COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (7/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Je deviens volontairement la pute de notre patron (7/8)
Lesbienne, plutôt bisexuelle, car même si j’aime faire un cunnilingus à Ondine, la bite de Fred qui me laboure ma chatte me fait partir vers les chemins de l’adultère.
Il est drôle de penser à Steve à ce moment de mon plaisir partagé, mais c’est certainement en voyant l’heure.
Il doit avoir atterri du retour du Mexique où Stephan l’a envoyé pendant que j’offrais mon corps à un émir Qatari.
Il va être entré avant moi, mais je m’en fiche, je gagne du fric et je satisfais mon cul avec mes amis de jeux.
Un peu gauche au début, j’apprends comme je l’ai dit à faire un 69 à Ondine et frotter mes seins sur ses seins.
J’apprends aussi à croiser nos jambes pour que nos chattes et nos clitos se caressent en même temps que la verge de Fred passe de ma bouche à celle de ma compagne de lit.
Fred ouvre la bouteille de champagne placé dans le frigo que ces hôtels à haut standing nous offrent avant de nouveau de lui tailler une pipe et de nous prendre à tour de rôle le cul pointé vers le ciel.
Je suis dans cette position alors que j’ai senti la capote de Fred se tendre lorsqu’il a déchargé et de se relever avant de se rhabiller.
En retard pour un retard, autant en profiter, je reste avec Ondine quelques minutes encore dans les bras l’une de l’autre !
• Les filles, je vous quitte, je dois rejoindre ma vie peu trépidante et hélas mon épouse, même si mon métier me fait côtoyer de jolies femmes.
J’ai un conseil à vous donner moi qui suis chirurgien esthétique rester dans l’état où vous êtes, vous êtes parfaite.
Natacha, si tu veux que je te revoie comme escorte, je suis partant, as-tu un numéro de téléphone où je peux te joindre ?
• Je suis une pute, mais une pute d’entreprise et je gagne assez bien ma vie pour éviter les risques qu’Ondine doit prendre lorsqu’elle rejoint un nouveau client.
Mais tu sais où la joindre et je sais que nous allons rester en contact, elle me proposera ce que tu lui proposeras et nous aviserons ensemble.
• Salut Fred, Natacha a raison, tu sais comment me joindre, appelle-moi !
Notre client part, pour la première fois je me sens pleinement pute, c’est moi qui ai choisi mon client et non Igor ou Stephan.
• Tu as encore un peu de temps, la chambre est payée jusqu’à demain matin, j’appelle Steve mon mari, je vais lui dire que je suis bloqué par un mouvement de personnel spontané à Doha.
Mon mari gobe tous les bobards que nous lui débitons chaque fois que j’ai un voyage à faire pour le bien de notre entreprise.
• Attends, j’ouvre ma valise, j’ai quelques joujoux dont je me sers, car certains de mes clients sont des couples et je dois baiser la femme autant que l’homme.
Ondine saisit sa valise posée sur le reposoir au pied du lit.
Je suis calée mollement dans les oreillers, elle la pose entre nous et l’ouvre après avoir tapé le code de sécurité.
• Ondine, une question, tu étais devant moi au passage de l’enregistrement et de contrôle des bagages.
J’ai vu le contrôleur regarder dans ta valise, te regarder et te dire de passer.
Il est resté sans aller plus loin et l’a refermé.
Tu es passé sans le moindre souci.
• Ma formule pour passer sans plus de contrôle, le voilà, regarde.
• Des petites culottes, je voudrais comprendre !
• Une fois j’ai eu des soucis à une douane d’un pays comme le Qatar.
Le contrôleur a regardé au fond de ma valise et a trouvé les godes dont celui avec ceinture que j’ai avec moi et dont je me sers lorsque madame est de la partie.
Il m’a fait poiroter jusqu’à quelques minutes du départ.
Isabelle une consoeur avec laquelle j’ai fait équipe, c’est elle qui m’a donné le coup.
Des culottes sales, même plus que sale, regardent celle-là j’y ai mis du chocolat, on pourrait croire une autre matière, tu vois ce que je veux dire.
C’est le moyen de s’en sortir sans aller plus loin dans l’investigation de ma valise.
Ce sont des hommes, ils pensent que vous êtes une femme dégueulasse et évitent de toucher à ces culottes.
