COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. La cave mystérieuse (10/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. La cave mystérieuse (10/14)
Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.
• Je suis votre Maître, Anne et Océane.
• Oui, Maître Christian.
C’est mon leitmotiv depuis que j’ai rencontré Christian et aussi Océane, après mon désert sexuel dû à l’impuissance de mon mari.
Océane, fille de Marie-Galante, île voisine de la Guadeloupe, qu’elle semble avoir fui à cause d’un beau-père blanc, dans cette famille black, pour ne pas dire noire.
Elle m’a avoué avoir été obligée de sucer cet homme, en l’absence de sa maman.
Je pense qu’elle l’a tué quand il a voulu la sodomiser !
• Tu as compris, je lui ai jeté la poêle pleine d’huile que j’étais entrain de faire chauffer pour faire cuire des beignets à la banane.
Ici vous les faites à la pomme, chez nous les bananes sont dans de nombreux plats.
Si je veux augmenter la surface de ma cuisine, c’est principalement pour concevoir une gamme de produits des îles, à base de ce fruit poussant en régime.
J’aurais dit que la banane était un agrume, mais quelques fois je suis un peu ignorante.
• Est-il mort ?
• Je l’ai cru, non, il était seulement brûlé au deuxième degré et il a perdu un œil. Regarde, j’ai reçu moi-même des gouttes, j’ai des marques sur le bras qui avait saisi la poêle.
Elle me montre trois petites brûlures sur son bras gauche.
• Je lui avais tapé sur la tête, il est tombé, je l’ai cru mort, il ne bougeait plus, j’ai remonté ma culotte, j’ai pris peur, j’ai mis des affaires dans un sac.
En passant, j’ai ramassé ce cadre avec cette photo et je suis partie vers l’embarcadère.
À part ma sœur avec qui j’ai des contacts par téléphone, c’est la seule chose qui me reste d’eux, même si je dois voir ce salopard.
• Découpe la photo et sa gueule de salopard, ça te fera moins mal en la regardant, donne-moi des ciseaux.
Je le fais et je remets tout en place, elle semble soulagée.
J’ai coupé à la base du cou comme si je l’avais passé sous la lame de la veuve, guillotine pendant la guerre.
• Tu disais avoir été vers l’embarcadère !
• Aucun bateau pour la Guadeloupe, j’avais un copain pécheur, il était là et m’a fait traverser, je dois reconnaître que j’ai été à deux doigts de me donner à lui. Il a refusé m’apprenant qu’il était amoureux de Naïma ma copine d’enfance sans que je le sache, c’était tout frais.
• Comment es-tu venue en France ?
• Je t’ai dit que j’avais dix-sept ans quand mon beau-père s’est servi de ma bouche comme réceptacle à sa semence.
Ça a duré presque un an avant qu’il veuille me sodomiser, j’avais emporté mon livret de caisse d’épargne, par chance, j’avais travaillé pendant plusieurs vacances et je pouvais me payer un billet d’avion.
• Mais, tu n’avais pas dix-huit ans pour retirer cet argent.
• Exact, par chance, j’en ai tout de même dans ma vie et t’avoir rencontré en est une.
Il fallait que j’attende huit jours, temps d’attente pour mes dix-huit ans y compris pour partir sur un vol, ils sont pleins des semaines à l’avance.
• Et tu es arrivée à Paris !
• C’est ça, je me suis renseignée pour devenir cuisinière, c’est là que j’ai connu le CIFA et que j’ai obtenu mes diplômes, qu’ils en soient remerciés.
• Tu m’as dit que tu étais en contact avec ta famille par l’intermédiaire de ta sœur.
Ton beau-père s’est calmé ?
• Pas du tout, elle sent qu’il se rapproche de plus en plus d’elle, elle veut me rejoindre.
• Pourquoi ne l’aides-tu pas à venir ici ?
• À cause de maman, bien que je n’arrive pas à comprendre qu’elle semble fermer les yeux.
