COLLECTION CHAUDE DU CUL. Covoiturage avec mon beau-père (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION CHAUDE DU CUL. Covoiturage avec mon beau-père (1/3)
Parce que j’ai accepté en me laissant faire, je suis une salope et je l’assume.
Jeune j’ai très vite aimé mon sexe me caressant avec mes doigts.
Mais je vais me présenter.
Jennifer 24 ans, 2 ans de mariage avec Sylvain mon compagnon 25 ans instituteur dans notre village.
Il aurait pu devenir ingénieur chimiste comme mon beau-père Charles mais il a suivi les traces de ma belle-mère, professeur des écoles.
Prof et fils de prof, il a pu être nommé directement dans l’école de son enfance à cinq minutes de chez nous grâce à ses notes aux examens.
Pour ma part, j’ai fait des études de sciences dans les économies d’énergie.
Trop de diplômes tuent les diplômes et ça fait six mois que je cherche un emploi dans la région d’Annecy.
J’ai dit que j’avais 24 ans sans enfant et l’on peut dire belle femme mariée à un bel homme.
Tout le monde nous prédit de beaux enfants mais ça pas avant mes trente ans.
Carrière oblige.
Quand nous avons décidé de nous marier, mes beaux-parents ayant un grand terrain nous en ont cédé la moitié et nous ont aidés à construire cassant leur épargne-logement.
C’était facile, Sylvain étant fils unique.
Nous mangeons tous les dimanches chez eux, ma belle-mère y tient.
Quand dans quelques lignes nous verrons ce qui m’est arrivée, rien jusqu’à ce jour ne pouvait m’alerter.
- Papa, maman, j’ai le plaisir de vous dire que Jennifer a trouvé du travail à quelques minutes de ton usine papa.
Elle est en essai pendant huit jours car il tient à assurer ce poste rapidement et mon amour rempli tous les critères.
Ces huit jours étant pure formalité.
- À quelle heure commences-tu Jennifer ?
- Je suis en horaire libre et bien que ce soit un poste de cadre, je peux faire mes horaires à ma guise.
- C’est super, un poste certainement à temps plein et moi qui vais pouvoir t’emmener en covoiturage.
- Charles tu veux faire payer ta bru, je te rappelle que comme tu as eu un fils, tu m’as interdit d’en avoir d’autres car on l’a eu sur le tard.
- Je retrouve là ton humour ma chérie.
J’ai toujours une bouteille de champagne dans ma cave à bonne température, on va fêter cette bonne nouvelle en faisant sauter un bouchon.
Mon beau-père va dans sa cave et remonte une bouteille.
Nous trinquons.
- Quand commences-tu Jennifer ?
- Demain matin, ils veulent que je sois opérationnelle le plus vite possible.
- 8 heures demain, ça te va ?
- J’ai peur du retard, il faut que je m’occupe de lever mon grand enfant.
- Fiche-toi de moi Jennifer c’est moi qui te prépare ton café.
- Je suis comme ton papa, Sylvain c’était de l’humour.
- Je serais prête dès 8 heures devant chez vous.
Lorsque je rentre à la maison je suis guillerette.
Je me colle à Sylvain lui passant ma main sur le sexe.
Nous nous embrassons et c’est dans la baignoire après que nous nous sommes débarrassés de nos vêtements les jetant partout pendant que je fais couler l’eau pour la remplir que nous nous retrouvons.
Le bain, lieu de jeu pour nous.
Je m’assieds pour éviter de glisser et asperger la salle de bains ce qui me place à hauteur de son sexe.
De nombreuses femmes rechignent à sucer le sexe de leur moitié.
J'aime, je me sens dominatrice, mes dents étant susceptibles de l’émasculer si la folie me prend ce que j’évite de faire.
L’alcool a tendance à me faire dormir, je le pompe jusqu’à la limite de l’éjaculation.
Il me relève, je tends mon cul me plaçant les mains sur le rebord de la baignoire.
Il me sexe jusqu’à son éjaculation et l’orgasme fugace qui me traverse.
Nous verrons que la situation qui va se développer me trouvera souvent dans ces situations.
- Debout, c’est l’heure je croyais que tu devais me préparer mon café.
- Merde, le réveil a sonné.
- Depuis plus de cinq minutes, ma chérie, heureusement que j’avais programmé la cafetière !
Moins cinq tapant, coiffée et maquillée dans une robe de mois de juin bien que nous soyons en septembre mais l’été semble s’accrocher.
Je rejoins Charles qui sort la voiture de l’un de ses deux garages.
