COLLECTION CANDAULISME. Candaulisme malgré moi. (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION CANDAULISME. Candaulisme malgré moi. (1/1)
Nous venons de passer notre mois de lune de miel à la réunion et nous sommes de retour depuis deux jours, bien bronzés, les yeux remplis d’image toute d’un bleu profond comme l’océan que nous admirions depuis notre chambre.
Je l’ai épousé bêtement parce que je l’aimais rien de plus.
C’est la première nuit sur la plage devant notre bungalow les pieds dans l’eau que j’avais réservée sur cette île paradisiaque que les choses ont basculée.
Je la prenais tendrement allongée, la bite bien plantée dans sa chatte après des préliminaires qui m’avaient permis de lui sucer les seins électrisant leurs pointes qui réagissaient, comme jamais, car je pense que le cadre lui apportait la quiétude qui nous manque à Paris.
Nous habitons un immeuble des années 60 bien propres et bien entretenues, mais dont les cloisons intérieures entre appartements sont aussi fines qu’une feuille de journal.
• Baise-moi mon salaud, je veux ta queue en moi.
Cette phrase prononcée dans la nuit devait changer le cours de ma vie.
Je regardais Véronique grâce à la veilleuse du réveil, mais elle dormait et elle était dans l’impossibilité de l’avoir prononcé.
• Je savais que ta queue me ferait jouir comme chaque fois que tu viens et que tu me prends.
Je comprenais que la femme qui jouissait à ce moment était la nouvelle jeune voisine que j’avais vue déménager ses meubles la veille, qui se faisant baiser et que j’entendais à travers la cloison.
L’appartement sur le même palier était libre depuis notre arrivée et les pièces étant inversées c’est sa chambre qui devait jouxter la nôtre.
Véronique et moi avions fait l’amour avant de nous endormir et je me demandais si elle nous avait entendues, car dans nos ébats nous étions nous aussi portés sur des mots crus.
Après un long cri de jouissance le calme est revenu, mais à partir de ce moment, j’ai commencé à avoir un comportement bizarre.
Dans notre couple, j’aimais penser que comme nous la voisine nous entendait et je débitais de longues phrases de plus en plus ordurières chaque fois que Véronique me donnait son cul.
Son cul que ce soir, je venais enfin de pénétrer après bien des moments de discussion espérant qu’elles parviennent aux oreilles de celle qui habitait seule et qui multipliait les amants au point qu’un soir une phrase ambiguë m’a mis la puce à l’oreille.
• N’oublie pas ce que nous avions convenu.
Elle baisait contre rétribution, ça aurait pu être le cas, ou je me trompais et elle aimait les hommes, mais elle acceptait volontiers des petits cadeaux genre bagues ou colliers que je lui voyais porter les jours suivants pour rapidement les remplacer par ceux que lui offrait le nouvel amant.
Sa pratique sexuelle était sans tabou et rapidement, il m’a semblé qu’il y avait une surenchère entre nous.
M’en ouvrant à Véronique, elle aussi l’entendait se faire prendre et en tirait des jouissances très fortes quand entendant la fin des ébats de notre voisine à notre tour nous exprimions notre plaisir dans des parties de jambes en l’air qui nous laissait pantelants quand nous nous endormions.
Un jour plus rien, le nom sur la boîte aux lettres avait disparu et elle aussi, la personne qui s’occupait du nettoyage m’apprenait qu’elle avait déménagé et que l’appartement était de nouveau libre.
Nos ébats manquaient de sel à partir de ce moment, même si nous continuions à baiser sans aucun tabou.
J’avais du mal à m’endormir espérant que de nouveaux voisins nous procureraient ce piment qui nous manquait, mais je devais me rendre à l’évidence, il y avait bien quelqu’un qui faisait du bruit dans la journée, mais qui dormait émettant un simple ronflement la nuit.
La grand-mère qui m’a salué un matin était loin du temps ou elle acceptait de recevoir des amants et des bites du haut de ses 80 ans.
À ce moment, nous étions Pacsé, je savais qu’elle espérait que je lui offre une bague, pour faire comme tout le monde, je lui ai demandé sa main et je l’ai épousé.
