COLLECTION COCU. Comment ai-je pu faire ça (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2411 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 038 608 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 10 455 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION COCU. Comment ai-je pu faire ça (1/3)
• Au revoir les enfants, au revoir ma chérie, les enfants soyez sage avec maman, elle aussi a le droit au repos.
Luce, je compte sur toi, à 13 ans tu es une grande fille.
• Oui papa, je m’occuperais des jumeaux le plus que je peux, comme tu nous as inscrit au club des Licornes, ils seront déjà occupés une bonne partie de la journée.
• Bonne route mon chéri, fais attention sur l’autoroute.
• Je ne fais pas d’excès de vitesse, aucune crainte, notre nouvelle voiture à un limiteur de vitesse, regarde je l’ai déjà réglée sur 130.
Un dernier baisé, j’ai l’habitude de le voir partir, à 38 ans depuis que nous nous connaissons, nous passons nos étés dans la villa de famille de mes beaux-parents en aout.
Cette année changement de programme mes beaux-parents sont partis habiter au Portugal, une offre leur a été faite, ils soignent les séniors à ce qu’ils disent.
Jamais au grand jamais, je ne pourrais m’éloigner de mes enfants pour une simple question de fric, eux l’ont pu même si je sens que Lionel est triste qu’ils soient loin de nous et des enfants.
Cette année, la villa, au lieu d’un mois, c’est tout le temps des vacances qu’elle est à notre disposition.
Lionel, je le connais depuis le jour ou à la fac il m’a été présenté, c’était le plus beau, le plus fort, il a quarante ans et je l’aime plus que tout au monde.
J’avais 25 ans quand nous avons eu Luce, elle en a treize aujourd’hui.
13 ans de bonheur avant que pour mes trente ans la nature capricieuse, un vulgaire problème de stérilet nous apporte la joie de la naissance des jumeaux, Luc et Lucas.
Tous en pleine forme.
Deux enfants d’un coup, moi qui comme lui est avocat, j’en ai profité pour prendre du recule.
Dès cette année, la nouvelle employée que nous avons embauchée me soulage de mes dossiers pendant ce temps où nous serons sur la plage qui fera beaucoup de bien aux enfants loin de la pollution parisienne.
Par chance, depuis le mois de juin, le soleil est partout et cela tous les jours.
Les paysans souffrent mais en bons Parisiens égoïstes, même si nous sommes écolo, j’achète bio autant que je peux et je ferme l’eau quand je prends une douche ayant banni les bains où je me prélassais pendant des heures.
Lionel a eu 40 ans il y a peu, cette voiture hybride électrique à faible vitesse même si elle consomme autant sinon plus que celle que nous avions avant à vitesse de croisière, c’est moi qui lui ai offert.
Lionel, Luce, Luc et Lucas, ajouté à ces noms Ludivine, vous avez la bande des cinq L.
• Allez les enfants préparés vous, direction la plage, les Licornes ouvrent dans trente minutes.
Les jumeaux, papa vous a inscrits au cours de natation comme nous avions fait pour Luce, à la fin des vacances vous aurez nagé.
Je les dépose et je vais me mettre non loin du bord de l’eau à l’endroit où nous plaçons depuis des années.
La quarantaine approchant à grands pas, je dois dire que je suis fière de la plastique que je présente à ceux qui veulent m’admirer.
C’est grâce à ma pratique de la salle de gym non loin notre cabinet que je m’entretiens depuis que nous nous sommes installés à notre compte.
Cette année, l’un des deux maillots que je me suis achetée, est noire, le haut et le bas.
Ça renforce ma blondeur, je suis blonde ainsi que l’ensemble de la bande de L.
Enfin le calme, je les entends jouer avec la vingtaine de copains.
Je m’allonge sur ma serviette lunette de soleil sur le nez.
Je vais pour me retourner pour voir si tout va bien, j’ai promis à Lionel d’éviter d’être mère poule ce que je suis d’habitude, quand je prends ma crème solaire, je reste à regarder les petites vagues clapoter, elle est d’huile comme depuis notre arrivée.
Je suis fière de moi, j’aurais pu flancher, je suis resté stoïque pour la première fois de ma vie de maman.
