COLLECTION NUIT DE LA SAINT-SYLVESTRE. Réveillon de la Saint-Sylvestre (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION NUIT DE LA SAINT-SYLVESTRE. Réveillon de la Saint-Sylvestre (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION NUIT DE LA SAINT-SYLVESTRE. Réveillon de la Saint-Sylvestre (2/3)
Valérie, mon amie, a eu la riche idée de changer nos habitudes pour le réveillon de la Saint Sylvestre, nous sommes cinq couples environ du même âge.
À tout seigneur tout honneur, la maîtresse de maison qui va nous recevoir, Valérie, ma meilleure amie et Franck son mari, Mélissa et Jésus, celui à qui l’on donne le bon Dieu sans confession.
Nous lui faisons la blague à chaque fois, il commence à avoir les boules, comment, je parle, va falloir que je surveille mon langage.
Que disais-je, ha oui !
Anna et Louis, Valérie m’a fait la confidence qu’ils seraient un couple échangiste ?
Je garde cela pour moi, j’ai horreur des ragots pouvant sortir de ma bouche, surtout lorsque je n’ai pas vérifié.
Très peu pour moi, qu’ils fassent ce qu’ils veulent de leur vie sexuelle, je les laisse à leurs turpitudes.
Du moment qu’ils évitent les propositions indécentes comme il semblerait qu’ils en aient fait à Valérie.
Comme dirait Ludovic, je m’en bats la queue, attention, moi ce sont ses mots, j’ai un langage plus châtié.
Le dernier couple se nomme Paula et David, fraichement présent dans notre groupe, après une mutation du mari, ce sera leur premier réveillon avec nous.
Donc pour ce réveillon, elle souhaite que nous soyons déguisés, mais avec le même thème par couple, Dupont avec un « d » et Dupond avec un « t ».

Ludovic sortant de sa cabine, me fait découvrir dans quelle tenue il a décidé que nous nous rendrons chez nos amis.
Vous pouvez penser pourquoi j’ai quelques difficultés entre les « d » et les « t ».
Apprendre que votre mari, que vous avez toujours chéri, veut s’habiller en dominateur, quelle surprise !
Vous, en tenue bardée de lanières de cuir, qui, certes, soulignent le galbe de vos seins, mais qui laissent votre corps pratiquement nu.
Deux choses m’obligent à accepter de revêtir, ses gants, cuissardes, cagoule et harnais de cuir !
La première, hélas, j’ai juré, craché, que j’accepterais ce qu’il me propose comme costume.
J’oubliais, la patronne me place un collier comme celui que l’on met au chien autour du cou, le patron a la laisse dans sa main.
Tout au long de notre vie de couple, chaque fois que quelque chose d’important nous arrive, je jurais et j’ai toujours tenu parole.
Deuxièmement, il sort de sa cabine d’essayage avec une tenue de cuir avec lui aussi une cagoule.
Les yeux qu’il me montre me dissuadent de protester, surtout après le coup de cravache qu’il m’inflige, même si j’ai tendance à y prendre goût.

La cravache me fait mal, mais que dire du gros martinet avec ses boules en bois qui semble lui plaire ?
C’est à ce moment que le patron, que sa femme appelle Maitre Roger, intervient.
Cindy se place le long d’une croix où il l’attache par des menottes et prenant son élan, la fouette trois fois de suite, mais sur son short en cuir.

• Maître Ludovic, on va mettre votre soumise à la place de soumise Cindy et vous verrez que la flagellation avec la spatule de cravache, c’est aussi efficace et moins traumatisant pour votre soumise.

Qu’est-ce qui lâche dans ma tête, lorsque, une fois Cindy détachée, je me retrouve à la place de la suppliciée ?
Je vais tout accepter, moi, femme de caractère, quand on me met à sa place, mon postérieur qui me brûle d’avoir reçu ce coup de cravache en redemande.

Me sentir attachée pour faire des choses nouvelles dont j’ignorais l’existence, malgré les nombreuses positions que nous connaissons pour faire l’amour.
Je pourrais vous montrer la moitié du Kamasutra, mais cette position les bras en croix au-dessus de ma tête, les jambes écartées et menottées me plait, car c’est nouveau pour moi.
C’est l’exposition de mon intimité à qui veut la voir, mieux même à qui veut la prendre, qui me subjugue.
Est-il possible qu’il existe de telles perversions, ai-je vraiment envie de les découvrir ?
Il me suffirait de dire deux mots : « détache-moi. »
Et Maître Ludovic disparaîtrait à jamais.

• Je suis à vous, Maître Ludovic, apprenez-moi à être votre soumise, vous pouvez me caresser avec cet engin de malheur, si c’est réellement un engin de malheur.

Eh ! bien oui, c’est cette phrase qui arrive à mes oreilles, il semble que ce soit moi qui la prononce.
Pire encore, je reconnais ma voix, celle que moi seule connaît, car en plus de nos oreilles, elle vibre au travers de tout mon corps avant d’arriver à mon cerveau.
Mon cerveau, parlons-en, il doit être devenu malade, vouloir souffrir, quelle folie.
Il est vrai que contrairement à d’autres qui sont timorées, j’adore que l’on me fasse des piqures, que dire de la roulette du dentiste qui est limite à me faire mouiller.
Alors les trois coups de chat à neuf queues avec ses boules en buis, c’est avec grand plaisir que je les reçois.
De toute manière, la boule que Maître Roger m’a mise dans la bouche m’empêche de hurler, j’arrive tout juste à émettre des grognements.
Il me manque une seule chose dans cette position, c’est d’avoir été pénétré, j’aurais voulu que Maître Ludovic vienne en moi, même dans mon anus s’il avait voulu.
Mais même si j’en ai envie, on est dans un lieu semi-public et je sens qu’il faut que je me contente de retrouver mon homme qui vient de remettre son costume d’homme respectable.