C’est ainsi que nous nous retrouvons sur cette île, sur cette plage à faire l’amour.
Je venais de m’asseoir sur le sable, ma femme venant s’empaler sur ma verge dans la même position, mais face à moi quand je m’aperçois qu’à quelques mètres de nous un couple faisait comme nous, mais le faisait sur une des chaises longues mises à notre disposition.
• Vous aimez faire l’amour aux claires de lune.
C’est par cette simple phrase qu’entre nous tout a commencé.
Véronique chantait son plaisir en simultanéité avec la femme sur le transat.
• Et mec, ta femme a une jouissance que j’apprécie, elle serait capable de venir sur ma bite.
• Nous sommes jeunes mariés.
• Nous nous fêtons nos dix ans, dix ans de libertinage commencé sur cette plage avec nos voisins de bungalow comme vous aujourd’hui.
• L’échangisme nous est inconnu.
• Comme nous, il y a dix ans, nous avions les mêmes préjugés, mais depuis nous aimons nous regarder nous faire baiser par d’autres.
• Vous vous appelez comment ?
• Louis et ma femme Sandrine et toi.
• Ma femme s’appelle Véronique et moi Valérian
En me tutoyant et en me donnant leur nom, il s’avance vers nous entièrement nu la queue encore légèrement bandée.
• Véronique veux-tu me sucer ?
• Oui, pourquoi pas si Valérian me donne son accord ?
C’est la première fois de la soirée que ma femme ouvre la bouche et la verge qui entre dans sa cavité buccale me montre qu’elle est plus vicieuse que moi, ce qui est le plus étrange, c’est que c’est moi qui lui donne mon accord.
Sandrine rejoint son mari et s’agenouille à ma hauteur pour me caresser la verge que ma femme a laissé tomber pour s’occuper de celle de nos nouveaux amis.
Je suis si fasciné par ce que je vois que j’oublie d’en bander malgré la femme qui s’active pour me faire tendre le bras.
Comprenant ma fascination elle s’assoit comme moi et regarde Véronique qui s’allonge de nouveau sur le sable pour recevoir Louis en elle.
Que lui arrive-t-il, comment a-t-elle pu passer d’amante à libertine et moi à candaulisme, les regardant sans ne rien dire ?
À partir de ce moment quand Lucien lui remplit la chatte, je me mets à bander et je peux de nouveau la prendre me laissant glisser sur elle, son amant s’étant retiré.
Je suis en forme comme je le faisais avant que ce couple vienne nous parler de leur pratique du libertinage.
Je suis en train de limer ma femme quand je sens une langue s’insinuer dans ma rosette.
Julien est couché près de Véronique et lui caresse le visage, c’est donc Sandrine qui me fait une feuille de rose, il se lève vient derrière moi et je m’aperçois qu’il vient m’enculer.
Le soleil du jour nous trouve allongés, mélangés bras et jambes après cette nuit de débauche.
Je prends conscience qu’après les semaines où j’ai aimé entendre notre voisine faire l’amour en se faisant enfiler de manière toujours évolutive au gré de ses amants, sur cette plage une nouvelle étape de ma vie vient de commencer.
Présentement, Véronique s’étire montrant au soleil sa poitrine très rebondie, du moins plus que celle de Sandrine, même si elle doit mettre de grands bonnets.
Véronique me surprend, car c’est elle qui lui prend la main et qui la porte sur son sein droit alors qu’elle-même saisit entre son pouce et son index la pointe en forme de fraise de notre nouvelle amie.
Mon sexe à cette vision reste flasque, mais, c’est dans mon cerveau que je bande surtout au moment où Sandrine avance sa bouche et qu’elle trouve celle de sa nouvelle amie.
J’aurais mauvaise grâce de faire une remarque moi, qui je suis obligé de reconnaître, dans la nuit a subi ma première sodomie et que j’ai beaucoup appréciée.
J’ignorais que ma femme avait des instincts échangistes et lesbiens, sur cette place, je me rends compte que celle qui partage ma vie et que je viens d’épouser est une presque inconnue pour moi comme je le suis moi-même pour moi.
