COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (5/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (5/8)
• Bonjour madame, je crois que nous allons voyager côte à côte, excusez-moi, parlez-vous Français.
• Mademoiselle, je suis bordelaise, aucun problème avec la langue.
Si vous préférez parler en anglais, nous le pouvons, je le parle couramment.
• Excusez, je m’appelle Natacha.
La jeune femme auprès de laquelle je vais voyager je l’ai vu au moment de l’embarquement.
Elle avait un voile sur la tête comme bon nombre de femmes dans ces pays de confession musulmane.
L’employé a ouvert sa valise, j’ai eu le temps de voir un livre posé sur le dessus.
L’homme a regardé la jeune femme et a refermé sans la contrôler plus avant.
Lorsque j’arrive dans l’avion, elle est déjà installée et son voile a disparu montrant sa jolie chevelure blonde.
Je m’installe Doha à Paris, par chance je vais voyager près de cette jeune femme pendant 7 heures, c’est mieux qu’un vieux grognon essayant de me séduire en me baratinant tout au long de notre voyage.
Il est 15 heures ici et il sera 21 heures lorsque nous serons à Paris Charles de Gaulle.
Mes filles vont à l’école demain et le temps de rentrer en taxi, j’ai de grandes chances de devoir attendre 17 heures pour aller les chercher à la sortie, elles me manquent.
Pourtant ça fait seulement trois jours qu’Igor m’a envoyé rencontré un de ses clients enturbannés qui a fini par me proposer d’entrer dans son harem.
• Et moi Ondine, je suis contente de voyager près de vous, si vous saviez sur quoi l’on tombe lors de ces voyages !
• Je travaille pour une société parisienne et j’étais ici pour traiter des contrats pour mon patron.
• Indirectement moi aussi, je suis représentante en produits de maquillage.
Alors que je m’assieds, dois-je lui dire que j’ai un doute lorsqu’elle me dit représenter des marques de produits de maquillage, dans ce pays ou de nombreuses femmes sont voilées, mais je me tais, car je suis polie.
• Natacha, nous allons être de nombreuses heures ensemble, peut-on se tutoyer, surtout que j’ai une requête à te faire !
• Sans problème Ondine, de quelle requête parles-tu ?
• J’ai peur au décollage tant que les roues touchent le sol.
Peux-tu me tenir la main ?
Comment pourrais-je refuser cette demande, surtout que moi aussi je crains ce moment du décollage ?
Il se déroule sans problème, mais je sens Ondine si tendue que sa main remontant elle touche mon sein, là où j’ignore pourquoi à la vue de cette boutique de tatouages et de pose de piercings, je suis allée me faire percer les seins.
J’ai vu un tatouage d’un papillon de couleur bleue, je me le suis fait faire sur mon omoplate droite.
Ça a beaucoup plu à mon client, il passait son temps à l’embrasser au lieu de m’embrasser la chatte.
• Oh, tu as un piercing sur le sein, mon clien... mon ami aimerait que j’en fasse poser, je verrais à Bordeaux si je trouve un endroit ou m’en faire poser.
• Pourquoi t’es-tu reprise, tu avais commencé de dire le mot « clien... » et que tu t’es reprise.
Tu allais dire « client », je me trompe !
Un blanc couvert par le bruit assourdissant des moteurs lancés à plein régime, j’ai toujours été étonné que de tel mastodonte puisse s’élever et nous transporter à travers le monde.
• Comme toi tu dois en avoir, malgré ton alliance de femme mariée.
Je suis surprise, à part mes seins percés qu’ai-je pu dire ayant dévoilé à Ondine ma raison sociale de pute de mon patron et d’Igor qui finance ma rencontre d’hier avec cet émir arabe ?
• Je vois que tu t’interroges, tu me demandes comment j’ai compris que tu étais soumise à des hommes certainement de pouvoir !
• Je voudrais bien le savoir, toi aussi si tu vois des clients, dans ce pays où les artifices occidentaux de maquillage sont presque inexistants, tu es une escorte.
• Bien vue, j’ai moi aussi rencontré un client, mais c’était à l’hôtel Chedi Katara de Doha.
C’est un Français, il est dans cet avion en première classe comme nous et était ici pour un congrès de chirurgien esthétique.
Il est trois sièges derrière nous, mais dès la sortie de l’hôtel, nous devions faire comme si nous étions des étrangers, il a peur des divorces, il en paye déjà trois.
