COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 2 (1/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 2 (1/5)
Mon nom est Josiane X, mais actuellement, je suis Josyane Alba, avec le même prénom, mais un nom différent.
C'est normal, c'est mon nom d'emprunt lorsque je suis l'autre.
J'ai partagé mon premier récit sous mon nom d'emprunt.
Vous devriez me considérer comme une vraie idiote d'avoir tiré une balle dans le cœur de cette petite domestique ukrainienne, Nadeijda, malgré le bonheur qu'elle m'a procuré.
Selon moi, ce sont des conséquences secondaires.
Ce n'est pas moi qui l'ai invité à venir en même temps que moi, mais ses anciens supérieurs qui sont partis faire une croisière sur leur yacht vers les îles grecques.
Je vais vous raconter une autre de mes aventures et vous verrez que je ne tue pas systématiquement ceux ou celles qui ont des relations sexuelles avec Alba.
Initialement, après la mise en place de ma double identité, je croyais que ces braquages seraient suffisants à ce que j’appellerais mes envies de sensation forte.
Le sexe, nombril du monde, j’ai rapidement réalisé que ce que Josiane X était dans l’impossibilité de me donner, Josyane Alba pourrait me l’apporter.
La première fois où mon dédoublement de personnalité s’est fait jour, comme c’est le cas aujourd’hui.
C’est dans une soirée guidée que j’ai sue comment la déclencher, ce qui a été une découverte.
• Je suis préoccupé par mon fils, j'ai peur qu'il ne soit homosexuel !
Ces mots, je les perçois lors d'une discussion entre un homme bedonnant qui me semble familier avec Jean-Philippe, mon mari, alors que je discute avec Janine, sa femme, ainsi que deux autres de nos amis.
Je fais celle qui n’a rien suivi de ce qu’il dit, mais je ne perds aucune de ses paroles.
Il est indéniable que Janine est plus grosse que lui, ce qui en fait un véritable obstacle à l'amour.
J’adore avoir les oreilles qui traînent lorsque je suis dans ces soirées, hélas, trop fréquente à mon goût et où rapidement l’ennui me gagne.
Je connais Louis, leur fils, grand garçon de plus de dix-sept ans.
• Léon Dubois ?
• Oui, c'est moi, qu'est-ce que je peux faire pour vous ?
• Nous ne sommes pas familiers, mais j'ai entendu dire que vous aviez des incertitudes quant à la sexualité de votre fils Louis.
• C'est vrai, même si je ne sais pas qui a pu vous le dire, il est vrai que j'ai discuté de cela avec Jean-Philippe, un ami.
• Est-ce lui qui a évoqué mes incertitudes concernant la sexualité de mon fils
• Je connais Jean-Philippe, même s'il ne me connaît pas.
Ça comme l’on dit, c’est pour noyer le poisson, inutile que ce Léon aille s’en prendre à lui et lui fasse découvrir ma double personnalité.
Me connaissant depuis que Jean-Bernard a fait de moi ce que je suis.
Jacques comme Jean-Philippe pourraient avoir à subir le manque de scrupules d’Alba.
• Non, c’est une autre personne qui m’a parlé de votre souci.
Inutile de chercher à trouver, vous seriez dans le faux !
Mais soyons directe, peu importe, comment j’ai appris ce qui semble être votre problème.
Je pense être en mesure de vous apporter la preuve que votre supposition est réelle ou infondée.
• Vous êtes une pute, présente lorsque j’ai parlé de ça !
Combien voulez-vous pour m’apporter la preuve que je me trompe ?
• Une pute, comme vous y aller, une escorte tout au plus, bien que lorsque j’enquête un petit coup de bite, n’est pas pour me déplaire.
Fixez un prix, je vous dirai si je vais vous aider, ou pas, tout travail mérite salaire !
• 2 000 €, ça vous irait !
Ça pourrait m’aller, on sait après ma première aventure que le fric, je n’en ai rien à faire, je veux seulement m’amuser et servir, ceux qui je le pense en ont besoin.
• Là, vous me prenez vraiment pour une pute !
• Bon, inutile de tergiverser 5 000 ça vous irait !
• En liquide ?
• Bien sûr si vous le désirez, si ça vous facilite les choses.
5 000 au resto du cœur, oui, c’est l’association que j’ai décidé d’aider ce coup-ci.
Les gens dans le besoin sont si nombreux.
