COLLECTION CHAUDE DU CUL. Covoiturage avec mon beau-père (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION CHAUDE DU CUL. Covoiturage avec mon beau-père (2/3)
Ayant accepté les privautés de mon beau-père, je suis une salope et je l’assume.
Jeune j’ai très vite aimé mon sexe me caressant avec mes doigts.
Mais je vais me présenter.
Jennifer 24 ans, 2 ans de mariage avec Sylvain mon compagnon 25 ans instituteur dans notre village.
Ayant retrouvé un travail après des mois de chômage, j’ai la chance qu’il se trouve à dix minutes de celui de Charles mon beau-père.
J’ai une période de huit jours avant de signer un CDI.
J’allais dire, tout se passe bien.
Non, ce qui va arriver avec mon beau-père comme je semble l’accepter il est difficile de dire que ça se passe mal.
Donc tout va pendant ces cinq premiers jours à part quelques bouchons qui nous retardent.
Par chance, nous avons la chance d’être en horaire libre et nous assurons notre poste de travail.
C’est dès le lundi que Charles se permet une privauté.
Faisant celui qui a la main qui glisse, elle atterrit sur mon genou.
Je le regarde et il me fait un clin d’œil me laissant sans voix.
J’aurais dû le remettre en place, mais je voulais certainement éviter tout conflit avec la famille de mon mari.
Conflit avec la famille mais aussi mon homme quand j’accepte les privautés de mon beau-père.
Aucun conflit avec lui expliquant mon acceptation quand il sort sa queue me faisant avaler son sperme.
Sylvain me satisfait c’est donc que je suis foncièrement une salope.
- Charles pourquoi engagé vous la voiture vers la gauche alors que l’autoroute plus rapide est de l’autre côté.
Je vais te faire voir quelque chose en chemin.
Depuis que mon beau-père se permet des privautés avec moi, j’ai perdu l’habitude de poser plus de question.
Je m’enfonce dans les sièges attendant la suite.
Nous roulons quelques kilomètres et entrons dans l’une des nombreuses forêts entourant la ville d’Annecy et son lac si célèbre.
En plein milieu, il ralentit et s’engage dans un chemin bitumé mais mal entretenu.
C’est carrossable jusqu’à ce que nous longions un grillage mal entretenu.
Où vais-je finir où Charles me conduit-il ?
Un portail en fer forgé dont un panneau est à moitié arraché avec de vieux engins de chantier rouillé.
Devant le bâtiment il arrête la voiture et descend.
- Viens.
Je descends, il contourne la voiture et vient à ma hauteur.
- Quand j’ai commencé à travailler, c’est ici que j’ai commencé dans ce bâtiment.
Derrière il y a une carrière qui en ce temps-là était exploitée.
On a fait faillite et les locaux et les engins se sont retrouvés dans l’état où tu les vois aujourd’hui.
C’est un lieu où personne ne vient et nous serons tranquilles.
Finissant sa phrase, il se colle à moi, je sens qu’il bande car au moment où il a attaqué je me suis retournée.
- J’aime que tu me suces petite salope, mais j’ai aussi envie de te baiser.
- Ici, dans ce bout du monde.
As-tu déjà baisé une femme dans ces lieux ?
- Du temps où ça tournait, je vais être franc j’étais l’amant de la patronne.
Chaque fois que son cocu de mari partait elle y avait droit.
Tu dois m’en vouloir, mais j’étais jeune, je venais de prendre mes fonctions.
- Tu étais déjà avec belle-maman ?
- J’aime comme tu dis belle maman.
Oui, elle était enceinte de Sylvain et se refusait à moi, c’est à ce moment que je l’ai trompé alors que je suis sûr que si elle avait accepté de continuer à faire l’amour, je serais resté un mari fidèle.
Pose ton pied sur la roue, ça va dégager ta chatte.
- Vas-tu me baiser avec ma culotte ?
- Que représente une petite culotte quand on a envie d’une femme comme tu dois sentir combien je te veux ?
Inutile de me dire que tu es la femme de mon fils.
Dès la première minute où je t’ai vu je savais la salope que tu étais.
J’en ai eu confirmation dans la voiture.
Je sens qu’il passe ses doigts entre mes fesses et ma culotte et tire.
