COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 2 (4/5)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
                    Auteur homme.
                                            
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 Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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            COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 2 (4/5)
                Je m’appelle Josiane X, en ce moment, Josyane Alba, même prénom, mais nom différent, c’est normal, c’est mon nom d’emprunt lorsque je suis l’autre.
J’ai pu avoir confirmation que Sofiane, le comptable bon chic, bon genre, des restos du cœur, se trouvait être un affreux magouilleur, s’enrichissant sur le dos de plus pauvre que lui ou que moi.
Non, moi, il ne faut pas exagérer, même Alba possède de grands moyens pour assouvir sa soif de sexe et je dois le reconnaitre d’amour sous toutes ses formes.
La mort de nos ennemis en faisant partie.
Alba a tué du temps de Jean-Bernard, mort de m’avoir trop aimé, c’est moi qui en voulais plus à chaque braquage, certainement pour me venger de ma classe sociale, celle des nantis.
Josiane la blonde avec un I dans son prénom et sur ses papiers d’identité, aime le sexe exclusivement avec Jean-François son mari.
Hélas, son éducation rigorisme en fond une femme sur la réserve alors qu’Alba avec un Y dans son prénom peut se payer tous les excès et toutes les formes de luxure avec tous les débordements allants avec.
Certains diront que je suis une tarée, ce dédoublement de personnalité me donne l’équilibre que les punitions anglaises ne m’ont pas apporté, mais y ont largement contribué.
Le meurtre de tel individu comme Sofiane n’est pas pour me déplaire.
Rousse, brune, blonde, les tenues assez provocantes qu’Alba enfile après avoir traversé les appartements de l’un vers l’autre, l’aident beaucoup.
Elle pénètre b.c.b.g. d’une rue du 16ᵉ et en ressort dans la rue parallèle, en tenue plus provocante, prête à s’éclater et à vivre tous les débordements possibles.
Elle arrive déposée par un taxi d’un côté et prend le métro ou sa Mustang, véritable relique américaine en parfait état, de cette rue parallèle.
C’est ce que n’a pas compris Sofiane, lorsqu’il draguait Josiane venue officiellement aider Edwige, la responsable de ce centre de récolte principalement de denrées pour les pauvres ayant droit.
Lorsqu’il a accepté de se faire menotter aux barreaux de son lit, il ignorait que cette femme, doublure de celle qu’il connaissait, était une mante religieuse, acceptant de baiser avant d’être dévorée par cette jolie femme.
En ce moment Alba monte et descend sur la queue qu’elle a fait bander, malgré les circonstances et la peur que Sofiane fini par ressentir.
C’est dur de se réveiller devant le fait accomplir sans pouvoir bouger le petit doigt.
Surtout après qu’avec une paire de ciseaux Alba lui a légèrement entaillé la verge.
Ce ciseau extrêmement aiguisé comme les lames d’un rasoir l’ayant prise entre ces deux lames lui a certainement fait la peur de sa vie de se retrouver émasculé.
• Ah ! ah ! ah, je vois la peur dans tes yeux, mais ta queue a accepté de me donner le plaisir que j’aime rechercher en bonne salope que je suis.
Alba vient de jouir en même temps que son pourfendeur.
Elle quitte, comme à regret, la bite qui vient de lui donner le plaisir qu’elle recherche lorsqu’elle se lâche sur l’une de ses proies.
• Passons aux choses sérieuses, bien que j’aie pris énormément de plaisir avec toi, mon salopard.
Nous allons parler du fric que tu as détourné.
Mais ne fais pas non de la tête, ça va m’énerver et lorsque je suis énervée, je suis capable de couper tout ce qui bouge et qui dépasse.
Je te rendrais bien la parole, mais on a déjà frisé la catastrophe avec tes voisins quand tu criais comme un jeune goret que l’on menait à l’abattoir.
Attends, j’ai une idée, je t’ai dit que j’avais du temps et Josiane aussi !
Son mari est parti pour plusieurs jours, nous laissant le champ libre pour manœuvrer et passer du bon temps.
Regarde ce que je sors de ma valise, oui, à ton regard, je vois que tu penses à ce que je pense.
