COLLECTION CANDAULISME. Envie de sodomie (1/1) - histoire érotique

Je m’appelle Véronique.
Il y a vingt-deux ans que je suis mariée avec Renaud, nous avons la quarantaine tous les deux, lui, plus vieux de six mois.
Je l’ai connu le soir de notre réussite au bac, il m’a fait divinement l’amour emportant mon hymen.
Tellement divin, que je me suis retrouvée enceinte, sans problème pour autant, j’avais des parents ayant fait les barricades en mai 68, dans le temps où j’ai été moi-même conçu.
Ma fille s’est mariée, il y a quelques semaines, troisièmes d’une lignée de femmes enceintes avec leur robe blanche.
Je suis grand-mère d’une petite fille adorable, serais-je là quand elle convolera, sera-t-elle la quatrième de la lignée, le temps nous le dira si Dieu me prête vie comme l’on dit.
En attendant, je suis heureuse avec Renaud, bon revenu pour notre couple, nous avons repris l’étude notariale de mon beau-père et nous l’avons développée.
Nous avons une agence à Orléans qu’il gère et une autre à Blois que je dirige.
Au départ, je faisais les cinquante kilomètres du centre-ville d’Orléans où nous avions l’appartement de ses parents retiré à La Test sur le bassin d’Arcachon.
C’est à Beaugency au-dessus de la Loire que nous avons trouvé notre propriété, une trentaine, de kilomètres l’un pour l’autre et l’assurance d’une vie plus écologique et tranquille pour la famille.
L’étude que je gère grâce à mes deux clercs marchant très bien, il m’arrive d’aller prendre un thé dans un salon du centre de Blois.
J’y retrouve des amies et une fois par semaine, nous avons l’arrière-salle pour refaire le monde.
Les sujets que nous abordons avec ces cinq filles abordent sont souvent tournés vers le sexe et ces pratiques, jusqu’à ce jour la sodomie a toujours été taboue autour de la table.

• Les filles, qui parmi vous s’est déjà fait sodomiser ?
Vous savez ce que c’est, se faire enculer, se faire prendre le petit trou !

Celle qui vient proférer cette incongruité, c’est Paulette, la reine des paupiettes. Amicalement entre nous nous l’appelons ainsi car son mari a une boucherie.
Quand nous nous réunissons, nous repartons chacune avec notre commande que Norbert nous a préparée, carton pour une semaine.
Ce qui est drôle avec Paupiette, pardon Paulette, c’est qu’elle vient à notre thé avec la petite fourgonnette frigo, surtout l’été afin que la viande soit fraîche au moment où nous nous quittons.
C’est une petite femme un peu boulotte, mais qui a toujours le bon mot, c’est pour cela que nous l’adorons, mais là la sodomie, c’est loin d’être le sujet que j’aurais abordé.
Nous sommes loin d’être prudes, mais nous sommes réservées.
Il est vrai que nous refusons de parler de politique, les unes et les autres sommes incultes dans ce domaine.
Maman et papa enfant de mai 68 étaient cocos avant de virer de bord lorsque leurs moyens ont augmenté.
Moi, je vote comme Renaud, il faut se souvenir que je me suis mariée, Jennifer dans mon ventre et que j’ai voté pour la première fois ayant déjà la bague au doigt.
M’occupant d’un foyer, d’un bébé et continuant mes études de droit pour travailler avec mon mari, j’avais d’autres chats à fouetter.

• Vous pouvez être certaines que je vais tous vous avouer !
Lucien m’a sodomisé avant de me baiser, c’était son phantasme.
J’ai un stérilet que j’ai fait ôter chaque fois que nous avons voulu un enfant, mais mon petit trou, c’est pour son propre plaisir.

Ils ont cinq enfants, cinq garçons, il est vrai qu’ils ont deux couples de jumeaux.

• À votre air étonné, je vais finir par croire que je suis la seule à jouir par cet endroit.

