COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Mon chef de chantier (12/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION CANDAULISME. Différence d’âge. Mon chef de chantier (12/14)
Deuxième histoire écrite avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.
• Je suis votre Maître, Anne et Océane.
• Oui, Maître Christian.
Cette phrase, mon amant aurait pu la dire, mais il a dit « au pieu ».
J’ignore encore ce qu’il y a dans la cave, je devrai patienter.
Mais je vais pouvoir l’apprendre par mon mari, notre Maître souhaite se servir de lui comme bras droit.
Ce que mon Maître n’a pas compris c’est qu’il vient de me faire un immense plaisir. J’avais peur que l’ouverture de son gîte échangiste ne se fasse sans moi, or je serai présente, super !
Je dis échangiste, je devrais dire sadomasochiste après que notre Maître nous eut avoué qu’elle recelait des trésors.
J’ai tout de même un certain doute.
Pourquoi faire mystère de ce qui se trouve dans sa cave, contient-elle des choses terrible ?
• Océane, vient dormir à mes côtés.
• Maître me permettez-vous de prendre la parole ?
• Je vais te faire voir que je sais mettre en pratique les leçons que je t’ai inculquées. Parle sans crainte, de toute façon mon maître-chien a laissé sa cravache dans le salon.
• Si vous prenez Océane près de vous, je risque de dormir et ne pas entendre si vous êtes assez malin pour à la dépucelez.
• Attendre, n’est-ce pas une forme de sadisme ?
Alors voilà comment je suggère que nous nous couchions : Renaud, Océane, moi et vous Maître.
• Tu as raison Anne, c’est du pur sadisme, dormir à moins d’un mètre de celle qui sait que je l’aime et ne rien pouvoir faire, tu es dure.
Nous nous glissons sous un drap, il fait encore frais et la maison n’est pas chauffée, pendant tout le temps des travaux au-dessus de nos têtes.
Le noir n’est pas complet, Christian se servant d’un radio-réveil permettant d’avoir une lueur verte.
Excusez, je sens que mes paupières sont lourdes, dodo à demain.
Un bruit me réveille, est-ce déjà demain ?
Non, je vois l’heure par-dessus l’épaule de Christian, 3 heures 10, une main se glisse entre mes cuisses, il n’en faut pas plus pour que je mouille.
Qui d’Océane ou de Christian cherche son chemin dans ma minette ?
Si c’est Océane, bien que je sois un peu résistante aux plaisirs saphiques, c’est bien agréable.
Rapidement je comprends que Christian a envie de moi.
Il disparaît sous les draps, j’écarte mes jambes sans toucher celles d’Océane, inutile de la réveiller, je risque de ne pas maîtriser la situation.
La bouche de mon Maître vient s’occuper de mon clitoris, je sens qu’il écarte mes grandes lèvres avec deux doigts.
Mon clitoris est petit mais très dur.
Il tourne autour de lui.
Je mouille de plus en plus et commence à bouger mon bassin.
Je commence à jouir, je serre les dents, là encore ce très bon cunnilingus risque de réveiller les autres dormeurs, quand je vois Océane, du moins ses yeux, me regarder.
Elle commence à se tord elle aussi, prenant moins de précautions que moi.
Nous avons un orgasme fulgurant toutes les deux.
Je descends ma main vers sa fourche, en même temps qu’il me lèche la chatte, notre Maître a son pouce sur son clitoris le faisant tourner ce qui a déclenché sa jouissance.
Arrêter le plaisir d’Océane pourrait être traumatisante, du moment où il n’attaque pas son hymen, je tolère ce jeu de doigt.
Surtout que, satisfait de son travail buccal, il remonte jusqu’à moi et me plante divinement.
Il me laboure dans la position du missionnaire.
Je sens une main venir entre nous, le doigt qu’Océane se place sur mon bouton, me faisant démarrer, je jouis, je hurle de plaisir.
• On ne va pas pouvoir dormir tranquille dans cette chambre, je vais aller coucher dans le salon.
Je reconnais bien là le mauvais caractère de mon mari, lui qui était prompt de venir me prendre une à deux fois dans la nuit du temps de sa splendeur.
Christian que je n’ai pas besoin d’appeler Maître dans la nuit lui aussi hurle son plaisir quand il me remplit par de grandes giclées qui arrosent mon utérus.