Une tireuse de lait pour les bébés.
Mon homme, le tatoué, celui qui m’a initié à la torture lente et douce du temps de son vivant, l’a conçu pour un autre usage bien plus marrant, mais en dernier lieu entraînant le même résultat.
Au lieu de lait, c’est ton sperme qu’il va te tirer.
Lorsque nous ne braquions pas ou que nous ne baisions pas, ce qui était très rare, c’était un bricoleur de génie.
Cette tireuse à lait pour bébé, il l’a perfectionnée.
À son extrémité, il y a adapté un système qui va aspirer ta verge et te faire décharger tout ce que tes couilles seront capables de produire comme sperme.
Hélas, à la fin, ça ira jusqu’au sang.
J’adorais voir le sang gicler de la verge de nos ennemis et remplir le petit flacon.
Chaque fois qu’il devait faire avouer les uns ou les autres, souvent retissant à nous dire où ils cachaient leur pognon, il se servait de sa tireuse.
Si je calcule bien, elle a aspiré jusqu’à leur mort quatre, non cinq de nos ennemis
Une des choses que Jean-Bernard m’a apprises, du temps où il était encore vivant.
C’est qu’une petite frappe comme toi, n’a pas confiance dans les banques.
C’est normal, nous les braquions, bien que je sois une fille de très bonne famille.
Immanquablement, vous cachez votre fric à portée de main des fois que les choses tournent mal et que vous soyez obligé de changer d’air.
J’installe la tireuse en la branchant sur la prise à côté de sa menotte gauche, la ventouse sur la verge faisant très vite son office.
Je m’installe à ses côtés et je sors mon portable pour regarder un porno pour passer le temps.
J’en fais profiter mon voisin, c’est beau le cul par vidéo.
Ça accélère le processus et comme le fait le lait sortant du sein d’une femme allaitante, le sperme commence à sortir et à remplir le récipient prévu pour sa récupération.
Deux, non, trois fois, il éjacule, j’aime le sperme, comme j’aime le lait sortant des mamelles de la vache.
Je commence, juste à me faire plaisir, en me caressant le clito, grâce aux doigts de sa main que j’ai saisie pour la poser sur ma chatte en feu.
Hélas, pour Sofiane, lorsque je suis dans cet état, il ignore qu’une seule chose rassasie la pute que je deviens, assoiffée de sexe et de mort à petit feu.
Mais nous en reparlerons, je jouis, une nouvelle fois, les doigts ayant caressé mon bouton qui s’enflamme lorsque je suis en mode « parle ou je te tue ».
• Nous allons jouer à un jeu, je te pose une question et tu me fais signe de la tête, si je brûle ou si je me refroidis.
Attention, cette règle est simple, si je chauffe avant de me refroidir.
Trois fois côté « froid » et ta verge pissera le sang définitivement.
Je m’assieds sur son ventre, le regardant droit dans les yeux.
• Le fric est-il dans ta maison ?
Non, tu me prends pour une conne !
Non, il n’est pas chez toi !
Tu m’en bouches un coin, je vais chercher à comprendre.
Une idée me vient.
• As-tu un complice ?
Oui et non, à oui, je vois, c’est une complice comme moi, je l’étais avec Jean-Bernard, l’amant m’ayant pris mon pucelage.
Oui, tu vois, on y arrive, maintenant ça va être plus dur, qui est cette complice ?
Ma chance est là, c’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée se fait entendre.
Peut-être la police, les cris que Sofiane, a émis avant que je le muselle ont peut-être intrigué les voisins et ils débarquent pour voir, pourquoi ces cris ?
J’ai bien des choses dans ma valise, dont un neuf millimètre, dont je sais très bien me servir.
Ça ce compte au nombre de mes cadavres de vigiles, tous morts d’une balle entre les deux yeux.
C’est dans le bois de Fontainebleau que mon amant m’a fait tirer mon premier coup.
Je me suis retrouvée sur le cul avant qu’il me le casse le long d’un chêne centenaire.
Je m’en saisis et nue, je me dirige vers la porte que j’entrouvre.