Il aurait été incongru phallocrate comme je le suis, à l’extrême de lui demander si ma bite lui suffisait et si au cours de sa vie elle avait déjà brouté des chattes.
Pourtant, c’est ce qu’elle s’apprête à faire quand venant dans la fourche de Sandrine de façon autoritaire elle lui écarte les cuisses pour venir plonger sa figure au centre de son intimité.
À partir de cet instant, j’entends les lapements sans les voir et en fermant les yeux, je retrouve nos nuits où nous écoutions la voisine faire l’amour avant qu’ils soient remplacés par les ronflements de la vieille dame qui a emménagé à sa place.
Lucien semble être un homme qui a des ressources sexuelles importantes malgré la nuit qu’il a passée à baiser sa femme puis ma femme et mon anus, il bande de nouveau et s’approche de Véronique qui s’est placée à quatre pattes, il semble qu’à l’endroit où il se place, il vise son anus.
Elle relève la tête me regardant, toujours assise, la regardante sans envie de participer.
• Valérian, je sens son gland sur mon petit trou, je peux me faire enculer.
Ma réponse est surprenante,
• Oui, mon cœur éclate-toi, j’aime te regarder te faire faire l’amour.
Ma réponse doit la satisfaire, car elle retourne à son labeur permettant à celle qui par cette action devient sa maîtresse de commencer à jouir son clito étant stimulée à son maximum par cette langue qui hier tournait sur ma langue pour mon seul plaisir.
Dans le même temps, un grognement parvient à mes oreilles quand la verge de Lucien l’empale.
Voir ces trois personnes se donner du plaisir alors qu’il y a vingt-quatre heures nous étions un couple très soudé avant de rencontrer nos amis m’apporte une paix intérieure.
Que m’arrive-t-il, moi qui étais un chaud lapin, je suis statique à regarder ma femme être de plus en plus une salope sans pouvoir la baiser hormis le moment où la verge de son amant a déversé en elle son sperme.
• Ce soir, nous vous emmenons dans un restaurant appelé « l’Ambigu », vous verrez nous allons nous éclater la cuisine est divine.
Venez allons déjeuner et nous coucher au soleil pour être en forme ce soir.
Le soir, tenue légère et très sexy pour les femmes, sport pour nous.
J’aurais dû m’en douter, certes, nous pouvons manger, mais c’est un prétexte à nous faire venir dans une boîte échangiste.
Dès que nous entrons, Sandrine est accostée par un grand black qui semble la connaître et bien la connaître quand il lui caresse l’un de ses seins à travers le tee-shirt qui le protège.
• Je te présente mon amie Véronique, je crois que vous allez bien vous entendre, je suis sûr qu’elle va apprécier ton gros bâton.
• Venez Véronique allons-nous baigner la piscine est très agréable.
C’est nu tous les deux que je vois ma femme le suivre et entré dans l’eau.
Je me surprends à les suivre et dans la piscine, je m’assieds sur un banc immergé et d’où, j’ai une vision complète sur la belle garce que j’ai épousé qui monte et descend s’enfilant sur cette grosse bite noire plantée dans sa chatte qui semble la recevoir sans aucun problème.
Un baiser par cet homme quand il lui a rempli le vagin et je peux m’approcher pour moi aussi enfin bander et la prendre comme une bête dans de grands élans au fond de son vagin.
Nous avons passé tous les jours suivants entre nos bungalows et cette boîte, Véronique a fait le plein d’amant surtout quand ils étaient bien montés comme le beau noir du premier soir.
Pour ma part, je regarde et je la baise, jusqu’au moment où nous retournons à Paris, mais en changeant rapidement de logement, car Sandrine et Lucien tiennent à avoir leurs nouveaux amis à portée de main, mais aussi de sexes.
Un appartement était libre et comme il est plus près de mon travail nous avons emménagé.
Par eux, nous avons appris à connaître les principaux clubs échangistes de Paris et je m’éclate à voir Véronique faire l’amour avec d’autres, mais chaque fois elle me fait comprendre avec qui elle va baiser, je donne mon accord, c’est cela l’amour.