- Tu vois une culotte comment je l’ai enlevée pour atteindre mon but.
Il m’embrasse dans le cou.
Pour moi c’est un de mes points les plus sensibles.
Je fonds littéralement.
Je passe mon bras derrière nos têtes pour que nous soyons mieux soudés.
Je tourne ma tête au moment où il présente son gland à ma chatte et je lui donne mes lèvres.
J’ai souvent pensé qu’un jour je pourrais être dans l’obligation de tromper Sylvain sans jamais franchir le pas.
Mais dans mes moments de délire les plus forts, j’ai toujours pensé que de donner mes lèvres à un amant était vraiment trompé.
Je les offre à Charles avec envie son gland me faisant déjà mouiller.
En plus de l’interdit, le lieu et la position augmentent mon désir.
Sylvain à part la baignoire est d’un classique immuable.
Quatre-vingt-dix pourcents du temps c’est dans notre lit qu’il me baise même comme je l’ai dit, il me fait jouir.
Devant cet immeuble délabré avec le risque d’être découvert ça décuple mon plaisir surtout que Charles sait se servir de sa bite pour mon plus grand plaisir.
- Charles t’a ton déjà dit que tu étais un salopard.
- Toi Jennifer t’avait ton déjà dit que tu étais une garce à te faire baiser le pied sur le pneu de ma voiture.
Deux bêtes en rut, c’est normal dans une forêt, Charles me fait jouir et j’explose littéralement.
- Merci Jennifer, on garde ça pour nous.
Il me dit ça sans le moindre sourire, je devrais le rembarrer mais quand nous remontons en voiture.
Je le vois mettre ma culotte ravagée dans sa poche satisfaite de sentir sa semence chaude au plus profond de moi.
Il est entré d’un côté de la forêt, nous ressortons de l’autre.
L’avantage c’est que si quelqu’un nous a vus entrer, il en sera pour ses frais.
Nous récupérons l’autoroute et nous arrivons dans nos maisons.
- Vous êtes déjà là, mon portable m’a dit qu’il y avait eu un accident en début d’après-midi, j’avais peur que vous ne soyez plus tard.
Je regarde Charles qui est à deux doigts d’éclater de rire.
Pourtant nous avons pris notre temps, inutile de le dire à la cocu de service.
- Sylvain est rentré, il est allé te préparer à manger.
Vous venez faire un rami tout à l’heure.
- Ma chérie arrête d’embêter les enfants, tu vas avoir encore une chance de cocu.
- Je te sais fidèle mon chéri surtout quand tu es avec notre petite Jennifer.
Que veux-tu faire à la femme de ton fils se serait monstrueux ?
Puéril avec ça !
Cocu mais puéril, j’ai moins de scrupule si j’en avais eu d’ailleurs à l’avoir trompé sachant que l’expérience se renouvellera à la première occasion.
Suis-je où ne suis-je pas une salope ?
- Rami.
- Quand je te disais que tu avais une chance de cocu ma chère.
Nous faisons les comptes, Arlette mérite bien ses cornes, elle me pique presque 50 €.
Sylvain lui aussi est cocu mais il nous pique que 12 €.
Pendant que je pense cela, Charles jouant face à moi dans son peignoir en soie, a enlevé sa babouche et son pied est dans ma chatte.
Je suis à deux doigts de jouir, mais j’arrive à contenir mon plaisir.
Repus de sexe, nous partons nous coucher.
Sylvain a des envies, je veux le satisfaire.
C’est en me refusant que je risque d’attirer son attention.
Je pratique mon sport favori, la sucette avalant rapidement le sperme de mon homme.
Je me suis lavée dès que je suis rentrée mais savoir que je me suis fait remplir la chatte et la bouche par les deux bites familiales me laisse en joie.
Je m’endors comme un bébé que je suis loin d’être restée.
Hier, j’étais avec belle maman nous étendions du linge, elle m’a fait une déclaration qui m’a fait sourire.
- Je dois te remercier Jennifer, Charles m’a emmené chez ma coiffeuse et je l’ai trouvé beaucoup plus décontracté au volant.
Avant il jurait et conduisait comme un fou alors que je le sens le faire sans excès.