Si mes yeux restent fixes, mes oreilles restent ouvertes, le club possède une petite piscine où les jumeaux vont apprendre à nager.
Ils doivent apprendre à sauter dans l’eau, car j’entends des cris de joie chaque fois que l’eau doit jaillir autour d’eux.
Je suis équipée, j’ai un petit cousin que je gonfle, j’ai horreur d’avoir la tête à plat.
Je suis là depuis une demi-heure quand un homme dans la cinquantaine vient s’installer près de moi, attention, il y a plus de cinq mètres entre nous.
Bel homme, du moins il a dû l’être, ventre plat, mais abdos se plissant.
Il est brun autant que je suis blonde.
Pour éviter de faire croire à quiconque que je le matte, je tourne la tête, bien vite, mes oreilles se bouchent aux cris de mes enfants et je repense à la soirée d’hier.
Les trois garnements étaient couchés, je sais par expérience qu’ils font tellement de choses dans leur journée qu’ils dorment toujours à poings fermés jusqu’au matin.
Nous étions sur la terrasse à profiter de la légère fraîcheur de la nuit, nous étions dans des transats, Lionel nous avait préparé une citronnade avec des glaçons pendant que je couchais nos garnements.
Le broc étant vide, il est allé dans le frigo en chercher.
Quand il est revenu avant que j’aie eu le temps de faire le moindre geste, il a fait glisser un glaçon dans mon bonnet 95C de mon deuxième maillot rose.
Il a posé le broc sur la table basse et c’est approché, il avait gardé en main un autre glaçon qu’il a promené sur mon ventre.
J’ai été à deux doigts de hurler, mais la peur de réveiller les petites canailles a fait que je suis resté calme, ayant seulement un mouvement de mon ventre qui m’a monté qu’il m’était facile de cacher le début d’un petit embonpoint.
Dans le même mouvement, il m’a pris mes lèvres dans un baiser bien profond.
Je dois reconnaître qu’il y avait bien longtemps qu’un baiser comme celui-là, nous ne nous en étions plus donné.
Son glaçon et sa main sont descendus plus bas et sont passés sous l’élastique au risque de l’exploser.
J’ai senti qu’il écartait mes lèvres vaginales et qu’il y enfonçait son morceau de glace.
J’étais frissonnante, sans plus longtemps penser aux enfants, il a tiré sur mon slip me libérant de toute entrave et de toute pudeur.
J’ai écarté mes cuisses et c’est sa langue au début puis ces dents qui ont fini de faire fondre en moi le reste de glace.
Je sentais que même à cause du froid, ma chatte coulait, je retrouvais les moments de ma jeunesse si tenté que je sois vieille à moins de quarante ans.
Dans ces premiers moments de connaissance de l’un et l’autre, les endroits insolites où nous avions la possibilité de baiser comme la plage nous permettaient d’avoir des moments tendre loin de mes beaux-parents.
Nous en rigolons encore quand nous nous installons, nous sommes persuadés que c’est ici à quelques mètres prêts que nous avons conçu Luce, nous obligeant à précipiter notre mariage.
Mais comme nous nous aimions et que nos parents avaient l’esprit ouvert, tout est rentré dans l’ordre rapidement.
J’ai simplement eu une alliance ayant eu déjà ma bague de fiançailles dans le respect des traditions.
Lionel est venu sur moi et c’est sur ce transat que nous avons fait l’amour, c’était divin.
J’ai joui en moi afin d’éviter d’exprimer tout haut le plaisir qu’il m’a donné avant de me remplir de son sperme.
• Maman, je sais nager.
Fini la tranquillité, fini la baise sur le transat, j’ai dû m’endormir, mon corps me brûle.
Au début, la crème a dû faire son effet mais à rester si longtemps certainement à dormir, je suis cuite à point.
• Les enfants nous rentrons, il faut que je me douche.
À quelques mètres l’homme qui a déclenché mes souvenirs érotiques d’hier au soir se lève passe près de nous et prend le chemin de sable menant aux villas.
Les enfants le doublent et entrent chez nous certainement pour aller jouer à la console.
L’homme s’arrête à hauteur du portillon semblant m’attendre.
