COLLECTION CANDAULISME. Le carrefour Saint-Antoine (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION CANDAULISME. Le carrefour Saint-Antoine (2/2)
J’ai épousé Jennifer il y a quelques années, nous avons eu deux enfants, lors d’une soirée chez Luidgi et Vanessa, mon collège de travail, Vanessa fait des confidences à Jennifer sur le carrefour Saint-Antoine ou des femmes viennent souvent avec leur mari avoir des rapports sexuels.
Une première fois, Jennifer a souhaité voir ce qui se passe sur ce bout du monde, trois hommes se sont masturbés sur la vitre de ma voiture pendant qu’elle me pompait.
Ce soir, c’est l’anniversaire de mes 35 ans, en cadeaux ayant constaté que j’appréciais la voir se dévergonder, elle me demande de retourner au carrefour, en arrivant, elle passe une barre à sa dépravation.
Ouvrant la vitre de son côté, elle passe son buste se mettant à quatre pattes sur son siège et avale rapidement une bite en la masturbant.
J’ai le droit à son cul, placé comme nous le sommes à l’étroit dans cet habitat, j’écarte ses fesses, ma langue va de son clitoris à son anus, elle apprécie la verge du type et ma langue, car elle est trempée.
Je me redresse, je détache ma ceinture et je sors ma verge, j’arrive à me glisser entre son dos et le plafond de la voiture, grâce au plafonnier allumé et placé comme je le suis, j’admire Jennifer qui prend une verge noire en gorge profonde.
Je suis bien moins monté que ce black inconnu, ce qu’il y a de sur, c’est qu’elle le fait entrer plus loin en elle, qu’elle peut le faire avec moi.
Elle doit sentir ma queue bandée, elle recrache la verge.
• Prends-moi, Antoine, tu apprécies mon cadeau à ce que je vois.
J’entre en elle, devenant actif délaissant un moment mon candaulisme, bien que la verge noire lui crache sur le vissage et ses seins, finissant même par les essuyer, je vois qu’elle a prévu son futur, car chacune de ses mains passées, elles aussi par la vitre en masturbent deux, celui de droite, prends la place dans sa bouche.
L’homme doit s’être excité simplement par la masturbation et par la vision du black se faisant sucer, il sort sa verge et lui aussi lui arrose le visage.
Cette pratique de la fellation se termine pour les autres comme le premier sur son visage, je vois mal, elle doit être couverte de sperme, pour ma part, quand je vois la verge noire revenir se faire pomper, je lâche la purée au fond de la chatte de Jennifer. Son corps se tend sous la décharge d’adrénaline, sa tête se redresse et son cou tape le haut de la portière.
C’est à ce moment qu’une voiture s’arrête, elle se gare en reculant après la cinquième voiture, les phares sont éteints, les portes restent fermées, de simples voyeurs, je retrouve ma position de conducteur, Jennifer remonte sa vitre.
• Rentrons Nicolas, j’ai eu ma dose de sperme pour ce soir, as-tu aimé mon cadeau.
• Tu es incroyable Jennifer, tu vas de plus en plus loin, ou vas-tu nous mener ?
• On verra, en attendant, je te rappelle que nous rendons l’invitation à Luidgi et Vanessa samedi.
Est-ce un appel du pied, ce qui est certain, c’est qu’avant qu’elle éteigne le plafonnier, elle tourne la tête et d’un doigt mutin racle sa joue et avale le sperme récupéré.
Demain, je vais devoir nettoyer ma voiture, je démarre, au moment où je passe devant la voiture venant d’arriver, mais dont les occupants se trouvent cachés par le noir, sauf des ombres me montrant deux personnes, j’accélère et nous rentrons à la maison.
Le samedi vient vite, Vanessa très guillerette, comme si elle avait joué un bon tour, du moins, c’est la tête que je faisais étant petit quand j’avais fait une mauvaise blague, attend la fin du repas pour attaquer.