• Edwige, toi ici, je me posais des questions sur qui était la complice de Jean-Bernard, entre sans faire de bruit, je sais très bien me servir de cette pétoire avec un magnifique silencieux.
Edwige, responsable du centre de collecte et certainement maitresse de ce minable attaché à son lit, que nous rejoignons.
Le révolver que je mets dans les reins de cette salope, la dissuade de tenter quoique ce soi.
• Josiane, pourquoi as-tu attaché Sofiane, et qu’a-t-il sur sa queue ?
J’ai oublié de dire, qu’Edwige porte un sac de sport semblant assez lourd.
• À poils comme ton mec, vous avez joué un jeu dangereux, mais plein de subtilité.
J’ai été moi-même berné, à aucun moment, je n’ai pensé que vous étiez complice pour les détournements d’argent.
Ne me dis pas que vous aviez décidé ce soir de quitter le pays avec le fric que je pense se trouve dans ce sac !
Ouvre-le !
La caverne d’Ali Baba dans un seul sac, loin dès 6 000 € que j’ai apportés par mon travail auprès de Léon et de son fils Louis.
Combien y a-t-il ?
Deux, trois millions, je verrais ça à mon retour à l’appartement dans lequel j’ai déjà de quoi faire vivre dix, vingt familles pendant des années.
L’argent des derniers casses avec Jean-Bernard, avant qu’il ne meure, se trouvait encore à Montmartre.
« Ah ! ah ! ah !, Josiane arrête ça. »
Je pense que Sofiane doit penser cela, car la boule le muselle toujours.
C’est la première giclée de sperme qui commence à contenir du sang.
Ai-je pitié de cette saloperie, que nenni, la présence d’Edwige me donne des idées ?
J’adore avoir des idées, surtout lorsque neuf fois sur dix, ça entraine la mort de ceux que j’ai dans ma ligne de mire.
• Edwige, enlève à ton complice la ventouse qui le pompe le vidant de son sperme et du début de son sang.
C’est bien, tu es une bonne petite soumise, mais ton homme aime certainement bander pour toi.
C’est ta bouche qui va devenir la tireuse de ton homme et qui va finir par le faire mourir de plaisir !…
            J’ai pu avoir confirmation que Sofiane, le comptable bon chic, bon genre, des restos du cœur, se trouvait être un affreux magouilleur, s’enrichissant sur le dos de plus pauvre que lui ou que moi.
Non, moi, il ne faut pas exagérer, même Alba possède de grands moyens pour assouvir sa soif de sexe et je dois le reconnaitre d’amour sous toutes ses formes.
La mort de nos ennemis en faisant partie.
Alba a tué du temps de Jean-Bernard, mort de m’avoir trop aimé, c’est moi qui en voulais plus à chaque braquage, certainement pour me venger de ma classe sociale, celle des nantis.
Josiane la blonde avec un I dans son prénom et sur ses papiers d’identité, aime le sexe exclusivement avec Jean-François son mari.
Hélas, son éducation rigorisme en fond une femme sur la réserve alors qu’Alba avec un Y dans son prénom peut se payer tous les excès et toutes les formes de luxure avec tous les débordements allants avec.
Certains diront que je suis une tarée, ce dédoublement de personnalité me donne l’équilibre que les punitions anglaises ne m’ont pas apporté, mais y ont largement contribué.
Le meurtre de tel individu comme Sofiane n’est pas pour me déplaire.
Rousse, brune, blonde, les tenues assez provocantes qu’Alba enfile après avoir traversé les appartements de l’un vers l’autre, l’aident beaucoup.
Elle pénètre b.c.b.g. d’une rue du 16ᵉ et en ressort dans la rue parallèle, en tenue plus provocante, prête à s’éclater et à vivre tous les débordements possibles.
Elle arrive déposée par un taxi d’un côté et prend le métro ou sa Mustang, véritable relique américaine en parfait état, de cette rue parallèle.
C’est ce que n’a pas compris Sofiane, lorsqu’il draguait Josiane venue officiellement aider Edwige, la responsable de ce centre de récolte principalement de denrées pour les pauvres ayant droit.