• Êtes-vous Ludivine, la femme de Lionel ?
• Oui, on se connaît !
• Non, pas directement, je m’appelle Louis, je suis le petit-fils de Louisette et Lucien, ils sont restés chez eux à Poitiers, Mamy a eu une prothèse du genou et elle est en rééduc.
Je viens de revenir du Brésil ou j’habite et ou j’ai une entreprise de maçonnerie afin que je passe quelques jours de vacances, ils m’ont donné les clefs de leur villa.
Ils m’ont dit de vous saluer si je vous voyais, ils semblent énormément vous apprécier.
• Vous me voyez ennuyer d’apprendre que votre grand-mère a eu des ennuis de santé, si vous avez l’occasion de leur dire, dit leur que je pense bien à eux.
• Maman, Luc et Lucas m’ont tiré les cheveux.
• Et voilà comment le plaisir de parler avec une jolie femme se trouve briser par des cheveux tirés.
Je vois Louis franchir les quelques mètres qui le mènent à son propre portillon et entrer dans la villa juste à quelques mètres de la nôtre.
Je m’occupe des enfants, jusqu’au moment de les embrasser et de les coucher.
Il fait une chaleur étouffante, voyant qu’ils dorment, après une douche je passe mon déshabillé que Lionel aime tant.
Je sors sur le pas de ma porte, puis sur ma terrasse avant de m’approcher du portillon.
J’entends de la musique douce, venant de la maison voisine.
J’ai failli dire de chez Louis, je suis folle, j’aime Lionel, je lui suis fidèle depuis le jour oui sur cette plage, je lui ai donné mon cœur et mon corps même s’il sait qu’il est loin d’avoir été le premier.
Il en était de même pour lui.
• Alors belle enfant, on se prend le frais, vous avez raison ici la brise marine se fait légèrement sentir.
Excuse ma tenue, je suis un peu naturiste et chez moi, je suis toute l’année sans vêtements.
Viens, je t’offre un verre de caïpirinha, sucre, citron vert, cachaça et glace pilée, j’en ai sur ma terrasse.
• Mes enfants.
• Tu n’as rien à craindre nous serons à quelques mètres d’eux, nous resterons dehors, nous les entendrons et verrons s’ils allument…
Luce, je compte sur toi, à 13 ans tu es une grande fille.
• Oui papa, je m’occuperais des jumeaux le plus que je peux, comme tu nous as inscrit au club des Licornes, ils seront déjà occupés une bonne partie de la journée.
• Bonne route mon chéri, fais attention sur l’autoroute.
• Je ne fais pas d’excès de vitesse, aucune crainte, notre nouvelle voiture à un limiteur de vitesse, regarde je l’ai déjà réglée sur 130.
Un dernier baisé, j’ai l’habitude de le voir partir, à 38 ans depuis que nous nous connaissons, nous passons nos étés dans la villa de famille de mes beaux-parents en aout.
Cette année changement de programme mes beaux-parents sont partis habiter au Portugal, une offre leur a été faite, ils soignent les séniors à ce qu’ils disent.
Jamais au grand jamais, je ne pourrais m’éloigner de mes enfants pour une simple question de fric, eux l’ont pu même si je sens que Lionel est triste qu’ils soient loin de nous et des enfants.
Cette année, la villa, au lieu d’un mois, c’est tout le temps des vacances qu’elle est à notre disposition.
Lionel, je le connais depuis le jour ou à la fac il m’a été présenté, c’était le plus beau, le plus fort, il a quarante ans et je l’aime plus que tout au monde.
J’avais 25 ans quand nous avons eu Luce, elle en a treize aujourd’hui.
13 ans de bonheur avant que pour mes trente ans la nature capricieuse, un vulgaire problème de stérilet nous apporte la joie de la naissance des jumeaux, Luc et Lucas.
Tous en pleine forme.
Deux enfants d’un coup, moi qui comme lui est avocat, j’en ai profité pour prendre du recule.
Dès cette année, la nouvelle employée que nous avons embauchée me soulage de mes dossiers pendant ce temps où nous serons sur la plage qui fera beaucoup de bien aux enfants loin de la pollution parisienne.
