COLLECTION CANDAULISME. Puceau malgré mon mariage (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION CANDAULISME. Puceau malgré mon mariage (1/1)
Le titre que je donne à l’explication de ma vie peut paraitre bizarre surtout après presque cinq ans de mariage, mais la suite va me donner l’occasion de m’expliquer.
• Franck, je note votre nom sur la fiche que ma secrétaire m’a fait passer !
• Oui, madame, c’est ainsi que ma mère m’ayant élevé seule m’a donné.
• Votre mère était une mère célibataire !
• Loin de là, c’était une femme ayant été trompé dans sa jeunesse.
• Ayant été, on dirait que vous parlez d’elle au passé, Franck.
• Oui, elle arrivait au terme de sa grossesse lorsque l’homme qu’elle aimait l’a quittée incapable d’assumer ma naissance.
• Franck, vous m’intriguez, il semblerait que sa réaction ait été excessive !
• Oui, elle s’est pendue à une poutre de sa cuisine.
• Mais pourtant, vous êtes là, bien en chair devant moi, comment cela est-il possible ?
• Soi, je vous dis la vérité et vous risquez d’avoir pitié de moi, soit je me tais et vous pouvez penser que je suis une grande gueule et le poste que vous me proposez me passera sous le nez.
• Je vois que ma secrétaire a bien fait son travail, il est vrai que je lui avais demandé de trouver un candidat chauffeur, irréprochable sur ce que j’appellerais les ragots.
Je gagne bien ma vie et j’aurais en horreur de voir une partie de ma vie affichée dans les journaux à scandales.
D’ailleurs, elle, je l’ai embauché avec les mêmes critères et elle me donne plaine satisfaction.
• Alors, je vous fais confiance, autant que vous pourrez me faire confiance.
Lorsque maman s’est pendue, j’étais donc dans son ventre.
J’ai eu la chance que la voisine sachant le malêtre de maman soit venue la voir et est entrée avec les clefs pour poser le courrier.
Elle l’a vue et la soutenant elle a appelé les pompiers grâce à son portable.
Il a été impossible de sauver, maman, mais la seule séquelle que j’ai eue lorsque l’on m’a sorti de son ventre par césarienne, c’est qu’il m’a toujours été impossible d’avoir une érection.
J’urine normalement avec des sensations évitant de faire dans ma culotte, mais ma verge est dans l’impossibilité de recevoir le sang nécessaire à un homme pour bander.
Il en va de même pour mes testicules qui sont inexistants dans mon corps.
• Merci Franck, pour votre franchise, vous avez bien fait de me dire tout ça, vous avez le poste au tarif que Sonia ma secrétaire vous a donné, est-ce suffisant pour avoir une tombe au volant de ma voiture.
Je peux l’être, je touche autant qu’un ingénieur sans le moindre diplôme, logé et nourri.
Je me suis plus intéressé à mon physique en pratiquant la salle et la fonte que les maths ou le Français.
Mon infirmité me prive de toute recherche de rapport, j’allais dire féminin, mais homme aussi, même si ma langue pouvait les satisfaire, mais je me vois mal dire à une conquête qu’elle devra se contenter de ma langue.
Si je l’ai dit à madame Françoise, c’est bien pour avoir la place et dès le soir même j’ai compris pourquoi ma candidature a été retenue.
• Franck, ma secrétaire vous a dit que vous devriez être dans un costume sombre, celui que vous portez est parfait.
Elle vous le remboursera avec quatre autres, vous les porterez au volant de ma voiture que je veux toujours impeccable.
Ce soir, je sors, je vais chez des amis, vous m’attendrez jusqu’à ce que je finisse ma soirée.
Allez voir Sonia, elle vous mettra au courant de ce que je veux éviter de cacher à certains de mes détracteurs.
Première mission, j’ai vu Sonia avant d’aller préparer la voiture.
Dans le garage, se trouve une limousine classe S de marque Mercedes, un vrai bateau.