Dans l’autre Arlette, belle-maman a une C3 qui la conduit à son travail.
Je m’installe dans la grosse Mercedes aux sièges en cuir, nous nous avons une C4 Picaso tout de même mais la voiture de beau-papa je l’adore.
Je suis comme chez moi dans ces sièges qui s’adaptent à moi et que l’on peut garder en programmation.
La semaine de formation se passe comme une lettre à la poste, comme les voyages avec Charles.
Peu causant beau papa mais toujours un regard doux quand il me regarde allant même jusqu'à des œillades quand nous nous regardons.
Bref j’attaque notre deuxième semaine.
Il y a un bouchon, d’un seul coup il freine précipitamment.
Empoignant son levier de vitesses, sa main glisse et atterrit sur ma jambe un peu dénudée ma robe légère ayant légèrement remonté.
Il me regarde et au lieu de s’excuser, il me fait un de ces clins d’œil habituels.
Il me dépose, dans la journée j’ai du mal à me concentrer.
Au soir, pas un mot, je regarde par la vitre de mon côté évitant de le regarder.
Dans le reflet, je vois un geste et sa main vient carrément prendre ma cuisse à hauteur de mon genou.
Je sens ma robe remontée, quand il tourne sa tête, impossible que ma culotte soit cachée.
J’aurais dû le rembarrer mais j’aime cette main presque parcheminée parfaitement entretenue mon beau-père quand il va se faire coiffer à une manucure qui les entretiens.
C’est en sortant de l’autoroute qu’il retire sa main en ayant besoin dans ces petites routes du massif des Bauges.
Le soir Sylvain me fait l’amour et me fait jouir.
Ai-je besoin de cette situation ambigu avec mon beau-père alors que j’ai ce qu’il faut à la maison ?
Je dors peu, sauf au matin où j’ai bien du mal à me levé.
J’ai mis un pantalon, j’espère qu’il aura compris que ma jambe est à moi et qu’elle lui ait interdit.
Dès que nous sommes sur l’autoroute, je suis suspendue à ce qu’il va faire.
Un bouchon, on s’arrête, sans le regarder, il me prend la main et la glisse dans sa braguette.
Le geste est si subit que comme pour ma jambe hier je me laisse faire.
Il me regarde au moment où je le regarde et me fait son éternel clin d’œil.
La verge que je sens est libre de tous sous-vêtements.
Avait-il prévu mon pantalon et avait anticipé en oubliant de mettre son boxer.
Son boxer car dans le jardin Arlette étend son linge sur le sèche-linge commun qu’ils ont installé dès leur arrivée et je les vois souvent sécher.
C’était bien prémédité car en temps normal il en met.
Ça n’avance pas, j’ai le temps de masturber cette verge.
Je pense que je vais le finir comme ça et qu’il va s’épancher dans un mouchoir en papier.
- Suce.
L’ordre d’une voix monocorde tombe, il veut que ce soit moi qui prenne la décision de la suite.
La verge sortie du pantalon est fort tentante alors aimant sucer, mais ça je vous l’ai déjà dit, je me penche et le prends dans ma bouche.
Je vois des différences entre la verge paternelle et celle que je pratique depuis notre rencontre avec mon mari, mais je me refuse à les comparer, ce serait du vice.
Quand je suce Sylvain, c’est souvent sans préméditation, l’endroit souvent différent comme la cuisine, la salle de bains là encore vous le savez ou même dans son garage quand il répare notre voiture.
Quand j’ouvre sa cote, souvent je sens l’urine qui c’est immanquablement glisser dans son slip quand il s’est épanché dans le lavabo où il se lave les mainsCes jours-là j’aime les odeurs d’huile chaude.
Celle de Charles, ce matin, il a dû la bichonner, elle sent le propre, et je pense que lorsque de longs jets partent dans ma gorge à aucun moment, les Kleenex ne devaient être de la partie.
- Merci.
Suce et merci presque tous les jours de la semaine, c’est le même scénario
- Suce.
Chaque fois, j’avale sans rechigner son sexe et son sperme.
- Merci
Et nous continuons notre route.
Ce soir, c’est vendredi, demain le week-end.
Je sais que je vais être tranquille.
À aucun moment depuis que je considère ma bouche comme sa vide couille, chez lui ou chez nous, aucun geste déplacé laissant penser à nos conjoins respectifs qu’il se passe quelque chose entre nous hors du cadre de nos maisons.
- Charles pourquoi éviter l’autoroute ?