C’est le moment que devait attendre le premier orage de la saison pour faire éclater éclair et tonnerre s’abattant non loin du manoir.
Christian vient de me quitter, le doigt sur mon clito aussi.
Malgré ma réticence aux amours féminins, j’ai bien aimé ce doigt mutin qui a décuplé mon plaisir.
Comme je suis assurée de faire l’ouverture du gîte, aurais-je le courage et surtout l’envie de sucer la chatte d’Océane, accepterais-je les plaisirs lesbiens ?
Un deuxième éclair et tonnerre frappe bien plus près.
• On fait tout pour m’emmerder et m’empêcher de dormir, voilà l’orage qui se met de la partie.
Heureusement, ce sont les deux seuls gros coups de tonnerre, l’orage devant se déplacer à grande vitesse.
Après la coupure de notre nuit, je me réveille, je suis seule, je m’étire de satisfaction, le petit coup de bite que Christian m’a mis, vidant ses couilles dans mon vagin, m’a mis en forme, ils m’ont tous quitté.
Quelle heure peut-il être ?
Je regarde le réveil, il est presque 10 heures, mince les ouvriers sont là, je les entends faire du bruit au-dessus de ma tête.
Je me lève, je m’étire comme une chatte, bien sûr j'ai quelques douleurs.
Il est vrai que je joue les jeunes, alors que j’ai tout de même bientôt 50 ans.
J’ai faim, j’enfile un peignoir, ma bonne résolution concernant les viennoiseries, c’était hier. Ce matin, je mangerais un bœuf, mais surtout je boirais bien un café.
Je rejoins la cuisine, les amis sont bien des amis, une thermos de café et des minis viennoiserie sont posées près d’une tasse.
• Pardon madame Anne, excusez-moi de venir vous déranger, vos amis ont quitté le manoir, vous laissant dormir.
Ils m’ont demandé de vous prévenir, si je vous voyais, que la jeune femme Océane je crois, vous avait emprunté votre voiture suite à un coup de fil la rappelant à son laboratoire.
Quant à votre mari et monsieur Christian, ils sont allés monter à la Roche, ils vont réserver une table à l’auberge dans le village pour votre dîner de midi.
Ils vous rejoindront vers 12 heures et vous emmèneront déjeuner.
Votre amie vous rejoindra elle aussi à cette heure.
• Très bien, je serai prête, voulez-vous un café, il en reste dans la thermos ?
• Ce n’est pas de refus, c’est rare que je me lève à 6 heures un dimanche pour venir travailler, c’est bien pour vous madame.
Je sens dans sa voix l’intonation de quelqu’un ayant un certain penchant pour celle à qui il dit ces mots.
Qui de nous deux réduit la distance !
Une fraction de seconde et nos bouches ne se soudent, la pensée que je vais tromper Renaud me vient à l’esprit, mais je la balaye.
J’ai promis d’appartenir à Maître Christian qu’en présence de Renaud.
J’ai promis que je ne serais sa soumise qu’en dehors de la présence des ouvriers.
Je suis une femme sachant prendre sa liberté surtout sexuelle quand je le désire.
Ma bouche se soude à la sienne.
C'est rapide, direct, comme l’un des coups de foudre de cette nuit.
Le baiser est profond, ses mains écartent mon peignoir lui permettant d’empommer l’un de mes seins.
Il est grand et puissant, sa main le couvre entièrement et le malaxe.
J’adore les callosités, certainement dues au travail du ciment qui le déchire.
Il frotte mes seins qui se tendent, mes tétons se gonflant montrant leur plaisir.
Nos bouches se séparent.
• Anne permets moi de t’appeler Anne, que ton corps est voluptueux.
Tu connais Aline, tu l’as vue chez moi, en venant remplir des papiers pour notre travail.
J’ai vu que vous êtes nées le même jour de la même année, toi tu es baisable, elle refuse de se peser, dire qu’elle faisait 45 kilos quand je l’ai épousée.
Il me prend dans ses bras très musclés, m’assoit sur le plan de travail et vient s’agenouiller entre mes jambes que j’écarte.
Ma chatte est à sa disposition, ses lèvres rejoignent mes lèvres vaginales.
Mince, Christian m’a baisé cette nuit et l’envie de café a été ma propriété.