Elle sent le neuf, à 20 heures je suis devant l’immeuble où madame Françoise habite, elle sort comme une véritable diva.
J’aurais la possibilité de la baiser, je crois bien que je me mettrais sur les rangs pour devenir son amant.
Je sais les secrets, du moins, une partie des envies de ma nouvelle patronne et je sais pourquoi je suis payé si grassement.
Je la conduis rue de la Boétie dans le 8ème, je tairais le numéro, ça fait partie des conditions de discrétion de mon travail.
Il est un peu plus d’une heure du matin lorsque je reçois l’appel de venir au bas de cet immeuble la récupérer dans cinq minutes, étant dans l’impossibilité de garer la voiture au pied de l’immeuble.
• Bonsoir, madame, bonsoir messieurs, j’espère que vous avez passé une bonne soirée !
• Très bonne Franck, conduisons ces messieurs avenue de Marigny, prenez votre temps, je vous dirais lorsqu’il faudra les déposer.
Heureusement, que j’ai programmé le GPS, je connais un peu Paris, mais plus en souterrain dans le métro qu’en surface.
Je programme, je démarre et rapidement je comprends une autre partie de mon travail.
• Ton chauffeur ?
• Tu veux baiser où je lui dis de faire route direct jusque chez vous ?
Franck connaît son travail et sera une tombe.
• Tu pourrais venir chez nous, il t’attendra comme il t’a attendu le temps du repas !
• Franck, exécutez l’ordre que je vous ai donné !
Lors des ordres que Sonia me donne, je sais que ce que me dit, madame, je dois l’exécuter à la lettre, elle s’occupe du reste.
Rapidement, je vois dans mon rétro, ma patronne embrasser tour à tour, chacun des jeunes gars, surement des frères.
Chacune des verges des garçons se retrouve dans ses mains, puis dans sa bouche.
Je regarde du coin de l’œil, si je suis dans l’impossibilité de bander, cérébralement, c’est moi qui la baise.
Outre les moyens qu’elle semble dégager, je vois pourquoi cette limousine est spacieuse lui permettant de s’empaler tout à tour sur la verge des garçons après qu’ils aient mis des capotes.
Les vitres sont assez foncées, pour que le baisodrome que madame semble faire de sa voiture, la protège des regards indiscrets surtout lorsque je m’arrête à un feu rouge.
La voiture coute assez chère pour qu’elle ait fait poser une vitre de séparation entre nous.
Lors des sorties suivantes en soirée, bien sûre, je prends conscience que ma patronne aime savoir que je la mâte lorsqu'elle baise en ramenant ses amants chez eux.
Je dis amants, je dois aussi dire amantes, comme l’on dit, elle est à voile et à vapeur, garçons et filles, elle est peu regardante suivant ses envies.
Moi j’aime beaucoup, ma propre libido cérébrale s’en retrouve renforcée sans qu’elle sache que dans ma tête, je bande.
Un samedi soir, plutôt un dimanche matin vu l’heure.
Je la récupère seule.
C’est la première fois depuis que je la conduis et que, souvent je ramasse les capotes et les étuis, avec des gants dans un sac poubelle.
Heureusement, en attendant, je dors un peu, car ce travail doit être fait afin que le dimanche matin à 8 heures tapantes, je présente la voiture impeccable pour que je la conduise faire son jogging dans le parc Montceau.
Je suis moi-même en tenue de joggeur, je dois la suivre, un peu comme son garde du corps.
Ma forme physique était un des critères que Sonia devait présenter à madame, en la suivant.
Je comprends pourquoi surtout lorsque je vois son joli petit cul tressauter à mon côté.
• Franc rentrons, j’en ai marre de ces bouffons qui veulent tous m’épouser afin de profiter de mon fric.
Vous avez vu que j’aime baiser, là où je me rends, j’aime beaucoup partouzer, mais il y a souvent des cons, qui s’intéressent plus à mon fric qu’à mes miches.