• Jennifer, j’ai vu que tu appréciais beaucoup le carrefour Saint-Antoine et toi Antoine, c’est drôle, tu as le même nom, as-tu aimé ?
• Vous nous avez vus !
• Oui, la fois où vous y êtes allés, la voiture qui est arrivée, c’était la mienne, nous venions voir s’il y avait des choses intéressantes qui s’y passaient, dommage que nous soyons arrivés avant que tout ait commencé.
Ce que je peux te dire, c’est quand vous êtes parti et que les gars ont vu que j’étais là, j’ai eu le droit à ma part de plaisir.
• Et si nous allions jusqu’au carrefour voir si quelles queues peuvent vous satisfaire, qu’en penses-tu Vanessa.
• Tu sais que je suis toujours partante, surtout si Jennifer me suit dans mes délires.
C’est comme ça que nous prenons la voiture de Luidgi, ils nous raccompagneront, les hommes devant, les dames sur le siège arrière.
Nous roulons, les femmes papotaient, plus de bruit de leur part, je me retourne, elles s’embrassent leurs mains caressant leurs chattes, je bande surtout que dans la nuit tombante, je vois la toison de notre amie.
• Vanessa, nous arrivons, vous allez en avoir pour votre argent, il y a sept voitures, il y a déjà une salope comme vous en train de se faire sauter, déshabillez-vous et descendez, montrez-lui qui de vous ou d'elle est la plus grande !
Luidgi arrête la voiture et coupe ses phares, la voiture, certainement celle de la femme qui est couchée sur le capot encadré par les phares s’en prend une par-derrière, j’ignore s’il la sexe chatte ou anus, mais elle semble appréciée.
J’entends les portes s’ouvrir et Jennifer venir à mes côtés, elle tape à ma vitre.
• Regarde bien Antoine, je vais faire ce soir ce que j’espère depuis le début de notre mariage, quand ces hommes entreront en moi, c’est toi qui me pénétreras, de toute manière, de retour à la maison, je serais entièrement à toi.
Et elle avance dans le halo des phares, Vanessa lui prend la main, les têtes des mecs dont un noir ressemblant par sa stature à celui qui lui a craché deux fois au visage, l’attrape et la faisant s’agenouiller lui plante dans la bouche.
Il la relève, elle appuie ses mains sur la carrosserie de l’autre voiture à côté de la salope qui a déjà retrouvé une autre verge en elle et la plante d’un grand coup de reins.
Quand elle m’a parlé, j’avais ouvert ma fenêtre, quand sa tête se redresse, elle hurle à la lune qui vient de sortir d’un nuage, me rendant la scène irréelle.
Il lui tient les hanches, elle doit être défoncée comme jamais, pendant ce temps, Vanessa a attrapé la verge d’un homme qui doit la connaître, il enlève son pantalon le pose au sol, elle s’agenouille dessus.
Un homme profite de sa position pour lui enfoncer sa verge dans la bouche, l’autre va pour la sexer, elle lui arrache quelque chose, je vois mal dans la nuit.
• Vanessa a horreur de se faire prendre par des capotes, ça lui déclenche des allergies, j’adore quand elle se comporte comme une chienne.
• Mais les maladies ?
• Pour elle, ça rajoute du piment à sa sexualité, je crois au destin et nous sommes nées sous une bonne étoile, elle sait que j’aime la regarder plus que j’aime la sexer, je vois que nous sommes les deux mêmes.
Combien de fois dans cette nuit, se font-elles remplir le vagin ?
Je dis bien remplir, car je vois les deux femmes parler, j’entends des mots, le mec suivant qui place son pantalon pour qu’elle se place en levrette ôte clairement sa capote.
Quand il la plante, je sens que j’entre dans une autre dimension, soit, la larguer soit la garder en faisant régulièrement des prises de sang.
C’est le cas, dès le premier soir de retour à la maison, Vanessa et Jennifer nous font un Streep et se sucent dans un magnifique 69 sur notre canapé.