Par chance, depuis le mois de juin, le soleil est partout et cela tous les jours.
Les paysans souffrent mais en bons Parisiens égoïstes, même si nous sommes écolo, j’achète bio autant que je peux et je ferme l’eau quand je prends une douche ayant banni les bains où je me prélassais pendant des heures.
Lionel a eu 40 ans il y a peu, cette voiture hybride électrique à faible vitesse même si elle consomme autant sinon plus que celle que nous avions avant à vitesse de croisière, c’est moi qui lui ai offert.
Lionel, Luce, Luc et Lucas, ajouté à ces noms Ludivine, vous avez la bande des cinq L.
• Allez les enfants préparés vous, direction la plage, les Licornes ouvrent dans trente minutes.
Les jumeaux, papa vous a inscrits au cours de natation comme nous avions fait pour Luce, à la fin des vacances vous aurez nagé.
Je les dépose et je vais me mettre non loin du bord de l’eau à l’endroit où nous plaçons depuis des années.
La quarantaine approchant à grands pas, je dois dire que je suis fière de la plastique que je présente à ceux qui veulent m’admirer.
C’est grâce à ma pratique de la salle de gym non loin notre cabinet que je m’entretiens depuis que nous nous sommes installés à notre compte.
Cette année, l’un des deux maillots que je me suis achetée, est noire, le haut et le bas.
Ça renforce ma blondeur, je suis blonde ainsi que l’ensemble de la bande de L.
Enfin le calme, je les entends jouer avec la vingtaine de copains.
Je m’allonge sur ma serviette lunette de soleil sur le nez.
Je vais pour me retourner pour voir si tout va bien, j’ai promis à Lionel d’éviter d’être mère poule ce que je suis d’habitude, quand je prends ma crème solaire, je reste à regarder les petites vagues clapoter, elle est d’huile comme depuis notre arrivée.
Je suis fière de moi, j’aurais pu flancher, je suis resté stoïque pour la première fois de ma vie de maman.
Si mes yeux restent fixes, mes oreilles restent ouvertes, le club possède une petite piscine où les jumeaux vont apprendre à nager.
Ils doivent apprendre à sauter dans l’eau, car j’entends des cris de joie chaque fois que l’eau doit jaillir autour d’eux.
Je suis équipée, j’ai un petit cousin que je gonfle, j’ai horreur d’avoir la tête à plat.
Je suis là depuis une demi-heure quand un homme dans la cinquantaine vient s’installer près de moi, attention, il y a plus de cinq mètres entre nous.
Bel homme, du moins il a dû l’être, ventre plat, mais abdos se plissant.
Il est brun autant que je suis blonde.
Pour éviter de faire croire à quiconque que je le matte, je tourne la tête, bien vite, mes oreilles se bouchent aux cris de mes enfants et je repense à la soirée d’hier.
Les trois garnements étaient couchés, je sais par expérience qu’ils font tellement de choses dans leur journée qu’ils dorment toujours à poings fermés jusqu’au matin.
Nous étions sur la terrasse à profiter de la légère fraîcheur de la nuit, nous étions dans des transats, Lionel nous avait préparé une citronnade avec des glaçons pendant que je couchais nos garnements.
Le broc étant vide, il est allé dans le frigo en chercher.
Quand il est revenu avant que j’aie eu le temps de faire le moindre geste, il a fait glisser un glaçon dans mon bonnet 95C de mon deuxième maillot rose.
Il a posé le broc sur la table basse et c’est approché, il avait gardé en main un autre glaçon qu’il a promené sur mon ventre.
J’ai été à deux doigts de hurler, mais la peur de réveiller les petites canailles a fait que je suis resté calme, ayant seulement un mouvement de mon ventre qui m’a monté qu’il m’était facile de cacher le début d’un petit embonpoint.
Dans le même mouvement, il m’a pris mes lèvres dans un baiser bien profond.
Je dois reconnaître qu’il y avait bien longtemps qu’un baiser comme celui-là, nous ne nous en étions plus donné.
Son glaçon et sa main sont descendus plus bas et sont passés sous l’élastique au risque de l’exploser.
J’ai senti qu’il écartait mes lèvres vaginales et qu’il y enfonçait son morceau de glace.