Après mon départ Orlane, c’est ma sœur, m’a dit qu’elle avait défendu notre beau-père.
C’était certainement moi qui l’avais allumé avec mes robes trop courtes.
Mais surtout il reste un dernier problème, Mérédith, notre cousin, elle est d’accord de partir s’il part avec elle.
Comment cela va-t-il se passer pour lui si je les fais venir en France ?
• J’ai peut-être une idée, je t’en dirais davantage plus tard.
• Je viens avec toi, notre Maître m’a téléphoné avant ton arrivée, il souhaite que je dîne avec vous ce soir.
J’ai préparé quatre portions de poulet de Bresse aux chanterelles du Morvan et aux morilles de Haute-Savoie.
Je suis en contact avec un gars s’appelant Nicolas qui connaît les coins dans le massif des Bauges où pousse ce genre de produit.
Il sera accompagné d’un gratin de courgettes avec des lamelles de betteraves rouges.
C’est un des plats de ma composition qui fait fureur, mais tu verras cela ce soir.
Si Christian l’a appelé, ça sent bon pour l’idée que je me fais de la suite des événements.
Nous quittons l’appartement au-dessus du laboratoire, après qu’elle m’ait sorti les plans qui lui ont été fournis quand elle s’est installée.
Je peux ainsi mesurer la surface à peindre pour mon copain.
Il ne me reste plus qu’à trouver des idées pour couvrir harmonieusement cette surface.
Pendant qu’elle vérifie si tout est bien fermé, je téléphone à Renaud, il est près de la piscine, il se pavane dans un transat, il m’assure qu’il sirote un jus de fruits.
Le connaissant, il y aurait un peu de rhume pour relever le goût de son jus d’orange, ça ne m’étonnerait pas.
Il comprend ce que je propose et est d’accord qu’après le repas, il m’aide dans un scénario que j’envisage pour pimenter la soirée et les confidences de notre Maître.
Nous les retrouvons comme Renaud me l’a dit près de la piscine, mais à cette époque, le soleil se cache et le fond de l’air se rafraichit.
Les deux hommes se pavanent, je prends le verre de mon homme et j’en bois une gorgée.
• Eh oui, du jus d’orange, rien que du jus d’orange, Christian espère que tu lui donnes le feu vert pour s'occuper de sa chérie, il tient à rester sobre.
Il m'a dit ça, Christian ayant pris le chemin de la maison où se trouve Océane qui prépare le repas qu’elle a concocté.
Je rappelle que nous servons de cobayes pour les futurs clients.
Quand nous entrons dans la salle, la table est mise, je vais dans la chambre me mettre à l’aise et faire quelques ablutions.
Océane me rejoint, c’est nu que nous rejoignons les hommes.
Ils étaient en maillot de bain, ils les ont enlevés et nous montrent leur anatomie, encore pendante pour tous les deux.
Le repas se déroule simplement, les hommes nous regardent avec envie, ils doivent nous comparer : moi laiteuse et des rondeurs d'une femme mure, elle, jeune black, toute fine avec des seins à peine formés.
Repas fin, Océane fait un sans faute.
Surtout son gratin qui est un pur délice car avoir pensé à mélanger les pommes de terre salées avec le sucré de la betterave, c’est digne des plus grands étoilés.
Je fais signe à Renaud qui comprend ce que j’attends de lui.
Je prends Océane, lui passant mon bras autour de sa taille, nous retournons les trois dans la chambre.
• Christian mets toi dans ton fauteuil, nous revenons dans cinq minutes.
Christian se dirige vers ce fauteuil où hier je lui servais de repose-pied.
Au passage, il prend deux verres sur la table et la bouteille de blanc que nous avions pour manger le saumon fumé et s’installe.
Certes après le repas, le niveau est bas, mais Renaud m’avait dit qu’ils voulaient rester sobres.