Pour ton interrogation, ton foulard que tu portes autour de ton cou a mal caché ton collier étrangleur que des filles comme nous portent certaines fois, posé par leur maître.
Tu as de la chance, j’aimerais en trouver un, mais je suis vouée au mari volage se payant une escorte le temps d’un congrès.
À part la belle vie que ça m’apporte, être dominé c’est un peu mon rêve depuis que j’ai goûté aux plaisirs charnels.
Tu m’as dit que tu travaillais pour une société parisienne, c’est ta couverture, mais quel en est la finalité !
Ondine me tient toujours la main alors que nous avons décollé depuis près de dix minutes.
Que répondre à sa question, surtout depuis que je sais ce que nous fabriquons et que nous vendons dans l’entreprise ?
Il y a tout juste un mois, Stephan a renvoyé Steve au Mexique, plus précisément à Acapulco avec une mallette fixé à son poignet.
Je l’ai vue, c’est moi qui l’ai accompagné jusqu’à l’aéroport, il était fier de la responsabilité qui était devenue la sienne d’avoir des missions si importantes.
J’ai presque de la compassion pour lui depuis que nous avons déménagé et que mes filles ont chacune leur chambre, avec les quelques voyages qu’Igor m’a fait faire, j’ai rapidement eu les moyens de m’offrir cette grande maison.
Steve est persuadé que c’est avec son augmentation que nous pouvons nous payer ce train de vie somptueux.
Pendant ce voyage, ayant laissé notre voiture au parking, je suis retournée chercher ma propre valise préparée discrètement hier après midi où Stephan m’avait donné quartier libre.
Steve s’est envolé pour le Mexique, moi, avec Stephan destination le Maroc à Marrakech où j’ai pu visiter les souks et me faire bronzer alors qu’à Paris il faisait un froid de canard.
Même si notre séjour était un simple voyage d’agrément, je devais simplement être la femme de mon mentor, son métier le rappel souvent.
Nous dormions la chaleur étant trop intense lorsque son portable a sonné.
Il s’est levé et je l’ai vu aller nue sur le balcon, il parlait et j’arrivais à entendre une grande partie de ce qu’il disait.
Les pièces métalliques que nous découpons et que nous assemblons étaient des parties importantes d’arme de guerre que des gens comme Igor vendaient à travers le monde.
J’ai entendu qu’il parlait de contournement d’embargo grâce à leur façon de procéder.
Je m’interrogeais sur ces dépenses faramineuses, hormis mes fesses, de payer chaque fois un voyage à l’autre bout du monde à Steve.
J’ai compris comment c’était possible lorsque j’ai entendu clairement le chiffre de 242 millions de dollars, qui allait arriver sur le compte de Stéphane.
Voyage, pute, et bout du monde pour mari, le faux frais sont une goutte d’eau comparée à ce que cela leur rapporte.
Avant de raccrocher, la réponse qu’il a faite à son interlocuteur, m’a fait comprendre qu’ils parlaient de moi, la réponse a été.
« Elle dort, soit sans crainte, elle ignore la réalité de notre commerce.
Nous gagnons du fric avec eux comparé aux putes que nous payons avant avec bien plus de risques, je tiens le couple dans le creux de ma main. »
Lorsqu’il est venu se recoucher et que je l’ai senti derrière moi, j’ai négligemment levé une jambe pour qu’il me baise bien profond comme si son retour venait de me réveiller.
Pour ce voyage à Doha, lorsque Igor m’a appelé, j’ai minaudé ma peur de perdre mon mari s’il apercevait que je le cocufiais.
Après le coup de fil reçu par Stephan sans lui dire que je voulais un peu plus de la part du gâteau, j’ai reçu une augmentation de 10 000 € pour mes bons et loyaux services.
• Main...
• Pardon Ondine, que disais-tu ?
• C’est le voyage, ça fatigue, je te disais, tu peux me lâcher la main, on a décollé après t’avoir demandé ce que vous faisiez dans l’entreprise qui te sert de couverture ?
• Nous fabriquons des pièces métalliques montées sur des machines agricoles et des pompes à eau pour les pays où elle manque, c’est bien le cas dans ces pays couvert de sable.
Le plus marrant, c’est le beau roman raconté à nos ouvriers qui se tuent à la tache pour un morceau de pain alors que nous nous payons des palaces ou des palais des mille et une nuits.
Ce coup-ci, c’était un palais ou mon émir régnait en maître tout-puissant sur son personnel et son harem ou il voulait m’y faire entrer me promettant que j’en serais son joyau.