• Culotte et surtout culotte sale, je m’en souviendrais, mais fais-moi voir ce gode ou ces godes, j’ai toujours eu envie de m’en offrir un, mais je crains que mes filles puissent tomber dessus.
Elles sont à un âge où l’on imite maman et c’est souvent que je les vois jouer dans mon armoire, mettant mes robes trop grandes pour elles et surtout mes chaussures à talons hauts.
Alors, je me vois mal voir arriver dans la salle de séjour, Camille ou Corinne un gode en main, le secouant en disant, papa a perdu son fusil.
• Son fusil ?
• Oui, il y a un peu plus d’un an, Steve avait oublié de fermer à clef la porte de notre salle de bains, l’une d’elles est entrée et montrant le sexe de mon mari, lui a demandé ce qu’il avait devant lui.
Pris de court, il a répondu que c’était un « fusil », tu vois la suite si elle trouve un gode !
• Dis-moi, ce fusil est-il à un coup ?
• Fiche-toi de moi, tu verras lorsque tu auras des enfants.
Ondine pose les culottes sur le lit, enlève petites culottes elle propre malgré le voyage et autres sous-vêtements et sors un sac fermé par une cordelette.
Elle en sort un gode mieux monté que la bite de Steve, mais moins impressionnant que celle de Stephan ainsi qu’un harnais permettant de l’attacher autour de ses reins.
Être baiser par une femme avec un gode, ça me permet de savourer cet instant avec beaucoup de plaisir, car se gode noir me donne l’impression d’être sauté par un Africain, mais qui reste en forme autant qu’Ondine a envie de me donner des coups de bite dans la chatte.
• On change, tu as déjà eux deux orgasmes.
Oui, bien sûr on change, je fais l’homme et Ondine la femme.
• Mais quesque tu fais !
• Je te suce la bite, l’as-tu fait avec ton client ?
• Tu as raison, il va de soi que je l’ai sucé, il a beaucoup aimé, à part mon mari qui ignore les préliminaires, depuis que je suis devenue la pute de mon patron, j’adore ces moments.
Il est drôle pour moi, femme frustrée et devenue femme soumise à mes patrons et aussi mes clients de me trouver dans la situation du mâle dominant.
Ondine est la parfaite petite pute, tu ordonnes, elle s’exécute.
• Aimes-tu ma grosse bite noir Ondine ?
• Je l’adore, je vais encore mieux l’aimer lorsque je l’aurais dans ma chatte ou dans mon cul, j’adore que mes clients me sodomisent.
Ça fait un point en commun entre nous, depuis que j’ai trouvé Stephan dans la chambre d’Igor et qu’ils m’ont pris en sandwich, j’adore me faire défoncer l’anus.
Mon émir dont je tairais le nom, c’est une sommité de son pays, m’a pris par-derrière lorsque j’étais à quatre pattes et m’a pris par les cheveux les tirants en arrière à chaque coup de sa queue.
Pourtant contrairement à la première fois, ma rosette étant habituée, les douleurs ont disparu.
J’y prends même un grand plaisir comme la chienne que la situation ou je me trouve, m’apporte, je jouis du cul.
Il en va de même pour Ondine, même si avant que je la défonce, elle a sorti de sa valise un tube de pommade adoucissante, que j’ai mis sur ma bite avant de la pénétrer.
Ma bite, elle a poussé depuis que je fais le mâle de cette pute d’Ondine et que je la fasse jouir en lui assénant de grandes claques sur son joli fessier rebondi.
Nous échangeons le gode, de mâle je redeviens femelle et de nouveau, c’est elle qui me défonce.
• La nuit avance Natacha, il faut que nous dormions un peu à moins que tu veuilles que je t’appelle un taxi en attendant l’heure de mon avion pour Bordeaux je vais récupérer un peu.
• Je suis si bien avec toi, ce sera la première fois que je dormirais avec une femme dans mes bras.
• Moi aussi, avec mes clientes je les baises, mais je dors rarement avec elle.
Voilà comment nous finissons la nuit blottis dans les bras l’une de l’autre, à la lumière verte du réveil que j’ai mise à sept heures, je vois l’œil de la bite noir me regarder du pied du lit où il repose.
Il va vraiment falloir que je m’en procure un, je pourrais m’en servir avec mes clients, même si ceux qui se présentent comme des dominants, aiment se faire défoncer le cul.
Pourquoi, la sodomie serait elle la primauté des homos ou des hommes sodomisant les femmes ?