• Roger met tout à l’intérieur de ces sacs, on prend tout.
Je crois que ma petite femme a compris où je voulais la mener, met ses fringues dedans, elle reste en tenue de soumise.

Ce, « Roger met tout à l’intérieur de ces sacs, » ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille.
Pourquoi Ludovic lui parle-t-il comme à un ami ?
Il est vrai qu’il est déjà venu prospecter pour savoir quel costume nous allions acheter pour le réveillon de la Saint Sylvestre.

Lorsque je m’engouffre dans notre voiture placée devant le sex-shop, faire le parcours presque entièrement dénudé m’apporte une source de nouvelles sensations.
J’ignorais que l’exhibitionnisme pouvait être une source de plaisir.
De retour à notre maison, Romain étant chez sa grand-mère, je passe ma première nuit de soumise.
Ludovic lui aussi a remis ses effets de cuir, il a simplement enlevé nos cagoules.
Dès que nous sommes entrés, Maitre Ludovic reprend ses droits.
Il m’oblige à coups de cravache à vivre à quatre pattes comme la chienne qu’il souhaite avoir à la maison.
J’ai le droit de me tenir debout que le temps où je lui prépare son repas et où je suis sa boniche.
Je suis malheureuse, j’espérais qu’il me prenne sitôt notre retour, mais il se contente de regarder la télé.
Il vient de finir son repas, j’ignore ce qu’il va faire de moi.

• Chienne approche.

Je m’étais assise les fesses sur le carrelage un peu froid au début, il recule sa chaise.
J’arrive à quatre pattes.

• Suce-moi la queue, fais ça bien, je veux qu’elle soit bien propre quand tu auras fini, petite chienne.

Je détache l’étui pénien, est-ce le fait que j’accepte qu’il me domine, il bande sans que je sois obligé de le toucher.
Il me prend par les oreilles et dès qu’il est dans ma bouche, il donne de grands coups de bite jusqu’à ce qu’il éjacule.
Il m’a demandé que sa queue soit propre, je veux le satisfaire, je m’applique à ce que toutes les particules de sperme disparaissent pour éviter qu’il puisse se mettre en colère.

• C’est bien, je vais me coucher, nettoie ma cuisine avant de me rejoindre dans la chambre.

C’est au pied de son lit que je dois dormir sur la moquette, la pire nuit de ma vie. Surtout que la fellation que je lui ai faite m’a fait mouiller et l’ordre de me laver, je l’attends toujours.

Arrive enfin le dernier jour de l’année, j’ai confié mon fils à mes beaux-parents et ayant enlevé mes vêtements respectables, je retrouve Maître Ludovic qui me remet mon costume de soumission.
Le retour de mon fils nous ayant empêchés de nous en servir.
Il me met aussi ma boule, me privant de toute parole.
Je sens que mon Maître sort de son placard seulement lorsque mon fils a quitté la maison.
Par chance, il fait nuit quand nous descendons au parking souterrain.

• Salope, enlève cet imper pour rentrer sur ton siège arrière, tu sais à quoi sert cette cravache !
Ton chat à neuf queues est dans ce sac, je le sortirai lorsque nous serons avec nos amis.

Je retrouve toutes mes sensations de me montrer dénudées, mon sexe immédiatement s’humecte, même ruisselle.
J’adore être une chienne, quelle sensation nouvelle pour moi.
Nous arrivons chez Valérie et Franck, le portail est ouvert, il fait froid quand mon Maître ouvre ma portière.
Je sens que l’on prend ma laisse, je descends, je lève la tête, Maître Roger est là dans la même tenue que Ludovic.
Que fait cet homme, avec Franck le maître de maison, il fait froid, mes genoux me font mal, mais je retrouve la chaleur du pavillon.

• Nous vous attendions, vous fermez la marche, Ludo, conduis ta chienne au salon, les autres y sont déjà.

Incroyable, Mélissa, Anna, Sophie, la femme de Serge, jeune Réunionnais sont là, avec en point d’orgue, Valérie et Cindy.
Pourquoi ce sixième couple, les patrons du sex-shop ?

• Vous voyez, les mecs, je vous avais bien dit que vos salopes aimeraient être des femmes soumises.
• Roger, lorsque dans les vestiaires tu nous as dit que si nous arrivions à leur faire enfiler un costume de soumise, nous soutions de toi.
Si nous les habituons à se faire caresser les fesses avec des cravaches, nous serons les rois de nos petites soirées.

Les salopards, c’est dans les vestiaires de leur club de foot du vendredi soir, qu’ils ont décidé de faire de nous des femmes soumises.
Je me souviens, lorsqu’en septembre, Ludovic a retrouvé son équipe de vieux joueurs plus enclins aux troisièmes mi-temps qu’aux kilomètres sur un terrain, surtout en hiver.
Il m’avait parlé d’un nouveau s’appelant Roger sans me dire qu’il tenait un sex-shop.
Six femmes, toutes en tenue de soumise, moi en tête.
Nos maris, certainement aidés par Valérie et Cindy, nous ont bien eus.
Que va-t-il nous arriver à environ quatre heures de cette nouvelle année ?...

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