Lorsqu’il a accepté de se faire menotter aux barreaux de son lit, il ignorait que cette femme, doublure de celle qu’il connaissait, était une mante religieuse, acceptant de baiser avant d’être dévorée par cette jolie femme.
En ce moment Alba monte et descend sur la queue qu’elle a fait bander, malgré les circonstances et la peur que Sofiane fini par ressentir.
C’est dur de se réveiller devant le fait accomplir sans pouvoir bouger le petit doigt.
Surtout après qu’avec une paire de ciseaux Alba lui a légèrement entaillé la verge.
Ce ciseau extrêmement aiguisé comme les lames d’un rasoir l’ayant prise entre ces deux lames lui a certainement fait la peur de sa vie de se retrouver émasculé.
• Ah ! ah ! ah, je vois la peur dans tes yeux, mais ta queue a accepté de me donner le plaisir que j’aime rechercher en bonne salope que je suis.
Alba vient de jouir en même temps que son pourfendeur.
Elle quitte, comme à regret, la bite qui vient de lui donner le plaisir qu’elle recherche lorsqu’elle se lâche sur l’une de ses proies.
• Passons aux choses sérieuses, bien que j’aie pris énormément de plaisir avec toi, mon salopard.
Nous allons parler du fric que tu as détourné.
Mais ne fais pas non de la tête, ça va m’énerver et lorsque je suis énervée, je suis capable de couper tout ce qui bouge et qui dépasse.
Je te rendrais bien la parole, mais on a déjà frisé la catastrophe avec tes voisins quand tu criais comme un jeune goret que l’on menait à l’abattoir.
Attends, j’ai une idée, je t’ai dit que j’avais du temps et Josiane aussi !
Son mari est parti pour plusieurs jours, nous laissant le champ libre pour manœuvrer et passer du bon temps.
Regarde ce que je sors de ma valise, oui, à ton regard, je vois que tu penses à ce que je pense.
Une tireuse de lait pour les bébés.
Mon homme, le tatoué, celui qui m’a initié à la torture lente et douce du temps de son vivant, l’a conçu pour un autre usage bien plus marrant, mais en dernier lieu entraînant le même résultat.
Au lieu de lait, c’est ton sperme qu’il va te tirer.
Lorsque nous ne braquions pas ou que nous ne baisions pas, ce qui était très rare, c’était un bricoleur de génie.
Cette tireuse à lait pour bébé, il l’a perfectionnée.
À son extrémité, il y a adapté un système qui va aspirer ta verge et te faire décharger tout ce que tes couilles seront capables de produire comme sperme.
Hélas, à la fin, ça ira jusqu’au sang.
J’adorais voir le sang gicler de la verge de nos ennemis et remplir le petit flacon.
Chaque fois qu’il devait faire avouer les uns ou les autres, souvent retissant à nous dire où ils cachaient leur pognon, il se servait de sa tireuse.
Si je calcule bien, elle a aspiré jusqu’à leur mort quatre, non cinq de nos ennemis
Une des choses que Jean-Bernard m’a apprises, du temps où il était encore vivant.
C’est qu’une petite frappe comme toi, n’a pas confiance dans les banques.
C’est normal, nous les braquions, bien que je sois une fille de très bonne famille.
Immanquablement, vous cachez votre fric à portée de main des fois que les choses tournent mal et que vous soyez obligé de changer d’air.
J’installe la tireuse en la branchant sur la prise à côté de sa menotte gauche, la ventouse sur la verge faisant très vite son office.
Je m’installe à ses côtés et je sors mon portable pour regarder un porno pour passer le temps.
J’en fais profiter mon voisin, c’est beau le cul par vidéo.
Ça accélère le processus et comme le fait le lait sortant du sein d’une femme allaitante, le sperme commence à sortir et à remplir le récipient prévu pour sa récupération.
Deux, non, trois fois, il éjacule, j’aime le sperme, comme j’aime le lait sortant des mamelles de la vache.
Je commence, juste à me faire plaisir, en me caressant le clito, grâce aux doigts de sa main que j’ai saisie pour la poser sur ma chatte en feu.
