COLLECTION CANDAULISME. Proposition indécente (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION CANDAULISME. Proposition indécente (1/1)
Mon histoire est certainement banale, mais je ne résiste pas à l’idée de vous la raconter.
Je m’appelle Suzette, j’ai 28 ans, je suis marié à Hubert depuis bientôt neuf ans.
Hubert a tout pour me combler, surtout la prévenance.
Au début de notre mariage, la jeune et jolie blonde que j’étais était pleine de préjugé, je suis née dans une famille où tout était caché, père rentrait le soir de sa banque et retrouvait mère qui l’attendait dans notre salon.
Immanquablement ils prenaient un whisky sec avant de m’appeler pour passer à table.
C’était Germaine, ma préceptrice qui me faisait manger dans la salle à manger, me douchait, père refusant que nous prenions des bains, il se disait écolo et il fallait économiser l’eau de la planète.
Pour ce bain, au plus loin de mes souvenirs, j’allais dans ma chambre, j’enlevais mes vêtements de jour que je trouvais sur ma chaise le matin en me réveillant pour mettre une sorte de chemise bouffante me cachant le corps.
Dès que je rejoignais ma préceptrice dans ma salle de bains, elle me lavait passant ses mains sous cette chemise conçue pour que celle qui me savonnait et moi, ne voie pas la moindre parcelle de mon corps.
Elle m’a lavé jusqu’à l’âge de me marier, je vais vous étonner, j’ignore pourquoi, mais dès que du sang est sorti de mon corps tous les mois, je devais mettre cette chemise dans le noir intégral.
Jusqu’au jour ou mère et père me prévient que le dimanche, nous recevrions des amis de longue date ainsi que leur fils, j’étais restée seule, Geneviève s’occupant de mon éducation intellectuelle.
Bref, jusqu’à ce jour où j’ai compris que la vie allait changer pour moi, toutes mes connaissances étaient celles que Geneviève femme de plus de 60 ans voulait bien me donner.
Femme, c’est un grand mot, un jour où nous étions en vacances en Bourgogne dans la maison familiale de ses parents au milieu de nos vignes exploitées par un vigneron, j’ai entendu père dire à mère.
• Tu crois que notre vieille bique est toujours pucelle.
Mère avait répondu.
• Comment parles-tu de Geneviève qui éduque notre fille, et bien non, elle a été fiancée pendant la guerre d’Algérie, il est mort tué par les fellaghas, ils étaient quatre, ils ont été retrouvés près de leur véhicule bien aligné, leur truc coupé dans la bouche ?
• Ils s’étaient fait couper leurs machins, c’est dégueulasse !
• Oui, elle l’a su et lui est resté fidèle, depuis elle a fait une croix sûre, tu me comprends.
J’étais mariée quand à la télévision, il y a eu un reportage sur ce qui était officiellement au début une opération du maintien de l’ordre pour finir par être la guerre d’Algérie.
Ce jour-là, j’ai pris conscience que de toute ma jeunesse, c’est la seule fois que mes parents ont à mots couverts parlée de sexe.
Geneviève m’avait donné des cours sur l’anatomie masculine, j’avais appris, comment l’on faisait des enfants.
Du moins ses seules explications ont été pour m’expliquer ma nuit de noces, je devais soulever ma chemise de nuit après m’être lavée surtout l'entrejambe, m’allonger sur notre lit écarter les jambes et attendre que mon homme entre en moi avec son pénis qu’elle m’avait montré en dessin.
Père avait dû rentrer son pénis dans mère, puisque j’étais là, à ce jour, je suis dans l’impossibilité de dire s’ils ont eu une vie sexuelle, du moins, je n’ai jamais rien vu ou sus.
À ce repas, j’ai très vite compris que ce grand dadais d’Hubert de presque 10 ans mon aîné serait celui qui devait introduire son pénis dans mon vagin, j’ai oublié de dire que Geneviève m’avait dit que le but de cette opération, c’est que de préférence, j’ai un fils.
Encore plus tard, j’ai compris que les deux familles avaient fusionné leurs domaines, augmentant ainsi les chiffres d’affaires et surtout protégeant un grand cru prestigieux.