• Bonjour, madame, Edwige, avez-vous besoin de bénévoles pour votre association ?
• Oh ! que oui, une dame de votre rang, mérite tout notre respect, vous êtes la bienvenue.
Ça, c’est avant que je cherche à rencontrer Louis, dans mon quartier, il y a une antenne des restos du cœur où je me rends pour être inscrite pour qu’au bon moment je puisse me servir de cette couverture.
• Je vous présente notre équipe, présente en ce moment.
Edwige, je suis la directrice, voici Géraldine jeune étudiante qui va les jours de collecte de denrée dans les supermarchés.
Sofiane, personne clef de l’association et mon adjoint en cas d’absence.
C’est notre responsable comptabilité, il tient aux centimes près, les dons par chèques et liquide que les gens nous font dans leur immense générosité, ainsi que les subventions de l’État et de diverses collectivités.
Vous pouvez avoir confiance en lui, comme je l’ai dit, aux centimes près, ces livres sont très à jour comme nous l’impose la loi.
• Bienvenue Josiane, comme vient de le dire Edwige, vous pouvez avoir entièrement confiance en moi, ça fait dix ans que je gère cette maison de quartier des restos.
J’aime sentir l’atmosphère ou je mets les pieds lorsque je décide de prendre en main une affaire comme la première et aujourd’hui, à savoir, pédé ou pas !
Et encore plus, vers ceux que je décide d’aider par mes braquages ou autres manières qu’à Josyane Alba de se procurer du fric en réglant des conflits.
Hélas, les braquages, c’est impossible depuis la mort de Jean-Bernard, il m’a toujours interdit de braquer seule.
Pour lui un braquage, il faut être deux, afin de pouvoir maintenir la porte ouverte pour une fuite plus rapide sans être bloqué par les sas.
On a compris que je rejoins ma double adresse avant de m’arranger d’un contact avec Louis, le fils prodigue pour que son papa sache s’il est homo.
Nudité, passage d’une armoire à l’autre.
Je peux voir si la pièce ou je vais entrer se trouve bien vide de tout intrus venu inopinément voir qui habite dans cet appartement d’où sort de temps en temps Alba de l’immeuble voisin.
C’est le cas maintenant que j’ai revêtu la tenue me permettant de devenir Alba.
Alba Josyane, nom et prénom figurant sur ma fausse carte d’identité et mon permis de conduire, aussi faux que ma carte.
Faux, mais plus vrai que vrai, c’est dans la planque de Montmartre avec aussi divers passeports que je les ai récupérés.
Jean-Bernard savait où faire confectionner ce genre de papiers, plus réel qu’irréel et qui me permet une totale impunité si je suis contrôlé.
Cent mètres dans la rue, les hommes se retournant sur cette vamp blonde.
Oui, lorsque je suis en mode pute, je sais que la plupart des hommes flash sur des Maryline en puissance.
Un président des États-Unis a bien craqué devant une fille de ce genre avant d’être assassiné.
Une porte menant au sous-sol d’un parking souterrain et dans mon sac en simili cuir acheté dans un Prisunic, je récupère les clés de ma Mustang.
Je l’ai acheté à Dallas dans un garage transformant les vieilles bagnoles en engin rutilant et surtout bourré de chevaux sous le capot.
Il serait impossible d’acheter ce genre d’engin en France.
C’est lors d’un voyage aux USA, avec Jean-Bernard, où nous avons fait quelques braquages.
D’ailleurs, un des vigiles que j’ai tués était de là-bas que j’ai flashé sur cette bagnole.
J’ignore comment Jean-Bernard a fait, mais je venais de poser le pied sur le sol français lorsque l’on m’a amené les clés de ce bolide.
Il est vrai que Jean-Bernard avant d’être braqueur sans aucun scrupule, encore plus pour moi, avait été gendarmé et devait connaitre du monde.
Je suis devant un box fermé, l’un des quatre se trouvant dans ce parking souterrain.
Les trois autres, c’était impossible de me les procurer.
L’un des trois appartenait à un médecin qui avait besoin que sa place ne soit pas occupée lorsqu’il rentrait de visite.
C’est le quatrième qui m’a intéressé, un vieux, habitant en étage et qui n’avait pas vu depuis très longtemps une chatte comme celle que Josyane Alba lui a présentée.
Elle lui a fait bouffer jusqu’à ce qu’il accepte de lui vendre.