Il était bien monté et j’ai passé de bons moments avec lui bien protégé de ses femmes qui m’auraient arraché les yeux si elle avait pu m’attraper.
J’ai appris que dans ces harems, la jalousie des femmes était nettement exacerbée comparée aux femmes de nos régions où l’on dit qu’elles sont des femmes libres.
Si j’ai vu que dans la valise d’Ondine, elle avait un livre, dans la mienne, j’ai une rivière de diamants qu’Olaf mon émir m’a offerts après m’avoir fortement baisés pendant de longues minutes.
J’ai réussi à avoir deux orgasmes plus forts l’un que l’autre.
Plaisir et travail, je suis sûr que grâce à mes fesses, Stephan va concrétiser quelques millions de dollars supplémentaires de vente de ces armes.
Je sais, je touche là à l’immoralité de ce qu’est devenue ma vie.
Ces armes servent à des soulèvements et souvent des enfants meurent, mais je me suis fait une raison, si nous laissons le marché, d’autres s’en empareront me renvoyant vers mes problèmes de fric.
Je ferme donc les yeux sur ma morale concernant ceux qui risquaient de se trouver à l’autre bout de ces armes.
Je vais donner la rivière de diamants à Igor qui saura la vendre et me rapporter quelques beaux billets en euros qui viendront enrichir mon très gros bas de laine.
J’ignore combien de temps tout ceci va durer, mais les études des filles sont déjà programmées et payées grâce au contrat que j’ai signé chez mon notaire.
• Hôtesse, pouvez-vous nous apporter une couverture, avant notre arrivée à notre destination.
• Bien sûr madame, je vous apporte cela tout de suite !
En voulez-vous deux, madame pendant que j’y suis ?
• Non, une me suffira, elles sont assez grandes.
• Laissez-moi passer pendant que vous l’apportez, je vais aux toilettes.
Ondine, se détache, elle passe devant moi, elle est coin hublots et me mettant la main sur l’épaule part vers l’arrière de l’avion alors que l’hôtesse part chercher la couverture.
Je commence à m’assoupir, lors du voyage précédent avec mon vieux grognon à côté de moi, j’ai fait celle qui dormait une grande partie du voyage.
Celui-ci même si mon séjour m’a épuisé va me paraitre plus agréable...
• Mademoiselle, je suis bordelaise, aucun problème avec la langue.
Si vous préférez parler en anglais, nous le pouvons, je le parle couramment.
• Excusez, je m’appelle Natacha.
La jeune femme auprès de laquelle je vais voyager je l’ai vu au moment de l’embarquement.
Elle avait un voile sur la tête comme bon nombre de femmes dans ces pays de confession musulmane.
L’employé a ouvert sa valise, j’ai eu le temps de voir un livre posé sur le dessus.
L’homme a regardé la jeune femme et a refermé sans la contrôler plus avant.
Lorsque j’arrive dans l’avion, elle est déjà installée et son voile a disparu montrant sa jolie chevelure blonde.
Je m’installe Doha à Paris, par chance je vais voyager près de cette jeune femme pendant 7 heures, c’est mieux qu’un vieux grognon essayant de me séduire en me baratinant tout au long de notre voyage.
Il est 15 heures ici et il sera 21 heures lorsque nous serons à Paris Charles de Gaulle.
Mes filles vont à l’école demain et le temps de rentrer en taxi, j’ai de grandes chances de devoir attendre 17 heures pour aller les chercher à la sortie, elles me manquent.
Pourtant ça fait seulement trois jours qu’Igor m’a envoyé rencontré un de ses clients enturbannés qui a fini par me proposer d’entrer dans son harem.
• Et moi Ondine, je suis contente de voyager près de vous, si vous saviez sur quoi l’on tombe lors de ces voyages !
• Je travaille pour une société parisienne et j’étais ici pour traiter des contrats pour mon patron.
• Indirectement moi aussi, je suis représentante en produits de maquillage.
Alors que je m’assieds, dois-je lui dire que j’ai un doute lorsqu’elle me dit représenter des marques de produits de maquillage, dans ce pays ou de nombreuses femmes sont voilées, mais je me tais, car je suis polie.
• Natacha, nous allons être de nombreuses heures ensemble, peut-on se tutoyer, surtout que j’ai une requête à te faire !
• Sans problème Ondine, de quelle requête parles-tu ?
• J’ai peur au décollage tant que les roues touchent le sol.