Je passe ma nuit de noces entièrement conforme à l’éducation que j’ai eue, pour en arriver à ce soir de nos neuf ans de mariage.
Nous étions dans notre domaine hérité de nos parents, Hubert avait succédé à mon père à la banque et moi grâce principalement à Internet, j’avais rattrapé une partie de mon retard sur le sexe.
Rattrapé visuellement en regardant des sites pornos où des catins se faisaient prendre quelquefois par plusieurs hommes.
De mon côté, ces images m’avaient échauffé l’entrejambe et il n’était pas rare qu’après l’avoir découvert, je masturbe mon clitoris sentant un petit plaisir, mais loin de ce que les sites m’ont appris sur l’orgasme.
Neuf ans dont deux sans jamais voir le pénis de mon mari, il me faisait l’amour espérant un bébé, dès que mes règles venaient, j’étais déçu, mes parents et beaux parents étant même décédés tous les quatre les uns après les autres sans connaître leur descendance.
Là encore, je parle de deux ans, car Hubert a eu une discussion avec moi, il voulait me quitter, car il pensait que mon peu d’intérêt pour le sexe quoique son pénis entre en moi régulièrement était la cause de mon manque de grossesse.
Il m’a reproché de toujours faire l’amour dans le noir et surtout de ne jamais enlever ma chemise de nuit.
Je me souviendrais toute ma vie du lendemain quand je suis entrée dans notre chambre, lui nu sur notre lit et moi sans aucun linge sur mon corps.
Je grelottais malgré ce jour de juillet et avec du recul, je pense qu’Hubert aurait voulu aller plus loin dans notre couple, mais des siècles de tabous dans notre monde, nous a empêché de franchir une nouvelle étape dans nos pratiques.
• Suzette, j’ai quelque chose à te proposer, j’ai beaucoup de mal à m’exprimer, notre couple se sclérose, j’ai quelque chose à te proposer, mais je ne trouve pas mes mots.
Depuis que nous sommes en vacances, je le sens anxieux alors qu’au milieu de nos vignes, nous devrions être sereins, toutes les nuits, il se retourne dans tous les sens cherchant sans le trouver son sommeil.
Au dessert, il ose me faire une proposition indécente.
• Chérie, je voudrais que nous ayons une relation physique à trois, j’aimerais que nous trouvions un partenaire homme pour te voir faire l’amour avec lui.
L’orage montant, j’ai une fraction de seconde l’impression que la foudre vient d’entrer dans notre salle à manger, je revois en boucle les petits films pornos regardés sur Internet.
• Tu veux faire de moi une catin.
• Évite d’employer de grands mots, l’autre jour sans le vouloir, j’ai vu les sites où tu avais été ces derniers temps, j’ai regardé, pour moi, je bande devant ceux où le mari regarde sa femme faire l’amour sans participer.
• Tu es fou, je vais divorcer.
• Certainement pas, dans notre famille, aucun divorce n’a eu lieu, si tu refuses, je vais t’enfermer dans une chambre de ce manoir et tu n’en sortiras plus jamais.
Ma belle-mère avant sa mort avait parlé d’un ancêtre de son mari qui avait enfermé sa femme pour éviter de la répudier afin de garder l’honneur de leur famille, car elle le trompait impunément.
• La nuit porte conseil, donne-moi jusqu’à demain matin pour décider, si je t’accorde ton besoin, réfléchi un peu, tu me demandes d’appartenir à un autre.
• Non, tu n’as rien compris, quand il te prendra, nous serons ensemble de façon fusionnelle, c’est moi qui serais en toi.
Nous nous couchons, cette nuit, c’est moi qui ne dors pas, devenir une fille de mauvaise vie, c’est une décision difficile à prendre, d’un autre côté depuis que je regarde Internet, j’ai l’impression de manquer une marche dans ma vie.
Quand je déjeune face à mon mari, il faut que je lui dise ma décision sans donner l’impression d’être enchantée.
• Hubert, j’ai bien réfléchi, je veux bien essayer une fois d’avoir des rapports devant toi, mais si je me sens mal à l’aise, je veux pouvoir arrêter à tout moment.