C’est incroyable lorsqu’on a rendu accro un mec à sa jolie chatte, ce que l’on peut obtenir d’un vieux à moitié sénile.
J’ouvre la porte à bascule, retrouvant avec celle que j’ai peu conduite depuis quelque temps le plaisir qui est toujours le mien lorsque je la retrouve.
Je la démarre, elle fait un bruit assourdissant dans ce box fermé, le 12 cylindres donnant toute sa puissance.
J’ai un foulard sur la tête, car j’ai enlevé la capote, plus on voit la bête que je conduis, plus les gens seront incapables de faire un portrait robot de la femme qui est à son volant.
L’autre moi, conduit aussi, elle a son permis, mais préfère la Côte d’Azur que Paris, d’où les taxis, elle préfère se faire conduire.
Si je me fais repérer et que la police interroge des témoins !
• Pouvez-vous me donner des informations sur ce que vous avez vu ?
• Monsieur l’agent, une femme, c’est sûr, c’était une femme.
Blonde, ça aussi, je peux le certifier.
Avec un foulard, je voyais sa mèche blonde.
Ah oui, j’oubliais, elle avait des lunettes de soleil cachant ses yeux !
Mais pour le reste, je suis dans l’impossibilité de vous en dire plus, même si elle était jolie ou si c’était un boudin…
Un boudin, pauvre con, je suis une femme, magnifique parmi les dizaines de femmes magnifiques qui se trouvent au même moment dans ce quartier de Paris.
Bref, je rejoins Nanterre où je sais que Louis suit des cours à la fac.
• Monsieur, oui vous qui attendez votre bus, sauriez-vous me dire comment rejoindre l’avenue Hugo à Rueil-Malmaison où j’ai mon hôtel.
Je me suis perdu et dans ce vieux modèle customisé, il n’y a pas de GPS.
• Vous avez une chance incroyable, j’habite à côté de l’hôtel Napoléon, c’est le seul dans cette avenue.
• Montez, j’ai une chance de cocue, vous allez me guider.
Bien sûr, tout ceci n’est pas le fruit du hasard.
J’ai pisté Louis après les renseignements fournis par son père et j’ai vu la chance que j’avais, c’est souvent le cas.
Parce qu’il y avait un hôtel de haut luxe à deux pâtés de maisons de l’appartement de Louis dans cette rue…
C'est normal, c'est mon nom d'emprunt lorsque je suis l'autre.
J'ai partagé mon premier récit sous mon nom d'emprunt.
Vous devriez me considérer comme une vraie idiote d'avoir tiré une balle dans le cœur de cette petite domestique ukrainienne, Nadeijda, malgré le bonheur qu'elle m'a procuré.
Selon moi, ce sont des conséquences secondaires.
Ce n'est pas moi qui l'ai invité à venir en même temps que moi, mais ses anciens supérieurs qui sont partis faire une croisière sur leur yacht vers les îles grecques.
Je vais vous raconter une autre de mes aventures et vous verrez que je ne tue pas systématiquement ceux ou celles qui ont des relations sexuelles avec Alba.
Initialement, après la mise en place de ma double identité, je croyais que ces braquages seraient suffisants à ce que j’appellerais mes envies de sensation forte.
Le sexe, nombril du monde, j’ai rapidement réalisé que ce que Josiane X était dans l’impossibilité de me donner, Josyane Alba pourrait me l’apporter.
La première fois où mon dédoublement de personnalité s’est fait jour, comme c’est le cas aujourd’hui.
C’est dans une soirée guidée que j’ai sue comment la déclencher, ce qui a été une découverte.
• Je suis préoccupé par mon fils, j'ai peur qu'il ne soit homosexuel !
Ces mots, je les perçois lors d'une discussion entre un homme bedonnant qui me semble familier avec Jean-Philippe, mon mari, alors que je discute avec Janine, sa femme, ainsi que deux autres de nos amis.
Je fais celle qui n’a rien suivi de ce qu’il dit, mais je ne perds aucune de ses paroles.
Il est indéniable que Janine est plus grosse que lui, ce qui en fait un véritable obstacle à l'amour.
J’adore avoir les oreilles qui traînent lorsque je suis dans ces soirées, hélas, trop fréquente à mon goût et où rapidement l’ennui me gagne.
Je connais Louis, leur fils, grand garçon de plus de dix-sept ans.
• Léon Dubois ?