Dans la chambre en cinq minutes nous sommes prêts, nous rejoignons le salon, mais avant de rentrer, Océane et moi nous nous mettons à quatre pattes.
Nous faisons notre entrée, chacune de nous avons un collier à chien autour de nos cous : bleu pour moi, jaune pour elle avec les laisses de même couleur que Renaud tient d’un main, dans l’autre, il a une cravache.
Océane, quand elle comprend ce que j’ai eu comme idée et que j’ai pu réaliser en allant dans le sex-shop, se met à jouer le jeu.
• Avancez mes chiennes, au pas, sinon vous allez tâter de ma cravache.
En disant cela, il single les fesses de ma voisine qui émet un léger cri.
Le coup suivant est pour moi alors que nous arrivons près de Christian qui applaudit.
• Maître, je vous amène vos chiennes, vous ferez attention, votre "labrador chocolat" est en chaleur, j’ai du mal à la tenir.
Je suis contente de notre effet, je vois que notre Maître apprécie.
Son sexe ne peut pas cacher son émotion.
Il n’est plus trop pendant, alors que celui de mon homme semble toujours aussi mort.
J’espère bien que lors de l’inauguration des gîtes avec les quatre couples invités, nous serons là et que nous viendrons vers eux dans cet attelage.
J’ai même déjà des idées pour améliorer l’effet que nous produirons.
• Mes toutous, aux pieds.
Écoutez, soyez de gentilles chiennes, sinon je demande à mon maître-chien de vous tanner le cuir.
Je sens que Christian entre dans son rôle, avec ses clients, notre entrée sera parfaite et lancera la première soirée, des libertins et nous étant à leurs dispositions.
• Reprenons l’histoire de ma famille.
Où en étais-je, à oui, grand-père Hugo devenait de plus en plus violent avec grand-mère Patty, les coups tombaient, c’était incroyable.
À ce qu’elle a eu le courage de me dire, elle a fini par aimer cela.
Alors, sans qu’elle sache pourquoi, il a vidé la cave, pas celle que je vous ai fait visiter et ou ses bouteilles de vin étaient entreposées, mais celle où en ce temps-là, il y avait les tonneaux de vin de l’année.
Ses ouvriers descendaient les tonneaux avec des cordes, je vous ferai voir les anneaux dans lesquels les cordages passaient.
C’était très dangereux, c’est pourquoi ils ne s'en servent plus au profit du nouveau chais qu’il avait fait construire.
Elle avait interdiction de descendre par l’escalier intérieur que je vous ferai voir.
Il est placé dans la tour, il permettra à mes invités d’atteindre la cave sans se mouiller en cas de pluie.
Il a sorti les derniers tonneaux et s’est mis à travailler, il descendait tout un tas de matériels et d’objets qu’il fabriquaient dans son atelier.
C’est ateliers par la suite, avant sa mort, mon père l’a complété avec les garages et l’étage.
• Mais que faisait-il dans cette cave ?
• Il est temps de vous dire la vérité, cette cave, il en avait fait une salle de torture.
• De torture, mais c’était un malade !
• Si le sadisme est une maladie, mon père, après la mort de grand-père, était un sadique envers maman qu’il avait connue lors d’une visite qu’elle avait faite dans la région et dans le chaix où il l’avait rencontré.
C’est une autre partie de l’histoire.
Si mon père était un sadique, je m’apprête à l’être aussi car je vais remettre en service les réalisations de mon grand-père.
Ce récit ne me laisse pas insensible, je sens une humidité entre mes cuisses.
Je regarde Océane qui pourrait être apeurée d’apprendre que celui qu’elle aime va la conduire vers des jeux qui peuvent être extrême pour cette jeune vierge.
Elle me regarde, elle aussi, elle tremble un peu, mais a aussi le regard d’une femme amoureuse.
Ce qu’elle a vécu dans ses îles avec son beau-père, l’aurait peut-être prédestiné à être une femme soumise.
