question que les couples se reforment.
Moi la première, j’ai voulu exprimer, sous ma cagoule, ma récrimination contre ce point de règlement.
Mal nous en a pris, nos propres maris, armés de leurs engins de torture, se sont empressés de nous ramener à la raison.
J’ai personnellement ramassé, car Ludovic s’était armé d’un chat à neuf queues.
J’ai appris que c’était du buis qui nous faisait horriblement mal.
Autour de moi, les coups pleuvaient sur les croupes des unes et des autres, certaines plus chanceuses, leur mari ayant de simples cravaches.
J’ai vite espéré que Paula m’assignerait comme maître de notre soirée, Louis ou David, ayant en main ces simples engins de torture.
Paula tire une feuille et la passe à Cindy, capable de s’exprimer.
• Paula, tu as de la chance ma grande, le sort te désigne la première !
Qui va être ton maître ?
Ludovic, jolis couple, bien qu’avec Louis ou Cloé, chacun de vous êtes de très belles personnes.
Allez, on accélère, à leur regard derrière leurs cagoules, les jolies petites chiennes veulent savoir quel grand méchant loup va les croquer.
Cindy, c’est moi la deuxième, tire bien, j’en veux un qui saura me dominer comme Maitre Roger, sais me dominer !
Dommage, maitre, c’est vous qui allez retourner dans le chapeau, c’est vous que Paula vient de tirer.
Jésus, à vous l’honneur de prendre ma laisse en main.
Dans notre sous-sol dans notre boutique, je vous ai senti un peu mou du poignet avec ce chat à neuf queues, Maître Roger vous a montré d’y aller franchement, je compte sur vous !
Maître Roger, vous de nouveau qui va être l’heureuse élue ?
Chloé, la chance de ta vie, c’est notre maître qui va avoir l’honneur de faire de toi une parfaite soumise.
Depuis le temps qu’il me domine, je sais que tu vas ramasser, mais à minuit, tu seras la plus grande soumise de tout notre réveillon de la Saint Sylvestre.
Après quelques retours dans le chapeau des hommes, les couples illégitimes sont enfin formés.
Paula avec Ludovic, mon mari.
Cindy avec Jésus.
Élisa et David, une cravache m’échappe.
Avec un peu de chance, la deuxième sera pour moi.
Mélissa et Franck.
À ce moment du tirage, il restait une cravache et un chat à neuf queues, c’était cinquante, cinquante !
Une chance sur deux.
Valérie et Louis a été le tirage suivant.
Pas de chance, dans la main de celui qui vient de m’être désigné, un chat avec lequel il m’a initié dans son sex-shop est à ma disposition.
Chloé, donc moi, et Roger le patron du sex-shop et maître dans l’art de la soumission, sans m’en plaindre autant avoir un spécialiste qu’un débutant.
Oui, mais il a un « mais » un de ces terribles engins qu’est un chat à neuf queues sera mon compagnon de soirée.
• Bon mes amis, chacun a sa chacune, différent de leurs couples habituels.
Enlevez tous vos cagoules et mesdames, vos boules à bouche.
La maison est assez isolée des autres de notre quartier pour qu’il n’y ait aucun risque que l’une d’entre vous les oblige à alerter la maréchaussée.
C’était pour vous mettre en condition, ce qui est fait, n’est-ce pas Paula ?
La récalcitrante, certainement de peur de représailles, fait un « oui » de la tête en arrachant sa cagoule.
Elle, si posée en temps normal, dès qu’elle a la bouche libre, sort la verge de Ludovic et pour la première fois, je la regarde entrer dans une autre bouche que la mienne.
J’en fais de même et les yeux dans les yeux de ceux de mon mari, j’avale la verge qui s’avère être la plus grosse de l’ensemble de celles qui sont à notre disposition.
Lorsque je le suce, j’ignore l’arme fatale qui me fait aussi peur, mais malgré que je fasse une gorge profonde à notre nouvel ami, il me caresse négligemment les fesses avec.
Des frissons, mais des frissons de plaisir descendent le long de mon corps.
• Mes amis, n’oublions pas que c’est la nuit de la Saint Sylvestre 2025.
Ernest, notre traiteur, nous a préparé ces merveilleuses victuailles avec du champagne aux frais dans cette coupe et de la glace.
Messieurs les Maîtres, offrez une coupe à vos soumises, un petit coup dans l’aile vous aidera à les matter si le besoin s’en fait sentir.
Maître Roger est un galant homme, il m’évite une dose de sperme pour apéro.
Avant d’éjaculer, il me relève et m’offre une coupe avec une tranche de petit cake aux olives.
Pour me servir, son martinet aux billes de buis est posé sur la table, ce qui va m’éviter un châtiment que je redoute un peu.
• Aie !
Ludovic, occupe-toi de Paula et non de mes fesses, bourreau !
• J’avais trop envie de te les caresser ma chérie, je vais baiser Paula, elle vient de me donner son accord.
Je veux le tien, aussi j’aime jouer, mais je t’aime encore plus et je ne veux aucune ombre dans notre couple !
• Maître Roger, puis-je suggérer d’aller sur ce divan pour que vous me preniez comme la chienne que mon mari a faite de moi !
• Vos désirs sont des ordres, depuis ton passage dans mon établissement je rêve plus de te la mettre bien profonde que de te rougir l’arrière-train.
Un canapé, une verge déjà sortie et déjà tendue et pour la première fois, j’ai un orgasme avec un autre que celui qui prend Paula en levrette devant la cheminée allumée, il va de soi dans cette nuit de fête.
La soirée se déroule sans la moindre anicroche, la liberté que nous nous sommes octroyée au sein de nos couples devient de plus en plus chaude.
Manger et boire, baiser avant de recommencer tout ceci sous la protection de « dame capote ».
Sur la table entre la dinde froide et le brochet reconstitué et farci, des petites précautions sont à notre disposition.
J’ignore qui a dressé le buffet, s’il y avait des jeunes femmes, ont-elles compris qu’une soirée de soumission allait se tenir dans ce pavillon de banlieue.
Les coups sont de plus en plus rares, les hommes proposent et nous soumises pour une soirée, nous sommes partantes pour ces jeux érotiques qu’ils ont élaborés lors de leur troisième mi-temps.
Je me demande de Paula ou moi, sommes les plus délurées !
Après avoir voulu renoncer à d’autres que David, elle montre des dispositions pour être « Miss Saint Sylvestre ».
Quoique lorsqu’elle vient me sucer l’anus pendant que je m’empale sur maître Roger, elle montre des dispositions pour des jeux féminins.
• Chloé et Paula sucez-vous les chattes, il serait bon de vous entendre miauler.
Une chatte d’une de mes congénères, jeu nouveau pour moi !
La langue de notre amie semblant déjà connaitre ce genre de situation lesbiens.
Lorsque je hurle mon plaisir, mais en sourdine, ma bouche étant muselée par la chatte de cette jolie salope, je prends mon pied comme je le fais régulièrement avec Ludovic.
• Cinq, quatre, trois, deux, un, zéro…
J’évite les dix à cinq.
• Bonne année 2026…
Les coupes s’entrechoquent, 2025 est morts, vive 2026.
Qu’elle soit une année de paix pour chacun et chacune de nous.
Bonne année à vous, mes fidèles lecteurs et surtout lectrices !
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