• Oui, c'est moi, qu'est-ce que je peux faire pour vous ?
• Nous ne sommes pas familiers, mais j'ai entendu dire que vous aviez des incertitudes quant à la sexualité de votre fils Louis.
• C'est vrai, même si je ne sais pas qui a pu vous le dire, il est vrai que j'ai discuté de cela avec Jean-Philippe, un ami.
• Est-ce lui qui a évoqué mes incertitudes concernant la sexualité de mon fils
• Je connais Jean-Philippe, même s'il ne me connaît pas.
Ça comme l’on dit, c’est pour noyer le poisson, inutile que ce Léon aille s’en prendre à lui et lui fasse découvrir ma double personnalité.
Me connaissant depuis que Jean-Bernard a fait de moi ce que je suis.
Jacques comme Jean-Philippe pourraient avoir à subir le manque de scrupules d’Alba.
• Non, c’est une autre personne qui m’a parlé de votre souci.
Inutile de chercher à trouver, vous seriez dans le faux !
Mais soyons directe, peu importe, comment j’ai appris ce qui semble être votre problème.
Je pense être en mesure de vous apporter la preuve que votre supposition est réelle ou infondée.
• Vous êtes une pute, présente lorsque j’ai parlé de ça !
Combien voulez-vous pour m’apporter la preuve que je me trompe ?
• Une pute, comme vous y aller, une escorte tout au plus, bien que lorsque j’enquête un petit coup de bite, n’est pas pour me déplaire.
Fixez un prix, je vous dirai si je vais vous aider, ou pas, tout travail mérite salaire !
• 2 000 €, ça vous irait !
Ça pourrait m’aller, on sait après ma première aventure que le fric, je n’en ai rien à faire, je veux seulement m’amuser et servir, ceux qui je le pense en ont besoin.
• Là, vous me prenez vraiment pour une pute !
• Bon, inutile de tergiverser 5 000 ça vous irait !
• En liquide ?
• Bien sûr si vous le désirez, si ça vous facilite les choses.
5 000 au resto du cœur, oui, c’est l’association que j’ai décidé d’aider ce coup-ci.
Les gens dans le besoin sont si nombreux.
• Bonjour, madame, Edwige, avez-vous besoin de bénévoles pour votre association ?
• Oh ! que oui, une dame de votre rang, mérite tout notre respect, vous êtes la bienvenue.
Ça, c’est avant que je cherche à rencontrer Louis, dans mon quartier, il y a une antenne des restos du cœur où je me rends pour être inscrite pour qu’au bon moment je puisse me servir de cette couverture.
• Je vous présente notre équipe, présente en ce moment.
Edwige, je suis la directrice, voici Géraldine jeune étudiante qui va les jours de collecte de denrée dans les supermarchés.
Sofiane, personne clef de l’association et mon adjoint en cas d’absence.
C’est notre responsable comptabilité, il tient aux centimes près, les dons par chèques et liquide que les gens nous font dans leur immense générosité, ainsi que les subventions de l’État et de diverses collectivités.
Vous pouvez avoir confiance en lui, comme je l’ai dit, aux centimes près, ces livres sont très à jour comme nous l’impose la loi.
• Bienvenue Josiane, comme vient de le dire Edwige, vous pouvez avoir entièrement confiance en moi, ça fait dix ans que je gère cette maison de quartier des restos.
J’aime sentir l’atmosphère ou je mets les pieds lorsque je décide de prendre en main une affaire comme la première et aujourd’hui, à savoir, pédé ou pas !
Et encore plus, vers ceux que je décide d’aider par mes braquages ou autres manières qu’à Josyane Alba de se procurer du fric en réglant des conflits.
Hélas, les braquages, c’est impossible depuis la mort de Jean-Bernard, il m’a toujours interdit de braquer seule.
Pour lui un braquage, il faut être deux, afin de pouvoir maintenir la porte ouverte pour une fuite plus rapide sans être bloqué par les sas.
On a compris que je rejoins ma double adresse avant de m’arranger d’un contact avec Louis, le fils prodigue pour que son papa sache s’il est homo.
Nudité, passage d’une armoire à l’autre.
Je peux voir si la pièce ou je vais entrer se trouve bien vide de tout intrus venu inopinément voir qui habite dans cet appartement d’où sort de temps en temps Alba de l’immeuble voisin.