Le temps paraît plus que court lorsque l’on dort profondément.
Lorsque j’ouvre un œil à la sonnerie du réveil, le lit est vide, Ondine m’a abandonné.
Ouf la porte de la salle de bains est fermée et j’entends Ondine chanter.
Je me lève avec difficulté, non mon cul va bien, ma rosette est même refermée comme à l’ordinaire, mais ce sont mes jambes qui flageolent encore après les débordements de notre soirée et de notre nuit.
Je retrouve mon amie étant mon amante qui se lave une jambe sortie de l’eau du bain qu’elle s’est fait couler.
Je l’embrasse tendrement jusqu’à manquer de nous étouffer tellement nos baisers sont profonds et sincères, je suis un peu amoureuse d’Ondine, serais-je devenue lesbienne en une nuit ?
Si c’est le cas, je vais assumer surtout lorsque je rentre dans l’eau et que les mains d’Ondine se baladent partout sur mon corps.
Commencer sa journée par un orgasme, quoi de plus en plus plaisant, c’est le cas pour moi lorsqu’elle passe sa main devant moi et qu’elle me caresse le clito finissant par une masturbation bien profonde avec deux de ses doigts.
C’est ainsi qu’après avoir fait monter un sérieux petit déjeuner réparateur, je fais signe à Ondine que je l’aime en formant un cœur avec mes doigts que je pose sur ma poitrine.
Partant pour Bordeaux, je prends un taxi, direction ma maison et ma famille que je vais être trop contente de retrouver.
Je paye le taxi avec ma carte gold, je descends du taxi, une policière, flingue à la hanche s’approche de moi.
• Vous êtes Natacha la femme de Steve D. voulez-vous nous suivre, le commissaire voudrait vous poser quelques questions ?
Qu’est-il arrivé à mon mari ou à mes enfants, son avion s’est-il écrasé ?...
Il est drôle de penser à Steve à ce moment de mon plaisir partagé, mais c’est certainement en voyant l’heure.
Il doit avoir atterri du retour du Mexique où Stephan l’a envoyé pendant que j’offrais mon corps à un émir Qatari.
Il va être entré avant moi, mais je m’en fiche, je gagne du fric et je satisfais mon cul avec mes amis de jeux.
Un peu gauche au début, j’apprends comme je l’ai dit à faire un 69 à Ondine et frotter mes seins sur ses seins.
J’apprends aussi à croiser nos jambes pour que nos chattes et nos clitos se caressent en même temps que la verge de Fred passe de ma bouche à celle de ma compagne de lit.
Fred ouvre la bouteille de champagne placé dans le frigo que ces hôtels à haut standing nous offrent avant de nouveau de lui tailler une pipe et de nous prendre à tour de rôle le cul pointé vers le ciel.
Je suis dans cette position alors que j’ai senti la capote de Fred se tendre lorsqu’il a déchargé et de se relever avant de se rhabiller.
En retard pour un retard, autant en profiter, je reste avec Ondine quelques minutes encore dans les bras l’une de l’autre !
• Les filles, je vous quitte, je dois rejoindre ma vie peu trépidante et hélas mon épouse, même si mon métier me fait côtoyer de jolies femmes.
J’ai un conseil à vous donner moi qui suis chirurgien esthétique rester dans l’état où vous êtes, vous êtes parfaite.
Natacha, si tu veux que je te revoie comme escorte, je suis partant, as-tu un numéro de téléphone où je peux te joindre ?
• Je suis une pute, mais une pute d’entreprise et je gagne assez bien ma vie pour éviter les risques qu’Ondine doit prendre lorsqu’elle rejoint un nouveau client.
Mais tu sais où la joindre et je sais que nous allons rester en contact, elle me proposera ce que tu lui proposeras et nous aviserons ensemble.
• Salut Fred, Natacha a raison, tu sais comment me joindre, appelle-moi !
Notre client part, pour la première fois je me sens pleinement pute, c’est moi qui ai choisi mon client et non Igor ou Stephan.
• Tu as encore un peu de temps, la chambre est payée jusqu’à demain matin, j’appelle Steve mon mari, je vais lui dire que je suis bloqué par un mouvement de personnel spontané à Doha.
Mon mari gobe tous les bobards que nous lui débitons chaque fois que j’ai un voyage à faire pour le bien de notre entreprise.