Ma chatte est pleine de son sperme, bien que je me sois isolée et essuyée comme toute femme le fait.
Il est efficace, sa langue me lèche tout le long de ma minette, il relève la tête.
• Anne, je ne vais pas te cacher que j’ai eu quelques maîtresses, tu es celle qui a la chatte la plus goûteuse.
Tes lèvres sont un régale pour mes papilles.
Il y retourne, je suis à deux doigts d’éclater de rire, mais il est tellement efficace que j’arrive à refréner ce rire.
Une chose est sûre, il serait gay, il connaîtrait le gout du sperme qui tapisse mon vagin dont il semble se délecter.
Il se relève.
J’ai dit qu’il était puissant, il me fait glisser le long de son corps après avoir ouvert et baissé son pantalon.
C’est naturellement que ma chatte sent sa queue extrêmement tendue.
Je glisse ma main entre nous et me la met dans ma chatte.
Il m’appuie sur le plan où il m’avait assise et à partir de ce moment, je profite de cette queue qui entre et sort en moi.
Rapidement, j’arrive vers mon plaisir maximum, je lui reprends la bouche de peur que ses ouvriers, toujours au-dessus de moi, ne m’entendent quand j’ai un magnifique orgasme.
Son sperme rejoint celui de mon Maître.
Nous restons collés l’un à l’autre un long moment avant qu’il ne me libère, sa verge ayant débandé.
Il me repose au sol et une dernière fois il m’embrasse.
• Alors ce café, le boit-on ?
Là, nous éclatons de rire, l’ayant bu, nous nous quittons.
• Je vais aller me laver.
• Attends, nous avons coupé l’eau, elle va être remise dans cinq minutes.
Le plombier est là, il doit mettre des bouchons pleins sur les tuyauteries des salles de bains que nous devons refaire.
Nous nous séparons, il récupère deux sceaux pleins de sable dont ils doivent avoir besoin à l’étage et se dirige vers l’entrée de la tour carrée dans le fond du couloir.
Je suis dans la baignoire quelques minutes après et j’entends des marteaux d’eau, il a dû là redémarrer.
Position chaude, elle reste froide, la chaudière doit être arrêtée où s’est mise en sécurité.
Mais qu’a été faire Daniel dans la tour carré avec ses sceaux ?...
• Je suis votre Maître, Anne et Océane.
• Oui, Maître Christian.
Cette phrase, mon amant aurait pu la dire, mais il a dit « au pieu ».
J’ignore encore ce qu’il y a dans la cave, je devrai patienter.
Mais je vais pouvoir l’apprendre par mon mari, notre Maître souhaite se servir de lui comme bras droit.
Ce que mon Maître n’a pas compris c’est qu’il vient de me faire un immense plaisir. J’avais peur que l’ouverture de son gîte échangiste ne se fasse sans moi, or je serai présente, super !
Je dis échangiste, je devrais dire sadomasochiste après que notre Maître nous eut avoué qu’elle recelait des trésors.
J’ai tout de même un certain doute.
Pourquoi faire mystère de ce qui se trouve dans sa cave, contient-elle des choses terrible ?
• Océane, vient dormir à mes côtés.
• Maître me permettez-vous de prendre la parole ?
• Je vais te faire voir que je sais mettre en pratique les leçons que je t’ai inculquées. Parle sans crainte, de toute façon mon maître-chien a laissé sa cravache dans le salon.
• Si vous prenez Océane près de vous, je risque de dormir et ne pas entendre si vous êtes assez malin pour à la dépucelez.
• Attendre, n’est-ce pas une forme de sadisme ?
Alors voilà comment je suggère que nous nous couchions : Renaud, Océane, moi et vous Maître.
• Tu as raison Anne, c’est du pur sadisme, dormir à moins d’un mètre de celle qui sait que je l’aime et ne rien pouvoir faire, tu es dure.
Nous nous glissons sous un drap, il fait encore frais et la maison n’est pas chauffée, pendant tout le temps des travaux au-dessus de nos têtes.
Le noir n’est pas complet, Christian se servant d’un radio-réveil permettant d’avoir une lueur verte.
Excusez, je sens que mes paupières sont lourdes, dodo à demain.
Un bruit me réveille, est-ce déjà demain ?