Je reçois ces confidences sans répliquer, seulement un regard direct dans le rétro.
Elle est en pleurs, j’ai presque envie de la rejoindre et de la cajoler, cette femme si forte, comme chacun d’entre nous a son point faible, je la ramène chez elle.
• Madame, Françoise, puis-je vous parlez !
Je suis dans son bureau où elle m’a reçu la première fois.
• Bien sur Franck, je m’excuse du moment de faiblesse que j’ai eue hier au soir.
• Puis-je vous faire une proposition qui pourrait régler votre problème de ces mecs qui passent leur temps à vous embêter pour que vous les épousiez ?
• Quelle horreur, un même mec toute la vie dans mon pieu qui me casserait les...
J’allais dire les couilles, vous qui en êtes dépourvu, c’était mal venu.
• Non, c’est là l’idée, je vous épouse, vous vivez votre vie de la même manière que maintenant sans l’inconvénient d’avoir des gars espérant être vos prétendants.
• Certes, votre proposition est très alléchante.
Je vous présenterais à mes amis et amies et vous regarderez comme le font les candaulismes qui regardent leurs femmes se taper des mecs sans les emmerder et moi je serais tranquille.
Le midi, je l’invite au restaurant, j’ai les moyens, je suis payé sans rien dépenser.
• Françoise, veux-tu m’épouser ce diamant venant de la place Vendôme sera le gage de mon amour et surtout de ma fidélité infaillible.
Applaudissement dans le resto lorsqu’elle tend son doigt pour que je lui mette sa bague.
Je suis sûr qu’au fond d’elle, jamais au grand jamais ce geste avant ma demande, la simple idée, son cerveau aurait pu l’imaginer.
Oui, c’est une grande partie du Tout-Paris qui est témoin de nos vœux de fidélité.
Fidélité bien respectée dès la semaine suivante, lorsque je suis moelleusement installé au fond d’un canapé profond.
Pendant ce temps, ma femme se fait sauter par deux types, ses voisins de table alors que j’étais assis près de la maîtresse de maison femme de plus de cinquante ans qui vient s’assoir à mes côtés.
• Franck, vous êtes seul dans votre coin, j’aimerais baiser avec vous !
• Vous êtes direct, madame Olga, j’ai apprécié votre charme et votre humour lors du repas.
Je dois repousser votre proposition, car si j’accepte de voir ma femme avec ces hommes, je reste fidèle à mon serment de mariage.
Soyez sans crainte, je suis beaucoup candaulisme et j’adore voir ma femme s’éclater dans les bras de ces amants.
Allez vous joindre à eux, je pense que vous savez qu’elle adore s’occuper aussi des filles.
Voilà, ça fait presque cinq ans, que nous sommes mariés Françoise et moi, la vie nocturne et libertine d’une partie du Tout-Paris sait que je baise ma femme seulement dans le lit conjugal.
Et il sait aussi que lorsque nous sortons en soirée, je suis fidèle à mon épouse la regardant simplement ce faire baiser et s’envoyer en l’air.
Les rares fois où nous raccompagnons ses amants chez eux, c’est là que je dois nettoyer des capotes, mais bien moins souvent qu’avant.
Nous réussissons à cacher à tous que dès que nous nous retrouvons chez nous, je rejoins ma chambre, la même que celle lorsque j’étais un simple chauffeur ce que je suis toujours.
Seuls mes émoluments ont augmenté, plus que l’inflation, le silence, ça se paye bien que j’aie toujours été une tombe.
Qui irait chanter sur les toits de Paris qu’il est eunuque, même si au bas de son corps, il a une verge lui servant seulement à pisser.
Voilà, vous savez pourquoi ce titre, je vous quitte, Françoise vient d’arrêter de danser dans les bras d’un beau blond que je lui ai présenté.
Je l’ai rencontré dans la salle de sport que je continue à fréquenter deux fois par semaine en plus du jogging du dimanche matin.