Peux-tu me tenir la main ?
Comment pourrais-je refuser cette demande, surtout que moi aussi je crains ce moment du décollage ?
Il se déroule sans problème, mais je sens Ondine si tendue que sa main remontant elle touche mon sein, là où j’ignore pourquoi à la vue de cette boutique de tatouages et de pose de piercings, je suis allée me faire percer les seins.
J’ai vu un tatouage d’un papillon de couleur bleue, je me le suis fait faire sur mon omoplate droite.
Ça a beaucoup plu à mon client, il passait son temps à l’embrasser au lieu de m’embrasser la chatte.
• Oh, tu as un piercing sur le sein, mon clien... mon ami aimerait que j’en fasse poser, je verrais à Bordeaux si je trouve un endroit ou m’en faire poser.
• Pourquoi t’es-tu reprise, tu avais commencé de dire le mot « clien... » et que tu t’es reprise.
Tu allais dire « client », je me trompe !
Un blanc couvert par le bruit assourdissant des moteurs lancés à plein régime, j’ai toujours été étonné que de tel mastodonte puisse s’élever et nous transporter à travers le monde.
• Comme toi tu dois en avoir, malgré ton alliance de femme mariée.
Je suis surprise, à part mes seins percés qu’ai-je pu dire ayant dévoilé à Ondine ma raison sociale de pute de mon patron et d’Igor qui finance ma rencontre d’hier avec cet émir arabe ?
• Je vois que tu t’interroges, tu me demandes comment j’ai compris que tu étais soumise à des hommes certainement de pouvoir !
• Je voudrais bien le savoir, toi aussi si tu vois des clients, dans ce pays où les artifices occidentaux de maquillage sont presque inexistants, tu es une escorte.
• Bien vue, j’ai moi aussi rencontré un client, mais c’était à l’hôtel Chedi Katara de Doha.
C’est un Français, il est dans cet avion en première classe comme nous et était ici pour un congrès de chirurgien esthétique.
Il est trois sièges derrière nous, mais dès la sortie de l’hôtel, nous devions faire comme si nous étions des étrangers, il a peur des divorces, il en paye déjà trois.
Pour ton interrogation, ton foulard que tu portes autour de ton cou a mal caché ton collier étrangleur que des filles comme nous portent certaines fois, posé par leur maître.
Tu as de la chance, j’aimerais en trouver un, mais je suis vouée au mari volage se payant une escorte le temps d’un congrès.
À part la belle vie que ça m’apporte, être dominé c’est un peu mon rêve depuis que j’ai goûté aux plaisirs charnels.
Tu m’as dit que tu travaillais pour une société parisienne, c’est ta couverture, mais quel en est la finalité !
Ondine me tient toujours la main alors que nous avons décollé depuis près de dix minutes.
Que répondre à sa question, surtout depuis que je sais ce que nous fabriquons et que nous vendons dans l’entreprise ?
Il y a tout juste un mois, Stephan a renvoyé Steve au Mexique, plus précisément à Acapulco avec une mallette fixé à son poignet.
Je l’ai vue, c’est moi qui l’ai accompagné jusqu’à l’aéroport, il était fier de la responsabilité qui était devenue la sienne d’avoir des missions si importantes.
J’ai presque de la compassion pour lui depuis que nous avons déménagé et que mes filles ont chacune leur chambre, avec les quelques voyages qu’Igor m’a fait faire, j’ai rapidement eu les moyens de m’offrir cette grande maison.
Steve est persuadé que c’est avec son augmentation que nous pouvons nous payer ce train de vie somptueux.
Pendant ce voyage, ayant laissé notre voiture au parking, je suis retournée chercher ma propre valise préparée discrètement hier après midi où Stephan m’avait donné quartier libre.
Steve s’est envolé pour le Mexique, moi, avec Stephan destination le Maroc à Marrakech où j’ai pu visiter les souks et me faire bronzer alors qu’à Paris il faisait un froid de canard.
Même si notre séjour était un simple voyage d’agrément, je devais simplement être la femme de mon mentor, son métier le rappel souvent.
Nous dormions la chaleur étant trop intense lorsque son portable a sonné.
Il s’est levé et je l’ai vu aller nue sur le balcon, il parlait et j’arrivais à entendre une grande partie de ce qu’il disait.
Les pièces métalliques que nous découpons et que nous assemblons étaient des parties importantes d’arme de guerre que des gens comme Igor vendaient à travers le monde.