Dans ce manoir, qui peut devenir le sien, elle sera servie après les révélations de notre Maître…
• Je suis votre Maître, Anne et Océane.
• Oui, Maître Christian.
C’est mon leitmotiv depuis que j’ai rencontré Christian et aussi Océane, après mon désert sexuel dû à l’impuissance de mon mari.
Océane, fille de Marie-Galante, île voisine de la Guadeloupe, qu’elle semble avoir fui à cause d’un beau-père blanc, dans cette famille black, pour ne pas dire noire.
Elle m’a avoué avoir été obligée de sucer cet homme, en l’absence de sa maman.
Je pense qu’elle l’a tué quand il a voulu la sodomiser !
• Tu as compris, je lui ai jeté la poêle pleine d’huile que j’étais entrain de faire chauffer pour faire cuire des beignets à la banane.
Ici vous les faites à la pomme, chez nous les bananes sont dans de nombreux plats.
Si je veux augmenter la surface de ma cuisine, c’est principalement pour concevoir une gamme de produits des îles, à base de ce fruit poussant en régime.
J’aurais dit que la banane était un agrume, mais quelques fois je suis un peu ignorante.
• Est-il mort ?
• Je l’ai cru, non, il était seulement brûlé au deuxième degré et il a perdu un œil. Regarde, j’ai reçu moi-même des gouttes, j’ai des marques sur le bras qui avait saisi la poêle.
Elle me montre trois petites brûlures sur son bras gauche.
• Je lui avais tapé sur la tête, il est tombé, je l’ai cru mort, il ne bougeait plus, j’ai remonté ma culotte, j’ai pris peur, j’ai mis des affaires dans un sac.
En passant, j’ai ramassé ce cadre avec cette photo et je suis partie vers l’embarcadère.
À part ma sœur avec qui j’ai des contacts par téléphone, c’est la seule chose qui me reste d’eux, même si je dois voir ce salopard.
• Découpe la photo et sa gueule de salopard, ça te fera moins mal en la regardant, donne-moi des ciseaux.
Je le fais et je remets tout en place, elle semble soulagée.
J’ai coupé à la base du cou comme si je l’avais passé sous la lame de la veuve, guillotine pendant la guerre.
• Tu disais avoir été vers l’embarcadère !
• Aucun bateau pour la Guadeloupe, j’avais un copain pécheur, il était là et m’a fait traverser, je dois reconnaître que j’ai été à deux doigts de me donner à lui. Il a refusé m’apprenant qu’il était amoureux de Naïma ma copine d’enfance sans que je le sache, c’était tout frais.
• Comment es-tu venue en France ?
• Je t’ai dit que j’avais dix-sept ans quand mon beau-père s’est servi de ma bouche comme réceptacle à sa semence.
Ça a duré presque un an avant qu’il veuille me sodomiser, j’avais emporté mon livret de caisse d’épargne, par chance, j’avais travaillé pendant plusieurs vacances et je pouvais me payer un billet d’avion.
• Mais, tu n’avais pas dix-huit ans pour retirer cet argent.
• Exact, par chance, j’en ai tout de même dans ma vie et t’avoir rencontré en est une.
Il fallait que j’attende huit jours, temps d’attente pour mes dix-huit ans y compris pour partir sur un vol, ils sont pleins des semaines à l’avance.
• Et tu es arrivée à Paris !
• C’est ça, je me suis renseignée pour devenir cuisinière, c’est là que j’ai connu le CIFA et que j’ai obtenu mes diplômes, qu’ils en soient remerciés.
• Tu m’as dit que tu étais en contact avec ta famille par l’intermédiaire de ta sœur.
Ton beau-père s’est calmé ?
• Pas du tout, elle sent qu’il se rapproche de plus en plus d’elle, elle veut me rejoindre.
• Pourquoi ne l’aides-tu pas à venir ici ?
• À cause de maman, bien que je n’arrive pas à comprendre qu’elle semble fermer les yeux.