Je l’ai épousé bêtement parce que je l’aimais rien de plus.
C’est la première nuit sur la plage devant notre bungalow les pieds dans l’eau que j’avais réservée sur cette île paradisiaque que les choses ont basculée.
Je la prenais tendrement allongée, la bite bien plantée dans sa chatte après des préliminaires qui m’avaient permis de lui sucer les seins électrisant leurs pointes qui réagissaient, comme jamais, car je pense que le cadre lui apportait la quiétude qui nous manque à Paris.
Nous habitons un immeuble des années 60 bien propres et bien entretenues, mais dont les cloisons intérieures entre appartements sont aussi fines qu’une feuille de journal.
• Baise-moi mon salaud, je veux ta queue en moi.
Cette phrase prononcée dans la nuit devait changer le cours de ma vie.
Je regardais Véronique grâce à la veilleuse du réveil, mais elle dormait et elle était dans l’impossibilité de l’avoir prononcé.
• Je savais que ta queue me ferait jouir comme chaque fois que tu viens et que tu me prends.
Je comprenais que la femme qui jouissait à ce moment était la nouvelle jeune voisine que j’avais vue déménager ses meubles la veille, qui se faisant baiser et que j’entendais à travers la cloison.
L’appartement sur le même palier était libre depuis notre arrivée et les pièces étant inversées c’est sa chambre qui devait jouxter la nôtre.
Véronique et moi avions fait l’amour avant de nous endormir et je me demandais si elle nous avait entendues, car dans nos ébats nous étions nous aussi portés sur des mots crus.
Après un long cri de jouissance le calme est revenu, mais à partir de ce moment, j’ai commencé à avoir un comportement bizarre.
Dans notre couple, j’aimais penser que comme nous la voisine nous entendait et je débitais de longues phrases de plus en plus ordurières chaque fois que Véronique me donnait son cul.
Son cul que ce soir, je venais enfin de pénétrer après bien des moments de discussion espérant qu’elles parviennent aux oreilles de celle qui habitait seule et qui multipliait les amants au point qu’un soir une phrase ambiguë m’a mis la puce à l’oreille.
• N’oublie pas ce que nous avions convenu.
Elle baisait contre rétribution, ça aurait pu être le cas, ou je me trompais et elle aimait les hommes, mais elle acceptait volontiers des petits cadeaux genre bagues ou colliers que je lui voyais porter les jours suivants pour rapidement les remplacer par ceux que lui offrait le nouvel amant.
Sa pratique sexuelle était sans tabou et rapidement, il m’a semblé qu’il y avait une surenchère entre nous.
M’en ouvrant à Véronique, elle aussi l’entendait se faire prendre et en tirait des jouissances très fortes quand entendant la fin des ébats de notre voisine à notre tour nous exprimions notre plaisir dans des parties de jambes en l’air qui nous laissait pantelants quand nous nous endormions.
Un jour plus rien, le nom sur la boîte aux lettres avait disparu et elle aussi, la personne qui s’occupait du nettoyage m’apprenait qu’elle avait déménagé et que l’appartement était de nouveau libre.
Nos ébats manquaient de sel à partir de ce moment, même si nous continuions à baiser sans aucun tabou.
J’avais du mal à m’endormir espérant que de nouveaux voisins nous procureraient ce piment qui nous manquait, mais je devais me rendre à l’évidence, il y avait bien quelqu’un qui faisait du bruit dans la journée, mais qui dormait émettant un simple ronflement la nuit.
La grand-mère qui m’a salué un matin était loin du temps ou elle acceptait de recevoir des amants et des bites du haut de ses 80 ans.
À ce moment, nous étions Pacsé, je savais qu’elle espérait que je lui offre une bague, pour faire comme tout le monde, je lui ai demandé sa main et je l’ai épousé.
C’est ainsi que nous nous retrouvons sur cette île, sur cette plage à faire l’amour.
Je venais de m’asseoir sur le sable, ma femme venant s’empaler sur ma verge dans la même position, mais face à moi quand je m’aperçois qu’à quelques mètres de nous un couple faisait comme nous, mais le faisait sur une des chaises longues mises à notre disposition.