• Attends, j’ouvre ma valise, j’ai quelques joujoux dont je me sers, car certains de mes clients sont des couples et je dois baiser la femme autant que l’homme.
Ondine saisit sa valise posée sur le reposoir au pied du lit.
Je suis calée mollement dans les oreillers, elle la pose entre nous et l’ouvre après avoir tapé le code de sécurité.
• Ondine, une question, tu étais devant moi au passage de l’enregistrement et de contrôle des bagages.
J’ai vu le contrôleur regarder dans ta valise, te regarder et te dire de passer.
Il est resté sans aller plus loin et l’a refermé.
Tu es passé sans le moindre souci.
• Ma formule pour passer sans plus de contrôle, le voilà, regarde.
• Des petites culottes, je voudrais comprendre !
• Une fois j’ai eu des soucis à une douane d’un pays comme le Qatar.
Le contrôleur a regardé au fond de ma valise et a trouvé les godes dont celui avec ceinture que j’ai avec moi et dont je me sers lorsque madame est de la partie.
Il m’a fait poiroter jusqu’à quelques minutes du départ.
Isabelle une consoeur avec laquelle j’ai fait équipe, c’est elle qui m’a donné le coup.
Des culottes sales, même plus que sale, regardent celle-là j’y ai mis du chocolat, on pourrait croire une autre matière, tu vois ce que je veux dire.
C’est le moyen de s’en sortir sans aller plus loin dans l’investigation de ma valise.
Ce sont des hommes, ils pensent que vous êtes une femme dégueulasse et évitent de toucher à ces culottes.
• Culotte et surtout culotte sale, je m’en souviendrais, mais fais-moi voir ce gode ou ces godes, j’ai toujours eu envie de m’en offrir un, mais je crains que mes filles puissent tomber dessus.
Elles sont à un âge où l’on imite maman et c’est souvent que je les vois jouer dans mon armoire, mettant mes robes trop grandes pour elles et surtout mes chaussures à talons hauts.
Alors, je me vois mal voir arriver dans la salle de séjour, Camille ou Corinne un gode en main, le secouant en disant, papa a perdu son fusil.
• Son fusil ?
• Oui, il y a un peu plus d’un an, Steve avait oublié de fermer à clef la porte de notre salle de bains, l’une d’elles est entrée et montrant le sexe de mon mari, lui a demandé ce qu’il avait devant lui.
Pris de court, il a répondu que c’était un « fusil », tu vois la suite si elle trouve un gode !
• Dis-moi, ce fusil est-il à un coup ?
• Fiche-toi de moi, tu verras lorsque tu auras des enfants.
Ondine pose les culottes sur le lit, enlève petites culottes elle propre malgré le voyage et autres sous-vêtements et sors un sac fermé par une cordelette.
Elle en sort un gode mieux monté que la bite de Steve, mais moins impressionnant que celle de Stephan ainsi qu’un harnais permettant de l’attacher autour de ses reins.
Être baiser par une femme avec un gode, ça me permet de savourer cet instant avec beaucoup de plaisir, car se gode noir me donne l’impression d’être sauté par un Africain, mais qui reste en forme autant qu’Ondine a envie de me donner des coups de bite dans la chatte.
• On change, tu as déjà eux deux orgasmes.
Oui, bien sûr on change, je fais l’homme et Ondine la femme.
• Mais quesque tu fais !
• Je te suce la bite, l’as-tu fait avec ton client ?
• Tu as raison, il va de soi que je l’ai sucé, il a beaucoup aimé, à part mon mari qui ignore les préliminaires, depuis que je suis devenue la pute de mon patron, j’adore ces moments.
Il est drôle pour moi, femme frustrée et devenue femme soumise à mes patrons et aussi mes clients de me trouver dans la situation du mâle dominant.
Ondine est la parfaite petite pute, tu ordonnes, elle s’exécute.
• Aimes-tu ma grosse bite noir Ondine ?
• Je l’adore, je vais encore mieux l’aimer lorsque je l’aurais dans ma chatte ou dans mon cul, j’adore que mes clients me sodomisent.
Ça fait un point en commun entre nous, depuis que j’ai trouvé Stephan dans la chambre d’Igor et qu’ils m’ont pris en sandwich, j’adore me faire défoncer l’anus.
Mon émir dont je tairais le nom, c’est une sommité de son pays, m’a pris par-derrière lorsque j’étais à quatre pattes et m’a pris par les cheveux les tirants en arrière à chaque coup de sa queue.