Hélas, pour Sofiane, lorsque je suis dans cet état, il ignore qu’une seule chose rassasie la pute que je deviens, assoiffée de sexe et de mort à petit feu.
Mais nous en reparlerons, je jouis, une nouvelle fois, les doigts ayant caressé mon bouton qui s’enflamme lorsque je suis en mode « parle ou je te tue ».
• Nous allons jouer à un jeu, je te pose une question et tu me fais signe de la tête, si je brûle ou si je me refroidis.
Attention, cette règle est simple, si je chauffe avant de me refroidir.
Trois fois côté « froid » et ta verge pissera le sang définitivement.
Je m’assieds sur son ventre, le regardant droit dans les yeux.
• Le fric est-il dans ta maison ?
Non, tu me prends pour une conne !
Non, il n’est pas chez toi !
Tu m’en bouches un coin, je vais chercher à comprendre.
Une idée me vient.
• As-tu un complice ?
Oui et non, à oui, je vois, c’est une complice comme moi, je l’étais avec Jean-Bernard, l’amant m’ayant pris mon pucelage.
Oui, tu vois, on y arrive, maintenant ça va être plus dur, qui est cette complice ?
Ma chance est là, c’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée se fait entendre.
Peut-être la police, les cris que Sofiane, a émis avant que je le muselle ont peut-être intrigué les voisins et ils débarquent pour voir, pourquoi ces cris ?
J’ai bien des choses dans ma valise, dont un neuf millimètre, dont je sais très bien me servir.
Ça ce compte au nombre de mes cadavres de vigiles, tous morts d’une balle entre les deux yeux.
C’est dans le bois de Fontainebleau que mon amant m’a fait tirer mon premier coup.
Je me suis retrouvée sur le cul avant qu’il me le casse le long d’un chêne centenaire.
Je m’en saisis et nue, je me dirige vers la porte que j’entrouvre.
• Edwige, toi ici, je me posais des questions sur qui était la complice de Jean-Bernard, entre sans faire de bruit, je sais très bien me servir de cette pétoire avec un magnifique silencieux.
Edwige, responsable du centre de collecte et certainement maitresse de ce minable attaché à son lit, que nous rejoignons.
Le révolver que je mets dans les reins de cette salope, la dissuade de tenter quoique ce soi.
• Josiane, pourquoi as-tu attaché Sofiane, et qu’a-t-il sur sa queue ?
J’ai oublié de dire, qu’Edwige porte un sac de sport semblant assez lourd.
• À poils comme ton mec, vous avez joué un jeu dangereux, mais plein de subtilité.
J’ai été moi-même berné, à aucun moment, je n’ai pensé que vous étiez complice pour les détournements d’argent.
Ne me dis pas que vous aviez décidé ce soir de quitter le pays avec le fric que je pense se trouve dans ce sac !
Ouvre-le !
La caverne d’Ali Baba dans un seul sac, loin dès 6 000 € que j’ai apportés par mon travail auprès de Léon et de son fils Louis.
Combien y a-t-il ?
Deux, trois millions, je verrais ça à mon retour à l’appartement dans lequel j’ai déjà de quoi faire vivre dix, vingt familles pendant des années.
L’argent des derniers casses avec Jean-Bernard, avant qu’il ne meure, se trouvait encore à Montmartre.
« Ah ! ah ! ah !, Josiane arrête ça. »
Je pense que Sofiane doit penser cela, car la boule le muselle toujours.
C’est la première giclée de sperme qui commence à contenir du sang.
Ai-je pitié de cette saloperie, que nenni, la présence d’Edwige me donne des idées ?
J’adore avoir des idées, surtout lorsque neuf fois sur dix, ça entraine la mort de ceux que j’ai dans ma ligne de mire.
• Edwige, enlève à ton complice la ventouse qui le pompe le vidant de son sperme et du début de son sang.
C’est bien, tu es une bonne petite soumise, mais ton homme aime certainement bander pour toi.
C’est ta bouche qui va devenir la tireuse de ton homme et qui va finir par le faire mourir de plaisir !…
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