J’étais frissonnante, sans plus longtemps penser aux enfants, il a tiré sur mon slip me libérant de toute entrave et de toute pudeur.
J’ai écarté mes cuisses et c’est sa langue au début puis ces dents qui ont fini de faire fondre en moi le reste de glace.
Je sentais que même à cause du froid, ma chatte coulait, je retrouvais les moments de ma jeunesse si tenté que je sois vieille à moins de quarante ans.
Dans ces premiers moments de connaissance de l’un et l’autre, les endroits insolites où nous avions la possibilité de baiser comme la plage nous permettaient d’avoir des moments tendre loin de mes beaux-parents.
Nous en rigolons encore quand nous nous installons, nous sommes persuadés que c’est ici à quelques mètres prêts que nous avons conçu Luce, nous obligeant à précipiter notre mariage.
Mais comme nous nous aimions et que nos parents avaient l’esprit ouvert, tout est rentré dans l’ordre rapidement.
J’ai simplement eu une alliance ayant eu déjà ma bague de fiançailles dans le respect des traditions.
Lionel est venu sur moi et c’est sur ce transat que nous avons fait l’amour, c’était divin.
J’ai joui en moi afin d’éviter d’exprimer tout haut le plaisir qu’il m’a donné avant de me remplir de son sperme.
• Maman, je sais nager.
Fini la tranquillité, fini la baise sur le transat, j’ai dû m’endormir, mon corps me brûle.
Au début, la crème a dû faire son effet mais à rester si longtemps certainement à dormir, je suis cuite à point.
• Les enfants nous rentrons, il faut que je me douche.
À quelques mètres l’homme qui a déclenché mes souvenirs érotiques d’hier au soir se lève passe près de nous et prend le chemin de sable menant aux villas.
Les enfants le doublent et entrent chez nous certainement pour aller jouer à la console.
L’homme s’arrête à hauteur du portillon semblant m’attendre.
• Êtes-vous Ludivine, la femme de Lionel ?
• Oui, on se connaît !
• Non, pas directement, je m’appelle Louis, je suis le petit-fils de Louisette et Lucien, ils sont restés chez eux à Poitiers, Mamy a eu une prothèse du genou et elle est en rééduc.
Je viens de revenir du Brésil ou j’habite et ou j’ai une entreprise de maçonnerie afin que je passe quelques jours de vacances, ils m’ont donné les clefs de leur villa.
Ils m’ont dit de vous saluer si je vous voyais, ils semblent énormément vous apprécier.
• Vous me voyez ennuyer d’apprendre que votre grand-mère a eu des ennuis de santé, si vous avez l’occasion de leur dire, dit leur que je pense bien à eux.
• Maman, Luc et Lucas m’ont tiré les cheveux.
• Et voilà comment le plaisir de parler avec une jolie femme se trouve briser par des cheveux tirés.
Je vois Louis franchir les quelques mètres qui le mènent à son propre portillon et entrer dans la villa juste à quelques mètres de la nôtre.
Je m’occupe des enfants, jusqu’au moment de les embrasser et de les coucher.
Il fait une chaleur étouffante, voyant qu’ils dorment, après une douche je passe mon déshabillé que Lionel aime tant.
Je sors sur le pas de ma porte, puis sur ma terrasse avant de m’approcher du portillon.
J’entends de la musique douce, venant de la maison voisine.
J’ai failli dire de chez Louis, je suis folle, j’aime Lionel, je lui suis fidèle depuis le jour oui sur cette plage, je lui ai donné mon cœur et mon corps même s’il sait qu’il est loin d’avoir été le premier.
Il en était de même pour lui.
• Alors belle enfant, on se prend le frais, vous avez raison ici la brise marine se fait légèrement sentir.
Excuse ma tenue, je suis un peu naturiste et chez moi, je suis toute l’année sans vêtements.
Viens, je t’offre un verre de caïpirinha, sucre, citron vert, cachaça et glace pilée, j’en ai sur ma terrasse.
• Mes enfants.
• Tu n’as rien à craindre nous serons à quelques mètres d’eux, nous resterons dehors, nous les entendrons et verrons s’ils allument…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...