J’ai entendu qu’il parlait de contournement d’embargo grâce à leur façon de procéder.
Je m’interrogeais sur ces dépenses faramineuses, hormis mes fesses, de payer chaque fois un voyage à l’autre bout du monde à Steve.
J’ai compris comment c’était possible lorsque j’ai entendu clairement le chiffre de 242 millions de dollars, qui allait arriver sur le compte de Stéphane.
Voyage, pute, et bout du monde pour mari, le faux frais sont une goutte d’eau comparée à ce que cela leur rapporte.
Avant de raccrocher, la réponse qu’il a faite à son interlocuteur, m’a fait comprendre qu’ils parlaient de moi, la réponse a été.
« Elle dort, soit sans crainte, elle ignore la réalité de notre commerce.
Nous gagnons du fric avec eux comparé aux putes que nous payons avant avec bien plus de risques, je tiens le couple dans le creux de ma main. »
Lorsqu’il est venu se recoucher et que je l’ai senti derrière moi, j’ai négligemment levé une jambe pour qu’il me baise bien profond comme si son retour venait de me réveiller.
Pour ce voyage à Doha, lorsque Igor m’a appelé, j’ai minaudé ma peur de perdre mon mari s’il apercevait que je le cocufiais.
Après le coup de fil reçu par Stephan sans lui dire que je voulais un peu plus de la part du gâteau, j’ai reçu une augmentation de 10 000 € pour mes bons et loyaux services.
• Main...
• Pardon Ondine, que disais-tu ?
• C’est le voyage, ça fatigue, je te disais, tu peux me lâcher la main, on a décollé après t’avoir demandé ce que vous faisiez dans l’entreprise qui te sert de couverture ?
• Nous fabriquons des pièces métalliques montées sur des machines agricoles et des pompes à eau pour les pays où elle manque, c’est bien le cas dans ces pays couvert de sable.
Le plus marrant, c’est le beau roman raconté à nos ouvriers qui se tuent à la tache pour un morceau de pain alors que nous nous payons des palaces ou des palais des mille et une nuits.
Ce coup-ci, c’était un palais ou mon émir régnait en maître tout-puissant sur son personnel et son harem ou il voulait m’y faire entrer me promettant que j’en serais son joyau.
Il était bien monté et j’ai passé de bons moments avec lui bien protégé de ses femmes qui m’auraient arraché les yeux si elle avait pu m’attraper.
J’ai appris que dans ces harems, la jalousie des femmes était nettement exacerbée comparée aux femmes de nos régions où l’on dit qu’elles sont des femmes libres.
Si j’ai vu que dans la valise d’Ondine, elle avait un livre, dans la mienne, j’ai une rivière de diamants qu’Olaf mon émir m’a offerts après m’avoir fortement baisés pendant de longues minutes.
J’ai réussi à avoir deux orgasmes plus forts l’un que l’autre.
Plaisir et travail, je suis sûr que grâce à mes fesses, Stephan va concrétiser quelques millions de dollars supplémentaires de vente de ces armes.
Je sais, je touche là à l’immoralité de ce qu’est devenue ma vie.
Ces armes servent à des soulèvements et souvent des enfants meurent, mais je me suis fait une raison, si nous laissons le marché, d’autres s’en empareront me renvoyant vers mes problèmes de fric.
Je ferme donc les yeux sur ma morale concernant ceux qui risquaient de se trouver à l’autre bout de ces armes.
Je vais donner la rivière de diamants à Igor qui saura la vendre et me rapporter quelques beaux billets en euros qui viendront enrichir mon très gros bas de laine.
J’ignore combien de temps tout ceci va durer, mais les études des filles sont déjà programmées et payées grâce au contrat que j’ai signé chez mon notaire.
• Hôtesse, pouvez-vous nous apporter une couverture, avant notre arrivée à notre destination.
• Bien sûr madame, je vous apporte cela tout de suite !
En voulez-vous deux, madame pendant que j’y suis ?
• Non, une me suffira, elles sont assez grandes.
• Laissez-moi passer pendant que vous l’apportez, je vais aux toilettes.
Ondine, se détache, elle passe devant moi, elle est coin hublots et me mettant la main sur l’épaule part vers l’arrière de l’avion alors que l’hôtesse part chercher la couverture.
Je commence à m’assoupir, lors du voyage précédent avec mon vieux grognon à côté de moi, j’ai fait celle qui dormait une grande partie du voyage.
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Les avis des lecteurs
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Cyrille
Cyrille