• Je t’offre l’honneur mon frère, le cul de ma femme est à ta disposition.
Quand j’ôte mes affaires et que j’avance, je vois clairement que la chatte de Vanessa est plusieurs fois percée, je passe ma main, même son clito à un piercing droit fermé par deux boules visées, les anneaux qui pendent tape sur ma verge décuplant mon plaisir.
La bouche de Jennifer vient me lécher à mesure que ma verge entre dans la chatte de notre invitée, rapidement, je décharge en même temps qu’elle jouit ainsi que ma femme qui continuait à elle-même être sucé.
• Vanessa, qui t’a fait tous ces piercings, tout est caché quand tu es habillée !
• C’est Luidgi, cherche lequel a été le premier !
• La barre avec ses boules sur ton clito ?
• Non, tu es froide, cherches mieux !
• Ton nombril, celui-là, avec un diamant est magnifique.
• Tu te rapproches et l’un des éléments que tu as cités peu te donner la solution !
• Ton oreille, le diamant à ton oreille.
• Très bien, le diamant, ça te fait penser à quoi, si je regarde, tu en as une magnifique à ton doigt.
• Mon diamant de fiançailles, il t'a percé et ce diamant correspond à une bague de fiançailles !
• Bien trouvé, Antoine, veux-tu que Jennifer ait un piercing, si oui où ?
• Dans sa bouche, perce-lui la langue.
C’est ainsi que ce couple diabolique se sert de mon corps au choix de mon mari pour me placer tous ses objets sur et dans mon corps, le jour où j’aurais pu avoir honte, c’est le jour ou ma fille Laure m’a demandé ce qui tintait à la hauteur de ma zézette.
Depuis que je connais Vanessa, cette belle salope, elle m’interdit les sous-vêtements.
Je m’excuse, je vais vous quitter, Luidgi et Antoine travaillent ce soir, ils font des heures supplémentaires, il y a un surcroît de travail dans leur entreprise, Vanessa conduit, nous arrivons au carrefour Saint-Antoine, dans nos phares, dix voitures sont arrêtées, je vais me faire défoncer.
Vanessa aime aussi être candaulisme avec le cul des autres.
Une première fois, Jennifer a souhaité voir ce qui se passe sur ce bout du monde, trois hommes se sont masturbés sur la vitre de ma voiture pendant qu’elle me pompait.
Ce soir, c’est l’anniversaire de mes 35 ans, en cadeaux ayant constaté que j’appréciais la voir se dévergonder, elle me demande de retourner au carrefour, en arrivant, elle passe une barre à sa dépravation.
Ouvrant la vitre de son côté, elle passe son buste se mettant à quatre pattes sur son siège et avale rapidement une bite en la masturbant.
J’ai le droit à son cul, placé comme nous le sommes à l’étroit dans cet habitat, j’écarte ses fesses, ma langue va de son clitoris à son anus, elle apprécie la verge du type et ma langue, car elle est trempée.
Je me redresse, je détache ma ceinture et je sors ma verge, j’arrive à me glisser entre son dos et le plafond de la voiture, grâce au plafonnier allumé et placé comme je le suis, j’admire Jennifer qui prend une verge noire en gorge profonde.
Je suis bien moins monté que ce black inconnu, ce qu’il y a de sur, c’est qu’elle le fait entrer plus loin en elle, qu’elle peut le faire avec moi.
Elle doit sentir ma queue bandée, elle recrache la verge.
• Prends-moi, Antoine, tu apprécies mon cadeau à ce que je vois.
J’entre en elle, devenant actif délaissant un moment mon candaulisme, bien que la verge noire lui crache sur le vissage et ses seins, finissant même par les essuyer, je vois qu’elle a prévu son futur, car chacune de ses mains passées, elles aussi par la vitre en masturbent deux, celui de droite, prends la place dans sa bouche.