Louise, sa copine crémière dans la boutique jouxtant celle de Paulette et qui elle aussi met nos commandes dans la camionnette du boucher, nous parle d’une petite voix.

• Moi aussi avec Bruno, nous pratiquons la sodomie, Paulette à raison, au début, c’était dur, maintenant il rentre comme dans du beurre.

Nous éclatons toutes de rires, crémière, beurre, l’image de Brando derrière Maria Schneider dans le dernier tango à Paris est venue à notre esprit.
Sauf Karen née avec un cerveau d’informaticienne où la succession dès 1 et des 0 le régit.
C’est elle et son mari Luc qui gèrent nos systèmes informatiques, je fais appel à elle chaque fois que dans l’une des études, il faut moderniser nos systèmes.
Cerveau super intelligent, mais obtus pour les blagues dès une ou des autres.

• J’accepte cette pratique sexuelle avec Luc, nous nous servons de Vaseline, avant et moi aussi j’arrive à jouir par mon anus.

Reste la quatrième Élodie, femme au foyer, mais aussi lesbienne depuis que son mec s’est tiré et qu’elle a rencontré Émeline, appelé Démoniaque dans la ville.
Elle tient un bar de nuit pour les femmes où toutes les gougnottes du coin viennent passer des soirées et trouver chaussures à leur pied.

• Émeline a un gode ceinture, et nous le faisons souvent.

Je suis dans la difficulté, je suis la seule à refuser de pratiquer la sodomie.
Il y a plusieurs années, je l’avais évoqué avec Renaud en regardant une émission télé qui parlait de ce sujet.
Si moi, j’ai été élevé dans les pratiques de mai 68, lui l’a été dans celui de ce que leur curé leur disait le dimanche à la messe.
Il a arrêté d’y aller, mais il est resté ferme dès le premier jour où nous avons parlé de nos envies après cette émission télé, pas de pratiques déviantes dans notre couple.

• Nous sommes un couple moderne avec Renaud, mes amies, dès le premier jour, nous l’avons pratiqué.

Je m’en sors les cuisses propres au prix d’un gros mensonge, mais qui peut aller dire à mon mari que sa femme colporte de tel propos.

De retour à Beaugency, après être repassée cinq minutes à l’étude.
Je dépose la viande et les fromages dans mon coffre, pour que toutes ces denrées évitent de souffrir de la canicule sur notre pays.
J’amène une glacière avec des pains de glaces en plastique
Je retrouve mon homme.

• Ça s’est bien passé avec tes copines, vous avez refait le monde !
• À cause de toi, j’ai été obligé de leur faire un mensonge
• Et cela t’a posé problème !
• C’était la première fois que je leur mentais, ça m’a fait tout drôle.
• Et sur quoi leur as-tu menti ?

Mince, depuis que nous sommes ensemble, j’ai toujours dit la vérité, j’en ai trop dit, il va falloir que je mente de nouveau.

• Nous avons parlé de la fidélité.
• Ton nez bouge, ma chérie, une phrase de plus et il s’allonge d’un centimètre, comme celui de Pinocchio.
Quand il sera de la taille de celui de Cyrano, tu me diras peut-être la vérité.
• Je l’avoue, nous avons parlé de la sodomie, c’est Paulette, la bouchère qui en a parlé la première.
• Dis-moi, toutes se font enculer, un jour, tu m’as bien dit qu’Élodie était lesbienne.
• Oui, et sa copine Émeline a un gode avec ceinture qu’elle lui enfile dans l’anus.
C’est un de leurs jeux favoris, elle a oublié de nous dire si l’inverse était vrai.
Je vois mal la belle se laisser défoncer la rosette !
• Démoniaque, je me souviens d’elle l’an passé quand nous étions avec Luc et Karen et que vous aviez voulu finir la soirée au bar de nuit de la copine de votre amie Élodie.
Nous étions à peine arrivés que ton amie nous présentait cette Démoniaque, tout de suite, tu as été son centre d’intérêt alors que lorsque je me suis approché d’Élodie, j’ai cru qu’elle allait m’arracher les yeux.
• Je me souviens de cette soirée, mais pourquoi cet intérêt porté à Élodie.
Dit moi mon homme au grand principe qu’un plan à trois te plairait !
• Tu divagues, j’ignore toujours pourquoi tu leur as menti.
• J’étais la seule à éviter de me faire enculer, je leur ai dit que tu avais adoré me sodomiser dès le premier soir.
• T’es une salope Véronique, ça te plairait, nous avons un bon manche à ballet.
Si tu veux, je peux te l’enfiler dans le fion, à moins que tu aies anticipé et que tu te sois acheté un gode pour te l’enfiler !
• Tu me déçois Renaud, je sais que certains blocages te viennent de ton enfance, mais de là à imaginer me faire mettre par un manche à balai, tu es ignoble.