- J’ai regardé les prévisions sur mon portable avant de partir et ils annoncent un accident engendrant un gros bouchon.
Nous rentrons par la nationale !
Je vais te faire voir quelque chose en chemin.
Qu’est-ce que Charles mijote encore…
Jeune j’ai très vite aimé mon sexe me caressant avec mes doigts.
Mais je vais me présenter.
Jennifer 24 ans, 2 ans de mariage avec Sylvain mon compagnon 25 ans instituteur dans notre village.
Il aurait pu devenir ingénieur chimiste comme mon beau-père Charles mais il a suivi les traces de ma belle-mère, professeur des écoles.
Prof et fils de prof, il a pu être nommé directement dans l’école de son enfance à cinq minutes de chez nous grâce à ses notes aux examens.
Pour ma part, j’ai fait des études de sciences dans les économies d’énergie.
Trop de diplômes tuent les diplômes et ça fait six mois que je cherche un emploi dans la région d’Annecy.
J’ai dit que j’avais 24 ans sans enfant et l’on peut dire belle femme mariée à un bel homme.
Tout le monde nous prédit de beaux enfants mais ça pas avant mes trente ans.
Carrière oblige.
Quand nous avons décidé de nous marier, mes beaux-parents ayant un grand terrain nous en ont cédé la moitié et nous ont aidés à construire cassant leur épargne-logement.
C’était facile, Sylvain étant fils unique.
Nous mangeons tous les dimanches chez eux, ma belle-mère y tient.
Quand dans quelques lignes nous verrons ce qui m’est arrivée, rien jusqu’à ce jour ne pouvait m’alerter.
- Papa, maman, j’ai le plaisir de vous dire que Jennifer a trouvé du travail à quelques minutes de ton usine papa.
Elle est en essai pendant huit jours car il tient à assurer ce poste rapidement et mon amour rempli tous les critères.
Ces huit jours étant pure formalité.
- À quelle heure commences-tu Jennifer ?
- Je suis en horaire libre et bien que ce soit un poste de cadre, je peux faire mes horaires à ma guise.
- C’est super, un poste certainement à temps plein et moi qui vais pouvoir t’emmener en covoiturage.
- Charles tu veux faire payer ta bru, je te rappelle que comme tu as eu un fils, tu m’as interdit d’en avoir d’autres car on l’a eu sur le tard.
- Je retrouve là ton humour ma chérie.
J’ai toujours une bouteille de champagne dans ma cave à bonne température, on va fêter cette bonne nouvelle en faisant sauter un bouchon.
Mon beau-père va dans sa cave et remonte une bouteille.
Nous trinquons.
- Quand commences-tu Jennifer ?
- Demain matin, ils veulent que je sois opérationnelle le plus vite possible.
- 8 heures demain, ça te va ?
- J’ai peur du retard, il faut que je m’occupe de lever mon grand enfant.
- Fiche-toi de moi Jennifer c’est moi qui te prépare ton café.
- Je suis comme ton papa, Sylvain c’était de l’humour.
- Je serais prête dès 8 heures devant chez vous.
Lorsque je rentre à la maison je suis guillerette.
Je me colle à Sylvain lui passant ma main sur le sexe.
Nous nous embrassons et c’est dans la baignoire après que nous nous sommes débarrassés de nos vêtements les jetant partout pendant que je fais couler l’eau pour la remplir que nous nous retrouvons.
Le bain, lieu de jeu pour nous.
Je m’assieds pour éviter de glisser et asperger la salle de bains ce qui me place à hauteur de son sexe.
De nombreuses femmes rechignent à sucer le sexe de leur moitié.
J'aime, je me sens dominatrice, mes dents étant susceptibles de l’émasculer si la folie me prend ce que j’évite de faire.
L’alcool a tendance à me faire dormir, je le pompe jusqu’à la limite de l’éjaculation.
Il me relève, je tends mon cul me plaçant les mains sur le rebord de la baignoire.
Il me sexe jusqu’à son éjaculation et l’orgasme fugace qui me traverse.
Nous verrons que la situation qui va se développer me trouvera souvent dans ces situations.
- Debout, c’est l’heure je croyais que tu devais me préparer mon café.
- Merde, le réveil a sonné.
- Depuis plus de cinq minutes, ma chérie, heureusement que j’avais programmé la cafetière !
Moins cinq tapant, coiffée et maquillée dans une robe de mois de juin bien que nous soyons en septembre mais l’été semble s’accrocher.
Je rejoins Charles qui sort la voiture de l’un de ses deux garages.
Dans l’autre Arlette, belle-maman a une C3 qui la conduit à son travail.