• Oui, ma chérie, je vais tout te dire, mon père trompait ma mère, mais moi, je veux que ce soit toi qui acceptes de me donner du plaisir à te regarder, je prendrais garde à ce que le garçon que nous allons choisir soit toujours protégé.
• Merci, je n’ai jamais eu de contraception et cela va contre les convictions de ma famille.
C’est ainsi qu’il me dit que nous allons inviter un escort boy que nous allons choisir sur un site internet, grand brun ténébreux, des plaquettes de chocolat qui comparé au début d’embonpoint d’Hubert finissent par me faire envie.
Le samedi suivant, nous sommes seuls dans notre manoir quand je vais ouvrir la porte.
• Christophe pour vous servir, belle dame, votre mari est là, il m’a expliqué au téléphone ce qu’il attendait de moi.
Sa voix grave me fait littéralement mouiller, nous dînons, il est aussi prévenant avec moi qu’avec Hubert, jusqu’au dessert où il demande s’il peut mettre de la musique, slow si possible.
J’ai toujours aimé danser, la barre que je sens sur mon ventre est à la limite de me brûler, il finit par me prendre sur notre canapé, je sais que la catin que je deviens baise en levrette.
Il me reprend une deuxième fois après avoir bu une coupe de champagne et que je lui aie fait une fellation, la position qu’il me fait prendre deviendra celle que je préfère.
Après m’avoir entraîné sur le tapis persan, il me fait mettre allongé sur le côté, vient derrière moi dans la même position et après m’avoir fait lever une jambe, son sexe bien plus long vient entrer dans ma chatte sous le regard d’Hubert qui n’en perd pas une miette.
Dès la première fois, les bites de ces jeunes hommes m’ont donné des orgasmes qui me dévastent.
Avant notre retour à Paris, nous faisons venir deux autres garçons sans que je rechigne, c’est à ce moment que j’ai un problème, mes règles que j’ai toujours régulièrement ne viennent pas.
Nous qui cherchons depuis des années à avoir un bébé, sans jamais ne rien voire venir, chaque fois que je me suis fait baiser pendant qu’il était candaulisme, nous avons fait l’amour dès que l’escorte était partie.
Il est venu en moi, chaque fois son sperme a rempli ma chatte, c’est là qu’il m’a fait notre fils.
À Paris, je suis allée faire une analyse pour voir si ma grossesse se présentait bien, quand je suis venue chercher les résultats, j’ai donné mon nom de femme mariée, la secrétaire m’a donné une enveloppe que j’ai ouverte.
« Monsieur Hubert, après analyse de votre sperme, nous vous confirmons que votre semence est stérile, vous nous avez dit avoir eu les oreillons, ce qui doit être une conséquence.
Nous vous confirmons donc la première analyse fin juin, nous donnant le même résultat. »
Bien sûr, je suis retournée dire qu’il y avait erreur, la secrétaire s’est excusée et a échangé l’enveloppe, je me suis éclipsée, qui étais le père de mon enfant ?
Certainement l’une des escortes, bien qu’il m’ait prise avec capote, cela restera un mystère, le principal, c’est qu’Hubert y est trouvé son intérêt, nous allons avoir une descendance.
Une descendance, nous en aurons une, Gille est né et je l’élève en Bourgogne avec une préceptrice, j’attends sa petite sœur, je refuse les escortes lui disant que depuis ma grossesse et la naissance de notre fils me suffit.
Alors ma fille ?
J’ai comme amant le châtelain de la propriété voisine, nous faisons souvent l’amour partout où il peut me prendre, j’adore qu’il me baise dans ma position favorite, d’autant plus que depuis peu, son gland est venu sur mon anus et que j’ai poussé me faisant sodomiser.
Il a autant de surface de vigne que nous, outre sa fortune, il est jeune et nous avons appris à lire le Kamasutra, si Dieu veut voir le plan que j’ai mis en route, un test de paternité après la naissance réunira nos domaines, devenant le plus important de la région.
Résultat de sa proposition indécente, il faut savoir saisir le moment présent.