Après mon départ Orlane, c’est ma sœur, m’a dit qu’elle avait défendu notre beau-père.
C’était certainement moi qui l’avais allumé avec mes robes trop courtes.
Mais surtout il reste un dernier problème, Mérédith, notre cousin, elle est d’accord de partir s’il part avec elle.
Comment cela va-t-il se passer pour lui si je les fais venir en France ?
• J’ai peut-être une idée, je t’en dirais davantage plus tard.
• Je viens avec toi, notre Maître m’a téléphoné avant ton arrivée, il souhaite que je dîne avec vous ce soir.
J’ai préparé quatre portions de poulet de Bresse aux chanterelles du Morvan et aux morilles de Haute-Savoie.
Je suis en contact avec un gars s’appelant Nicolas qui connaît les coins dans le massif des Bauges où pousse ce genre de produit.
Il sera accompagné d’un gratin de courgettes avec des lamelles de betteraves rouges.
C’est un des plats de ma composition qui fait fureur, mais tu verras cela ce soir.
Si Christian l’a appelé, ça sent bon pour l’idée que je me fais de la suite des événements.
Nous quittons l’appartement au-dessus du laboratoire, après qu’elle m’ait sorti les plans qui lui ont été fournis quand elle s’est installée.
Je peux ainsi mesurer la surface à peindre pour mon copain.
Il ne me reste plus qu’à trouver des idées pour couvrir harmonieusement cette surface.
Pendant qu’elle vérifie si tout est bien fermé, je téléphone à Renaud, il est près de la piscine, il se pavane dans un transat, il m’assure qu’il sirote un jus de fruits.
Le connaissant, il y aurait un peu de rhume pour relever le goût de son jus d’orange, ça ne m’étonnerait pas.
Il comprend ce que je propose et est d’accord qu’après le repas, il m’aide dans un scénario que j’envisage pour pimenter la soirée et les confidences de notre Maître.
Nous les retrouvons comme Renaud me l’a dit près de la piscine, mais à cette époque, le soleil se cache et le fond de l’air se rafraichit.
Les deux hommes se pavanent, je prends le verre de mon homme et j’en bois une gorgée.
• Eh oui, du jus d’orange, rien que du jus d’orange, Christian espère que tu lui donnes le feu vert pour s'occuper de sa chérie, il tient à rester sobre.
Il m'a dit ça, Christian ayant pris le chemin de la maison où se trouve Océane qui prépare le repas qu’elle a concocté.
Je rappelle que nous servons de cobayes pour les futurs clients.
Quand nous entrons dans la salle, la table est mise, je vais dans la chambre me mettre à l’aise et faire quelques ablutions.
Océane me rejoint, c’est nu que nous rejoignons les hommes.
Ils étaient en maillot de bain, ils les ont enlevés et nous montrent leur anatomie, encore pendante pour tous les deux.
Le repas se déroule simplement, les hommes nous regardent avec envie, ils doivent nous comparer : moi laiteuse et des rondeurs d'une femme mure, elle, jeune black, toute fine avec des seins à peine formés.
Repas fin, Océane fait un sans faute.
Surtout son gratin qui est un pur délice car avoir pensé à mélanger les pommes de terre salées avec le sucré de la betterave, c’est digne des plus grands étoilés.
Je fais signe à Renaud qui comprend ce que j’attends de lui.
Je prends Océane, lui passant mon bras autour de sa taille, nous retournons les trois dans la chambre.
• Christian mets toi dans ton fauteuil, nous revenons dans cinq minutes.
Christian se dirige vers ce fauteuil où hier je lui servais de repose-pied.
Au passage, il prend deux verres sur la table et la bouteille de blanc que nous avions pour manger le saumon fumé et s’installe.
Certes après le repas, le niveau est bas, mais Renaud m’avait dit qu’ils voulaient rester sobres.