Je m’installe dans la grosse Mercedes aux sièges en cuir, nous nous avons une C4 Picaso tout de même mais la voiture de beau-papa je l’adore.
Je suis comme chez moi dans ces sièges qui s’adaptent à moi et que l’on peut garder en programmation.
La semaine de formation se passe comme une lettre à la poste, comme les voyages avec Charles.
Peu causant beau papa mais toujours un regard doux quand il me regarde allant même jusqu'à des œillades quand nous nous regardons.
Bref j’attaque notre deuxième semaine.
Il y a un bouchon, d’un seul coup il freine précipitamment.
Empoignant son levier de vitesses, sa main glisse et atterrit sur ma jambe un peu dénudée ma robe légère ayant légèrement remonté.
Il me regarde et au lieu de s’excuser, il me fait un de ces clins d’œil habituels.
Il me dépose, dans la journée j’ai du mal à me concentrer.
Au soir, pas un mot, je regarde par la vitre de mon côté évitant de le regarder.
Dans le reflet, je vois un geste et sa main vient carrément prendre ma cuisse à hauteur de mon genou.
Je sens ma robe remontée, quand il tourne sa tête, impossible que ma culotte soit cachée.
J’aurais dû le rembarrer mais j’aime cette main presque parcheminée parfaitement entretenue mon beau-père quand il va se faire coiffer à une manucure qui les entretiens.
C’est en sortant de l’autoroute qu’il retire sa main en ayant besoin dans ces petites routes du massif des Bauges.
Le soir Sylvain me fait l’amour et me fait jouir.
Ai-je besoin de cette situation ambigu avec mon beau-père alors que j’ai ce qu’il faut à la maison ?
Je dors peu, sauf au matin où j’ai bien du mal à me levé.
J’ai mis un pantalon, j’espère qu’il aura compris que ma jambe est à moi et qu’elle lui ait interdit.
Dès que nous sommes sur l’autoroute, je suis suspendue à ce qu’il va faire.
Un bouchon, on s’arrête, sans le regarder, il me prend la main et la glisse dans sa braguette.
Le geste est si subit que comme pour ma jambe hier je me laisse faire.
Il me regarde au moment où je le regarde et me fait son éternel clin d’œil.
La verge que je sens est libre de tous sous-vêtements.
Avait-il prévu mon pantalon et avait anticipé en oubliant de mettre son boxer.
Son boxer car dans le jardin Arlette étend son linge sur le sèche-linge commun qu’ils ont installé dès leur arrivée et je les vois souvent sécher.
C’était bien prémédité car en temps normal il en met.
Ça n’avance pas, j’ai le temps de masturber cette verge.
Je pense que je vais le finir comme ça et qu’il va s’épancher dans un mouchoir en papier.
- Suce.
L’ordre d’une voix monocorde tombe, il veut que ce soit moi qui prenne la décision de la suite.
La verge sortie du pantalon est fort tentante alors aimant sucer, mais ça je vous l’ai déjà dit, je me penche et le prends dans ma bouche.
Je vois des différences entre la verge paternelle et celle que je pratique depuis notre rencontre avec mon mari, mais je me refuse à les comparer, ce serait du vice.
Quand je suce Sylvain, c’est souvent sans préméditation, l’endroit souvent différent comme la cuisine, la salle de bains là encore vous le savez ou même dans son garage quand il répare notre voiture.
Quand j’ouvre sa cote, souvent je sens l’urine qui c’est immanquablement glisser dans son slip quand il s’est épanché dans le lavabo où il se lave les mainsCes jours-là j’aime les odeurs d’huile chaude.
Celle de Charles, ce matin, il a dû la bichonner, elle sent le propre, et je pense que lorsque de longs jets partent dans ma gorge à aucun moment, les Kleenex ne devaient être de la partie.
- Merci.
Suce et merci presque tous les jours de la semaine, c’est le même scénario
- Suce.
Chaque fois, j’avale sans rechigner son sexe et son sperme.
- Merci
Et nous continuons notre route.
Ce soir, c’est vendredi, demain le week-end.
Je sais que je vais être tranquille.
À aucun moment depuis que je considère ma bouche comme sa vide couille, chez lui ou chez nous, aucun geste déplacé laissant penser à nos conjoins respectifs qu’il se passe quelque chose entre nous hors du cadre de nos maisons.
- Charles pourquoi éviter l’autoroute ?
- J’ai regardé les prévisions sur mon portable avant de partir et ils annoncent un accident engendrant un gros bouchon.
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