Non, je vois l’heure par-dessus l’épaule de Christian, 3 heures 10, une main se glisse entre mes cuisses, il n’en faut pas plus pour que je mouille.
Qui d’Océane ou de Christian cherche son chemin dans ma minette ?
Si c’est Océane, bien que je sois un peu résistante aux plaisirs saphiques, c’est bien agréable.
Rapidement je comprends que Christian a envie de moi.
Il disparaît sous les draps, j’écarte mes jambes sans toucher celles d’Océane, inutile de la réveiller, je risque de ne pas maîtriser la situation.
La bouche de mon Maître vient s’occuper de mon clitoris, je sens qu’il écarte mes grandes lèvres avec deux doigts.
Mon clitoris est petit mais très dur.
Il tourne autour de lui.
Je mouille de plus en plus et commence à bouger mon bassin.
Je commence à jouir, je serre les dents, là encore ce très bon cunnilingus risque de réveiller les autres dormeurs, quand je vois Océane, du moins ses yeux, me regarder.
Elle commence à se tord elle aussi, prenant moins de précautions que moi.
Nous avons un orgasme fulgurant toutes les deux.
Je descends ma main vers sa fourche, en même temps qu’il me lèche la chatte, notre Maître a son pouce sur son clitoris le faisant tourner ce qui a déclenché sa jouissance.
Arrêter le plaisir d’Océane pourrait être traumatisante, du moment où il n’attaque pas son hymen, je tolère ce jeu de doigt.
Surtout que, satisfait de son travail buccal, il remonte jusqu’à moi et me plante divinement.
Il me laboure dans la position du missionnaire.
Je sens une main venir entre nous, le doigt qu’Océane se place sur mon bouton, me faisant démarrer, je jouis, je hurle de plaisir.
• On ne va pas pouvoir dormir tranquille dans cette chambre, je vais aller coucher dans le salon.
Je reconnais bien là le mauvais caractère de mon mari, lui qui était prompt de venir me prendre une à deux fois dans la nuit du temps de sa splendeur.
Christian que je n’ai pas besoin d’appeler Maître dans la nuit lui aussi hurle son plaisir quand il me remplit par de grandes giclées qui arrosent mon utérus.
C’est le moment que devait attendre le premier orage de la saison pour faire éclater éclair et tonnerre s’abattant non loin du manoir.
Christian vient de me quitter, le doigt sur mon clito aussi.
Malgré ma réticence aux amours féminins, j’ai bien aimé ce doigt mutin qui a décuplé mon plaisir.
Comme je suis assurée de faire l’ouverture du gîte, aurais-je le courage et surtout l’envie de sucer la chatte d’Océane, accepterais-je les plaisirs lesbiens ?
Un deuxième éclair et tonnerre frappe bien plus près.
• On fait tout pour m’emmerder et m’empêcher de dormir, voilà l’orage qui se met de la partie.
Heureusement, ce sont les deux seuls gros coups de tonnerre, l’orage devant se déplacer à grande vitesse.
Après la coupure de notre nuit, je me réveille, je suis seule, je m’étire de satisfaction, le petit coup de bite que Christian m’a mis, vidant ses couilles dans mon vagin, m’a mis en forme, ils m’ont tous quitté.
Quelle heure peut-il être ?
Je regarde le réveil, il est presque 10 heures, mince les ouvriers sont là, je les entends faire du bruit au-dessus de ma tête.
Je me lève, je m’étire comme une chatte, bien sûr j'ai quelques douleurs.
Il est vrai que je joue les jeunes, alors que j’ai tout de même bientôt 50 ans.
J’ai faim, j’enfile un peignoir, ma bonne résolution concernant les viennoiseries, c’était hier. Ce matin, je mangerais un bœuf, mais surtout je boirais bien un café.
Je rejoins la cuisine, les amis sont bien des amis, une thermos de café et des minis viennoiserie sont posées près d’une tasse.
• Pardon madame Anne, excusez-moi de venir vous déranger, vos amis ont quitté le manoir, vous laissant dormir.
Ils m’ont demandé de vous prévenir, si je vous voyais, que la jeune femme Océane je crois, vous avait emprunté votre voiture suite à un coup de fil la rappelant à son laboratoire.
Quant à votre mari et monsieur Christian, ils sont allés monter à la Roche, ils vont réserver une table à l’auberge dans le village pour votre dîner de midi.