• Vous aimez faire l’amour aux claires de lune.
C’est par cette simple phrase qu’entre nous tout a commencé.
Véronique chantait son plaisir en simultanéité avec la femme sur le transat.
• Et mec, ta femme a une jouissance que j’apprécie, elle serait capable de venir sur ma bite.
• Nous sommes jeunes mariés.
• Nous nous fêtons nos dix ans, dix ans de libertinage commencé sur cette plage avec nos voisins de bungalow comme vous aujourd’hui.
• L’échangisme nous est inconnu.
• Comme nous, il y a dix ans, nous avions les mêmes préjugés, mais depuis nous aimons nous regarder nous faire baiser par d’autres.
• Vous vous appelez comment ?
• Louis et ma femme Sandrine et toi.
• Ma femme s’appelle Véronique et moi Valérian
En me tutoyant et en me donnant leur nom, il s’avance vers nous entièrement nu la queue encore légèrement bandée.
• Véronique veux-tu me sucer ?
• Oui, pourquoi pas si Valérian me donne son accord ?
C’est la première fois de la soirée que ma femme ouvre la bouche et la verge qui entre dans sa cavité buccale me montre qu’elle est plus vicieuse que moi, ce qui est le plus étrange, c’est que c’est moi qui lui donne mon accord.
Sandrine rejoint son mari et s’agenouille à ma hauteur pour me caresser la verge que ma femme a laissé tomber pour s’occuper de celle de nos nouveaux amis.
Je suis si fasciné par ce que je vois que j’oublie d’en bander malgré la femme qui s’active pour me faire tendre le bras.
Comprenant ma fascination elle s’assoit comme moi et regarde Véronique qui s’allonge de nouveau sur le sable pour recevoir Louis en elle.
Que lui arrive-t-il, comment a-t-elle pu passer d’amante à libertine et moi à candaulisme, les regardant sans ne rien dire ?
À partir de ce moment quand Lucien lui remplit la chatte, je me mets à bander et je peux de nouveau la prendre me laissant glisser sur elle, son amant s’étant retiré.
Je suis en forme comme je le faisais avant que ce couple vienne nous parler de leur pratique du libertinage.
Je suis en train de limer ma femme quand je sens une langue s’insinuer dans ma rosette.
Julien est couché près de Véronique et lui caresse le visage, c’est donc Sandrine qui me fait une feuille de rose, il se lève vient derrière moi et je m’aperçois qu’il vient m’enculer.
Le soleil du jour nous trouve allongés, mélangés bras et jambes après cette nuit de débauche.
Je prends conscience qu’après les semaines où j’ai aimé entendre notre voisine faire l’amour en se faisant enfiler de manière toujours évolutive au gré de ses amants, sur cette plage une nouvelle étape de ma vie vient de commencer.
Présentement, Véronique s’étire montrant au soleil sa poitrine très rebondie, du moins plus que celle de Sandrine, même si elle doit mettre de grands bonnets.
Véronique me surprend, car c’est elle qui lui prend la main et qui la porte sur son sein droit alors qu’elle-même saisit entre son pouce et son index la pointe en forme de fraise de notre nouvelle amie.
Mon sexe à cette vision reste flasque, mais, c’est dans mon cerveau que je bande surtout au moment où Sandrine avance sa bouche et qu’elle trouve celle de sa nouvelle amie.
J’aurais mauvaise grâce de faire une remarque moi, qui je suis obligé de reconnaître, dans la nuit a subi ma première sodomie et que j’ai beaucoup appréciée.
J’ignorais que ma femme avait des instincts échangistes et lesbiens, sur cette place, je me rends compte que celle qui partage ma vie et que je viens d’épouser est une presque inconnue pour moi comme je le suis moi-même pour moi.
Il aurait été incongru phallocrate comme je le suis, à l’extrême de lui demander si ma bite lui suffisait et si au cours de sa vie elle avait déjà brouté des chattes.
Pourtant, c’est ce qu’elle s’apprête à faire quand venant dans la fourche de Sandrine de façon autoritaire elle lui écarte les cuisses pour venir plonger sa figure au centre de son intimité.