Pourtant contrairement à la première fois, ma rosette étant habituée, les douleurs ont disparu.
J’y prends même un grand plaisir comme la chienne que la situation ou je me trouve, m’apporte, je jouis du cul.
Il en va de même pour Ondine, même si avant que je la défonce, elle a sorti de sa valise un tube de pommade adoucissante, que j’ai mis sur ma bite avant de la pénétrer.
Ma bite, elle a poussé depuis que je fais le mâle de cette pute d’Ondine et que je la fasse jouir en lui assénant de grandes claques sur son joli fessier rebondi.
Nous échangeons le gode, de mâle je redeviens femelle et de nouveau, c’est elle qui me défonce.
• La nuit avance Natacha, il faut que nous dormions un peu à moins que tu veuilles que je t’appelle un taxi en attendant l’heure de mon avion pour Bordeaux je vais récupérer un peu.
• Je suis si bien avec toi, ce sera la première fois que je dormirais avec une femme dans mes bras.
• Moi aussi, avec mes clientes je les baises, mais je dors rarement avec elle.
Voilà comment nous finissons la nuit blottis dans les bras l’une de l’autre, à la lumière verte du réveil que j’ai mise à sept heures, je vois l’œil de la bite noir me regarder du pied du lit où il repose.
Il va vraiment falloir que je m’en procure un, je pourrais m’en servir avec mes clients, même si ceux qui se présentent comme des dominants, aiment se faire défoncer le cul.
Pourquoi, la sodomie serait elle la primauté des homos ou des hommes sodomisant les femmes ?
Le temps paraît plus que court lorsque l’on dort profondément.
Lorsque j’ouvre un œil à la sonnerie du réveil, le lit est vide, Ondine m’a abandonné.
Ouf la porte de la salle de bains est fermée et j’entends Ondine chanter.
Je me lève avec difficulté, non mon cul va bien, ma rosette est même refermée comme à l’ordinaire, mais ce sont mes jambes qui flageolent encore après les débordements de notre soirée et de notre nuit.
Je retrouve mon amie étant mon amante qui se lave une jambe sortie de l’eau du bain qu’elle s’est fait couler.
Je l’embrasse tendrement jusqu’à manquer de nous étouffer tellement nos baisers sont profonds et sincères, je suis un peu amoureuse d’Ondine, serais-je devenue lesbienne en une nuit ?
Si c’est le cas, je vais assumer surtout lorsque je rentre dans l’eau et que les mains d’Ondine se baladent partout sur mon corps.
Commencer sa journée par un orgasme, quoi de plus en plus plaisant, c’est le cas pour moi lorsqu’elle passe sa main devant moi et qu’elle me caresse le clito finissant par une masturbation bien profonde avec deux de ses doigts.
C’est ainsi qu’après avoir fait monter un sérieux petit déjeuner réparateur, je fais signe à Ondine que je l’aime en formant un cœur avec mes doigts que je pose sur ma poitrine.
Partant pour Bordeaux, je prends un taxi, direction ma maison et ma famille que je vais être trop contente de retrouver.
Je paye le taxi avec ma carte gold, je descends du taxi, une policière, flingue à la hanche s’approche de moi.
• Vous êtes Natacha la femme de Steve D. voulez-vous nous suivre, le commissaire voudrait vous poser quelques questions ?
Qu’est-il arrivé à mon mari ou à mes enfants, son avion s’est-il écrasé ?...
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis toujours adorable Chris !!! 😈🤪
La chipie
La chipie
Bon on verra si vous êtes gentil avec moi...
Ah non je refuse dis donc !!! 🤦♀️😔😡🥺
La Chippie, elle est encore trop faible (ta vengeance) la fin dois paraitre demain, je vais envoyer un message au modérateur pour lui dire de la retarder de quelque jours...
na nin nin
na nin nin
Ca ne se fait pas de me faire attendre !!! LOL
Ma vengeance sera terrible !!!
La chipie
Ma vengeance sera terrible !!!
La chipie
Ahhhh le moment suspens de l'histoire...
Tu vas nous faire languir comme d'habitude...
Cyrille
Tu vas nous faire languir comme d'habitude...
Cyrille
Je l'ignore la Chippie, Natacha a oublié de me faire ses confidences...
Ça va barder !!! LOL
La chipie
La chipie