Dans la chambre en cinq minutes nous sommes prêts, nous rejoignons le salon, mais avant de rentrer, Océane et moi nous nous mettons à quatre pattes.
Nous faisons notre entrée, chacune de nous avons un collier à chien autour de nos cous : bleu pour moi, jaune pour elle avec les laisses de même couleur que Renaud tient d’un main, dans l’autre, il a une cravache.
Océane, quand elle comprend ce que j’ai eu comme idée et que j’ai pu réaliser en allant dans le sex-shop, se met à jouer le jeu.
• Avancez mes chiennes, au pas, sinon vous allez tâter de ma cravache.
En disant cela, il single les fesses de ma voisine qui émet un léger cri.
Le coup suivant est pour moi alors que nous arrivons près de Christian qui applaudit.
• Maître, je vous amène vos chiennes, vous ferez attention, votre "labrador chocolat" est en chaleur, j’ai du mal à la tenir.
Je suis contente de notre effet, je vois que notre Maître apprécie.
Son sexe ne peut pas cacher son émotion.
Il n’est plus trop pendant, alors que celui de mon homme semble toujours aussi mort.
J’espère bien que lors de l’inauguration des gîtes avec les quatre couples invités, nous serons là et que nous viendrons vers eux dans cet attelage.
J’ai même déjà des idées pour améliorer l’effet que nous produirons.
• Mes toutous, aux pieds.
Écoutez, soyez de gentilles chiennes, sinon je demande à mon maître-chien de vous tanner le cuir.
Je sens que Christian entre dans son rôle, avec ses clients, notre entrée sera parfaite et lancera la première soirée, des libertins et nous étant à leurs dispositions.
• Reprenons l’histoire de ma famille.
Où en étais-je, à oui, grand-père Hugo devenait de plus en plus violent avec grand-mère Patty, les coups tombaient, c’était incroyable.
À ce qu’elle a eu le courage de me dire, elle a fini par aimer cela.
Alors, sans qu’elle sache pourquoi, il a vidé la cave, pas celle que je vous ai fait visiter et ou ses bouteilles de vin étaient entreposées, mais celle où en ce temps-là, il y avait les tonneaux de vin de l’année.
Ses ouvriers descendaient les tonneaux avec des cordes, je vous ferai voir les anneaux dans lesquels les cordages passaient.
C’était très dangereux, c’est pourquoi ils ne s'en servent plus au profit du nouveau chais qu’il avait fait construire.
Elle avait interdiction de descendre par l’escalier intérieur que je vous ferai voir.
Il est placé dans la tour, il permettra à mes invités d’atteindre la cave sans se mouiller en cas de pluie.
Il a sorti les derniers tonneaux et s’est mis à travailler, il descendait tout un tas de matériels et d’objets qu’il fabriquaient dans son atelier.
C’est ateliers par la suite, avant sa mort, mon père l’a complété avec les garages et l’étage.
• Mais que faisait-il dans cette cave ?
• Il est temps de vous dire la vérité, cette cave, il en avait fait une salle de torture.
• De torture, mais c’était un malade !
• Si le sadisme est une maladie, mon père, après la mort de grand-père, était un sadique envers maman qu’il avait connue lors d’une visite qu’elle avait faite dans la région et dans le chaix où il l’avait rencontré.
C’est une autre partie de l’histoire.
Si mon père était un sadique, je m’apprête à l’être aussi car je vais remettre en service les réalisations de mon grand-père.
Ce récit ne me laisse pas insensible, je sens une humidité entre mes cuisses.
Je regarde Océane qui pourrait être apeurée d’apprendre que celui qu’elle aime va la conduire vers des jeux qui peuvent être extrême pour cette jeune vierge.
Elle me regarde, elle aussi, elle tremble un peu, mais a aussi le regard d’une femme amoureuse.
Ce qu’elle a vécu dans ses îles avec son beau-père, l’aurait peut-être prédestiné à être une femme soumise.
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