À partir de cet instant, j’entends les lapements sans les voir et en fermant les yeux, je retrouve nos nuits où nous écoutions la voisine faire l’amour avant qu’ils soient remplacés par les ronflements de la vieille dame qui a emménagé à sa place.
Lucien semble être un homme qui a des ressources sexuelles importantes malgré la nuit qu’il a passée à baiser sa femme puis ma femme et mon anus, il bande de nouveau et s’approche de Véronique qui s’est placée à quatre pattes, il semble qu’à l’endroit où il se place, il vise son anus.
Elle relève la tête me regardant, toujours assise, la regardante sans envie de participer.
• Valérian, je sens son gland sur mon petit trou, je peux me faire enculer.
Ma réponse est surprenante,
• Oui, mon cœur éclate-toi, j’aime te regarder te faire faire l’amour.
Ma réponse doit la satisfaire, car elle retourne à son labeur permettant à celle qui par cette action devient sa maîtresse de commencer à jouir son clito étant stimulée à son maximum par cette langue qui hier tournait sur ma langue pour mon seul plaisir.
Dans le même temps, un grognement parvient à mes oreilles quand la verge de Lucien l’empale.
Voir ces trois personnes se donner du plaisir alors qu’il y a vingt-quatre heures nous étions un couple très soudé avant de rencontrer nos amis m’apporte une paix intérieure.
Que m’arrive-t-il, moi qui étais un chaud lapin, je suis statique à regarder ma femme être de plus en plus une salope sans pouvoir la baiser hormis le moment où la verge de son amant a déversé en elle son sperme.
• Ce soir, nous vous emmenons dans un restaurant appelé « l’Ambigu », vous verrez nous allons nous éclater la cuisine est divine.
Venez allons déjeuner et nous coucher au soleil pour être en forme ce soir.
Le soir, tenue légère et très sexy pour les femmes, sport pour nous.
J’aurais dû m’en douter, certes, nous pouvons manger, mais c’est un prétexte à nous faire venir dans une boîte échangiste.
Dès que nous entrons, Sandrine est accostée par un grand black qui semble la connaître et bien la connaître quand il lui caresse l’un de ses seins à travers le tee-shirt qui le protège.
• Je te présente mon amie Véronique, je crois que vous allez bien vous entendre, je suis sûr qu’elle va apprécier ton gros bâton.
• Venez Véronique allons-nous baigner la piscine est très agréable.
C’est nu tous les deux que je vois ma femme le suivre et entré dans l’eau.
Je me surprends à les suivre et dans la piscine, je m’assieds sur un banc immergé et d’où, j’ai une vision complète sur la belle garce que j’ai épousé qui monte et descend s’enfilant sur cette grosse bite noire plantée dans sa chatte qui semble la recevoir sans aucun problème.
Un baiser par cet homme quand il lui a rempli le vagin et je peux m’approcher pour moi aussi enfin bander et la prendre comme une bête dans de grands élans au fond de son vagin.
Nous avons passé tous les jours suivants entre nos bungalows et cette boîte, Véronique a fait le plein d’amant surtout quand ils étaient bien montés comme le beau noir du premier soir.
Pour ma part, je regarde et je la baise, jusqu’au moment où nous retournons à Paris, mais en changeant rapidement de logement, car Sandrine et Lucien tiennent à avoir leurs nouveaux amis à portée de main, mais aussi de sexes.
Un appartement était libre et comme il est plus près de mon travail nous avons emménagé.
Par eux, nous avons appris à connaître les principaux clubs échangistes de Paris et je m’éclate à voir Véronique faire l’amour avec d’autres, mais chaque fois elle me fait comprendre avec qui elle va baiser, je donne mon accord, c’est cela l’amour.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Exact, une fois erreur de prénom, je l'ai déjà dit, c'est souvent que des erreurs ce fond dans les prénoms, même en faisant attention.
Ce qui est bien, cher lecteur, c'est que vous suivez bien l'histoire...
Ce qui est bien, cher lecteur, c'est que vous suivez bien l'histoire...
le temps d'une pipe Louis devient Lucien !!!!!