Ils vous rejoindront vers 12 heures et vous emmèneront déjeuner.
Votre amie vous rejoindra elle aussi à cette heure.
• Très bien, je serai prête, voulez-vous un café, il en reste dans la thermos ?
• Ce n’est pas de refus, c’est rare que je me lève à 6 heures un dimanche pour venir travailler, c’est bien pour vous madame.
Je sens dans sa voix l’intonation de quelqu’un ayant un certain penchant pour celle à qui il dit ces mots.
Qui de nous deux réduit la distance !
Une fraction de seconde et nos bouches ne se soudent, la pensée que je vais tromper Renaud me vient à l’esprit, mais je la balaye.
J’ai promis d’appartenir à Maître Christian qu’en présence de Renaud.
J’ai promis que je ne serais sa soumise qu’en dehors de la présence des ouvriers.
Je suis une femme sachant prendre sa liberté surtout sexuelle quand je le désire.
Ma bouche se soude à la sienne.
C'est rapide, direct, comme l’un des coups de foudre de cette nuit.
Le baiser est profond, ses mains écartent mon peignoir lui permettant d’empommer l’un de mes seins.
Il est grand et puissant, sa main le couvre entièrement et le malaxe.
J’adore les callosités, certainement dues au travail du ciment qui le déchire.
Il frotte mes seins qui se tendent, mes tétons se gonflant montrant leur plaisir.
Nos bouches se séparent.
• Anne permets moi de t’appeler Anne, que ton corps est voluptueux.
Tu connais Aline, tu l’as vue chez moi, en venant remplir des papiers pour notre travail.
J’ai vu que vous êtes nées le même jour de la même année, toi tu es baisable, elle refuse de se peser, dire qu’elle faisait 45 kilos quand je l’ai épousée.
Il me prend dans ses bras très musclés, m’assoit sur le plan de travail et vient s’agenouiller entre mes jambes que j’écarte.
Ma chatte est à sa disposition, ses lèvres rejoignent mes lèvres vaginales.
Mince, Christian m’a baisé cette nuit et l’envie de café a été ma propriété.
Ma chatte est pleine de son sperme, bien que je me sois isolée et essuyée comme toute femme le fait.
Il est efficace, sa langue me lèche tout le long de ma minette, il relève la tête.
• Anne, je ne vais pas te cacher que j’ai eu quelques maîtresses, tu es celle qui a la chatte la plus goûteuse.
Tes lèvres sont un régale pour mes papilles.
Il y retourne, je suis à deux doigts d’éclater de rire, mais il est tellement efficace que j’arrive à refréner ce rire.
Une chose est sûre, il serait gay, il connaîtrait le gout du sperme qui tapisse mon vagin dont il semble se délecter.
Il se relève.
J’ai dit qu’il était puissant, il me fait glisser le long de son corps après avoir ouvert et baissé son pantalon.
C’est naturellement que ma chatte sent sa queue extrêmement tendue.
Je glisse ma main entre nous et me la met dans ma chatte.
Il m’appuie sur le plan où il m’avait assise et à partir de ce moment, je profite de cette queue qui entre et sort en moi.
Rapidement, j’arrive vers mon plaisir maximum, je lui reprends la bouche de peur que ses ouvriers, toujours au-dessus de moi, ne m’entendent quand j’ai un magnifique orgasme.
Son sperme rejoint celui de mon Maître.
Nous restons collés l’un à l’autre un long moment avant qu’il ne me libère, sa verge ayant débandé.
Il me repose au sol et une dernière fois il m’embrasse.
• Alors ce café, le boit-on ?
Là, nous éclatons de rire, l’ayant bu, nous nous quittons.
• Je vais aller me laver.
• Attends, nous avons coupé l’eau, elle va être remise dans cinq minutes.
Le plombier est là, il doit mettre des bouchons pleins sur les tuyauteries des salles de bains que nous devons refaire.
Nous nous séparons, il récupère deux sceaux pleins de sable dont ils doivent avoir besoin à l’étage et se dirige vers l’entrée de la tour carrée dans le fond du couloir.
Je suis dans la baignoire quelques minutes après et j’entends des marteaux d’eau, il a dû là redémarrer.
Position chaude, elle reste froide, la chaudière doit être arrêtée où s’est mise en sécurité.
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