J’ai envie de lui dire que conduire en se faisant sucer la queue, roulez à tombeau ouvert c’est la morgue assurée.
- T’es-tu déjà fait enculer ?...
Jeune j’ai très vite aimé mon sexe me caressant avec mes doigts.
Mais je vais me présenter.
Jennifer 24 ans, 2 ans de mariage avec Sylvain mon compagnon 25 ans instituteur dans notre village.
Ayant retrouvé un travail après des mois de chômage, j’ai la chance qu’il se trouve à dix minutes de celui de Charles mon beau-père.
J’ai une période de huit jours avant de signer un CDI.
J’allais dire, tout se passe bien.
Non, ce qui va arriver avec mon beau-père comme je semble l’accepter il est difficile de dire que ça se passe mal.
Donc tout va pendant ces cinq premiers jours à part quelques bouchons qui nous retardent.
Par chance, nous avons la chance d’être en horaire libre et nous assurons notre poste de travail.
C’est dès le lundi que Charles se permet une privauté.
Faisant celui qui a la main qui glisse, elle atterrit sur mon genou.
Je le regarde et il me fait un clin d’œil me laissant sans voix.
J’aurais dû le remettre en place, mais je voulais certainement éviter tout conflit avec la famille de mon mari.
Conflit avec la famille mais aussi mon homme quand j’accepte les privautés de mon beau-père.
Aucun conflit avec lui expliquant mon acceptation quand il sort sa queue me faisant avaler son sperme.
Sylvain me satisfait c’est donc que je suis foncièrement une salope.
- Charles pourquoi engagé vous la voiture vers la gauche alors que l’autoroute plus rapide est de l’autre côté.
Je vais te faire voir quelque chose en chemin.
Depuis que mon beau-père se permet des privautés avec moi, j’ai perdu l’habitude de poser plus de question.
Je m’enfonce dans les sièges attendant la suite.
Nous roulons quelques kilomètres et entrons dans l’une des nombreuses forêts entourant la ville d’Annecy et son lac si célèbre.
En plein milieu, il ralentit et s’engage dans un chemin bitumé mais mal entretenu.
C’est carrossable jusqu’à ce que nous longions un grillage mal entretenu.
Où vais-je finir où Charles me conduit-il ?
Un portail en fer forgé dont un panneau est à moitié arraché avec de vieux engins de chantier rouillé.
Devant le bâtiment il arrête la voiture et descend.
- Viens.
Je descends, il contourne la voiture et vient à ma hauteur.
- Quand j’ai commencé à travailler, c’est ici que j’ai commencé dans ce bâtiment.
Derrière il y a une carrière qui en ce temps-là était exploitée.
On a fait faillite et les locaux et les engins se sont retrouvés dans l’état où tu les vois aujourd’hui.
C’est un lieu où personne ne vient et nous serons tranquilles.
Finissant sa phrase, il se colle à moi, je sens qu’il bande car au moment où il a attaqué je me suis retournée.
- J’aime que tu me suces petite salope, mais j’ai aussi envie de te baiser.
- Ici, dans ce bout du monde.
As-tu déjà baisé une femme dans ces lieux ?
- Du temps où ça tournait, je vais être franc j’étais l’amant de la patronne.
Chaque fois que son cocu de mari partait elle y avait droit.
Tu dois m’en vouloir, mais j’étais jeune, je venais de prendre mes fonctions.
- Tu étais déjà avec belle-maman ?
- J’aime comme tu dis belle maman.
Oui, elle était enceinte de Sylvain et se refusait à moi, c’est à ce moment que je l’ai trompé alors que je suis sûr que si elle avait accepté de continuer à faire l’amour, je serais resté un mari fidèle.
Pose ton pied sur la roue, ça va dégager ta chatte.
- Vas-tu me baiser avec ma culotte ?
- Que représente une petite culotte quand on a envie d’une femme comme tu dois sentir combien je te veux ?
Inutile de me dire que tu es la femme de mon fils.
Dès la première minute où je t’ai vu je savais la salope que tu étais.
J’en ai eu confirmation dans la voiture.
Je sens qu’il passe ses doigts entre mes fesses et ma culotte et tire.
- Tu vois une culotte comment je l’ai enlevée pour atteindre mon but.