Lorsqu’elle va le sucer, mon cerveau se mettra en marche et c’est moi qui serai à sa place sans que mon épouse sache, que je bande intellectuellement pour elle en la regardant.
• Franck, je note votre nom sur la fiche que ma secrétaire m’a fait passer !
• Oui, madame, c’est ainsi que ma mère m’ayant élevé seule m’a donné.
• Votre mère était une mère célibataire !
• Loin de là, c’était une femme ayant été trompé dans sa jeunesse.
• Ayant été, on dirait que vous parlez d’elle au passé, Franck.
• Oui, elle arrivait au terme de sa grossesse lorsque l’homme qu’elle aimait l’a quittée incapable d’assumer ma naissance.
• Franck, vous m’intriguez, il semblerait que sa réaction ait été excessive !
• Oui, elle s’est pendue à une poutre de sa cuisine.
• Mais pourtant, vous êtes là, bien en chair devant moi, comment cela est-il possible ?
• Soi, je vous dis la vérité et vous risquez d’avoir pitié de moi, soit je me tais et vous pouvez penser que je suis une grande gueule et le poste que vous me proposez me passera sous le nez.
• Je vois que ma secrétaire a bien fait son travail, il est vrai que je lui avais demandé de trouver un candidat chauffeur, irréprochable sur ce que j’appellerais les ragots.
Je gagne bien ma vie et j’aurais en horreur de voir une partie de ma vie affichée dans les journaux à scandales.
D’ailleurs, elle, je l’ai embauché avec les mêmes critères et elle me donne plaine satisfaction.
• Alors, je vous fais confiance, autant que vous pourrez me faire confiance.
Lorsque maman s’est pendue, j’étais donc dans son ventre.
J’ai eu la chance que la voisine sachant le malêtre de maman soit venue la voir et est entrée avec les clefs pour poser le courrier.
Elle l’a vue et la soutenant elle a appelé les pompiers grâce à son portable.
Il a été impossible de sauver, maman, mais la seule séquelle que j’ai eue lorsque l’on m’a sorti de son ventre par césarienne, c’est qu’il m’a toujours été impossible d’avoir une érection.
J’urine normalement avec des sensations évitant de faire dans ma culotte, mais ma verge est dans l’impossibilité de recevoir le sang nécessaire à un homme pour bander.
Il en va de même pour mes testicules qui sont inexistants dans mon corps.
• Merci Franck, pour votre franchise, vous avez bien fait de me dire tout ça, vous avez le poste au tarif que Sonia ma secrétaire vous a donné, est-ce suffisant pour avoir une tombe au volant de ma voiture.
Je peux l’être, je touche autant qu’un ingénieur sans le moindre diplôme, logé et nourri.
Je me suis plus intéressé à mon physique en pratiquant la salle et la fonte que les maths ou le Français.
Mon infirmité me prive de toute recherche de rapport, j’allais dire féminin, mais homme aussi, même si ma langue pouvait les satisfaire, mais je me vois mal dire à une conquête qu’elle devra se contenter de ma langue.
Si je l’ai dit à madame Françoise, c’est bien pour avoir la place et dès le soir même j’ai compris pourquoi ma candidature a été retenue.
• Franck, ma secrétaire vous a dit que vous devriez être dans un costume sombre, celui que vous portez est parfait.
Elle vous le remboursera avec quatre autres, vous les porterez au volant de ma voiture que je veux toujours impeccable.
Ce soir, je sors, je vais chez des amis, vous m’attendrez jusqu’à ce que je finisse ma soirée.
Allez voir Sonia, elle vous mettra au courant de ce que je veux éviter de cacher à certains de mes détracteurs.
Première mission, j’ai vu Sonia avant d’aller préparer la voiture.
Dans le garage, se trouve une limousine classe S de marque Mercedes, un vrai bateau.
Elle sent le neuf, à 20 heures je suis devant l’immeuble où madame Françoise habite, elle sort comme une véritable diva.