L’homme doit s’être excité simplement par la masturbation et par la vision du black se faisant sucer, il sort sa verge et lui aussi lui arrose le visage.
Cette pratique de la fellation se termine pour les autres comme le premier sur son visage, je vois mal, elle doit être couverte de sperme, pour ma part, quand je vois la verge noire revenir se faire pomper, je lâche la purée au fond de la chatte de Jennifer. Son corps se tend sous la décharge d’adrénaline, sa tête se redresse et son cou tape le haut de la portière.
C’est à ce moment qu’une voiture s’arrête, elle se gare en reculant après la cinquième voiture, les phares sont éteints, les portes restent fermées, de simples voyeurs, je retrouve ma position de conducteur, Jennifer remonte sa vitre.
• Rentrons Nicolas, j’ai eu ma dose de sperme pour ce soir, as-tu aimé mon cadeau.
• Tu es incroyable Jennifer, tu vas de plus en plus loin, ou vas-tu nous mener ?
• On verra, en attendant, je te rappelle que nous rendons l’invitation à Luidgi et Vanessa samedi.
Est-ce un appel du pied, ce qui est certain, c’est qu’avant qu’elle éteigne le plafonnier, elle tourne la tête et d’un doigt mutin racle sa joue et avale le sperme récupéré.
Demain, je vais devoir nettoyer ma voiture, je démarre, au moment où je passe devant la voiture venant d’arriver, mais dont les occupants se trouvent cachés par le noir, sauf des ombres me montrant deux personnes, j’accélère et nous rentrons à la maison.
Le samedi vient vite, Vanessa très guillerette, comme si elle avait joué un bon tour, du moins, c’est la tête que je faisais étant petit quand j’avais fait une mauvaise blague, attend la fin du repas pour attaquer.
• Jennifer, j’ai vu que tu appréciais beaucoup le carrefour Saint-Antoine et toi Antoine, c’est drôle, tu as le même nom, as-tu aimé ?
• Vous nous avez vus !
• Oui, la fois où vous y êtes allés, la voiture qui est arrivée, c’était la mienne, nous venions voir s’il y avait des choses intéressantes qui s’y passaient, dommage que nous soyons arrivés avant que tout ait commencé.
Ce que je peux te dire, c’est quand vous êtes parti et que les gars ont vu que j’étais là, j’ai eu le droit à ma part de plaisir.
• Et si nous allions jusqu’au carrefour voir si quelles queues peuvent vous satisfaire, qu’en penses-tu Vanessa.
• Tu sais que je suis toujours partante, surtout si Jennifer me suit dans mes délires.
C’est comme ça que nous prenons la voiture de Luidgi, ils nous raccompagneront, les hommes devant, les dames sur le siège arrière.
Nous roulons, les femmes papotaient, plus de bruit de leur part, je me retourne, elles s’embrassent leurs mains caressant leurs chattes, je bande surtout que dans la nuit tombante, je vois la toison de notre amie.
• Vanessa, nous arrivons, vous allez en avoir pour votre argent, il y a sept voitures, il y a déjà une salope comme vous en train de se faire sauter, déshabillez-vous et descendez, montrez-lui qui de vous ou d'elle est la plus grande !
Luidgi arrête la voiture et coupe ses phares, la voiture, certainement celle de la femme qui est couchée sur le capot encadré par les phares s’en prend une par-derrière, j’ignore s’il la sexe chatte ou anus, mais elle semble appréciée.
J’entends les portes s’ouvrir et Jennifer venir à mes côtés, elle tape à ma vitre.
• Regarde bien Antoine, je vais faire ce soir ce que j’espère depuis le début de notre mariage, quand ces hommes entreront en moi, c’est toi qui me pénétreras, de toute manière, de retour à la maison, je serais entièrement à toi.
Et elle avance dans le halo des phares, Vanessa lui prend la main, les têtes des mecs dont un noir ressemblant par sa stature à celui qui lui a craché deux fois au visage, l’attrape et la faisant s’agenouiller lui plante dans la bouche.