Je m’appelle Suzette, j’ai 28 ans, je suis marié à Hubert depuis bientôt neuf ans.
Hubert a tout pour me combler, surtout la prévenance.
Au début de notre mariage, la jeune et jolie blonde que j’étais était pleine de préjugé, je suis née dans une famille où tout était caché, père rentrait le soir de sa banque et retrouvait mère qui l’attendait dans notre salon.
Immanquablement ils prenaient un whisky sec avant de m’appeler pour passer à table.
C’était Germaine, ma préceptrice qui me faisait manger dans la salle à manger, me douchait, père refusant que nous prenions des bains, il se disait écolo et il fallait économiser l’eau de la planète.
Pour ce bain, au plus loin de mes souvenirs, j’allais dans ma chambre, j’enlevais mes vêtements de jour que je trouvais sur ma chaise le matin en me réveillant pour mettre une sorte de chemise bouffante me cachant le corps.
Dès que je rejoignais ma préceptrice dans ma salle de bains, elle me lavait passant ses mains sous cette chemise conçue pour que celle qui me savonnait et moi, ne voie pas la moindre parcelle de mon corps.
Elle m’a lavé jusqu’à l’âge de me marier, je vais vous étonner, j’ignore pourquoi, mais dès que du sang est sorti de mon corps tous les mois, je devais mettre cette chemise dans le noir intégral.
Jusqu’au jour ou mère et père me prévient que le dimanche, nous recevrions des amis de longue date ainsi que leur fils, j’étais restée seule, Geneviève s’occupant de mon éducation intellectuelle.
Bref, jusqu’à ce jour où j’ai compris que la vie allait changer pour moi, toutes mes connaissances étaient celles que Geneviève femme de plus de 60 ans voulait bien me donner.
Femme, c’est un grand mot, un jour où nous étions en vacances en Bourgogne dans la maison familiale de ses parents au milieu de nos vignes exploitées par un vigneron, j’ai entendu père dire à mère.
• Tu crois que notre vieille bique est toujours pucelle.
Mère avait répondu.
• Comment parles-tu de Geneviève qui éduque notre fille, et bien non, elle a été fiancée pendant la guerre d’Algérie, il est mort tué par les fellaghas, ils étaient quatre, ils ont été retrouvés près de leur véhicule bien aligné, leur truc coupé dans la bouche ?
• Ils s’étaient fait couper leurs machins, c’est dégueulasse !
• Oui, elle l’a su et lui est resté fidèle, depuis elle a fait une croix sûre, tu me comprends.
J’étais mariée quand à la télévision, il y a eu un reportage sur ce qui était officiellement au début une opération du maintien de l’ordre pour finir par être la guerre d’Algérie.
Ce jour-là, j’ai pris conscience que de toute ma jeunesse, c’est la seule fois que mes parents ont à mots couverts parlée de sexe.
Geneviève m’avait donné des cours sur l’anatomie masculine, j’avais appris, comment l’on faisait des enfants.
Du moins ses seules explications ont été pour m’expliquer ma nuit de noces, je devais soulever ma chemise de nuit après m’être lavée surtout l'entrejambe, m’allonger sur notre lit écarter les jambes et attendre que mon homme entre en moi avec son pénis qu’elle m’avait montré en dessin.
Père avait dû rentrer son pénis dans mère, puisque j’étais là, à ce jour, je suis dans l’impossibilité de dire s’ils ont eu une vie sexuelle, du moins, je n’ai jamais rien vu ou sus.
À ce repas, j’ai très vite compris que ce grand dadais d’Hubert de presque 10 ans mon aîné serait celui qui devait introduire son pénis dans mon vagin, j’ai oublié de dire que Geneviève m’avait dit que le but de cette opération, c’est que de préférence, j’ai un fils.
Encore plus tard, j’ai compris que les deux familles avaient fusionné leurs domaines, augmentant ainsi les chiffres d’affaires et surtout protégeant un grand cru prestigieux.
Je passe ma nuit de noces entièrement conforme à l’éducation que j’ai eue, pour en arriver à ce soir de nos neuf ans de mariage.