J’aurais la possibilité de la baiser, je crois bien que je me mettrais sur les rangs pour devenir son amant.
Je sais les secrets, du moins, une partie des envies de ma nouvelle patronne et je sais pourquoi je suis payé si grassement.
Je la conduis rue de la Boétie dans le 8ème, je tairais le numéro, ça fait partie des conditions de discrétion de mon travail.
Il est un peu plus d’une heure du matin lorsque je reçois l’appel de venir au bas de cet immeuble la récupérer dans cinq minutes, étant dans l’impossibilité de garer la voiture au pied de l’immeuble.
• Bonsoir, madame, bonsoir messieurs, j’espère que vous avez passé une bonne soirée !
• Très bonne Franck, conduisons ces messieurs avenue de Marigny, prenez votre temps, je vous dirais lorsqu’il faudra les déposer.
Heureusement, que j’ai programmé le GPS, je connais un peu Paris, mais plus en souterrain dans le métro qu’en surface.
Je programme, je démarre et rapidement je comprends une autre partie de mon travail.
• Ton chauffeur ?
• Tu veux baiser où je lui dis de faire route direct jusque chez vous ?
Franck connaît son travail et sera une tombe.
• Tu pourrais venir chez nous, il t’attendra comme il t’a attendu le temps du repas !
• Franck, exécutez l’ordre que je vous ai donné !
Lors des ordres que Sonia me donne, je sais que ce que me dit, madame, je dois l’exécuter à la lettre, elle s’occupe du reste.
Rapidement, je vois dans mon rétro, ma patronne embrasser tour à tour, chacun des jeunes gars, surement des frères.
Chacune des verges des garçons se retrouve dans ses mains, puis dans sa bouche.
Je regarde du coin de l’œil, si je suis dans l’impossibilité de bander, cérébralement, c’est moi qui la baise.
Outre les moyens qu’elle semble dégager, je vois pourquoi cette limousine est spacieuse lui permettant de s’empaler tout à tour sur la verge des garçons après qu’ils aient mis des capotes.
Les vitres sont assez foncées, pour que le baisodrome que madame semble faire de sa voiture, la protège des regards indiscrets surtout lorsque je m’arrête à un feu rouge.
La voiture coute assez chère pour qu’elle ait fait poser une vitre de séparation entre nous.
Lors des sorties suivantes en soirée, bien sûre, je prends conscience que ma patronne aime savoir que je la mâte lorsqu'elle baise en ramenant ses amants chez eux.
Je dis amants, je dois aussi dire amantes, comme l’on dit, elle est à voile et à vapeur, garçons et filles, elle est peu regardante suivant ses envies.
Moi j’aime beaucoup, ma propre libido cérébrale s’en retrouve renforcée sans qu’elle sache que dans ma tête, je bande.
Un samedi soir, plutôt un dimanche matin vu l’heure.
Je la récupère seule.
C’est la première fois depuis que je la conduis et que, souvent je ramasse les capotes et les étuis, avec des gants dans un sac poubelle.
Heureusement, en attendant, je dors un peu, car ce travail doit être fait afin que le dimanche matin à 8 heures tapantes, je présente la voiture impeccable pour que je la conduise faire son jogging dans le parc Montceau.
Je suis moi-même en tenue de joggeur, je dois la suivre, un peu comme son garde du corps.
Ma forme physique était un des critères que Sonia devait présenter à madame, en la suivant.
Je comprends pourquoi surtout lorsque je vois son joli petit cul tressauter à mon côté.
• Franc rentrons, j’en ai marre de ces bouffons qui veulent tous m’épouser afin de profiter de mon fric.
Vous avez vu que j’aime baiser, là où je me rends, j’aime beaucoup partouzer, mais il y a souvent des cons, qui s’intéressent plus à mon fric qu’à mes miches.
Je reçois ces confidences sans répliquer, seulement un regard direct dans le rétro.
Elle est en pleurs, j’ai presque envie de la rejoindre et de la cajoler, cette femme si forte, comme chacun d’entre nous a son point faible, je la ramène chez elle.