Nous en sommes restés là, pour la première fois, nous avons joué aux culs tournés, pendant deux jours.
Nous avons de fréquents rapports, rapidement il m’a pris dans ses bras.

• C’est fou de se fâcher pour une histoire de sodomie, nous vivons très bien sans cela, à moins que pour toi ce soit primordial !
• Non, c’est simplement que j’ai voulu éviter de te faire passer pour un rétrograde devant-elle.
Ça paraissait si naturel pour les unes et les autres, de pratiquer cette forme d’amour.
• Et si nous invitions un homme qui te prendrait l’anus, seulement l’anus !
Je pense que pour que tu réalises ce phantasme, je suis prêt à mettre mon égo dans ma poche avec mon mouchoir par-dessus.
• Laisse tomber, fais-moi l’amour comme à notre premier jour.
• Ça, je veux bien, mais avant je manque de sommeil depuis notre petite brouille.
J’y mets deux conditions, la première, c’est que je sois là pour te soutenir comme tout bon mari doit l’être dans les moments importants de notre couple.
• Et la deuxième ?
• C’est moi qui chercherais sur Internet l’homme que nous inviterons pour que tu sois une femme comblée près de tes amies.

Nous avons évité de reparler de cette sodomie pendant plus d’un mois.
Chaque soir Renaud va sur son ordinateur, comme il le faisait chaque soir avant notre discussion sur la sodomie.

• Chérie, samedi soir, pour ton anniversaire, je t’offrirais ton cadeau après le dessert.
Je m’occupe de tous, un traiteur d’Orléans viendra nous livrer le repas, j’ai tout réglé grâce à Internet.
J’espère que tu mettras cette robe coquine toute blanche qui se défait en enlevant la broche sur ton épaule, je passerais mon smoking blanc.

Le samedi arrive, je suis en train de me préparer quand le traiteur arrive.
Il monte la table avec trois couverts, quand Renaud vient mettre son smoking, il me fait une surprise.

• Véronique, j’ai volontairement oublié de te prévenir que nous aurons un invité, il a traversé la France pour ton anniversaire, j’espère que tu me feras honneur !

Connaissant Renaud, que vient faire une tierce personne pour mon anniversaire !
Lorsque l’on sonne, il va ouvrir, je suis derrière lui.
Il me présente Abdou, plus de deux mètres, des bras comme mes cuisses et noirs comme la pirogue avec ses rameurs en ébène que nous avons ramenés de notre voyage au Sénégal.

Après le dessert, Renaud me demande de le rejoindre, il fait tomber ma robe m’offrant nue au regard de notre invité.

• Abdou, comment doit-elle se présenter à toi.
• En levrette sur cette peau de bête devant votre cheminée.

Dans le même temps, il défait son pantalon, cinquante centimètres et douze de diamètre.
Renaud veut-il me punir ou bien me faire un joli cadeau d’anniversaire ?
Quand je suis en place, Renaud prend cette bite gigantesque en main et la présente à ma rosette.

Vous êtes vous déjà fait enfiler par une telle verge dans l’anus, moi-ci !
À la prochaine réunion, j’aurais effacé mon mensonge, mais je vais avoir du mal à m’assoir.