Il la relève, elle appuie ses mains sur la carrosserie de l’autre voiture à côté de la salope qui a déjà retrouvé une autre verge en elle et la plante d’un grand coup de reins.
Quand elle m’a parlé, j’avais ouvert ma fenêtre, quand sa tête se redresse, elle hurle à la lune qui vient de sortir d’un nuage, me rendant la scène irréelle.
Il lui tient les hanches, elle doit être défoncée comme jamais, pendant ce temps, Vanessa a attrapé la verge d’un homme qui doit la connaître, il enlève son pantalon le pose au sol, elle s’agenouille dessus.
Un homme profite de sa position pour lui enfoncer sa verge dans la bouche, l’autre va pour la sexer, elle lui arrache quelque chose, je vois mal dans la nuit.
• Vanessa a horreur de se faire prendre par des capotes, ça lui déclenche des allergies, j’adore quand elle se comporte comme une chienne.
• Mais les maladies ?
• Pour elle, ça rajoute du piment à sa sexualité, je crois au destin et nous sommes nées sous une bonne étoile, elle sait que j’aime la regarder plus que j’aime la sexer, je vois que nous sommes les deux mêmes.
Combien de fois dans cette nuit, se font-elles remplir le vagin ?
Je dis bien remplir, car je vois les deux femmes parler, j’entends des mots, le mec suivant qui place son pantalon pour qu’elle se place en levrette ôte clairement sa capote.
Quand il la plante, je sens que j’entre dans une autre dimension, soit, la larguer soit la garder en faisant régulièrement des prises de sang.
C’est le cas, dès le premier soir de retour à la maison, Vanessa et Jennifer nous font un Streep et se sucent dans un magnifique 69 sur notre canapé.
• Je t’offre l’honneur mon frère, le cul de ma femme est à ta disposition.
Quand j’ôte mes affaires et que j’avance, je vois clairement que la chatte de Vanessa est plusieurs fois percée, je passe ma main, même son clito à un piercing droit fermé par deux boules visées, les anneaux qui pendent tape sur ma verge décuplant mon plaisir.
La bouche de Jennifer vient me lécher à mesure que ma verge entre dans la chatte de notre invitée, rapidement, je décharge en même temps qu’elle jouit ainsi que ma femme qui continuait à elle-même être sucé.
• Vanessa, qui t’a fait tous ces piercings, tout est caché quand tu es habillée !
• C’est Luidgi, cherche lequel a été le premier !
• La barre avec ses boules sur ton clito ?
• Non, tu es froide, cherches mieux !
• Ton nombril, celui-là, avec un diamant est magnifique.
• Tu te rapproches et l’un des éléments que tu as cités peu te donner la solution !
• Ton oreille, le diamant à ton oreille.
• Très bien, le diamant, ça te fait penser à quoi, si je regarde, tu en as une magnifique à ton doigt.
• Mon diamant de fiançailles, il t'a percé et ce diamant correspond à une bague de fiançailles !
• Bien trouvé, Antoine, veux-tu que Jennifer ait un piercing, si oui où ?
• Dans sa bouche, perce-lui la langue.
C’est ainsi que ce couple diabolique se sert de mon corps au choix de mon mari pour me placer tous ses objets sur et dans mon corps, le jour où j’aurais pu avoir honte, c’est le jour ou ma fille Laure m’a demandé ce qui tintait à la hauteur de ma zézette.
Depuis que je connais Vanessa, cette belle salope, elle m’interdit les sous-vêtements.
Je m’excuse, je vais vous quitter, Luidgi et Antoine travaillent ce soir, ils font des heures supplémentaires, il y a un surcroît de travail dans leur entreprise, Vanessa conduit, nous arrivons au carrefour Saint-Antoine, dans nos phares, dix voitures sont arrêtées, je vais me faire défoncer.
Vanessa aime aussi être candaulisme avec le cul des autres.
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