• Madame, Françoise, puis-je vous parlez !
Je suis dans son bureau où elle m’a reçu la première fois.
• Bien sur Franck, je m’excuse du moment de faiblesse que j’ai eue hier au soir.
• Puis-je vous faire une proposition qui pourrait régler votre problème de ces mecs qui passent leur temps à vous embêter pour que vous les épousiez ?
• Quelle horreur, un même mec toute la vie dans mon pieu qui me casserait les...
J’allais dire les couilles, vous qui en êtes dépourvu, c’était mal venu.
• Non, c’est là l’idée, je vous épouse, vous vivez votre vie de la même manière que maintenant sans l’inconvénient d’avoir des gars espérant être vos prétendants.
• Certes, votre proposition est très alléchante.
Je vous présenterais à mes amis et amies et vous regarderez comme le font les candaulismes qui regardent leurs femmes se taper des mecs sans les emmerder et moi je serais tranquille.
Le midi, je l’invite au restaurant, j’ai les moyens, je suis payé sans rien dépenser.
• Françoise, veux-tu m’épouser ce diamant venant de la place Vendôme sera le gage de mon amour et surtout de ma fidélité infaillible.
Applaudissement dans le resto lorsqu’elle tend son doigt pour que je lui mette sa bague.
Je suis sûr qu’au fond d’elle, jamais au grand jamais ce geste avant ma demande, la simple idée, son cerveau aurait pu l’imaginer.
Oui, c’est une grande partie du Tout-Paris qui est témoin de nos vœux de fidélité.
Fidélité bien respectée dès la semaine suivante, lorsque je suis moelleusement installé au fond d’un canapé profond.
Pendant ce temps, ma femme se fait sauter par deux types, ses voisins de table alors que j’étais assis près de la maîtresse de maison femme de plus de cinquante ans qui vient s’assoir à mes côtés.
• Franck, vous êtes seul dans votre coin, j’aimerais baiser avec vous !
• Vous êtes direct, madame Olga, j’ai apprécié votre charme et votre humour lors du repas.
Je dois repousser votre proposition, car si j’accepte de voir ma femme avec ces hommes, je reste fidèle à mon serment de mariage.
Soyez sans crainte, je suis beaucoup candaulisme et j’adore voir ma femme s’éclater dans les bras de ces amants.
Allez vous joindre à eux, je pense que vous savez qu’elle adore s’occuper aussi des filles.
Voilà, ça fait presque cinq ans, que nous sommes mariés Françoise et moi, la vie nocturne et libertine d’une partie du Tout-Paris sait que je baise ma femme seulement dans le lit conjugal.
Et il sait aussi que lorsque nous sortons en soirée, je suis fidèle à mon épouse la regardant simplement ce faire baiser et s’envoyer en l’air.
Les rares fois où nous raccompagnons ses amants chez eux, c’est là que je dois nettoyer des capotes, mais bien moins souvent qu’avant.
Nous réussissons à cacher à tous que dès que nous nous retrouvons chez nous, je rejoins ma chambre, la même que celle lorsque j’étais un simple chauffeur ce que je suis toujours.
Seuls mes émoluments ont augmenté, plus que l’inflation, le silence, ça se paye bien que j’aie toujours été une tombe.
Qui irait chanter sur les toits de Paris qu’il est eunuque, même si au bas de son corps, il a une verge lui servant seulement à pisser.
Voilà, vous savez pourquoi ce titre, je vous quitte, Françoise vient d’arrêter de danser dans les bras d’un beau blond que je lui ai présenté.
Je l’ai rencontré dans la salle de sport que je continue à fréquenter deux fois par semaine en plus du jogging du dimanche matin.
Lorsqu’elle va le sucer, mon cerveau se mettra en marche et c’est moi qui serai à sa place sans que mon épouse sache, que je bande intellectuellement pour elle en la regardant.
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Cyrille
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