C’est le cas maintenant que j’ai revêtu la tenue me permettant de devenir Alba.
Alba Josyane, nom et prénom figurant sur ma fausse carte d’identité et mon permis de conduire, aussi faux que ma carte.
Faux, mais plus vrai que vrai, c’est dans la planque de Montmartre avec aussi divers passeports que je les ai récupérés.
Jean-Bernard savait où faire confectionner ce genre de papiers, plus réel qu’irréel et qui me permet une totale impunité si je suis contrôlé.
Cent mètres dans la rue, les hommes se retournant sur cette vamp blonde.
Oui, lorsque je suis en mode pute, je sais que la plupart des hommes flash sur des Maryline en puissance.
Un président des États-Unis a bien craqué devant une fille de ce genre avant d’être assassiné.
Une porte menant au sous-sol d’un parking souterrain et dans mon sac en simili cuir acheté dans un Prisunic, je récupère les clés de ma Mustang.
Je l’ai acheté à Dallas dans un garage transformant les vieilles bagnoles en engin rutilant et surtout bourré de chevaux sous le capot.
Il serait impossible d’acheter ce genre d’engin en France.
C’est lors d’un voyage aux USA, avec Jean-Bernard, où nous avons fait quelques braquages.
D’ailleurs, un des vigiles que j’ai tués était de là-bas que j’ai flashé sur cette bagnole.
J’ignore comment Jean-Bernard a fait, mais je venais de poser le pied sur le sol français lorsque l’on m’a amené les clés de ce bolide.
Il est vrai que Jean-Bernard avant d’être braqueur sans aucun scrupule, encore plus pour moi, avait été gendarmé et devait connaitre du monde.
Je suis devant un box fermé, l’un des quatre se trouvant dans ce parking souterrain.
Les trois autres, c’était impossible de me les procurer.
L’un des trois appartenait à un médecin qui avait besoin que sa place ne soit pas occupée lorsqu’il rentrait de visite.
C’est le quatrième qui m’a intéressé, un vieux, habitant en étage et qui n’avait pas vu depuis très longtemps une chatte comme celle que Josyane Alba lui a présentée.
Elle lui a fait bouffer jusqu’à ce qu’il accepte de lui vendre.
C’est incroyable lorsqu’on a rendu accro un mec à sa jolie chatte, ce que l’on peut obtenir d’un vieux à moitié sénile.
J’ouvre la porte à bascule, retrouvant avec celle que j’ai peu conduite depuis quelque temps le plaisir qui est toujours le mien lorsque je la retrouve.
Je la démarre, elle fait un bruit assourdissant dans ce box fermé, le 12 cylindres donnant toute sa puissance.
J’ai un foulard sur la tête, car j’ai enlevé la capote, plus on voit la bête que je conduis, plus les gens seront incapables de faire un portrait robot de la femme qui est à son volant.
L’autre moi, conduit aussi, elle a son permis, mais préfère la Côte d’Azur que Paris, d’où les taxis, elle préfère se faire conduire.
Si je me fais repérer et que la police interroge des témoins !
• Pouvez-vous me donner des informations sur ce que vous avez vu ?
• Monsieur l’agent, une femme, c’est sûr, c’était une femme.
Blonde, ça aussi, je peux le certifier.
Avec un foulard, je voyais sa mèche blonde.
Ah oui, j’oubliais, elle avait des lunettes de soleil cachant ses yeux !
Mais pour le reste, je suis dans l’impossibilité de vous en dire plus, même si elle était jolie ou si c’était un boudin…
Un boudin, pauvre con, je suis une femme, magnifique parmi les dizaines de femmes magnifiques qui se trouvent au même moment dans ce quartier de Paris.
Bref, je rejoins Nanterre où je sais que Louis suit des cours à la fac.
• Monsieur, oui vous qui attendez votre bus, sauriez-vous me dire comment rejoindre l’avenue Hugo à Rueil-Malmaison où j’ai mon hôtel.
Je me suis perdu et dans ce vieux modèle customisé, il n’y a pas de GPS.
• Vous avez une chance incroyable, j’habite à côté de l’hôtel Napoléon, c’est le seul dans cette avenue.
• Montez, j’ai une chance de cocue, vous allez me guider.
Bien sûr, tout ceci n’est pas le fruit du hasard.
J’ai pisté Louis après les renseignements fournis par son père et j’ai vu la chance que j’avais, c’est souvent le cas.
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