Il m’embrasse dans le cou.
Pour moi c’est un de mes points les plus sensibles.
Je fonds littéralement.
Je passe mon bras derrière nos têtes pour que nous soyons mieux soudés.
Je tourne ma tête au moment où il présente son gland à ma chatte et je lui donne mes lèvres.
J’ai souvent pensé qu’un jour je pourrais être dans l’obligation de tromper Sylvain sans jamais franchir le pas.
Mais dans mes moments de délire les plus forts, j’ai toujours pensé que de donner mes lèvres à un amant était vraiment trompé.
Je les offre à Charles avec envie son gland me faisant déjà mouiller.
En plus de l’interdit, le lieu et la position augmentent mon désir.
Sylvain à part la baignoire est d’un classique immuable.
Quatre-vingt-dix pourcents du temps c’est dans notre lit qu’il me baise même comme je l’ai dit, il me fait jouir.
Devant cet immeuble délabré avec le risque d’être découvert ça décuple mon plaisir surtout que Charles sait se servir de sa bite pour mon plus grand plaisir.
- Charles t’a ton déjà dit que tu étais un salopard.
- Toi Jennifer t’avait ton déjà dit que tu étais une garce à te faire baiser le pied sur le pneu de ma voiture.
Deux bêtes en rut, c’est normal dans une forêt, Charles me fait jouir et j’explose littéralement.
- Merci Jennifer, on garde ça pour nous.
Il me dit ça sans le moindre sourire, je devrais le rembarrer mais quand nous remontons en voiture.
Je le vois mettre ma culotte ravagée dans sa poche satisfaite de sentir sa semence chaude au plus profond de moi.
Il est entré d’un côté de la forêt, nous ressortons de l’autre.
L’avantage c’est que si quelqu’un nous a vus entrer, il en sera pour ses frais.
Nous récupérons l’autoroute et nous arrivons dans nos maisons.
- Vous êtes déjà là, mon portable m’a dit qu’il y avait eu un accident en début d’après-midi, j’avais peur que vous ne soyez plus tard.
Je regarde Charles qui est à deux doigts d’éclater de rire.
Pourtant nous avons pris notre temps, inutile de le dire à la cocu de service.
- Sylvain est rentré, il est allé te préparer à manger.
Vous venez faire un rami tout à l’heure.
- Ma chérie arrête d’embêter les enfants, tu vas avoir encore une chance de cocu.
- Je te sais fidèle mon chéri surtout quand tu es avec notre petite Jennifer.
Que veux-tu faire à la femme de ton fils se serait monstrueux ?
Puéril avec ça !
Cocu mais puéril, j’ai moins de scrupule si j’en avais eu d’ailleurs à l’avoir trompé sachant que l’expérience se renouvellera à la première occasion.
Suis-je où ne suis-je pas une salope ?
- Rami.
- Quand je te disais que tu avais une chance de cocu ma chère.
Nous faisons les comptes, Arlette mérite bien ses cornes, elle me pique presque 50 €.
Sylvain lui aussi est cocu mais il nous pique que 12 €.
Pendant que je pense cela, Charles jouant face à moi dans son peignoir en soie, a enlevé sa babouche et son pied est dans ma chatte.
Je suis à deux doigts de jouir, mais j’arrive à contenir mon plaisir.
Repus de sexe, nous partons nous coucher.
Sylvain a des envies, je veux le satisfaire.
C’est en me refusant que je risque d’attirer son attention.
Je pratique mon sport favori, la sucette avalant rapidement le sperme de mon homme.
Je me suis lavée dès que je suis rentrée mais savoir que je me suis fait remplir la chatte et la bouche par les deux bites familiales me laisse en joie.
Je m’endors comme un bébé que je suis loin d’être restée.
Hier, j’étais avec belle maman nous étendions du linge, elle m’a fait une déclaration qui m’a fait sourire.
- Je dois te remercier Jennifer, Charles m’a emmené chez ma coiffeuse et je l’ai trouvé beaucoup plus décontracté au volant.
Avant il jurait et conduisait comme un fou alors que je le sens le faire sans excès.
J’ai envie de lui dire que conduire en se faisant sucer la queue, roulez à tombeau ouvert c’est la morgue assurée.
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