COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 2 (5/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 2 (5/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BOURGEOISE. Une bourgeoise aux deux facettes. Épisode 2 (5/5)
Josiane X, vous connaissez Josiane avec un I, pas l’autre, Josyane Alba, avec un Y.
Josiane avec un I a laissé place à Josyane avec un Y, car si j’ai épargné Louis et Léon, son père.
Ce n’est pas à l’avantage de Sofiane, comptable des restos du cœur où j’ai fait don du plaisir pris avec le fils et le père.
Baiser, c’est bien, ça me remonte le moral de ma vie très classique, mais les voir décéder m’apporte toute la quiétude me permettant un certain équilibre.
J’ai vu un tableau, moitié blanc, moitié noir, dans un musée parisien.
Ça ressemble bien à la totalité de ma vie depuis que des poils me sont poussés sur ma chatte.

Sofiane et Edwige, présentement chef comptable et responsable du centre des restos du cœur, sont de sacrés enfoirés que je me dois de punir.
J’ai largement commencé avec le beau parleur qui a cru me faire prendre des vessies pour des lanternes.
J’aurais pu me brûler, mais je suis bien trop maligne pour ça et c’est pour cela que je suis maîtresse de la situation entre Edwige et son amant.
Elle réussit à faire bander et sortir trois gouttes de sang de la verge, qui, il y a peu, a dû lui donner bien du plaisir.

• Laisse tomber et vient t’occuper de ma chatte !
Le bichon a besoin de repos, on ne pourra pas dire que je suis tyrannique, quoique !
• Josiane, pourquoi t’en prendre à nous ?
Grâce à nous toutes les deux, nous sommes riches.
Je suis prête à partager avec toi.
• Tu es prête à abandonner celui avec qui tu as mis au point ce plan ?
Ouvre la bouche, Edwige, je comprends que tu ne piges pas.
Tu crois avoir affaire à Josiane de ton centre de collecte, mais je suis l’autre Josyane, la justicière défenderesse de la veuve et de l’orphelin.

Edwige sous la pression de mon arme, finit par ouvrir la bouche.
Deux, ou trois mouvements secs et je lui éclate les dents, la plupart tombant sur le lit.

• Tu es nettement plus belle comme ça, j’ai eu aussi, un peu peur que tu m’arraches le clito avec tes dents trop blanches, surtout que tu fumes comme un pompier.
En passant, n’as-tu pas vu sur les paquets de cigarettes, la recommandation « fumer tue », puisque tu la caches dans un étui.
En plus d’être une femme aimant faire de bonnes œuvres, je suis celle qui va aider la sécu à ne pas être en déficit, lorsque tu auras cinquante ans !

Sans lâcher mon arme, je prends la tête de celle que je viens d’édenter et je la pose sur mon bouton qui n’attend que cela.
Il aime que des salopes comme Edwige sucent jusqu’à le faire éclater de plaisir.

• C’est bien continu, tu es une bonne suceuse de clito et de bite, tiens et retournes t’occuper de celle de ton amant !
Il y a bien longtemps qu’elle se repose, voyons combien de litres de sang, tu vas pouvoir lui soutirer.

J’aime les femmes dociles, lorsqu’elle m’a libéré, je me lève et dans ma valise, je prends le martinet souvenir d’Angleterre, que j’ai ramené pour venir me marié.
La mort de Sofiane m’obligeant à redevenir Josiane X afin d’échapper à la police.
Qui pourrait penser qu’une fille de si bonne famille peut être l’ennemi public numéro un que j’aspire à devenir.
Fouetter, martyriser le cul d’une de mes congénères, c’est le pied intégral, surtout lorsque je vois les mappemondes d’Edwige, devenir rubicond.
Sofiane a du plaisir à se voir vider de son sang par la bouche édenté de celle qui devait le sucer en bonne maîtresse qu’elle était.

• Bon, j’ai dit que j’avais tout mon temps, mais tout plaisir doit avoir une fin, je commence à fatiguer notamment d’être en présence de deux enfoirées comme vous.
Edwige, tu vois les ciseaux sur le lit près de toi !
Ça va être toi qui vas couper la queue de notre ami, ça va te faire plaisir, qu’elle te la mette dans ta main.
Tu fais non, et si c’est l’heure, j’ai fini de m’amuser.

Sofiane rassemble ce qui doit être ses dernières forces et se met à ruer, envoyant un coup de genou à son aimé qui pousse un cri de douleur.

• Fais attention, tu lui as pété le tarin, Edwige venge-toi !

Que c’est doux de déclencher la colère d’une femme, qui prenant les cuisseaux, se saisir de la queue de son amant et comme je ne mens jamais, sectionne d’un coup sec son pénis.
C’est drôle un homme devenant eunuque ou castrat.
Car non seulement elle lui coupe la verge et rapidement s’attaque à ses boules.
Dommage, que je n’ai pas le temps de l’entendre chanter !
Surtout que j’ignore combien de temps après s’être fait émasculer, un castrat peut se produire en public.
Pourquoi la faire souffrir plus longtemps ?
Le silencieux lui a éclaté les dents.
Le « ploc » lorsque je lui tire une balle au fond de sa chatte fait un doux bruit à mes oreilles.
Notamment lorsque je pense aux dégâts faits par cette balle de neuf millimètres qui a dû faire son chemin bien loin en elle.
Elle s’écroule sur son amant, passant de vie à trépas sans avoir eu le temps de souffrir.
Du moins je le pense, refusant d’essayer.
Ne suis-je pas une bonne camarade, elle aurait pu mourir dans de nombreuses années grabataires, je lui évite ces soucis.
Je vais dans la cuisine, chercher une cuvette.
J’ai soif, j’ouvre le frigo, il est vide, j’avais raison, ils partaient avec le fric, il était temps que j’intervienne.
Une nouvelle fois, avant de la refermer, je prends ce qu’il faut dans ma valise et je fais le nécessaire pour effacer les traces de mon passage, y compris les menottes et les boules à bouche.