Nous étions dans notre domaine hérité de nos parents, Hubert avait succédé à mon père à la banque et moi grâce principalement à Internet, j’avais rattrapé une partie de mon retard sur le sexe.
Rattrapé visuellement en regardant des sites pornos où des catins se faisaient prendre quelquefois par plusieurs hommes.
De mon côté, ces images m’avaient échauffé l’entrejambe et il n’était pas rare qu’après l’avoir découvert, je masturbe mon clitoris sentant un petit plaisir, mais loin de ce que les sites m’ont appris sur l’orgasme.
Neuf ans dont deux sans jamais voir le pénis de mon mari, il me faisait l’amour espérant un bébé, dès que mes règles venaient, j’étais déçu, mes parents et beaux parents étant même décédés tous les quatre les uns après les autres sans connaître leur descendance.
Là encore, je parle de deux ans, car Hubert a eu une discussion avec moi, il voulait me quitter, car il pensait que mon peu d’intérêt pour le sexe quoique son pénis entre en moi régulièrement était la cause de mon manque de grossesse.
Il m’a reproché de toujours faire l’amour dans le noir et surtout de ne jamais enlever ma chemise de nuit.
Je me souviendrais toute ma vie du lendemain quand je suis entrée dans notre chambre, lui nu sur notre lit et moi sans aucun linge sur mon corps.
Je grelottais malgré ce jour de juillet et avec du recul, je pense qu’Hubert aurait voulu aller plus loin dans notre couple, mais des siècles de tabous dans notre monde, nous a empêché de franchir une nouvelle étape dans nos pratiques.
• Suzette, j’ai quelque chose à te proposer, j’ai beaucoup de mal à m’exprimer, notre couple se sclérose, j’ai quelque chose à te proposer, mais je ne trouve pas mes mots.
Depuis que nous sommes en vacances, je le sens anxieux alors qu’au milieu de nos vignes, nous devrions être sereins, toutes les nuits, il se retourne dans tous les sens cherchant sans le trouver son sommeil.
Au dessert, il ose me faire une proposition indécente.
• Chérie, je voudrais que nous ayons une relation physique à trois, j’aimerais que nous trouvions un partenaire homme pour te voir faire l’amour avec lui.
L’orage montant, j’ai une fraction de seconde l’impression que la foudre vient d’entrer dans notre salle à manger, je revois en boucle les petits films pornos regardés sur Internet.
• Tu veux faire de moi une catin.
• Évite d’employer de grands mots, l’autre jour sans le vouloir, j’ai vu les sites où tu avais été ces derniers temps, j’ai regardé, pour moi, je bande devant ceux où le mari regarde sa femme faire l’amour sans participer.
• Tu es fou, je vais divorcer.
• Certainement pas, dans notre famille, aucun divorce n’a eu lieu, si tu refuses, je vais t’enfermer dans une chambre de ce manoir et tu n’en sortiras plus jamais.
Ma belle-mère avant sa mort avait parlé d’un ancêtre de son mari qui avait enfermé sa femme pour éviter de la répudier afin de garder l’honneur de leur famille, car elle le trompait impunément.
• La nuit porte conseil, donne-moi jusqu’à demain matin pour décider, si je t’accorde ton besoin, réfléchi un peu, tu me demandes d’appartenir à un autre.
• Non, tu n’as rien compris, quand il te prendra, nous serons ensemble de façon fusionnelle, c’est moi qui serais en toi.
Nous nous couchons, cette nuit, c’est moi qui ne dors pas, devenir une fille de mauvaise vie, c’est une décision difficile à prendre, d’un autre côté depuis que je regarde Internet, j’ai l’impression de manquer une marche dans ma vie.
Quand je déjeune face à mon mari, il faut que je lui dise ma décision sans donner l’impression d’être enchantée.
• Hubert, j’ai bien réfléchi, je veux bien essayer une fois d’avoir des rapports devant toi, mais si je me sens mal à l’aise, je veux pouvoir arrêter à tout moment.
• Oui, ma chérie, je vais tout te dire, mon père trompait ma mère, mais moi, je veux que ce soit toi qui acceptes de me donner du plaisir à te regarder, je prendrais garde à ce que le garçon que nous allons choisir soit toujours protégé.
• Merci, je n’ai jamais eu de contraception et cela va contre les convictions de ma famille.
C’est ainsi qu’il me dit que nous allons inviter un escort boy que nous allons choisir sur un site internet, grand brun ténébreux, des plaquettes de chocolat qui comparé au début d’embonpoint d’Hubert finissent par me faire envie.
Le samedi suivant, nous sommes seuls dans notre manoir quand je vais ouvrir la porte.
• Christophe pour vous servir, belle dame, votre mari est là, il m’a expliqué au téléphone ce qu’il attendait de moi.
Sa voix grave me fait littéralement mouiller, nous dînons, il est aussi prévenant avec moi qu’avec Hubert, jusqu’au dessert où il demande s’il peut mettre de la musique, slow si possible.
J’ai toujours aimé danser, la barre que je sens sur mon ventre est à la limite de me brûler, il finit par me prendre sur notre canapé, je sais que la catin que je deviens baise en levrette.
Il me reprend une deuxième fois après avoir bu une coupe de champagne et que je lui aie fait une fellation, la position qu’il me fait prendre deviendra celle que je préfère.
Après m’avoir entraîné sur le tapis persan, il me fait mettre allongé sur le côté, vient derrière moi dans la même position et après m’avoir fait lever une jambe, son sexe bien plus long vient entrer dans ma chatte sous le regard d’Hubert qui n’en perd pas une miette.
Dès la première fois, les bites de ces jeunes hommes m’ont donné des orgasmes qui me dévastent.
Avant notre retour à Paris, nous faisons venir deux autres garçons sans que je rechigne, c’est à ce moment que j’ai un problème, mes règles que j’ai toujours régulièrement ne viennent pas.
Nous qui cherchons depuis des années à avoir un bébé, sans jamais ne rien voire venir, chaque fois que je me suis fait baiser pendant qu’il était candaulisme, nous avons fait l’amour dès que l’escorte était partie.
Il est venu en moi, chaque fois son sperme a rempli ma chatte, c’est là qu’il m’a fait notre fils.
À Paris, je suis allée faire une analyse pour voir si ma grossesse se présentait bien, quand je suis venue chercher les résultats, j’ai donné mon nom de femme mariée, la secrétaire m’a donné une enveloppe que j’ai ouverte.
« Monsieur Hubert, après analyse de votre sperme, nous vous confirmons que votre semence est stérile, vous nous avez dit avoir eu les oreillons, ce qui doit être une conséquence.
Nous vous confirmons donc la première analyse fin juin, nous donnant le même résultat. »
Bien sûr, je suis retournée dire qu’il y avait erreur, la secrétaire s’est excusée et a échangé l’enveloppe, je me suis éclipsée, qui étais le père de mon enfant ?
Certainement l’une des escortes, bien qu’il m’ait prise avec capote, cela restera un mystère, le principal, c’est qu’Hubert y est trouvé son intérêt, nous allons avoir une descendance.
Une descendance, nous en aurons une, Gille est né et je l’élève en Bourgogne avec une préceptrice, j’attends sa petite sœur, je refuse les escortes lui disant que depuis ma grossesse et la naissance de notre fils me suffit.
Alors ma fille ?
J’ai comme amant le châtelain de la propriété voisine, nous faisons souvent l’amour partout où il peut me prendre, j’adore qu’il me baise dans ma position favorite, d’autant plus que depuis peu, son gland est venu sur mon anus et que j’ai poussé me faisant sodomiser.
Il a autant de surface de vigne que nous, outre sa fortune, il est jeune et nous avons appris à lire le Kamasutra, si Dieu veut voir le plan que j’ai mis en route, un test de paternité après la naissance réunira nos domaines, devenant le plus important de la région.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci à ce lecteur, j'ai été surpris de ne pas avoir de commentaire sur le texte des vampires...
Chris, bonjour : comme d'habitude, ton texte est très excitant ! Merci pour ce moment de plaisir...
Merci
terriblement excitant !