• Josiane, es-tu au courant qu’Edwige s’absentait, elle n’est pas venue depuis quarante-huit heures, ce n’est pas son genre depuis qu’elle est responsable de notre centre de collecte ?
• Je reviens du bureau de Sofiane, lui aussi semble avoir disparu !
• Merci Alain, je préviens la police, ce n’est pas normal.
• Jocelyne, veux-tu que je m’en charge, il est l’heure d’ouvrir le centre pour la distribution.
• Non, inutile, je t’en remercie Josiane, en tant qu’adjoint d’Edwige, cette tâche m’incombe, ouvrez et commencez la distribution.

Nouveau drame au tueur lavant ses victimes aux javel, certainement pour nettoyer ses traces A.D.N.
Intrigué par la disparition d’Edwige X responsable du centre de collecte du 16e arrondissement et de Sofiane le comptable de ce centre, la police prévenue c’est rendu aux adresse de ces deux personnes.
C’est lors de la visite chez ce dernier qu’ils ont découvert la macabre fin de ces deux personnes.
Notre journal gardera la façon dont ils ont été tués.
Dans le centre, une enquête a mis au jour un détournement de fonds de 2 millions 350 mille euros.
Qui est ce mystérieux vengeur de personnes peut scrupuleuses du bien que font les restos pour nos concitoyens dans la misère.
A ce jour, toutes les pistes explorées n’ont rien donné, le tueur sachant ce qu’il faut pour effacer ses traces.
C’est le moment dans ces lignes de rendre hommage aux bénévoles scrupuleux.
Alain, Jocelyne, nouvelle responsable du centre, pendant l’enquête les bénévoles ayant décidé d’ouvrir, afin de ne pas laisser les pauvres dans la panade.
Notre journaliste tient à mettre à l’honneur Josiane X, femme d’un responsable de haut rang, qui vient régulièrement donner du temps aux démunies, alors qu’elle a tout ce qu’il faut à sa disposition avec sa situation privilégiée. »

Parlons-en de ce journaliste qui est venu nous interroger.
Ce qu’il dit dans ces lignes est vrai, c’est ce que l’on lui a dit.
Il a oublié de vous dire que lorsqu’il m’a abordé, il m’a honteusement dragué, moi une femme fidèle à son époux que j’ai retrouvée au retour de son voyage.
Flamant, c’est son prénom, je le garde comme une poire pour ma soif.
J’avais soif lorsque je suis allée dans la cuisine, j’avais encore plus soif lorsque Josyane Alba est sortie discrètement à la nuit tombée de l’immeuble où elle avait assouvi sa soif de sexe et de mort lui donnant du tonus.

« Dernière minute, notre reporter nous rapporte qu’un mystérieux paquet contenant 900 000 € ont été déposés par un coursier au bureau de police, proche du centre de collecte des restos ayant subi un détournement de fonds par deux employés peut scrupuleux.
La police va continuer l’enquête, de ces meurtres et de qui a rendu une partie du butin au resto.
Nous vous tiendrons informé ».

900 000 sur les 2 millions 350 mille euros.
Je sais, j’ai gardé une partie des fonds détournés.
Si Josiane, a tout ce qu’il faut pour vivre, Josyane Alba a des frais, de tenues de perruque et de javel à mettre dans sa valise pour effacer toute trace de son A.D.N.
Par compte, il y a un souci, Flamant, non, je suis rassasié comme une mante religieuse et j’ai tout le temps de trouver le moyen de le rencontrer.
Non, ce n’est pas 900 000 € que Josyane Alba a déposés au commissariat, mais 1 million d’euros.
Où sont passés les 100 000 € manquants, si c’est pour les orphelins de la police, je pourrais comprendre.
Si c’est des ripoux qui se sont gavés au passage, je pense que Josyane Alba va avoir à faire une petite enquête.
À moins que ce soit l’autre facette de moi, qui s’en charge avec les connaissances que Jean-François et elles sont dans la police.
Si c’est Josiane X, enquête auprès de ses copines, lors d’un thé dans leur salon les mercredis.
C’est fou ce que l’on peut apprendre, nunuche comme elles sont, en posant de simples questions paraissant sans grande importance.
Si c’est Alba, sexe et plus si nécessité.
Même si c’est la police, se faire un de ces salopards ayant de nouveau piqué le fric des restos, ni l’une, ni l’autre, ne soit en position à l’accepter.

Ah oui, dans mon tailleur noir, chaussures noires et immense chapeau avec voilette.
J’assiste à la crémation d’Edwige et de Sofiane, je suis la seule des restos à être là.
J’aurais bien envoyé Alba, mais je suis certaine que des flics rôdent dans ce cimetière, photographiant tous ceux qui sont venus à l’enterrement.
Je suis, bénévole, je suis riche, qui pourrait me suspecter d’avoir une double facette dans ma vie.

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